moi, le magicien,

prénoms : Remus, John. Le premier prénom est plutôt original je vous l'accorde ; il s'agit de celui de mon grand-père maternel, décédé plusieurs mois avant ma naissance. Ma mère a absolument voulu me nommer ainsi, en souvenir de l'homme qu'il était. Quant au second, John, je ne sais pas vraiment d'où il vient. Un nom passe-partout.nom : Lupin, celui de mon paternel. J'ai toujours trouvé ce nom quelque peu ironique. Pourquoi? Si vous avez quelques bases de latin, vous comprendrez. En latin, "Lupus" signifie loup. Et j'en suis un, en quelque sorte. nature du sang : Sang mêlé. Ma mère est une moldue qui n'avait jamais eu aucun lien avec le monde magique jusqu'à sa rencontre à mon père. Quant à ce dernier, lui-même a des ancêtres moldus. Je suis fier de ma famille ; sang pur, né-moldu, ... Cela ne veut pas dire grand chose pour moi. Je me fiche de la nature du sang d'autrui. âge : 19 ans. Dans quelques mois, je changerai de dizaine et j'aurais vingt ans. Le temps passe à une vitesse étonnante : j'ai l'impression qu'hier encore, je faisais mes premiers pas à Poudlard. date et lieu de naissance : Je suis né en avril, le dix pour être plus précis. C'était à Fulham, la ville où je vis aujourd'hui encore. nationalité : Je suis né en Angleterre de deux parents anglais. Je suis donc moi-même anglais. année d'étude : Je suis actuellement en neuvième année, je ne suis donc pas prêt de quitter Poudlard ce qui est un point positif puisque j'aime cette école et ce que j'y fais. Mon avenir est incertain, il est donc rassurant de se sentir à sa place ici. niveau scolaire : très bon, paraît-il. Certains disent que j'aurais eu ma place à Serdaigle. Je ne sais pas trop. Je me contente de faire ce que les professeurs me demandent, c'est tout. parcours scolaire : J'ai choisi l'enseignement magique et la culture, pas uniquement parce que cela me passionnait - je passe du temps à aider mes camarades à faire leurs devoirs - mais également parce que c'est sans doute le parcours qui pourrait m'offrir le plus grand choix d'emploi plus tard. votre baguette : 23.8 cm de bois taillé dans un bouleau, qui contient une plume d'hyppogriffe. Rigide et incurvée, elle est idéale pour la défense contre les forces du mal. Si j'ai bien retenu ce que m'a annoncé Ollivander lorsque je l'ai achetée.matières favorites : Étude des civilisations étrangères et sortilèges. Ce sont vraiment des cours géniaux, donnés par d'excellents professeurs. J'ai toujours été fasciné par l'étranger et par la façon dont ces gens vivent étant donné que je n'ai jamais quitté le pays. Et puis les sortilèges... Y a-t-il vraiment besoin d'explication? Rien de tel que de lancer un sort de temps à autre. D'autant plus que ceux que l'on apprend sont réellement utiles. matière détestée : La botanique. Je suis ce cours depuis neuf ans déjà et j'en cherche toujours l'utilité. Et puis, je n'ai jamais eu la main verte ; Madame Wayne ne se gêne pas pour me le rappeler. votre patronus : Un loup. Je n'ai pas été étonné la première fois que j'ai réussi à produire un patronus. Après tout, quel autre animal aurait pu apparaître pour quelqu'un comme quoi ? face à l'épouvantard : Une simple et bête pleine lune. Forcément. La lune est mon bourreau, une prison dont le seul échappatoire serait la mort. particularité magique : J'ai été transformé en loup-garou lorsque j'avais huit ans. Une bête histoire. Croyez-moi, ce n'est pas facile tous les jours.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : le polynectar. Un sortilège : aguamenti. une chanson : coldplay - fix you.un instrument de musique : un piano. un bijou : une bague toute simple. une insulte : "nom d'un scrout en pétard ! " une phobie : la hauteur. une couleur : un bleu très pâle. une créature magique : un elfe de maison. un sorcier célèbre : merlin. un objet moldu : un téléphone. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : chocolat. un endroit : une bibliothèque. un mot doux : joker; c'est pas son genre. un conte : le petit chaperon rouge.

