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 GELLERT — le hasard fait le reste

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Gellert M. Selwyn
Gellert M. Selwyn

Personnel de l'école


CREDITS : Primple
PARCHEMINS : 22
PROFESSION : professeur d'alchimie
ICI DEPUIS : 25/07/2012

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MessageSujet: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 17:24


a person is, among all else,
a material thing, easily thorn

GELLERT MATTEUS SELWYN

moi, le magicien,
prénoms : Gellert Matteus David nom : Selwyn,mais il est né sous le nom de Seelenfreund. C’est lorsqu’il est arrivé à Poudlard à onze ans que plusieurs personnes ont jugé que ce serait mieux s’il anglicisait son nom.nature du sang: né-moldu âge : 29 ans date et lieu de naissance : un trente novembre 1951 à Francfort (Allemagne) nationalité : Allemande de naissance, Anglaise par la force des choses (un grand séjour d’une quinzaine d’années) profession : rofesseur d’alchimie à Poudlard. C’est très jeune que Gellert commençât à aider ses copains à réviser et ainsi se développa sa passion pour l’enseignement. Il a travaillé un peu comme alchimiste avant d’atterrir à Poudlard dans le seul but de mieux connaître la matière. ancienne maison : Poufsouffle statut matrimonial : célibataire votre baguette : sa fidèle alliée est taillée dans du bois de cerisier, contient un crin de licorne et est très rigide (heureusement... pour le nombre de fois qu’elle est tombée par terre). elle mesure 23 cm, c’est petit certes, mais très efficace. elle est incurvée et a des prédispositions pour les duels matières favorites : Sans surprise, l’alchimie fait partie de cette liste, mais ce ne fut pas la matière qui passionna jeune Gellert dès son arrivée à Poudlard. Non, ce serait davantage l’astronomie, car il affectionnait beaucoup les étoiles lorsqu’il était un petit moldu. Mais les secrets magiques de l’alchimie ont tôt fait de le captiver. matière détestée : Soins aux créatures magiques. Non pas qu’il soit un animalophobe ou particulièrement méchant, mais s’occuper d’autrui n’est pas trop son truc. votre patronus : une dangereuse marmotte face à l'épouvantard : l’incapacité de secourir ses proches. puisqu’il est le seul sorcier de sa famille, il se sent plus responsable de leur sécurité

ian macewan



l'interrogatoire des aurors,

une potion : la potion de polynectar parce qu'il faut avouer que c'est bien marrant (il a déjà joué un tour à ses parents, le vilain garnement, en prenant l'apparence de son père) un sortilège : incendio une chanson : Flying like an unicorn du groupe sorcier Snitches un instrument de musique : le piano, sans surprise un bijou : une montre à gousset une insulte : espèce de jus de citrouille périmé ! une phobie : l’eau une couleur : vert émeraude une créature magique : les dragons ont pas mal de classe un sorcier célèbre :Dzou Yen, grand alchimiste chinois, sans aucun doute. Avec une place spéciale pour Albéric Grunnion, l’inventeur des Bombabouses un objet moldu : Un livre muet un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : pastèque un endroit : son douillet lit un mot doux : engel (ange en allemand) un conte : les contes des frères Grimm ont évidemment bercé son enfance... un en particulier ? le valeureux petit tailleur.

généreux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ pressé ; fougueux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : l'hiver ; pour Noël et ses cadeaux, pour revoir sa famille en Allemagne, pour la neige ... quidditch ou lecture : la lecture ; gellert étant de nature plutôt calme, c’est une activité qui sied mieux à son tempérament. patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille, parce que bon, c'est tout simplement délicieux argent ou amitié : amitié st-mangouste ou ministère de la magie : ste-mangouste ; gellert ayant perdu cavalier ou fou : le fou balai ou transplaner : transplaner ; beaucoup plus rapide elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie : petit, gellert rêvait de devenir astronome et cette passion pour les étoiles n’est jamais complètement partie chat ou chien : chat ; plus indépendant, moins emmerdant



quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier :
Pour un coup d'envoi, les Mangemorts n'auraient pu faire mieux. Une explosion massive dans un endroit bondé à une semaine de Noël... définitivement, un coup de maître sadique. S'ils voulaient s'installer comme un groupe ayant des idées claires et un but précis, c'est réussi et on ne peut que les prendre au sérieux. Et l'attentat lui-même...Gellert reste muet lorsque ses copains embarquent sur ce sujet. Que dire de plus à part que c'est une véritable tragédie qui ne devrait jamais se reproduire ? Que c'est une horreur ? Il a été chanceux, il ne connaissait aucun des morts, mais peut-être qu'il n'en sera pas autant au prochain attentat.

Que pensez-vous des Mangemorts :
Né en 1951, Gellert a grandi dans une Allemagne qui se remettait à petits pas de la Seconde Guerre mondiale et entouré par ses deux parents détruits, hantés par des souvenirs terribles. Ils lui ont inculqué le respect d’autrui, la tolérance et c’est bien pour cela qu’il ressent beaucoup d’incompréhension face à ce groupe de terroristes. Déjà, dans sa scolarité à Poudlard où il s’est fait nargué pour son ascendance ‘’ impure ‘’, il ne se préoccupait pas de ces insultes. D’un point de vue purement scientifique, tous les êtres sont identiques et leur sang est formé de la même manière, globullement parlant. Alors, non, il ne comprendra jamais ce qui peut pousser des gens à clamer leur supériorité à cause de leur naissance. Il ne pense toutefois pas que les Mangemorts soient des imbéciles finis, mais qu'il leur manque une profonde ouverture d'esprit. Terroristes oui, mais terroristes à convaincre. Cependant, il doit admettre qu’il craint un peu pour sa vie étant donné qu'il est issu de deux Moldus, mais il arrive à dormir la nuit tout de même. Ce n'est pas parce qu'il est particulièrement courageux (ah ça, non !), plutôt qu'il connaît son talent à se défendre avec une baguette. Disons qu’il se tient sur ses gardes.

