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 Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.

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Lowry M. Burrows
Lowry M. Burrows

Personnel de l'école


PRENOM/PSEUDO : M.
CREDITS : fade it (avatar), foolish-muse | tumblr (signature)
PARCHEMINS : 39
ÂGE : 33
PROFESSION : professeur en médicomagie, médicomage le reste du temps
ICI DEPUIS : 20/07/2012

Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Empty
MessageSujet: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 14:51


citation, citation
lowry maddox burrows

moi, le magicien,
prénoms : Lowry, c'est la seule chose que sa mère lui a transmise puisque c'est elle qui l'a choisi & Maddox, son père trouvait que Lowry était un prénom trop doux pour un garçon, il a donc choisi un prénom plus masculin, selon ses critères. nom : Burrows nature du sang: sang mêlé, ses deux parents étaient des sorciers mais sa mère avait un père moldu, d'où le mélange de son sang. Son père ne le savait pas lorsqu'il a épousé sa mère puisque son grand-père n'était plus de ce monde. âge : vingt-sept ans date et lieu de naissance : le quatorze février à Dublin nationalité : la mère de Lowry était irlandaise, son père était un pur anglais, il a donc les deux origines profession : il est médicomage à l'origine pour sa volonté à soigner autrui, il est devenu professeur de médicomagie à la rentrée, il est donc professeur à temps plein mais continue de faire des gardes à St-Mangouste parce qu'il affectionne trop ce métier pour l'abandonner totalement ancienne maison : il a étudié à serpentard, parce que les plus grands traits de caractère de Lowry, sont son ambition et sa ruse, il peut faire n'importe quoi pour réussir, il est capable du pire comme du meilleur. C'est cette soif d'apprendre, de mener à terme tout ce qu'il entreprend qui l'ont conduit à serpentard mais aussi, plus rusé qu'un renard, il est très malin et très intelligent quand il s'agit de tromper, de duper et de se camoufler. statut matrimonial : veuf, célibataire pour l'instant votre baguette : elle est faite en bois de sorbier, l'arbre de la guérison et de la vie, elle mesure trente-deux centimètres et contient un crin de licorne. Extrêmement souple et droite, elle est parfaite pour la métamorphose et les sortilèges de guérison qu'elle exécute avec la plus grande précision matières favorites : sans conteste la métamorphose, pour laquelle il a développé un incroyable talent, son point fort et la matière où il excelle toujours et les sortilèges matière détestée : la défense contre les forces du mal, pour laquelle il n'a jamais réellement développé de talent, il sait se défendre et attaquer évidemment mais à l'école, c'était ce pourquoi il n'était absolument pas doué et la divination, il n'en a jamais compris l'intérêt. votre patronus : A son grand désarroi, il n'a jamais été capable de créer un patronus corporel, selon lui, cela demande trop de concentration, il n'aime pas réfléchir en jetant un sort, encore moins à une image positive puisque tout ce qu'il avait de positif dans sa vie a tourné au désastre face à l'épouvantard : un lieu clos, il est claustrophobe depuis que son père s'est amusé à l'enfermer lorsqu'il n'était pas sage. particularité magique : aucune.

deatheaterstumblr



l'interrogatoire des aurors,
Ce qui va suivre est nécessaire pour bien cerner la personnalité profonde de votre personnage. Ceci doit correspondre à la maison de votre personnage quand il était étudiant, faites donc bien attention !


une potion : félix felicis Un sortilège : énervatum une chanson : aucune, il n'est pas du genre musique un instrument de musique : une guitare un bijou : une montre une insulte : bellâtre une phobie : la claustrophobie une couleur : le rouge une créature magique : une licorne un sorcier célèbre : Mangouste Bonham, le fondateur de St Mangouste un objet moldu : une télévision un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : noix de coco un endroit : St Mangouste un mot doux : ce n'est plus son genre un conte : la fontaine de bonne fortune, de Beedle le Barde

généreux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● j'en foutiste ; colérique ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ discret ; orgueilleux ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● naïveté

hiver ou été : hiver quidditch ou lecture : quidditch patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille argent ou amitié : amitié st-mangouste ou ministère de la magie : st-mangouste cavalier ou fou : cavalier balais ou transplaner : balai elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chien


quelques gouttes de Veritaserum,
Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier : C'est malheureux à dire mais c'était extrêmement bien joué. Personne ne s'y attendait, les yeux rivés sur le nouveau gouvernement en place et à l'instant où les gens étaient les moins alertes, ils ont frappé. Je ne peux m'empêcher de trouver l'action vraiment maline et très joliment calculé, c'est plus fort que moi, c'est mon côté pratique et stratège qui ressort. Mais cet attentat, ça a surtout été une surcharge de travail énorme, de très nombreuses victimes, dans des états plus graves les uns que les autres, les médicomages se relayaient sans cesse pour tenter de sauver le plus de vies possible, une semaine entière sans réellement quitter St-Mangouste, jours et nuits à veiller sur les patients. Je ne peux donc également m'empêcher de maudire cette action qui a coûté la vie à de nombreux innocents. Mon esprit médicomage se révolte de cet attentat mais une infime partie de mon être, celle qui a été élevée par un père dirigeant qui prônait le sang pur et l'infériorité des nés-moldus ne sait pas quoi penser de ce nouveau groupe qui voit le jour.