généreux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver. quidditch ou lecture : lecture. patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette au réglisse argent ou amitié : amitié. st-mangouste ou ministère de la magie : les deux. cavalier ou fou : fou. balais ou transplaner : transplaner. elfe de maison ou liberté : liberté. astronomie ou arithmancie : arithmancie. chat ou chien : chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : « Un homme qui déclare aussi ouvertement son aversion pour les moldus et les nés-moldus peut-il vraiment être un bon ministre ? J'en doute. Je n'ai nullement confiance en cet homme et je m'attend au pire venant de lui. Avec des idées extrémistes que les siennes, les nés-moldus seront les premiers à souffrir. Et lorsqu'il en aura fini avec eux ? Les sangs mêlés dans son genre sont-ils également ses cibles? Seul l'avenir nous le dira, mais je reste méfiant quand à lui. Sirius m'a suffisamment parlé de lui pour que je sache de quoi il est capable ; quoi qu'il en soit, j'espère vraiment me tromper sur le compte de notre nouveau ministre. »

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : « Il est rare que je déteste quelqu'un et pourtant, je n'arrive pas à aimer cette femme. Je ne pense pas faire partie des élèves les plus turbulents du châteaux, mais je suis un Maraudeur et je pense qu'elle nous a dans sa ligne de mire - Sirius et James ont déjà eu affaire à elle. Une vraie harpie. Et puis, quel est l'intérêt de ses décrets ? De quoi a-t-elle peur en instaurant des règles aussi strictes? Par Merlin, nous sommes dans une école, pas dans une prison ! Et j'ai comme l'impression que Dolohov cache bien son jeu, qu'elle est pire que ce qu'elle laisse déjà transparaître. J'espère que sa présence parmi nous n'est que passagère ; et si la situation ne s'améliore pas, alors peut-être que nous devrons agir. »

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : « Ce n'est qu'un élève qui souhaite attire l'attention sur lui, rien de plus et il faut avouer qu'il s'y prend plutôt bien : la moitié des élèves de Poudlard parle de lui. Je ne l'ai jamais rencontré, mais je dois avouer qu'il m'intrigue et que j'aimerais bien découvrir son identité. Sans raison particulière, juste par curiosité. »

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : « Je suis sceptique quand à ces mystères - certains semblent trop gros pour être vrais. Mais j'ai résolu au moins l'un d'entre eux -enfin, résolu est un bien grand mot. La malédiction de la cabane hurlante n'est plus un secret pour moi, ni pour mes amis d'ailleurs. Nous savons parfaitement ce qui se trame là-bas, une fois par mois. Quant aux autres, bien que je n'y crois qu'à moitié... J'avoue que cela m'intrigue. Peut-être essayerais-je de trouver une explication logique à ces mystères un jour ou l'autre. »

à l'intérieur de ma pensine

Sa curiosité était un vilain défaut. Sa mère le lui répétait depuis des années ; pourquoi ne l'écoutait-il donc jamais ? Il aurait du rester dans la salle commune de Gryffondor avec ses amis ce soir-là, c'était ce qu'il avait prévu de faire avant de finalement changer d'avis. Il n'aurait pas du ouvrir le coffre qu'il avait trouvé dans cette pièce, même si c'était terriblement tentant. Mais une fois de plus, sa curiosité l'avait emportée.
Un frisson s'empara du jeune homme. Il était incapable de bouger, comme paralysé. En face de lui, il y avait la pleine lune. Ou plutôt un épouvantard. Mais l’existence de cette créature lui était momentanément sortie de l'esprit ; Remus fixait la lune avec une telle intensité qu'il en oubliait presque de respirer. Il tremblait de tout son corps. Cela lui rappelait des souvenirs atroces, des événements passé qu'il aurait préféré ne jamais vivre. Riddikulus, pensa-t-il. C'est le sort qu'il devait lancer sur la créature afin qu'elle disparaisse. Il le savait, il n'était pas idiot. On parlait de Remus Lupin après tout. Mais sa main refusait d'aller chercher sa baguette dans la poche de sa robe. Il était coincé face à son pire cauchemar. Appeler à l'aide ? Il n'était pas fou non plus; se faire remarquer ameuterait les professeurs et un épouvantard valait sûrement mieux que la harpie. Et puis, il serait sûrement incapable de crier. C'était comme si son âme l'avait quitté, comme s'il n'était plus qu'une enveloppe vide. Comme s'il était mort. Lupin ne pensait plus à rien. Excepté à la pleine lune et aux mauvais souvenirs qu'elle lui rappelait.