Quel est votre souvenir le plus douloureux :
Ce serait sans doute le jour où il est revenu chez ses parents après avoir quitté prématurément son école d’alchimie. Il venait de connaître une douloureuse séparation et avait voulu s’échapper un peu. Il avait expliqué la situation à ses parents, qui se montrèrent bien compréhensifs, et à son frère. Et ce fut là, le choc. Les deux frangins ne s’étaient jamais vraiment bien entendus, mais Gellert ne pouvait prétendre ne pas se préoccuper de Hans, son petit frère. Même si les rares fois où ils se voient, l’ambiance n’était pas géniale, il ne lui souhaite aucun mal. Mais lorsqu’il leur annonça cela, il ne vit aucune compassion, aucun regret dans les yeux de Hans. Pas du bonheur pour autant, mais rien. Comme si lui, Gellert, n’était rien pour lui. Et ce fut là qu’il réalisa tout l’ampleur de leur relation compliquée. Il fut sans doute encore plus blessé de ce manque de réaction que de sa rupture, si c’est dire.

tumblr et prévert






Dernière édition par Gellert M. Selwyn le Jeu 26 Juil - 9:44, édité 4 fois
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Gellert M. Selwyn
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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 17:26

à l'intérieur de ma pensine


Prologue

Franz Seelenfreund avait six ans lorsque les Levinski déménagèrent dans la maison voisine à la sienne. Il lui importait peu alors de leurs noms, de leur religion et de leurs coutumes étranges tant que David jouait avec lui en rentrant de l’école. Évidemment, il avait posé la question cruciale dès leur première rencontre : « Quel âge as-tu ? » Cinq. Franz avait hoché la tête, tout était en ordre. « Tu pourrais être le remplaçant de mon petit frère qui est mort lorsqu’il est né ! » Marché conclu. Le grand garçon avait alors pris très au sérieux son rôle de protecteur et quiconque se montrait vilain envers David le regrettait amèrement (généralement, il s’agissait d’une pincette sur le bras). Ils étaient jeunes ils étaient frères, ils étaient meilleurs amis du monde et rien, même pas une étoile jaune sur les vêtements de David, n’aurait pu empêcher Franz de courir à la rencontre de son ami dès qu'il le pouvait.

Franz avait seize ans lorsque les Levinski vinrent souper à la maison (ç’avait été un véritable casse-tête pour sa pauvre mère d’ailleurs, qui avait tout fait pour respecter du mieux qu’elle le pouvait les habitudes alimentaires juives). D’ailleurs, ce fut un drôle de repas où les deux familles se disputèrent férocement en chuchotant. Devant le débat qui s’éternisait, les patriarches avaient renvoyé les deux garçons jouer en haut. ( « Jouer ? Mais nous n’avons plus quatre ans ! » avait argumenté en vain Franz.) Dans la chambre du plus vieux, les deux compères n’avaient donc pas joué mais discuté. Là, David lui avait expliqué que la situation s’aggravait pour les gens comme lui et que ses parents craignaient tous les jours pour sa vie. Là, Franz avait appris que si les Levinski étaient ici ce soir, c’était pour demander une immense faveur à leurs amis fidèles : les cacher dans leur sous-sol. Là, son père vint lui annoncer que sa mère et lui avaient refusé ; c’était trop dangereux. Franz avait élevé la voix. Son père n’avait-il pas une conscience ? Un peu d’honneur ? Hein ? De l’affection pour les Levinski ? Était-il un lâche ? La gifle était partie avant qu’il ne finisse sa phrase.

Franz avait dix-huit ans lorsque des soldats allemands entrèrent de force chez ses voisins. Son père l’empêcha de se précipiter en dehors, l’obligeant à rester impuissant devant les Levinski humiliés et maltraités et à regarder le triste spectacle par sa fenêtre de salon. Sa mère avait posé sa main moite sur son épaule et était incapable de retenir les larmes de couler sur ses joues. Franz avait dix-huit ans lorsqu’il vit David se retourner vers lui et lui adresser son dernier sourire.

Liesel Kraulz avait quatre ans lorsqu’elle reçut son premier cours de piano. Ses parents auraient bien voulu qu’elle commençât plus tôt, mais aucun des sept professeurs qu’ils avaient interrogés de les avaient convaincus de leurs capacités extraordinaires. Les Kraulz s’étaient alors tournés vers leur dernier recours : l’Académie de musique. Alors que n’importe quel élève finissant aurait fait un excellent maître, les parents vinrent voir le professeur doyen, Herr Van Bersan. Sa réputation n’était plus à faire : il avait intégré l’Orchestre symphonique de Francfort à l’âge de dix-sept ans et avait brillamment joué, jusqu’à ce qu’un terrible accident de voiture le blessa au poignet, coupant court à ses rêves de gloire éternelle. S’il en était ressorti amer, il n’en restait pas moins qu’il adorait la musique et ce fut tout naturel qu’il se dirigeât vers l’enseignement. Ses élèves excellaient depuis des années et on se battait pour avoir ses cours. Cependant, vouloir assister à ses cours n’était pas gage de réussite ; il fallait passer outre son humeur de chien, son extrême sévérité. Une fois chose faite, vous pouviez enfin apprécier tout le talent de l’homme, sa précision, ses conseils pour la dextérité, la façon dont il transmettait sa passion. C’était sans doute le meilleur professeur de piano de la région à l’époque et le prix venait en conséquence. Néanmoins, les Kraulz ne s’en préoccupaient guère, tant qu’il leur fabriquait une future Beethoven.


Liesel avait treize ans lorsqu’elle gagna son premier concours de piano. Le chemin pour s’y rendre avait été ardu : les longues heures de pratique, le régime surveillé, les autres activités bannies de l’horaire et les nombreuses disputes avec son Lehrer, son professeur, sur le choix des pièces. Elle voulait le prélude dix de Bach, il arguait que c’était trop enfantin. Il lui donna une Fantaisie de Schumann, elle refusa. « Pourquoi pas une Nocture de Chopin ? » avait-elle essayé. Schmutz ! Quelque chose d’allemand par pitié ! « Ce n’est pas comme s’il n’y avait pas de choix ! » s’était-il emporté en lui jetant une nouvelle partition au visage. Elle avait attrapé le feuillet de justesse, en se promettant intérieurement que ce serait la dernière fois qu’elle proposa de jouer un compositeur d’une autre nationalité. Brahms. D’accord.

Liesel avait dix-huit ans lorsque sa ville fut bombardée par les Anglais. Elle fut chanceuse; l’école dans laquelle la jeune Kraulz étudiait à ce moment fut épargnée, mais on ne put en dire de même de son immense demeure. Quand les élèves furent enfin libérés (deux heures plus tôt que d’habitude en raison du récent événement), elle avait pédalé à toute vitesse vers la maison familiale pour y trouver des murs en mille morceaux. Et puis, elle avait hurlé. Dans la cuisine, sous la table, les corps inertes de ses parents.