Que pensez-vous des Mangemorts : Comme je l'ai déjà précisé, je les trouve extrêmement malins, ils ont su frapper là où ça faisait le plus mal, ils ont été rigoureux et inventifs, on ne peut le leur reprocher, il ne s'agit pas là d'un groupe qui frappe au hasard et constitué de bêllatres sans cervelle. Ils sont organisés et fiers de leur idée, des qualités enviables lorsque comme moi, ancien élève de serpentard, on a l'ambition de réussir, de faire partie de quelque chose, d'un groupe qui nous épaulerait. Pourtant et dans l'immédiat, cela ne m'intéresse pas, j'ai d'autres chats à fouetter et surtout, les patients de ces actions qui vont défiler à l'hôpital. Parce que s'il y a une chose qui est sûre, c'est qu'ils ne vont pas en rester là, c'est même une évidence. Ils vont recommencer et même si leurs actes sont déplorables, les idées qu'ils prônent sont séduisantes.

Quel est votre souvenir le plus douloureux : Sans aucun conteste, le 25 décembre, il y a deux années de cela, alors que ma femme et moi étions en route pour le plus banal des évènements: fêter noël dans sa famille. Ce qui devait être le plus heureux moment de l'année s'est transformé en cauchemar vivant en quelques secondes, simplement parce que Sélène a insisté pour prendre la voiture, ce que je jugeais dangereux mais pour elle, j'étais prêt à tout et malheureusement à n'importe quoi. Une seconde inattention, je l'ai distraite une seule seconde et l'accident arriva sans que je n'ai le temps de m'y préparer. Un camion, ces grosses boîtes de conserves aux proportions disproportionnées nous ait rentré dedans du côté de Sélène, elle est morte sur le coup, ce que j'ai mis un moment à accepter. Ce jour-là, j'ai perdu ma femme, la seule que j'avais réussi à aimer réellement, la seule qui avait pris mon coeur, celle que je voulais épouser, avec qui je voulais passer ma vie, c'est sans aucune hésitation, le moment le plus douloureux de ma vie.


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Dernière édition par Lowry M. Burrows le Sam 21 Juil - 13:45, édité 11 fois
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Lowry M. Burrows
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Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Empty
MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 14:52

à l'intérieur de ma pensine
Voilà, vous y êtes. Désormais, il va falloir nous conter votre histoire. Ah non ! Vous avez deux choix ! En effet, vous pouvez choisir l'histoire ou bien le rp guidé. Choisissez bien !

CHAPITRE UN ; être un enfant

« Tiens-toi droit où je me charge de te faire tenir ! » J’avais seulement cinq ans, peut-on vraiment demander autant à un enfant aussi jeune ? Je l’ignorais et en réalité, mon père restait ma dernière famille, il me fallait donc tout faire pour lui plaire. J’étais plutôt calme, jamais turbulent, sage et appliqué aux consignes que mon père me donnait. Ma mère est morte quand j’avais quatre ans en mettant ma petite soeur au monde, avouant sur son lit de mort que son père était un moldu et qu’elle avait menti sur ses origines par amour. Chose que mon père n’a jamais accepté. Grandissant sans l’équilibre parental, sans mère pour m’apporter l’amour dont je manquais cruellement avec mon père, j’ai toujours été programmé pour obéir, pour être sage, pour ne pas me faire remarquer. Un enfant modèle, pendu aux lèvres de mon père. Il me laissait pendant des heures tout seul dans ma chambre et je devais m’occuper comme je le pouvais. Il avait un travail prenant mais trouvait toujours le moyen de me punir lorsque je faisais quelque chose qui lui déplaisait. La plupart du temps, il m’enfermait dans la cave, dans le noir le plus total, ce qui fait qu’aujourd’hui, j’ai besoin de liberté, d’espace et surtout, de lumière. J’ai appris à maîtriser mes peurs parce que si je pleurais, j’y restais deux fois plus longtemps. Ma sœur quant à elle n'était jamais à la maison, mon père la confiait à une famille qui vivait près de chez nous, on essayait de se voir aussi souvent que possible mais notre père l'a toujours négligé, lui reprochant la mort de sa femme mais aussi, le fait d'être une fille quand il aurait aimé avoir un autre garçon. J’ai eu une enfance atypique, sévère, stricte et les valeurs que mon père m’a enseigné sont ancrées à l’intérieur de moi, comme gravées au fer rouge dans mon esprit. Je n’ai rien oublié de ses leçons malgré tous mes efforts.

CHAPITRE DEUX ; être un élève

« Serpentard » Aucune surprise, je le savais déjà. Tout juste âgé de onze ans, j’avais la volonté de réussir, par n’importe quel moyen, pour me prouver que je n’étais pas un lâche, ni un raté, comme mon père se plaisait à le répéter à l’époque. Heureux, je saute du tabouret et me dirige vers la table des serpentard, accueilli chaleureusement par les anciens et par les deux élèves qui ont été répartis avant moi. Je fais connaissance, immédiatement à l’aise dans ce nouvel environnement. Ces visages qui me semblent si sympathiques me sont aujourd’hui étrangers. Je m’émerveille devant la beauté du château, devant le confort des lieux. Je peux manger à ma faim sans qu’on me retire mon assiette parce que j’ai les coudes sur la table ou la main dessous, on ne me frappe pas derrière la tête parce que j’ai trop mis de nourriture dans ma bouche, mes camarades s’amusent de mes manières peu civilisées mais la journée a été longue et j’ai faim, je me fiche de ce que l’on pense de moi.