Il n'avait pas oublié ce jour-là et pourtant, onze ans étaient déjà passés. Mais Remus savait qu'il ne pourrait jamais effacer cette journée de sa mémoire. Il avait à peine huit ans. Ses parents lui avaient proposé d'aller à la campagne pour le week-end et le petit garçon qu'il était avait accepté. Mais à cette époque-là, il était bien moins docile. Une fois la nuit tombé, il avait quitté le chalet dans lequel ils logeaient pour aller s'allonger dans l'herbe et observer les étoiles - il adorait cette activité autrefois, aujourd'hui c'est loin d'être le cas puisque le ciel nocturne lui rappelle sa condition. Remus n'oublierait jamais la lune qu'il y avait dans le ciel ce soir-là. Elle était pleine. Immense. Jamais il ne l'avait vue si brillante. Et tout à coup, il vit une ombre du coin de l’œil. L'instant d'après, un immense loup était sur lui, les crocs plantés dans son cou. Le garçon cria, appela à l'aide, sa voix s'affaiblissant peu à peu. Il se souvient encore de la douleur qu'il avait ressenti lorsqu'il s'était fait mordre, de cette douleur que le temps n'avait pas réussi à estomper. Comme un poignard dans le coeur. Et sur le moment, Remus était persuadé qu'il allait mourir. Et peut-être aurait-ce été préférable.

Mais il n'était pas mort. SInon, jamais il n'aurait découvert cet épouvantard - par Merlin, qui pouvait bien garder une créature pareille là où n'importe qui pouvait tomber dessus ? Sûrement la mère Dolohov. Remus ferma les yeux. Il essaya d'oublier la pleine lune, de penser à autre chose que ce jour où son existence avait été brisée. Mais il n'y arrivait pas. Il ne pouvait pas penser à autre chose. Il se souvenait de son réveil, à l'hôpital St-Mangouste de Londres. Les murs étaient blancs et le garçon avait tout d'abord cru être arrivé au paradis. Mais ce n'était pas le cas. Sa mère était assise sur un fauteuil dans un coin de la pièce. Assoupie. Remus remua avec peine dans son lit. Il avait mal. Que lui était-il donc arrivé ? Avait-il rêvé ? Oui, sans doute. Ca avait du être un mauvais rêve. Si ça c'était vraiment passé, il serait mort à l'heure qu'il est. On ne survit pas à une morsure aussi profonde. Il vit sa mère ouvrir les yeux. Zut, il avait du la réveiller. « Remus ! » Elle avait remarqué qu'il ne dormait plus non plus. « Tu vas bien ? » Il sourit à sa mère et répondit par l'affirmative. Mais la vérité, c'est qu'il n'allait pas bien. Il se sentait fatigué, exténué. Et il avait mal partout. Sa mère soupira de soulagement et lui expliqua ce qu'il s'était passé. Remus s'était fait mordre par un loup-garou nommé Fenrir Greyback. Un loup-garou. Remus avait lu suffisamment de livres pour savoir ce que cela signifie... « Donc... J'en suis un maintenant, moi aussi ? » Sa mère ne répondit pas, mais le triste sourire qu'elle afficha suffit au garçon pour comprendre qu'il avait touché juste. Un loup-garou. Un marginal qui n'aura jamais sa place dans la société. Son père avait quitté la maison, se sentant responsable de ce qui lui arrivait, le regard de sa mère semblait toujours désolé. Tout avait changé. Il était différent, il le savait. Mais il sentait également que ceux qui l'entouraient avaient changer ; tous avaient pitié de lui et Remus détestait cette impression.