Franz avait vingt-trois ans lorsqu’il entra pour la première fois au Kölchtz . On lui avait vanté ses mérites ; une grande variété d’alcool et des pianistes merveilleux. S’il avait longtemps hésité à s’y rendre, c’était que l’endroit était très patriotique, l’avait-on assuré. En effet, on y jouait que de la musique allemande et ceux qui ne parlaient pas la langue de Goethe recevaient de drôles de regards. Et Franz détestait les Allemands patriotiques, car, à son avis, il s’agissait de la pire vermine sur terre. Mais il avait passé outre pour une fois. C’était un mardi et l’endroit n’était guère rempli, à son soulagement. Il s’était assis au comptoir, avait commandé un cognac et s’était mis à écouter attentivement la jeune pianiste. En revenant avec le verre, le barman avait souligné au passage que Liesel, la pianiste, était certes nouvelle mais très talentueuse. « Elle devrait même commencer bientôt à jouer les samedis soirs... et je ne serais pas surpris qu’un orchestre nous l’enlève. » 21 ans, la gamine, et un répertoire de professionnel... L’alcool avait habituellement pour conséquence de raviver le rire de David ; c’était à la fois agréable et un véritable supplice ; c’était la maladie et la guérison en même temps. Cependant, la musique de Liesel avait un pouvoir plus puissant : elle apaisait son âme tourmentée. Lorsque la jeune musicienne avait commencé à ranger ses partitions vers deux heures du matin, il avait attrapé son poignet, glissé un billet de vingt marks dans sa paume et murmuré : « N’arrêtez pas, s’il vous plaît. » N’arrête jamais, s’il te plaît.


Franz avait vingt-cinq ans lorsqu’il embrassa Liesel devant l’autel. 
Liesel avait vingt-trois ans lorsqu’elle devint Frau Seelenfreund.


1.
Gellert raffolait de ces moments où son père l’attrapait par surprise, le chatouillait tout partout et le jetait sur ses épaules comme un vulgaire sac de pommes de terre. Il faisait ensuite tournoyer le gamin rieur et il ne s’arrêtait que lorsque Liesel lui avait répété au moins cinq fois d’un ton mi-inquiet mi-amusé : « Mais dépose-le ! Tu vas lui faire mal ! » Gellert ne partageait pas vraiment l’avis de sa mère - après tout, il était solide, il ne se blesserait pas - et sautait alors sur le dos de son père, en quête de nouvelles sensations fortes. Néanmoins, le patriarche ne cédait pas et déclarait très fort et peu naturellement : « Ta mère a raison, Sohn, ça suffit. » Puis, il se penchait vers le garçon pour lui murmurer très audiblement : « Mais nous recommencerons dès que Mama sera partie à son concert. » Liesel secouait alors la tête avant de se remettre à son activité précédente (c’était souvent la fabrication d’une tarte aux pommes). C’était sans cesse le même scénario, mais Gellert ne s’en lassait jamais.


Ce que Gellert aimait beaucoup aussi, c’était ces belles nuits claires où sa mère installait une ou deux couvertures (cela dépendait si son père se joignait à eux ou non) dans leur modeste (mais très joli) jardin et ils s’y allongeaient, collés. Alors sa mère lui pointait une constellation et le garçon la nommait et récitait à toute vitesse son histoire. Cassiopée lui donnait souvent du fil à retordre, mais il connaissait la Grande Ourse comme le fond de sa poche. Lorsqu’il était présent, Franz essayait alors de surpasser son fils et de lancer les réponses avant lui, ce qui lui valait un coup de coude dans les côtes de la part de sa douce moitié. De toute manière, il était assez rare qu’il ait raison, il préférait inventer n’importe quoi. « Aaah, la Grande Casserole ... » « Mais non, c’est la Grande Ourse, Papa ! » « Je t’assure que non.. laisse-moi te raconter la vraie histoire. Il était une fois un petit garçon pas sage du tout, alors sa mère voulait le punir. Elle prit la plus grande casserole qu’elle avait dans sa cuisine. Elle était immense ! Grosse comme la maison ! » « Mais ça ne se peut pas ... » « Mais si ! Écoute un peu ! Elle prit cette grande grande casserole et frappa son fils qui eut si mal qu’il fut gentil tout le reste de sa vie. Alors, la mère remercia le ciel et lui offrit sa belle grande casserole en hommage, qui devint cette constellation. » Les trois Seelenfreund éclatèrent de rire devant la stupidité de l’histoire et Liesel fit son intermède musical, chantonnant ses pièces de piano. Mais Gellert préférait quand son père ne venait pas avec eux regarder les étoiles, parce qu’il pouvait alors véritablement apprendre sur les astres et profiter pleinement de sa maman.


Chaque parent avait sa leçon à transmettre. Si celle de Liesel portait sur l’univers et la musique, celle de Franz était beaucoup plus abstraite. « La tolérance, Gellert. Souviens-toi de ce mot et tu seras heureux. » Le petit était bien sûr encore trop jeune pour entendre la terrible histoire qui avait secoué l’Allemagne quelques années avant sa naissance, mais il n’était jamais trop tôt pour inculquer quelques valeurs essentielles. Ainsi, Franz confrontait son fils à toutes sortes de situations. Le père devenait tantôt un vendeur de chaussures, tantôt une princesse, tantôt un écrivain célèbre et créait des problèmes inimaginables que Gellert devait régler. Ce dernier en était souvent incapable et Franz passait son temps à lui expliquer. Le bon, le mal, la justice, la liberté, la tolérance, l’amitié, l’amour, la méchanceté, la tristesse. « Il n’y a pas de gens méchants ou des gens gentils, seulement des gens qui pensent différemment. Ton opinion ne vaut pas plus que celle d’un autre, Gellert. Et il faut toujours te rappeler de ne pas brimer personne. Tu comprends brimer ? C'est empêcher quelqu'un de vivre. »


La théorie de la liberté égalitaire semblait avoir été comprise par petit Gellert de neuf ans, jusqu’à ce que le ventre de Liesel s’arrondisse pour la deuxième fois. Le jeune Seelenfreund ne mit pas beaucoup de temps à comprendre que tout ce qu’il partageait avec ses parents, les moments privilégiés, ses jouets, les attentions, serait divisé en deux et il n’aimait pas cette idée, oh non ! Lui qui avait toujours été un enfant calme devint une véritable boule de nerfs sur patte. Il ne se passait pas une journée sans qu’il ne pleurât ou qu’il se fâcha. Lorsque ses parents lui demandaient des suggestions de prénom pour l’enfant à naître, il se montrait particulièrement détestable et sortait les pires noms possible, sous le regard inquiet de ses parents qui ne savaient pas comme s’y prendre pour rassurer Gellert. La situation ne fut guère mieux lorsque Hans naquit. Alors que celui-ci n’avait que deux mois, Gellert pinça son bras si fort qu’il lui fit un énorme bleu. Franz, qui n’espérait qu’une famille unie et aimante, se fâcha et prit violemment Gellert par le bras. Et là, le petit trembla, car jamais il n’avait vu son père ainsi et il n’aimait pas du tout qu’il lui criât dessus. « Te rappelles-tu ce qu’est la tolérance, Gellert ? Non ? Oui ? En tout cas, ce n’est certainement pas de pincer son petit frère parce qu’il pleure ! J’ai honte en ce moment de mon propre fils qui se comporte mal, très mal ! » Et Gellert voyait très bien dans le regard de son père qu’il n’y avait plus rien de l’affection habituelle, que sa voix douce était dure et qu’il serra drôlement fort son poignet. Et il n’aimait pas cela du tout, oh non. Il aimait encore moins cela que son frère. Alors il promit qu’il ferait un effort, qu’il était désolé, et qu’il ne voulait certainement pas brimer la vie de son frère.