« Burrows, un petit effort, cela n’a rien de sorcier ! » Mon professeur s’esclaffe et je marmonne dans ma barbe, incapable de réussir ce fichu maléfice de défense. Je m’acharne mais rien ne vient, je suis nul en défense contre les forces du mal, c’est un fait indéniable mais par hibou mon père m’a assuré que cette matière ne menait à rien de toute façon et que j’aurais tout intérêt à me concentrer sur d’autres matières. Même à distance et par simple hibou, il trouve le moyen de m’ordonner les choses et de me faire peur. Je laisse la DFCM et m’applique dans les autres matières, je deviens un petit prodige de la métamorphose, faisant la fierté de mon professeur et l’exemple pour tous les autres élèves. Je suis fier et mon père aussi, pour moi, cela reste le principal.

« Lowry Burrows, nouvel attrapeur de l’équipe de quidditch de serpentard ! » J’avais mis trois ans pour entrer dans l’équipe, pas parce que je n’étais pas doué mais parce que je n’avais pas vraiment l’esprit d’équipe et m’y voilà enfin, en cinquième année, poursuiveur dans l’équipe de l’école chez les verts et argent. Mon père ne cessait de dire que ce serait une fierté pour lui de me voir y entrer et comme un bon fils, je m’étais acharné à le contenter. Il faut dire que j’avais du mal à prendre des décisions, il était envahissant, toujours sur mon dos pour être sûr que je ne salissais pas son nom, il avait un rôle important au ministère de la magie, il ne fallait pas le décevoir. Et je ne le faisais jamais. Élève exemplaire, toujours dans mon dortoir à l’heure, jamais en retard, consciencieux, certains de mes camarades s’amusaient à me faire remarquer que j’aurais aussi été à ma place chez les serdaigle mais définitivement, j’étais un serpentard, je le savais. J’avais un caractère trop complexe pour être un serdaigle, tantôt solitaire, tantôt sociable, je changeais d’humour au gré de mes envies, donnant du fil à retordre à mes camarades et ce n’est que sur un balai que je comprenais ma vraie valeur, j’étais à l’aise, plus léger qu’un papillon, je m’évadais, tout simplement.

CHAPITRE TROIS ; être un séducteur

« J’ai discuté avec le ministre du département de l’éducation, il a accepté ton dossier, tu pars pour un échange tout l’été avec une famille de sorcier qui accepte de t’accueillir, ils étudient à Salem, il s’agit de voir autre chose et d’apprendre de nouvelles façons de se perfectionner. La famille est très chaudement recommandée, elle est de sang pur, particulièrement riche, parfaite pour toi mon fils. » Mon père a tendance à oublier que si son sang est presque pur, le mien est loin de l’être mais il n’a jamais accepté la vérité que ma mère lui a confié sur son lit de mort, il fait le sourd et j’ignore pourquoi le sang a autant d’importance à ses yeux en réalité, comme s’il s’agissait d’un critère de sélection pour être ami avec telle ou telle personne. Ses idées, si elles sont ancrées en moi sont loin de me plaire et c’est avec joie que j’accueille ce voyage, même si je rechigne à laisser ma sœur avec mon père, elle m’encourage et me voilà parti pour les Etats-Unis. Mais la vie ne nous fait pas de cadeaux et le hasard fait souvent étrangement les choses. « Vous êtes les Buckett ? » L’homme me regarde et jette un œil à son parchemin, dubitatif. « Tu es bien Lowry Burrows ? » J’acquiesce et satisfait, il déclare « Donc c’est bien chez nous que tu vas, nous sommes les Wayne. » Si je suis étonné, je ne le montre pas, surtout pas quand je vois les deux jolies brunes qui accompagnent le père. Une qui semble avoir mon âge et une beauté plus âgée de quelques années. A seulement seize ans, je suis déjà bien pressé de faire leur connaissance mais que voulez-vous, l’adolescence bouleverse les hormones et ce n’est pas à Poudlard qu’on peut tranquillement se retrouver pour un rendez-vous galant. Se faire surprendre par le concierge dans le placard à balai avec Emily Petterson fut déjà une expérience suffisamment humiliante pour que je souhaite renouveler l’expérience. Mais ici, loin de mon père et de ses principes, je suis libre de faire ce que je souhaite et un sourire plus tard, je monte en voiture à côté de la petite Sélène, gardant un œil sur Mara.

« Tu es trop jeune » « Mais incroyablement séduisant… » « Beaucoup plus jeune… » « D’à peine trois ans… » « Je crois que ma sœur a le béguin pour toi… » « C’est toi qui m’intéresse… » « Tu pars dans deux semaines… » « Je reviens l’été prochain… » Avoir réponse à tout, c’est bien ce qu’il me fallait comme arme pour faire face à Mara Wayne, aussi têtue qu’une mule. Mais fort heureusement, j’avais des arguments qui jouaient en ma faveur et je ne fus pas long à pouvoir enfin avoir ce que je voulais, quelques semaines seulement avant mon retour en Angleterre. J’ai volontairement fait l’impasse sur l’erreur administrative de l’association de mon père et ainsi, j’ai pu apprendre à connaître les sœurs Wayne, toutes les deux belles et intelligentes. Mais ma préférence va à l’aînée, ce que je ne cache pas. Je la veux et elle aussi, elle tente juste de se convaincre que je suis trop jeune pour elle mais l’âge n’est qu’un nombre et je suis disposé à le lui montrer. Et évidemment, cela marche, mon charme opère déjà depuis que j’ai quatorze ans, j’ai les traits fins et une gueule d’ange, on ne peut pas me résister et Mara n’y résiste pas. Mais alors qu’après une aventure de tout juste une semaine, j’avance mon retour en Angleterre et disparait sans laisser la moindre trace, sans envoyer un seul hibou, sans donner de nouvelle. J’ai grand espoir qu’elle oublie mon existence et passe à autre chose.