Alors qu'il observait la pleine lune avec un air terrifié, les cicatrices qu'il portait sur son corps commençaient à le brûler. Ces fichues cicatrices, celles qu'il s'infligeait à chaque pleine lune, contre son gré. Celles que le loup qui était en lui lui faisait. La raison pour laquelle même en plein été, il se promenait avec un t-shirt à manches longues. Il avait honte de son corps, honte de ce qu'il était. Et plus que tout, il avait peur du rejet. Mais certains l'avaient accepté tel qu'il était. Tout d'abord Amélia, à peine quelques jours après sa transformation, qui continua à le fréquenter malgré le fait que ses parents le lui ait interdit. Puis Dumbledore, en l'intégrant à Poudlard en ayant parfaitement connaissance de sa condition. Et finalement, il y avait Sirius, James et Peter qui avaient été jusqu'à devenir des animagi. Pour lui.
La première chose qu'il s'était dit en apprenant la vérité était que cela lui mettrait un frein plus tard, notamment lorsqu'il souhaiterait trouver un emploi. Et il n'avait sûrement pas tort. Aujourd'hui, être un loup-garou faisait partie de son identité, même s'il redoutait plus que tout sa mutation ; il avait parfois même la boule au ventre à l'idée de rencontrer quelqu'un une fois transformé et de la tuer, ou pire, de lui faire subir ce que lui-même a subit lorsqu'il avait huit ans. Au fond sa plus grande peur, c'était cela.

Remus rouvrit ses yeux. Il s'était plus ou moins calmé. Il tremblait encore légèrement, mais il avait à nouveau l'usage de ses bras. Il plongea sa main gauche dans se poche pour attraper sa baguette et la leva d'un air hésitant vers l'épouvantard. « Riddikulus ! » La pleine lune n'était plus là ; à la place il y avait un souaffle qui se dégonflait peu à peu. Remus poussa un soupir et se laissa tomber sur le sol. Il était exténuer. Cette soirée l'avait autant fatiguée que la pleine lune ; il n'avait plus pensé à sa morsure depuis longtemps, mais la douleur était toujours bien présente. Remus passa ses doigts sur le creux de son cou, là où il avait été mordu. Il n'avait plus de traces ; elles avaient disparues avec le temps.
Le jeune homme jeta un coup d'oeil à sa montre. Il n'était pas encore minuit. Cela faisait à peine une vingtaine de minutes qu'il avait quitté le dortoir et pourtant, il avait l'impression que cela avait duré une éternité. Il se releva, s'approcha de la porte et écouta attentivement. Plus un bruit. Les professeurs devaient être partis - il aurait du penser à emporter la Carte du Maraudeur. Remus ouvrit discrètement la porte et, voyant que la voie était libre, il remonta vers la salle commune.

méfaits accomplis,

ton pseudo : .DAUNTLESS
ton prénom : Laetitia
ton âge : 20 ans tout rond.
ton avis sur le forum : On a fait du bon boulot, les keupins
comment as-tu transplané ici ? Je consultais la carte du Marauder quand j'ai découvert un lieu qui n'existait pas auparavant. Et POUF ! J'ai décidé d'y transplaner.
ta disponibilité : 7j/7 honey (bon, pour l'instant exas, donc présence très réduite )
ton avatar : Andrew flawless Garfield.
ton personnage : prédéfini.
le mot de passe : Moony s'auto-valide (a)
une dernière volonté : en cas de décès, je lègue ce personnage à Ophélie, qui aime Remus autant que je l'aime *sors*.