2 .
Après un énième frissonnement, Richard MacDubh se résigna enfin à résister naturellement au froid ; il enroula son foulard autour de ses oreilles et de son nez rougis et enfila ses gants tout en se battant mentalement contre ses instincts magiques qui voulaient allumer un feu portatif. De nombreux professeurs s’étaient proposés pour ce voyage en Allemagne, mais c’était à Richard, le plus diplomate, sensible et responsable, que la tâche était revenue. S’il en avait trépigné de joie (« Waouh ! L’Allemagne ! J’ai toujours voulu y aller ! » ) quelques jours auparavant, il aurait volontiers cédé sa place à n’importe qui en ce moment même. Par les culottes de Morgane mais qu’est-ce qu’on se les gelaiiiiit. 1461, 1463, 1467 et... 1469, enfin. C’était ici. Il fouilla dans ses larges poches, en ressortit une plume d’aigle, une carte de Chocogrenouille, un vieux devoir d’élève et une petite fiole sur laquelle une étiquette indiquait Potion parltou et avala son contenu en fronçant tout ce qu’il y avait à froncer dans son visage (nez, sourcil, joue, oreilles...). Le professeur de Runes anciennes de Poudlard prit une grande inspiration puis sonna doucement. Ce fut une petite dame aux cheveux châtains courts qui vint lui ouvrir, un bambin dans les bras. « Bonsoir ! Veuillez tout d’abord accepter mes excuses pour vous déranger ainsi, surtout sans vous avoir prévenue avant, mais ceci est très important. Vous êtes la mère de Gellert, je suppose ? » demanda-t-il dans un allemand parfaitement fluide, lui qui n’avait jamais su parler un traître mot de cette langue quelque peu brutale. Elle hocha la tête. « Bien ! C’est à son propos - oh, ne vous inquiétez pas ! C’est une très bonne nouvelle même ! » Rassurée, elle l’invita à entrer en lui faisant remarquer : « Vous n’avez pas choisi la bonne journée pour venir, Herr MacDubh, c’est l’une des plus froides de l’hiver ! » Ah oui ! «Voudriez-vous un café, thé, tisane, vin chaud ? » lui proposa Liesel Seelenfreund. Il accepta volontiers un thé brûlant, sans sucre sans lait. Elle déposa l’enfant proche d’un jeu de billes, puis lui désigna la table de la cuisine autour de laquelle il pouvait prendre place. « Franz, Gellert !» appela-t-elle. Gellert déboula les escaliers à toute vitesse, puis se figea en voyant l’inconnu. L’inconnu se leva donc, s’approcha du jeune garçon et se présenta. « Enchanté, monsieur » dit-il poliment. « Je suis Gellert Seelenfreund. » Richard hocha la tête en souriant : « Je sais qui tu es, je suis venu spécialement pour te voir. » Gellert haussa les sourcils, fit un petit sourire timide avant d’aller se coller contre sa mère. Franz arriva par la suite. Devant la famille réunie, Richard leur sourit, encourageant. Le sorcier fouilla à nouveau dans sa poche, mais intérieure cette fois-ci, et en extirpa une lettre un peu fripée. Il la tendit à Gellert, mais ce fut son père qui la prit. « J’ai été informé que vous en aviez reçu une identique, que vous n’en aviez pas compris la langue d’écriture et que votre ami traducteur vous a induit en erreur. » Il était très dommage qu’un appareil photographique invisible n’ait pu prendre les visages stupéfaits des Seelenfreund, parce que, honnêtement, c’était hilarant. « Non, cette lettre n’était pas une blague, Poudlard est une vraie école de sorcellerie et j’en suis moi-même un professeur » poursuivit Richard. Les yeux du petit s’étaient alors illuminés (ce qui était déjà une très bonne chose ! il arrivait que des enfants de deux moldus soient complètement terrifiés par cette idée de la magie et n’acceptaient que très difficilement de se rendre à Poudlard) et il posa quelques questions. « Je suis professeur de métamorphose où tu apprendras à transformer un chat en table par exemple ! Et nous préférons le terme sorcier, mais magicien, oui » répondit patiemment le vieux sorcier. « À Poudlard, l’école magique où tu iras l’année prochaine, tous les professeurs ont très hâte de te voir. » Si l’enfant était séduit par cette idée, il en était tout autre de ses parents qui ne croyaient pas à tous ces bobards. Leur cas n’était certainement pas unique. Difficile d’abandonner son enfant dans les bras de gens qui se réclament d’une autre espèce... C’était contre le règlement, mais c’était pour une bonne cause, alors Richard anima le sucrier de la table. Celui-ci se dota de petites jambes ainsi que de petits bras et commença à marcher sur la table, en versant des cuillerées de sucre ici et là. Après une trentaine de secondes, il leva l’enchantement et murmura un rapide Recurvite pour nettoyer les dégâts. « Waou ! Je vais pouvoir faire ça ? » « Avec un peu d’entraînement, oui. C'est plutôt facile ! Mon sucrier est mieux élevé, il ne jette pas du sucre de la sorte, mais enfin. » Il se retourna vers les Seelenfreund adultes : « Vous n’êtes pas convaincus ? » Et Liesel balança enfin tout ce qui la chiffonnait : n’est-ce pas dangereux ? (Absolument pas ! et je veillerais sur Gellert, vous avez ma parole, madame !) ; les cours se dérouleront en anglais ? Mais il ne sait pas parler anglais ! (Nous avons une solution, mais de courte durée, ce sera l’utilisation d’une potion pour comprendre. Malheureusement, il y a de nombreuses conséquences indésirables - comme des maux de tête, des vomissements et la mort .... oh non, mais soyez rassurés ! ce n’est que lorsque vous en prenez pendant des années ! - lors d’une utilisation longue, donc Gellert devra suivre un cours intensif d’anglais en même temps. Mon collègue, le professeur Lewis, en est ravi ! D’ailleurs, au sujet de l’anglais, le directeur pense qu’il serait préférable de te renommer Gellert Selwyn, ça passera mieux. ) ; Hans aussi sera sorcier ? (Seul l’avenir nous le dira !); et puis il y eut de la logistique. « Oh maman, ça serait génial ! Moi, un sorcier... Gellert, le Grand Sorcier ! »