« Voilà le retour du veracrasse ! » Dix-sept ans, je suis définitivement bien naïf de l’avoir cru, elle me tient une rancœur sans nom et l’été est un véritable enfer. Remarque sur remarque, nous nous envoyons des piques, nous nous testons, elle me déteste et je m’en fiche, j’étais jeune, j’ai fait une erreur, je tente de lui expliquer mais elle ne veut rien comprendre et si j’étais honnête, je pourrais dire que je la comprends.

« N’essayes même pas de t’approcher de ma sœur ! » « On s’apprécie, laisses nous tranquille, au moins, ELLE a mon âge ! » C’est un coup bas, je le sais et pourtant, je m’en fiche. Je vois Mara sur le point de répliquer mais Sélène nous interrompt. Je fixe sa sœur, la défiant de tout raconter à sa cadette. Je sais qu’elle le fera mais j’ai déjà réussi à me faire apprécier de Sélène et nous nous plaisons énormément, rien ne m’empêchera de l’avoir, pas même sa sœur aigrie. L’été suivant, alors que j’ai dix-huit ans et que j’entame mes études pour devenir médicomage, je décide de revenir chez les Wayne, sans trop savoir ce qui me tient ainsi attaché à cette famille. La situation similaire, une mère morte jeune, un père célibataire ô combien plus sympathique que le mien mais surtout, les sœurs, l’une que j’affectionne, l’autre que j’adore mettre en rogne, un bon équilibre, je me sens étrangement bien chez eux, plus que chez moi en tout cas.

CHAPITRE QUATRE ; être un homme

« Je vais me marier. » « Non » J’en reste sans voix et fronce immédiatement les sourcils. « Ce n’était pas une question père, je vous en informe, je vais me marier. » Il daigne enfin lever les yeux vers moi. Même à vingt-deux ans, je n’en mène pas large devant cet homme si imposant, si distingué. Mais je reste ferme. Toute ma vie, il a régit mes décisions sous prétexte qu’il payait l’école, qu’il me nourrissait, qu’il me logeait mais aujourd’hui, c’est terminé, je suis sur le point d’avoir mon diplôme, j’ai trouvé un travail et je refuse simplement de me laisser à nouveau dicter ma conduite. « Je n’ai pas trouvé le bon parti pour toi, tu vas devoir attendre et mettre de côté tes rêves adolescents de … » « Je n’ai pas dit que je demandais votre permission père, je me marie, l’été prochain, je voulais vous inviter, non quémander votre consentement. » Je frémis lorsqu’il se lève, mon corps ayant de vieux réflexes absurdes. Il se plante devant moi et je tiens bon, je fixe ses yeux, l’air déterminé, je sais qu’il lâchera le premier cette fois. « Et moi, je t’ai dit que tu ne te marieras pas, pas avec cette fille au sang impur, pas sans ma permission ! Tu m’entends ? Tant que tu vivras sous mon toit ! » « Bien, dans ce cas l’affaire est réglée, je déménage en juin. » « Maintenant. Si tu veux te marier, tu sors de chez moi immédiatement et surtout, surtout, ne reviens que le jour où tu auras recouvré toute ta raison. » Je fais demi-tour, sans même me retourner, le cœur lourd mais en même temps plus léger. Je sais que je peux compter sur mon oncle qui vit un peu à l’extérieur de Londres. Les paroles de mon père tournent en boucle mais j’ai réussi à lui tenir tête, il ne dirigera plus ma vie.

