moi, le magicien,

prénoms : Amélia Susan. Deux appellations bien courantes dans le monde des sorciers de nos jours. Si le prémier vient d'une espérance fondée en la magie d'une époque qui n'est plus la notre, son deuxième prénom lui vient tout droit d'un devoir de mémoire puisqu'il s'agit du nom usuel de sa grand mère paternelle. nom : Bones, dans un premier temps le mot qui nous vient à l'esprit reste commun, et oui c'est un patronyme passe partout et bien connu au sein du ministère. A croire que les aurors de la famille font parler d'eux. nature du sang: D'ascendance pure, la jeune femme n'en a vraiment que faire de la pureté de son sang, pour elle chacun à sa place au sein du monde magique, il faut de tout pour faire un monde. âge : Dix-huit années parait il, un bel âge certainement. date et lieu de naissance : Un certain vingt-trois juillet 1962 à Fulham (Royaume-Uni). nationalité : Britannique. année d'étude : Huitième année en parcours d'études des sports magique tout simplement pour espérer pouvoir au poste qu'elle désire obtenir dans le futur, et aucun redoublement pour le moment. niveau scolaire : La jeune fille possède un niveau scolaire régulier plus que satisfaisant. parcours scolaire : Les sports magiques, un domaine qui n'a pas réellement surpris ses parents. votre baguette : Forgée bois d'ébène, qu'elle contient un ventricule de coeur de dragon et qu'elle mesure 26, 4 cm. Particulièrement rigide, elle est totalement droite et a des prédispositions pour les défenses contre les forces du mal. matières favorites : l'astronomie, la métamorphose et la médicomagie. matière détestée : L'histoire de la magie, qui quand bien meme détient une importance capitale dans le cursus choisit reste des plus ennuyeux. votre patronus : Il prend tout simplement la forme d'une Hulotte. face à l'épouvantard : Une vaste etendue d'eau.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : Le Veritaserum. Un sortilège : Finite Incantatem. une chanson : Dido, i'm no angel. un instrument de musique : un violon. un bijou :un pendentif tout simple. une insulte : écrire ici une phobie : Une rivière agitée. une couleur : la couleur ocre. une créature magique : certainement un centaure. un sorcier célèbre : Joscelind Wadcock. un objet moldu : une plume asiatique; un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : Pain Grillé. un endroit : Le terrain de Quidditch. un mot doux : écrire ici un conte : écrire ici

généreux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ○ ○ ○ ○ ● ● ● ● ● ● contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ● ● à l'écoute ; gourmand ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : été. quidditch ou lecture : quidditch. patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille. argent ou amitié : amitié. st-mangouste ou ministère de la magie : ministère de la magie. cavalier ou fou : cavalier. balais ou transplaner : balai. elfe de maison ou liberté : liberté. astronomie ou arithmancie : astronomie. chat ou chien : chat.

à l'intérieur de ma pensine

Les vents de ce matin de juillet faisaient doucement danser les nombreuses boucles blondes de la gamine qui assise sur les marches de la maisonnée de son enfance attendait avec impatience le retour de sa mère. Cette dernière ne se trouvait pas souvent à la maison, une cause à effet lorsque l’on faisait partie intégrante de l’équipe de Quidditch nationale de son propre pays. Les yeux portaient vers l’horizon de ce soleil éclatant, elle se mit à sourire en voyant quelques oiseaux de saisons tourbillonnaient dans une apesanteur à laquelle un jour elle finirait par gouter elle aussi. Un jour, elle touchera du bout de ses doigts cette liberté de virevoltaient dans les airs, prendre à pleine bouchée cette soif de non barrière pour laisser le plaisir au respect du jeu. Le chemin serait dur mais elle y parviendrait, avec patience et persévérance. La fillette esquissa un sourire aux commissures de ses lèvres, rien qu’en y songeant au plus profond de ses pensées. Un sourire néanmoins qui n’échappa guère à son grand père qui se racla la gorge d’un son rauque, qui la fit détourner le visage en sa direction. Le vieil érudit remit ses lunettes en forme de demi cercle sur le bout de son nez, et s’installa sur le rocking-chair en bois qui trônait sur la véranda avant de se laisser basculer pour les mouvements habituels de ce vieux siège. Aussi vieux et pourtant toujours à la même place. Aussi vieux et pourtant toujours la même attention. Monsieur Bones avait toujours été présent dans la vie de sa petite fille et inversement. Elle apprenait de lui des choses des temps qu’elle n’avait guère connue, et lui apprenait d’elle tout ce que le temps à venir ne lui permettrait guère de comprendre. Les grincements de la chaise à bascule formait un rythme de bruits contigus, un mouvement redondants qui se plaçait sur les battements de leurs cœurs. « Amélia, t’avais-je déjà conté l’histoire des trois frères ? ». La question de son grand père brisa le silence dans lequel elle c’était perdue, mais à l’entente de la voix coutumière de son ainé la blondinette de neuf années tourna son attention entière vers son lui. « Oui, à plusieurs reprises grand père … Mais pourquoi me demandes-tu cela tout à coup ? ». Elle avait entendu à maintes et maintes reprises les lignes de ce conte sorcier ainsi que tous les autres récits magiques qui bercent encore les enfances de nombreux enfants. Cette histoire lui faisait comprendre tout un tas de choses quand bien même elle était encore une gamine à peine sortie de l’innocence, mais déjà une grande maturité se lisait sans ses yeux, une réflexion impartiale qui déjà témoignait de son amitié avec son petit voisin, le petit Remus. Tout n’est pas toujours blanc, tout n’est pas toujours noir. Peu importe la voie que l’on choisit dans le fond, il y a une toujours une trace de bien être et de positivisme sur notre chemin. Rester humble et soi même était le plus important en fin de compte et cela la petite Bones l’avait très vite compris. Chaque histoire à une morale, chaque morale à sa valeur de vérité et son lot de conséquences. « Il ne faut pas l’oublier Amélia, il ne faut pas que l’oubli car plus tard tous les contes que dont tu as déjà la connaissance pourront t’aider à mieux connaitre le monde qui t’entoure … ». Lui avait il dit avant de la toisait d’un regard malicieux par le dessus de ses lunettes bien trop petite pour son visage légèrement rond. De manière tout à fait naturelle, Amélia mêla son rire au sien avant de secouer la tête d’un mouvement amusé et compris. Au loin de l’allée centrale qui conduit à la demeure des Bones, l’on peut apercevoir la silhouette grande et timide d’un voisin, d’un ami d’enfance hésitant à entrer au sein du jardin. Il peut entendre les rires d’un échange relationnel entre un grand père et sa petite fille. Rapidement cette dernière repère sa présence, une présence amicale qui lui toujours donner le sourire. Un sourire en échange d’une confiance, une confiance en échange d’une amitié solide. Le jeune Lupin venait sans doute lui dire au revoir, mais ce n’était peut être pas tout à fait un adieu, ils se reverraient très vite … « Vas y mon enfant, tes parents ne sont pas là, et écoute ce que te dictes … ». « … ta pensée du moment. Merci grand père … ». Avait elle reprit avant de lui couper la parole, il n’y avait rien eut d’impoli à l’égard de son grand père, juste le fait qu’elle avait poursuivit sa parole, des propos qui ne cessaient de se répéter dans sa tête. Elle se leva pour prendre son ainé dans ses bras, avant de filer rejoindre son camarade d’enfance.