3.
« Hé Selwyn ! Seeeelwyn ! Ma parole, il est sourd ? Selwyn ! » Le couloir de Poudlard était bondé et pourtant, Rabastan Lestrange avait réussi à repérer sa victime parmi tous ces gens. Gellert Selwyn leva les yeux au ciel et, sans se retourner vers son harceleur, lança : « Qu’est-ce que tu veux, Lestrange ? » Tout bourreau avait besoin d’une victime et dès ses premiers instants à Poudlard, Rabastan Lestrange s’était glissé dans le rôle du premier et avait jeté son dévolu sur Gellert pour qu’il incarne le second, pour l’unique et très bonne raison que ses parents étaient tous deux Moldus. Mais ces assauts qui duraient depuis trois ans ne semblaient pas vraiment déranger le jeune Allemand et le Sang-Pur renouvelait toujours de tactique pour le faire enrager. Jusqu'ici, sa technique préférée était les insultes verbales. « Tu n’as pas ta place ici » cracha-t-il. « Regarde en plus dans quelle maison tu es. Poufsouffle. Cela n’allume rien dans ton petit cerveau ? La maison des nuls, parce que c’est ce que tu es. Tu sais que tu es un indésirable ici ? » Selwyn, plus ennuyé que peiné, répondit monotonement: « Oui, je pense que tu me le répètes chaque semaine. Change de disque, Lestrange. » On ne lui parlait pas de cette manière ! Mais pour qui se prenait-il ! Le sorcier au sang pur le rattrapa, mais Selwyn ne lui accorda pas un seul regard. Vexé du peu de réaction de sa proie, Lestrange frappa le poignet de l’Allemand dont la baguette tomba sur le sol. L’Anglais fut le plus rapide ; il ramassa le bout de bois par terre et en profita pour narguer le né-moldu. « Tu n’as pas le droit d’en avoir une, Selwyn, je ne fais que reprendre ce qui appartient à ma communauté. Qui pense que Selwyn devrait être puni pour ce vol ? » Personne ne se prononça, sauf l’un de ses copains qui hocha faiblement la tête, ce qui fut assez pour qu’il continuât sur sa lancée. « Tarantallegra ! » Les jambes de Selwyn s’agitèrent dans tous les sens avant de le lâcher et d’écraser en toute non-grace leur propriétaire sur le sol. Rabastan et ses compères rirent de bonne foi. Mais c’est qu’il l’avait bien mérité, l’avorton ! Il vit la mâchoire de Selwyn se crisper, y allait-il avoir un peu d’action enfin ? « Rends-la-moi. » Rictus lestrangien puis : « Certainement pas. » « Alors vas-y. Continue d’utiliser la voie facile, la voie des lâches. » Rabastan avait perdu son sourire. « Je ne suis pas un lâche. » « Non, bien sûr » continua Selwyn d’une voix fendante qui ne lui allait pas du tout. « C’est pourquoi tu m’attaques sans que je ne puisse me défendre... » et le clou : « ... parce que tu sais que je te battrai en duel de sorcier n’importe quand. Et quelle honte ce serait ! » Ce n’était pas exactement un mensonge, Selwyn se débrouillait plutôt bien avec une baguette, mais de là à s’assurer une victoire... Ce serait vrai dans quelques années pourtant, lorsqu’il s'y entraînerait de nombreuses heures (le Stupefix deviendrait même sa grande spécialité). Mais oh la ! Il avait grandement besoin de se faire remettre à sa place ! Un grand rire moqueur coupa le lourd silence qui planait. « C’est ce que tu crois, Selwyn ? Tiens » lui dit le Sang-Pur en lui lançant sa baguette. « Tu es prêt ? » dit-il, tout en révisant mentalement les quelques sortilèges qui pourraient se révéler utiles. « Plus que jamais. » Ils relevèrent la tête, baissèrent les épaules, serrèrent leurs baguettes. « Pardon, quelle est la nature de cet attroupement ? Mille dragons ! Selwyn, Lestrange ! J’espère que vous n’étiez pas en train de vous battre !? » « Oh non ! » « Pas du tout ! » « Nous ...» « Oui, nous.. » « ...comparions nos baguettes, monsieur. » Le professeur Lewis ne semblait pas convaincu, mais, faute d’évidence, il s’inclina et partit, non sans avoir dispersé la foule auparavant. « Ce n’est pas fini, Selwyn. » Il aurait sa revanche sur ce sale sang-de-bourbe, oh ça, il s’en faisait une promesse!