CHAPITRE CINQ ; être un mari

« Je vous déclare mari et femme, vous pouvez embrasser la mariée » Le sourire aux lèvres devant ma magnifique nouvelle femme qui resplendit dans sa robe blanche et sous son voile. Je le relève, je me penche, je capture ses lèvres, scellant ainsi toutes les promesses que nous venons de nous faire. J’ai 23 ans, je viens de terminer mon parcours professionnel à Poudlard en option médicomagie et je suis marié et probablement le plus heureux des hommes. J’ai été le pire salaud durant mon enfance, mon adolescence, je n’ai jamais trouvé chaussure à mon pied et j’ai enfin l’impression que celle qu’il me faut se trouve devant moi, plus radieuse que jamais. Je sais que sa famille ne m’approuve pas mais Merlin merci, ce n’est pas à eux de décider avec qui leur chère fille se marie. D’ailleurs, mon père non plus n’approuve pas et il n’est nul besoin pour moi de le chercher dans la salle où la cérémonie a lieu, il ne s’y trouve pas, je me souviens avec précision de ses derniers mots à mon égard mais l’amour pour moi est plus important que cet homme qui s’est prétendu être un père tout au long de ma vie. « Je t’aime » Me chuchote Sélène au creux de l’oreille, me sortant de mes pensées. Je souris et l’embrasse à nouveau, tout à fait incapable de lui renvoyer ses mots qu’elle prononce en de rares occasions. Je ne dis pas que j’aime une personne, je ne l’ai jamais fait, je ne sais pas le faire parce que pour moi, il est difficile d’aimer. Je préfère le montrer, par des gestes, des petites attentions, nul besoin de le dire pour convaincre quelqu’un de l’amour qu’on lui porte et Sélène l’a toujours compris. On était fusionnels, on se comprenait, nous n’avions pas besoin de parler pour prendre la même décision, pour dire la même chose. Le bonheur à l’état pur. Je souris, heureux d’être dans ses bras et nous nous dirigeons vers le lieu de la réception. « Mes félicitations. » Mara nous regarde, prend sa sœur dans ses bras et m’adresse un regard des plus noirs. Je lui adresse un petit sourire, conscient que la jeune femme ne me porte absolument pas dans son cœur, d’ailleurs, elle ne s’adresse qu’à sa sœur bien aimée et son « félicitations » sonne plutôt comme un « attention à toi ». Je les regarde s’éloigner et reçoit ma petite sœur qui vient de se jeter dans mes bras. « Toi marié ? Je n’y aurais pas cru ! » Le sourire aux lèvres, je me retiens de la décoiffer, comme j’en avais l’habitude lorsque nous étions plus jeune, elle a fait un effort de toilette, je n’allais pas tout ruiner avec mes bêtises. Je la remercie et continue le tour des invités. Nous ne sommes pas nombreux et en grande majorité, il s’agit de la famille de Sélène, la mienne ne réunissant que ma sœur et quelques cousins lointains qui ont fait le déplacement d’Irlande. Je jette des coups d’œil à ma femme de temps à autre pour s’assurer qu’elle est toujours là et pas encore kidnappée par sa sœur hyper protectrice. Je repense à cet appartement que nous venons d’acheter, à la place d’apprenti que je viens d’obtenir et à sa place d’avocate qu’elle vient de trouver dans le monde moldu. Elle a toujours été fascinée par ce monde et a décidé d’y faire carrière, la raison pour laquelle nous vivons au centre de Londres, à la limite entre le monde sorcier et le monde moldu. Son mode de vie ne me gêne pas, je m’y habitue petit à petit. L’important est que nous soyons ensemble.

CHAPITRE SIX ; être un médicomage

« Burrows, chambre 28, troisième étage. » « Tu nettoieras les toilettes tu deuxième étage Burrows quand tu auras terminé avec l’infection de monsieur Marthy » « Il faut faire des prélèvements à la chambre 7, ou alors c’est la 6, oh et puis fais en aux deux, ça ne peut pas leur faire de mal ! » « Tu prends la garde de nuit, mon gosse est malade, il faut que je sois près de lui. » Être un médicomage tout juste âgé de 23 ans dans un monde des brutes qui se croient investis d’une mission n’est pas aussi drôle que je l’avais espéré. Apprenti médicomage était en réalité la définition parfaite d « esclave » dans le jargon de l’hôpital. Personne ne vous accorde le moindre crédit, vous faîtes des heures à n’en plus voir vos journées se terminer et quand vous rentrer à la maison pour retrouver votre femme, vous êtes bien trop épuisé pour profiter pleinement d’elle. Mon métier, mes horaires impossibles furent la cause de nos toutes premières disputes. Je rentrais trop tard, je ne la prévenais pas assez tôt, je la négligeais comme de nombreux maris qui font passer leur carrière avant tout. Je tente de lui expliquer que St-Mangouste est le seul hôpital à Londres, si je perds ma place, il faudra déménager mais elle n’y entend rien. Elle va souvent dormir chez sa sœur quand je suis de garde et cela n’améliore pas vraiment l’image qu’elle a déjà de moi, j’en suis certain. Mais je sais que je peux y arriver, être un médicomage à part entière, un véritable guérisseur et avec le temps, pouvoir enfin faire de meilleures heures et retrouver ma femme plus souvent. Au cours d’un long labeur, j’y parviens en deux ans, alors que j’entame ma vingt-cinquième année. Un pur hasard, un étrange concours de circonstance. On nous amène une femme sur le point de mourir et quand tout le monde perd espoir, je m’acharne à la soigner. « Burrows, descends de là, tu t’acharnes sur un cadavre, elle est morte ! » « Pas tant que son cœur bat ! » « Il ne bat plus Burrows, descends de là ! » Mais alors je lui demande de vérifier une dernière fois, une toute dernière fois après mes efforts pour la maintenir en vie et en effet, son cœur bat à nouveau. Le médicomage me considère avec sévérité, comme si j’avais fait une bêtise mais je campe sur mes positions, je le regarde droit dans les yeux, je ne me laisserai plus marcher sur les pieds. Il esquisse un sourire et me tape dans le l’épaule, me faisant grimacer. « Bienvenue dans l’équipe Burrows. » Je l’ai fait, je suis un médicomage.