4.
Hans Seelenfreund essayait de lire paisiblement son roman de fiction dans la cuisine familiale, mais il accrochait difficilement au style chaotique de l’auteur, en plus du récit narratif qui tardait à s’installer. Non, décidément, ce livre était nul. Il le referma d’un coup sec et constata sa soif. Il se leva, s’emmêla dans les guirlandes que sa mère avait accrochées. Noël approchait à grands pas (trois jours plus précisément) et rien n’excitait davantage ses parents que la fête sacrée. Toute la maison était en effervescence, les décorations s’accrochaient aux murs en moins de temps que son frère ne disait ‘’ Abracadabra ‘’, les menus se concoctaient deux semaines à l’avance... non, décidément, il n’y avait rien de comparable à un Noël chez les Seelenfreund. Ou devait-il dire les Selwyn, songea-t-il amèrement. Son frère aîné avait changé son nom lorsqu’il était parti étudier en Écosse. Et ça, même si Hans avait été trop jeune à l’époque pour assister à ce changement, ça, il avait de la misère à l’accepter. C’était comme si Gellert reniait sa famille, ses origines, comme s’il ne voulait pas être lui. À 15 ans, Hans ne comprenait pas et voyait ce rebaptême comme une trahison pure et simple. Après ça, on pouvait rajouter à cet affront le fait que Gellert était sorcier, ce qui l’excluait encore un peu plus des Seelenfreund, à son avis. En parlant du loup, la porte arrière de la cuisine s’ouvrit silencieusement et une tête châtaine y passa la tête. Gellert. Son cher frère. « Hans ! » s’exclama joyeusement l’intrus, qui secoua la fine neige qui s’était déposée sur son crâne et enleva ses grosses bottes. Il le prit dans ses bras, lui demanda de ses nouvelles et Hans lui répondit d’un ton blasé que tout allait bien, sans plus ni rien. « Ah, j’ai quelque chose pour toi qui devrait t’amuser ! » Qui devrait t’amuser. Le prenait-il toujours pour l’enfant de cinq ans ? Sans cérémonie, le sorcier sortit de sa poche de manteau une fausse baguette magique en plastique et la lui fourra dans les mains. « C’est tout nouveau ! Ça vient d’arriver sur les marchés. Tu pourrais faire croire à papa et maman que tu as soudainement des pouvoirs, toi aussi ! L’effet n’est vraiment pas long, mais c’est marrant. » Bon d’accord, c’était plutôt chouette, ça méritait au moins une dizaine de minutes de bonne humeur. « Merci, Gellert. » Son grand frère lui ébouriffa les cheveux, il se tordit pour éviter au traitement, mais il n’était encore qu’un gringalet et n’y échappa pas. « Je t’aurai, l’année prochaine ! » « C’est ça, c’est ça ! » répondit le jeune adulte en s’éloignant de la cuisine et Hans le suivit du regard. Il vit le visage de sa mère se fendre d’un immense sourire - un sourire qu’elle ne lui avait jamais fait à lui, Hans - et le prendre affectueusement dans ses bras. Gellert sortit à nouveau un truc de ses poches, de la forme d’une balle cette fois-ci. Il ne vit pas ce que c’était, mais leur mère commença à rigoler, ça devait lui plaire. Évidemment, lorsqu’on pouvait acheter ses cadeaux de Noël chez les sorciers, on y trouvait des trucs bien plus amusants et originaux... Envieux, Hans ? Oui, à mort. Lui aussi aurait voulu des pouvoirs, lui aussi aurait voulu apprendre à déplacer des objets sans les toucher, à voler sur des balais, voir des vrais dragons. Lui aussi voulait être un sorcier, mais le hasard en avait décidé autrement. Au plus profond de son être, il savait bien que ce n’était pas la faute de Gellert ou de quiconque. Mais Gellert était la victime facile à détester, car, à chacun de ses retours à la maison, il ravivait l’amertume de Hans. C’était puéril, il le savait, mais c’était plus fort que lui. En temps normal, les deux frères se seraient entendus à merveille ; ils se ressemblaient tellement ! Peut-être qu’à l’avenir, une fois la crise d’adolescence et d’existence passée...

5 .

Dès que Gellert eut déposé le pied dans la chambre, je sus que quelque chose clochait. Je l’avais rencontré environ trois ans auparavant, lorsque nous avions tous deux débuté nos études chez Agrippa et associés, une petite école d’alchimie. Et quand j’écris petite, c’est très petit, dans le style dix élèves tous âges confondus. Même si l’endroit se définissait comme une école, il s’agissait plutôt d’un lieu de travail où nous étions en constant stage. Ce n’était pas l’institut le plus prestigieux pour y étudier l’alchimie, mais les bases données étaient très bonnes et l’ambiance était fort sympathique. Ainsi, tout le monde finissait par nouer des liens d’amitié, mais entre Gellert et moi, Lois, c’était encore plus fort, nous semblait-il. Je n’avais alors jamais rencontré quelqu’un comme lui et il m’est rapidement devenu un ami très cher. Le pas de Gellert était plus lourd ; ses yeux, moins pétillants; et, surtout, il ne me lança pas son habituel « Ah ! Comme il est bon d’être chez soi. » Il y avait décidément quelque chose qui n’allait pas et ça ne pouvait être qu’une chose. « Andrea ? » m’enquis-je. Un faible hochement de tête confirma mes craintes. Oh, je savais que c’est ce qui se passerait éventuellement. Et j’avais averti Gellert de se tenir à l’écart de cette fille, n’est-ce pas ? Et m’avait-on écouté ? Non, bien sûr. Et à qui revenait l’ingrate tâche d’écouter ses larmoyades maintenant ? Pff. « C’est fini » se contenta de m’expliquer Gellert en se laissant tomber sur son lit. « C’est peut-être mieux ainsi, pour vous deux » dis-je, le plus compatissant possible. « J’ai.. j’ai vraiment cru que ça pourrait fonctionner, Lois. Jusqu’à aujourd’hui encore, j’y croyais. » Optimiste, va ! Je ne sais pas comment il fait pour se mettre cette drôle d’idée en tête, que lui et Andrea pourraient rester ensemble jusqu’à l’arrivée de cheveux blancs et plus loin encore. Il avait dû manquer d’air à la naissance, car il lui manquait deux-trois neurones assurément. Voyons ! Andrea était ce genre de fille gentille, pas franchement jolie entre vous et moi mais enfin, ça dépend des goûts, j’imagine. Ça semble être un portrait pas mal jusqu’à temps que vous appreniez qu’elle est la chouchou de son père sang-pur depuis le temps des dinosaures. Donc qu’en gros, sa seule option de mariage est avec un autre sang-pur depuis des décennies. Donc, c’était foutu pour Gellert, mon petit né-moldu préféré, dès le départ, mais ça n’a pas empêché nos deux tourtereaux de se fréquenter pendant environ un an et demi et de commettre l’irréparable et l’impardonnable : tomber amoureux. Soupir. Mais je lui ai dit, je lui ai dit de ne pas s’embarquer là-dedans et que les deux en sortiraient perdants et voilà. Le papa avait mis au courant de l’histoire par une quelconque source malveillante, il avait fermement ordonné la fin de cette relation honteuse et Andrea n’avait pas eu le choix de s’incliner. Et les voilà, ces deux pauvres idiots, sanglotant chacun de leur bord, leur coeur brisé. Soupir². « Au moins, je suis toujours là, moi ! » « C’est ... réconfortant. » Bien, s’il avait récupéré une partie de son humour pourri, c’était déjà un pas de plus vers le grand sourire. Mon regard se posa sur une petite bague sur sa table de chevet. Je la lui pointai en lui demandant ce qu’il comptait en faire. Il haussa les épaules. « Tu la veux ? » « Ce n’est pas exactement ce que j’insinuais lorsque je t’ai dit que j’étais toujours là, Gellert. » Il sourit faiblement. « Je n’en veux plus, tu peux la prendre et faire ce que tu veux avec » lâcha-t-il tristement. Je niai de la tête, il était hors de question que je prenne le bijou ! Je l’avais observé durant des heures alors qu’il essayait de créer l’alliage parfait des métaux, de faire un parfait petit alchimiste de lui-même, afin de fabriquer la plus jolie bague. Il n’avait pas eu l’occasion de l’offrir, mais peut-être un jour, qui sait ? Mais un tel travail ne devait pas être gaspillé de la sorte. Convaincu par mes arguments, il fourra le bijou dans sa poche. « Et maintenant ? Tu restes jusqu’en mai au moins ? » « Non, je n’en ai plus envie. Tu sais, je commence à Poudlard en septembre... il ne me reste pas beaucoup de temps. Je pense plutôt aller en Chine quelques mois... rechercher sur les alchimistes chinois plus en profondeur, sur leurs techniques, parce qu’ils étaient des génies... » Bon, s’il se remettait à parler avec passion de l’alchimie chinoise, tout n’était pas perdu. Ne commencez jamais à lui parler des Chinois ou vous en aurez jusqu’au petit matin à entendre parler de l’ingéniosité de ces alchimistes asiatiques. « Tu m’écriras ? » Pour toute réponde, il me sourit. Ça va, il s’en sortirait, j’avais confiance en lui.

6.

Le coude contre le bureau, la tempe contre la paume, Benny Whales gribouillait des flammes et des joyaux sur son cahier de notes, les yeux mi-ouverts. C’était sans doute la partie de la leçon d’alchimie dont tous les élèves raffolaient : les quinze minutes de jeu-questionnaire que le professeur Selwyn tenait, les cours précédant les examens. C’était le moment où la classe virait un peu fofolle, où les jeunes pouvaient relaxer un peu et où monsieur le prof testait le niveau de la classe (pour se préparer mentalement à des échecs lamentables ou un taux de réussite extraordinaire). Parce qu’en temps normal, c'était théorie après théorie, entrecoupée de discours sur la sensibilité inexistante des métaux, et sur l'Illumination et enfin. « Et voici la dernière question qui changera peut-être l’issue de cette partie, puisqu’elle vaut non pas cinq, mais dix points ! » lança gaiement le professeur Selwyn. Tous les élèves, à l’exception de lui-même qui sommeillait, jetèrent un regard vers le score de la partie. Les nombres des deux équipes flottaient au-dessus du bureau du professeur : un rouge scintillant indiquait 23 tandis qu’un jaune éclatant marquait 16. Là où les élèves de Gryffondors paraissaient pétrifiés par cette nouvelle (il n’était pas question de laisser filer leur belle avance et de perdre encore une fois !), les Poufsouffles semblaient avoir reçu un nouveau souffle de vie (ils avaient peut-être un peu de chance après tout !). Et il y avait lui, Benny, sommeillant sur son bureau. Il pouvait comprendre que les autres s’excitaient sur ce jeu, mais lui, franchement, il détestait parce qu’il fallait admettre qu’il y était nul. Mémoriser des choses était déjà difficile, s’il fallait en plus s’en rappeler rapidement... ça ne passait pas. Et son équipe qui perdait en plus ! Non, décidément, mieux valait faire autre chose. « Quel essai a écrit l’alchimiste Limojon de St-Didier ? » Oh, la surprise ! Oh, la question difficile auquelle personne ne s’y attendait ! Les méninges se creusèrent à toute vitesse... Pendant que l’un des Poufsouffles releva la tête, ayant trouvé la réponse, sonda du regard ses coéquipiers afin d’obtenir leur approbation à ce qu’il se lance, un Gryffondor fonça. « Le Triomphe Hermétique ! » Gellert Selwyn eut un petit sourire en coin : « Et les Lions l’emportent ! Je vous accorde dix points pour cette belle réussite... et cinq pour les Poufsouffles qui se sont bien battus. » C’était déjà pas mal. Il leur rappela de bien étudier les propriétés des jades et surtout de relire tous les chapitres sur l’alchimie arabe. Benny s’étrangla. « Tous, monsieur ? » « C’est bien ce que j’ai dit, Whales. Tous. Et surtout vous ! » répondit l’adulte. Et gniagniagnia et surtout vous. Sympa le mec. Benny commençait à bien connaître le professeur pour avoir de nombreuses fois visité son bureau. À chaque fois, il venait en situation d’urgence, comme il aimait dire, c’est-à-dire : ses désastreuses notes. Si le professeur Selwyn s’était montré gentil, attentif et l’avait beaucoup aidé les jours avant les examens, ceux-ci finis et pas terribles du tout, c’était une autre paire de manches. Il s’était montré sec comme un vieux pruneau : « Vous vous moquez de moi, Whales ? Vous voudriez que je vous donne un Acceptable au lieu de ce P ? Mais c’est la note que vous méritez ! Je viens de passer quatre soirs à vous ré-ré-ré-expliquer ma matière que je pense avoir bien expliqué en classe déjà, si vous n’y mettez pas un du vôtre, ça ne fonctionnera pas. Alors, un petit effort, Benny. On travaillera encore plus fort avant le prochain examen ! » Il lui avait ensuite souri amicalement, encourageant. D’accord, il y avait pire comme enseignant, mais comme manière de corriger, il y avait mieux. Terriblement strict. Mais enfin. Il y avait pire. On l’aimait bien, ce Selwyn.





méfaits accomplis,
ton pseudo : CitronBleu
ton prénom : Camille

ton âge : 19 ans
ton avis sur le forum : Il semble parfait ^^ 

comment as-tu transplané ici ? Bazzart (et un peu Mara on peut dire ^^)
ta disponibilité : Jusqu'à la mi-août, je suis en vacances, mais je viendrais peut-être faire des petits sauts. Sinon, dès mon retour, je pense bien que je me connecterai tous les jours.

ton avatar : James McAvoy
 ( sweet )
ton personnage : prédéfini

le mot de passe : les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ? 

une dernière volonté : J’abuserai de votre bonté pour en prendre plusieurs... En premier, c’est moi l’invité qui voulait ce PV, j’ai réussi à écrire dans l’avion et faucher compagnie à ma famille pour venir poster ma présentation ^^ (je voulais vous le dire pour que vous soyez content de mon bonheur I love you ). Ensuite, l’histoire est terminée, il ne me reste qu’à rajouter des babioles et elle devrait venir ce soir si vous êtes chanceux Cool Ensuite², je suis allée jeter un coup d’oeil au parcours scolaire et il semble que nul profil ne doive suivre le cours d’alchimie. Je suis inquiète qu’il n’y aura personne au cours de Gellert du coup (a)
tumblr


Dernière édition par Gellert M. Selwyn le Jeu 26 Juil - 9:46, édité 1 fois
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D. Marloes van Persie
D. Marloes van Persie

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : LAETITIA AKA .DAUNTLESS
CREDITS : TIPHE.
PARCHEMINS : 328
ICI DEPUIS : 26/06/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 17:55

Bienvenue potté eyes Ca me fait plaisir de voir que tu as pu t'inscrire finalement, j'ai hâte de lire ta fiche heart 2
Concernant le cours d'alchimie, en effet c'est une erreur de notre part qui sera réparée dès demain potté eyes Merci de l'avoir signalé chou
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Mara Wayne
Mara Wayne