CHAPITRE SEPT ; tout perdre

« Tu avais promis après ta promotion que tu ferais tout pour te racheter ! » « Sélène, tout mais pas ça, on va mettre des heures pour arriver chez ton père, il y a des moyens tellement plus rapides. » « Lowry, j’adore conduire, je veux conduire, on est en avance et on a tout notre temps, s’il te plaît, ça vaut pour toutes les fois où je t’ai attendu dans notre lit froid de ton absence… » Je grogne de manière fort peu distinguée mais elle a gagné et je le sais, elle aussi d’ailleurs puisque son sourire s’étend jusqu’à ses oreilles. Elle m’embrasse, prend les clés de sa voiture et me traîne jusqu’à l’objet métallique. Je déteste cet engin et pourtant, je vais lui faire confiance, une fois de plus. Je grimpe côté passager, elle attache ma ceinture et je grommelle contre l’inconfort du lieu. Un coup d’œil à ma femme qui resplendit à mes côtés pour me convaincre de me taire, elle est heureuse, c’est tout ce qui m’intéresse. Je suis devenu bien docile avec les années, bien plus malléable, même si je possède un certain caractère. Elle obtient de moi tout ce qu’elle veut avec ses beaux yeux. Alors qu’on est sur la route depuis une heure en ce vingt-cinq décembre, en direction de la maison de ses parents pour un repas familial, je me penche vers elle et lui embrasse cette partie si sensible sous son oreille. Elle penche le cou, pour se dérober ou me donner un meilleur accès, je ne saurais le dire mais elle ne proteste pas. Je continue donc, murmurant. « Redis moi que tu t’ennuyais de moi dans notre lit froid… » Elle rigole et me chasse d’un geste de la main, tournant la tête pour essayer d’avoir l’air sévère. « Arrêtes de me déconcentrer… » Mais là, le pire arrive, je vois les phares de l’autre engin métallique mais le cri reste coincé dans ma gorge, je ne peux pas la prévenir, c’est bien trop tard. Il nous percute de plein fouet et j’ignore combien de temps la voiture a mis pour s’immobiliser ni combien de mètres elle a parcouru mais soudainement, nous sommes la tête à l’envers et je n’entends pas Sélène. « Chérie ? Tu m’entends ? » Elle ne répond pas, je m’acharne sur ma ceinture sans succès avant de tourner la tête laborieusement vers ma femme, inconsciente. Mon bras droit est bloqué mais je tends le gauche pour prendre son pouls et reprend espoir en sentant son cœur battre sous mes doigts. « Sélène, réponds-moi, tu vas bien ? » Toujours ce même silence angoissant, je tente d’atteindre ma baguette mais n’y parvient pas. Je suis un sorcier coincé dans une boîte en métal, écrasé, la tête en bas, blessé et je ne peux rien y faire. La frustration me donne envie de hurler. J’entends le sang qui goutte, sans pouvoir dire s’il s’agit du sien ou du mien. Le silence dans l’habitacle est carrément morbide. Seule ma respiration irrégulière rempli l’atmosphère. La tête commence à me tourner, je sais que je perds du sang mais j’ignore d’où, je ne sens pas mon corps, j’ai les doigts engourdis. J’attrape la main de Sélène et la porte à mes lèvres, sans vouloir me rendre compte qu’elle est étrangement froide. Dans un murmure, je prononce des mots que je ne lui ai jamais dit, des mots qu’elle n’a jamais entendu. « Je t’aime, ne me laisse pas… »

Ce qui me semble être quelques secondes à peine plus tard, je me réveille sans me souvenir que j’ai perdu connaissance après l’accident. Je suis dans un lit d’hôpital, moldu au premier abord puisque la chambre ne ressemble pas aux chambres de St-Mangouste. Les appareils qui bipent dans tous les sens non plus. Je me redresse et me lève immédiatement, sans prendre en compte mon bras en écharpe et la douleur qui me vrille le dos. J’ouvre la porte et tombe nez à nez avec qui semble être un médecin. « Où est ma femme ? » « Monsieur Burrows, il faut que vous restiez allongé ! » « Je veux voir ma femme, elle était blessée, j’ai besoin de la voir monsieur, il faut que je la voie. » « Monsieur, je vous conseille de vous allonger. » « Je ne veux pas m’allonger, je veux ma femme ! » J’élève la voix, forçant l’homme à me demander de me calmer mais j’en suis incapable, il lève les mains en signe d’apaisement mais je cherche dans le couloir comme si Sélène allait apparaître. « Monsieur Burrows, je suis vraiment désolé, votre femme n’a pas survécu à ses blessures, elle était déjà décédée lorsque nous sommes arrivés sur les lieux, le légiste dit qu’elle est morte sur le coup, nous n’avons rien pu faire… » Ces derniers mots attirent mon attention, je cligne des yeux, incertain. « Non, vous faîtes erreur, son cœur battait, je l’ai senti, je vous jure, elle est vivante, où est-elle ? Je veux la voir ! » « Monsieur, je suis vraiment désolé… » « OU-EST-ELLE ?? » Je me débats, contre les agents de la sécurité, je ne me suis même pas rendu compte que je m’étais mis à courir pour la retrouver, la douleur qui me parcours est insupportable mais la douleur mentale est au-dessus de tout. Je crois que je hurle son prénom dans tout l’hôpital, à m’en arracher les cordes vocales, je ne laisse tomber qu’une fois à bout de souffle ou à cause de ce tranquillisant qu’on vient de m’administrer. A mon réveil, on me répète que ma femme est morte et qu’il serait judicieux que j’aille voir un psychologue. Deux heures plus tard, je quittais les lieux sans un regard en arrière et rentrais chez moi, aussi vide qu’une coquille.