Personnel de l'école


PRENOM/PSEUDO : April Rain
CREDITS : Alrika Laufeyson, tumblr
PARCHEMINS : 73
PROFESSION : professeur de botanique
ICI DEPUIS : 20/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 18:17

yop chou coupin lèche 2 sweet
Bienvenuuuuuuuue kyaaa Je suis contente que tu sois là !! (Oui oui je me répète hein What a Face )
(Han et en plus je suis en partie responsable de ta venue ici, c'est beau heart 2 Mais j'aime ce genre de coïncidences gnap )
Vivement que tu postes ta fiche, je veux lire ça ! ^^
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Invité




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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 19:08

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche chou
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Gamin Beaumort
Gamin Beaumort

Serdaigle


PRENOM/PSEUDO : Chloé
CREDITS : RIDDLE
PARCHEMINS : 96
PROFESSION : /
LOCALISATION : DTC
ICI DEPUIS : 22/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 20:06

Bienvenue kyaaa Excellent choix de pv! sweet
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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : Amandine
CREDITS : Tiphe
PARCHEMINS : 337
LOCALISATION : Près de toi
ICI DEPUIS : 29/05/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 20:35

Bienvenue MCAVOY PIRE QUE BON CHOIX d'avatar bone chance pour le pv pervers
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Nathaniel L. Hastings
Nathaniel L. Hastings

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : Pepito Bleu.
CREDITS : Tussanus Postea.
PARCHEMINS : 50
LOCALISATION : Entre les jambes d'un joli minois ou au fond du parc, clope au bec.
ICI DEPUIS : 22/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 20:42

McAvoy en Selwyn, bon choix I love you

Bienvenue & bonne chance pour la suite de ta fiche! =D
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Gellert M. Selwyn
Gellert M. Selwyn

Personnel de l'école


CREDITS : Primple
PARCHEMINS : 22
PROFESSION : professeur d'alchimie
ICI DEPUIS : 25/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 22:03

Merci Marloes I love you mais en fait, ça aurait pas été trop pire d'être logé, nourri et payé sans bosser siffle

J'aime tes accueils, Mara ** et tant mieux, car je compte bien rester longtemps kyaaa
oui, moi je pense qu'on était fait pour se retrouver pev

Merci Frank sweet

Han, Gamin, c'est trop chouette comme pseudo ** merci mon petit I love you

Et merci Evan et Nathaniel caliiiiin Ouais, il a de la classe ce McAvoy Cool

(et puis finalement, vous serez pas chanceux et ça ne viendra que demain matin cette histoire angel )
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Briséis-Rhea Fenwick
Briséis-Rhea Fenwick

Serdaigle


PRENOM/PSEUDO : LAETITIA AKA .DAUNTLESS
CREDITS : MOGO ♥ & TUMBLR.
PARCHEMINS : 106
ICI DEPUIS : 23/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 22:05

Gellert M. Selwyn a écrit:
Merci Marloes I love you mais en fait, ça aurait pas été trop pire d'être logé, nourri et payé sans bosser siffle

Effectivement, ça aurait été pas mal v smile J'en ai parlé en ZA et je te tiens au courant potté eyes heart 2
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Daernys-Lullaby Fenwick
Daernys-Lullaby Fenwick

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : CLARA ET CARPE DIEM.
CREDITS : UC
PARCHEMINS : 20
ÂGE : 29
ICI DEPUIS : 24/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 22:39

Bienvenue chou
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Jump T. Bell
Jump T. Bell

Gryffondor.


PRENOM/PSEUDO : Fantine/mocking.berry
CREDITS : avatar (.ESCHYLE)
PARCHEMINS : 635
ÂGE : 31
PROFESSION : étudie le sport magique
ICI DEPUIS : 08/06/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyMer 25 Juil - 23:30

Bienvenue ! Quel bon choix d'avatar!
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Randy-Jayden Fenwick
Randy-Jayden Fenwick

Poufsouffle


PRENOM/PSEUDO : SAM.
CREDITS : REDTIEBLUEJEANS POUR L'AVATAR. REDTIEBLUEJEANS ET LEVIHOSA ON TUMBLR POUR LES ICONS. V FOR VENDETTA POUR LA CITATION.
PARCHEMINS : 91
PROFESSION : ELEVE DE POUFSOUFFLE.
ICI DEPUIS : 23/07/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyJeu 26 Juil - 3:28

Bienvenuuuue I love you
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Calypso Delacour
Calypso Delacour

Serdaigle


PRENOM/PSEUDO : JEKYLL&HYDE, Ophélie.
CREDITS : .lollipops & tumblr.
PARCHEMINS : 46
ÂGE : 31
PROFESSION : élève.
LOCALISATION : westeros, gwendalavir ou terre du milieu, au fil de mes lectures.
ICI DEPUIS : 29/05/2012

GELLERT — le hasard fait le reste  Empty
MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyJeu 26 Juil - 9:17

HAN LE CHOIX DE PV potté eyes kyaaa
Bienvenue parmi nous I love you
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Gellert M. Selwyn
Gellert M. Selwyn

Personnel de l'école


CREDITS : Primple
PARCHEMINS : 22
PROFESSION : professeur d'alchimie
ICI DEPUIS : 25/07/2012

GELLERT — le hasard fait le reste  Empty
MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyJeu 26 Juil - 9:49

Merci vous trois coupin

Et j'ai terminé ma fiche **
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Sirius M. Black
Sirius M. Black

Gryffondor.


PRENOM/PSEUDO : CLARA ET CARPE DIEM.
CREDITS : SUGAR SLAUGHTER ET PEPPERLAND
PARCHEMINS : 789
ÂGE : 29
PROFESSION : ÉLÈVE DE GRYFFONDOR A TEMPS COMPLET
ICI DEPUIS : 25/05/2012

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MessageSujet: Re: GELLERT — le hasard fait le reste    GELLERT — le hasard fait le reste  EmptyJeu 26 Juil - 10:13


GELLERT — le hasard fait le reste  Hat-icon
sorcier diplômé !

le Choixpeau t'as recensé,
Félicitations Gellert M. Selwyn ! Tu es désormais validé et tu es surtout un sorcier adulte ! Hé oui ! tu ne possèdes pas les contraintes de l'école, alors c'est partit ! Transplanes où tu veux, partout dans Londres, ailleurs même !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. Gellert gère et j'aime bien ton style d'écriture I love you

Gellert, tu es, en plus de devenir un sorcier officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu étais à l'école non ? dans une maison ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous heart 2


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GELLERT — le hasard fait le reste

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