CHAPITRE HUIT ; réapprendre à vivre

« Je peux la soigner ! » « Dis pas n’importe quoi Burrows, cette femme est condamnée et tu donnes de faux espoirs à sa fille, qu’est ce qui te prends ? » Je ne regarde pas mon collègue, je fixe cette jeune femme, je la regarde dans les yeux, je lui demande de ne pas abandonner et répètes, comme si je n’avais pas été entendu. « Je peux la soigner. » Je l’affirme avec un aplomb qui fait grommeler mon collègue mais je m’en fiche, ce que je veux, c’est qu’elle me croit. Elle semble réfléchir, fouille mon regard pour trouver le mensonge dans mes yeux mais elle ne doit y lire que détermination parce qu’elle finit par hocher la tête, me permettant ainsi de reprendre le dossier et de ne pas classer sa mère dans le cas des « condamnés. » Un an et demi après le drame qui a ruiné ma vie, je n’ai plus que mon travail pour ne pas couler, pour ne pas me laisser dépérir. J’ai réussi à sortir la tête de l’eau, j’ai déménagé dans un quartier sorcier, j’ai oublié le monde moldu, je l’ai renié, je le déteste depuis la mort de Sélène. J’ai énormément changé, de déterminé, je suis passé à obsédé par la réussite, de renfermé, je suis devenu froid et distant avec toute personne, gente féminine en tête. Je n’ai pas connu de femme depuis la mort de mon épouse, même si personne ne s’en doute, j’ai juste besoin de me redresser, aucune d’elle ne semble trouver grâce à mes yeux. Aucune d’elle ne peut remplacer Sélène. Pourtant, quand mon regard croise celui de cette jeune brune, je veux immédiatement l’aider et qu’elle accepte me soulage. Sauver des vies, enchaîner les gardes à l’hôpital, tout faire pour ne pas rester à me morfondre, je me noie dans le travail et sans le savoir, elle me donne l’opportunité de le faire plus encore en me penchant sur un cas difficile.

« Tu m’as menti, tu ne peux pas la soigner, ça fait un mois et il n’y a aucun changement ! » Elle s’acharne à me traiter de menteur et je tente de la calmer, de la rassurer. Je me suis engagé à soigner sa mère, je le ferais. Depuis un mois, nous nous fréquentons, nous nous voyons tous les jours lorsqu’elle rend visite à sa mère, nous discutons, de tout, de rien sans jamais entrer dans les détails. Depuis la première fois en plus d’un an, j’accepte la présence d’une femme et je l’apprécie. J’attrape ses mains avant qu’elle ne décide de faire une bêtise et la force à me regarder. « Je t’ai promis de la soigner Esfyr, je le ferais ! » Je suis déterminé, il faut qu’elle me croie encore un peu, j’ai besoin d’un tout petit peu de temps. Elle acquiesce à nouveau et je soupir de soulagement. Je peux y arriver, elle m’en donne la force et la volonté parce qu’elle ne veut pas laisser tomber, pas plus que moi. Grâce à cette mission, je reprends goût à la vie, aux patients, à mon métier, à ma vocation. Si je suis devenu une énigme au niveau de mon caractère, alternant différents points de vus, différents traits. Tantôt joyeux et sincère, tantôt mystérieux et distant, je ne sais plus comment m’adapter à ma nouvelle vie et cela bouleverse mon quotidien.

« C’est définitif, elle est guérie, Esfyr, tout est fini ! » Le temps se fige, je suis venu lui annoncer la nouvelle en personne chez elle, pourquoi j’ai fait un truc pareil ? Sa mère est guérie, elle sort demain et là tout de suite, j’avais besoin de la voir. On se regarde et ensemble, nous nous jetons l’un sur l’autre, sans rien avoir prémédité. Pour la première fois en deux ans, je passe la nuit avec une femme, ne me souciant guère de son jeune âge, je sais que je ne le reverrais plus à présent, je me laisse donc aller dans ses bras parce que l’oubli fait du bien et parce que je l’apprécie plus que je ne saurais l’admettre.


CHAPITRE NEUF ; être professeur

Voilà quatre mois que j'ai pris cette décision, celle de changer un peu d'orientation. Je n'ai pas quitté St-Mangouste, je reste à leur disposition pour quelques gardes par semaine mais lorsque j'ai vu qu'ils cherchaient un professeur de médicomagie à Poudlard, j'ai sauté sur l'occasion. Voir autre chose tout en continuant à soigner des patients, je remplace parfois l'infirmière lorsqu'elle est débordée, je reste médicomage à part entière, seulement, je suis maintenant professeur et j'enseigne ce que j'ai appris il y a quelques années. Je ne me doutais pas un instant qu'au sein de Poudlard, j'allais retrouver deux personnes de mon passé, un passé pas si lointain que cela.




méfaits accomplis,

ton pseudo : J.
ton prénom : Mystère pervers
ton âge : 21 ans et neuf mois niiiiiia
ton avis sur le forum : J'adore, le design, l'histoire, il est bien structuré, tout bien expliqué chou J'adore niiiiiia
comment as-tu transplané ici ? Grâce à Esfyr pervers
ta disponibilité : Tous les jours, sauf exception (bah oui, j'ai une vie de temps en temps pokemon )
ton avatar : le sexy, le magnifique Andrew Cooper
ton personnage : Sorti tout droit de mon imagination pervers
le mot de passe : Les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : Aimez-moi **

tumblr




Dernière édition par Lowry M. Burrows le Sam 21 Juil - 13:51, édité 16 fois
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Esfyr L. Merryl
Esfyr L. Merryl

Gryffondor.


PRENOM/PSEUDO : L.
CREDITS : © teenage fantasy (avatar) + tumblr (sign)
PARCHEMINS : 42
ÂGE : 32
PROFESSION : élève
LOCALISATION : In hogward or st mangouste
ICI DEPUIS : 20/07/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 14:55

Chasse gardée siffle v
Welcome I love you

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D. Marloes van Persie
D. Marloes van Persie

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : LAETITIA AKA .DAUNTLESS
CREDITS : TIPHE.
PARCHEMINS : 328
ICI DEPUIS : 26/06/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 14:57

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche potté eyes
Andrew est un excellent choix d'avatar bave
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Severus Snape
Severus Snape

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : SAM (REDTIEBLUEJEANS)
CREDITS : AVATAR BY RIDDLE. CODE SIGNATURE PAR SPARROW-STYLE ET MODIFS PAR REDTIEBLUEJEANS. LYRICS BY JESSIE J REPRISE PAR MEGAN HILTHY DE WHO YOU ARE. ICONE BY BRAZEN-WATER ON LIVEJOURNAL. BANNIERE BY AGRONIC ON TUMBLR.
PARCHEMINS : 994
ICI DEPUIS : 22/05/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 14:57

I love you
Bienvenue v
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Rita Skeeter
Rita Skeeter

Poufsouffle


CREDITS : .lollipops
PARCHEMINS : 301
ICI DEPUIS : 26/05/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 15:07

ça fait tellement longtemps que j'ai pas vu Andrew sur un RPG dead
Bienvenue Lowry I love you
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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : Amandine
CREDITS : Tiphe
PARCHEMINS : 337
LOCALISATION : Près de toi
ICI DEPUIS : 29/05/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 15:11

Bienvenue, Andrew est un super choix :)
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Invité




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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 16:13

Bienvenue, bon courage pour ta fiche et amuses toi bien parmi nous heart 2
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Naëlle Ocarina
Naëlle Ocarina

Poufsouffle


PRENOM/PSEUDO : laurine/middle ages
CREDITS : cf avatar
PARCHEMINS : 78
PROFESSION : élève
LOCALISATION : dtc
ICI DEPUIS : 25/05/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 16:16

bienvenuuue. potté eyes
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Lorcan N. Scamander
Lorcan N. Scamander

Poufsouffle


CREDITS : Mzlle Alice
PARCHEMINS : 97
LOCALISATION : Dans le parc à la recherche de nouvelles créatures magiques ...
ICI DEPUIS : 09/07/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 16:19

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche chou
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Emma Fawkes
Emma Fawkes

Poufsouffle


PRENOM/PSEUDO : JEKYLL&HYDE, alias Ophélie.
CREDITS : sugar slaughter & lynsyfonsecadaily.tumblr.
PARCHEMINS : 762
ÂGE : 31
PROFESSION : élève.
LOCALISATION : gwendalavir, narnia, westeros ou terre du milieu, au fil de mes lectures.
ICI DEPUIS : 18/05/2012

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MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 16:23

Grrr, c'est que tu es sexy toi. bave
Sois le bienvenue parmi nous ! heart 2 heart 2
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Lowry M. Burrows
Lowry M. Burrows

Personnel de l'école


PRENOM/PSEUDO : M.
CREDITS : fade it (avatar), foolish-muse | tumblr (signature)
PARCHEMINS : 39
ÂGE : 33
PROFESSION : professeur en médicomagie, médicomage le reste du temps
ICI DEPUIS : 20/07/2012

Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Empty
MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptyVen 20 Juil - 20:07

Esfyr L. Merryl a écrit:
Chasse gardée siffle v
Welcome I love you


Merci coquin 1 sweet niiiiiia Et fais pas fuir tout le monde dès le départ muhaha

Merci à vous tous pour votre accueil chou niiiiiia Vous avez des choix d'avatars de fou I love you Surtout Emma, parce que Lyndsy quoi bave heart 2
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Phoenix Reagan
Phoenix Reagan

Serdaigle


PRENOM/PSEUDO : SAM (REDTIEBLUEJEANS)
CREDITS : REDTIEBLUEJEANS
PARCHEMINS : 29
ICI DEPUIS : 25/05/2012

Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Empty
MessageSujet: Re: Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.   Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. EmptySam 21 Juil - 22:18


Lowry ■ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Hat-icon
sorcier diplômé !

le Choixpeau t'as recensé,
Félicitations Lowry M. Burrows ! Tu es désormais validé et tu es surtout un sorcier adulte ! Hé oui ! tu ne possèdes pas les contraintes de l'école, alors c'est partit ! Transplanes où tu veux, partout dans Londres, ailleurs même !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. J'ai droit de dire que j'ai pleuré pour la femme de Lowry? C'est dit :smile. J'ai vraiment adoré ta fiche. Ton style est hyper fluide et j'ai hâte de voir ce que ça va donner I love you (j'viendrais te demande un lien hihi)
edit : étant donné que je ne sais absolument pas où te mettre de Londres ou des profs, je t'ai mis dans les profs, puisque désormais Low' est professeur en plus de sa capacité de médicomage.


Lowry, tu es, en plus de devenir un sorcier officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu étais à l'école non ? dans une maison ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous heart 2



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