Moi, je suis un sorcier dont l'ascendance est pure et je suis élève de douzième année. Actuellement, j'étudie comme Serpentard en sports magiques et ça me plaît ! Je suis né le JJ/MM/AAAA ( au choix ) à Londres et je suis donc anglais. J'ai actuellement vingt-deux ans. Comme sorcier, il faut savoir de moi que ma baguette est faite en bois de chêne blanc, qu'elle contient un crin de licorne et qu'elle mesure 30,6 centimètres. Particulièrement souple, elle est droite et a des prédispositions pour les sorts et les enchantements. Mon patronus prend la forme au choix et face à un épouvantard, je vois le corps inerte de ma mère. Ma potion favorite est le polynectar et mon sortilège préféré stupefix. Je suis un élève faible et on dit de moi que je suis rusé, intelligent, protecteur, brave, mais aussi quelqu'un de manipulateur, impulsif, extrêmement jaloux et provocateur.. Mes matières favorites sont les Potions et la défense contre les forces du mal et celle que je déteste est la métamorphose. Je suis unique et je l'assume !



Bon, personnellement, je préfère laisser l'histoire libre. Après tout c'est votre personnage, ce serait vraiment minable qu'il soit complètement rédigé d'avance. Comme ça, vous pourrez vous approprier le personnage. Je pense que c'est mieux. Néanmoins, il y a quelques détails à respecter.

→ Mika'îl fait partie de l'une des familles les plus réputées dans le monde de la magie. Il est donc extrêmement riche et s'est habitué à un mode de vie plutôt élevé. Cela fait de lui quelqu'un de très narcissique et un "fils à papa" qui obtient tout ce qu'il désire. Il dépend énormément de son père. Il déteste donc les sangs de bourbes énormément et serait prêt à les éliminer, si on lui laissait l'occasion de le faire.
→ En découvrant ses pouvoirs à l'âge de 4 ans, Mika'îl a déclenché un incident chez les Nott. Sans le faire exprès, il s'est retrouvé enfermé dans une pièce au sous-sol de l'énorme manoir. Sa mère - pénétrant dans la pièce pour le secourir, s'est retrouvée prisonnière à sa place. Sa baguette avait pris feu et Mika'îl avait donc assisté à la scène. Depuis, son cerveau a fait une sorte de blocage. Il refuse de se rappeler de sa mère, de son incident. Aujourd'hui, il ne se souvient que des flammes, dévorant les rideaux de la pièce. Son père n'a cessé de lui répéter que ce n'était pas de sa faute, mais Mik'îl ne le croit toujours pas. C'est donc un personnage un peu "frustré", perturbé. Il évacue tous ses tourments sur les autres, c'est pour cela qu'il martyrise les autres élèves et qu'il aime le pouvoir, extrêmement. Il s'est construit au fil des années une carapace pour se protéger et essayer d'oublier cet horrible drame: il a tué sa mère.
→ Mika'îl ne supporte pas qu'on l'appelle par son deuxième prénom qu'est "Kol" car sa mère le faisait. C'est seulement Primrose qui le fait exprès pour le provoquer - elle ignore cependant que cela a un rapport avec sa maman. Il est très populaire à l'école et très réputé surtout par rapport au nombre de ses amantes. Il enchaîne les conquêtes : c'est un grand coureur de jupons, un grand dragueur. Il est officieusement en couple avec Primrose , si on peut appeler cela comme ça. Il ne s'attache pas aux gens et n'a donc pas de vrais amis en qui il a confiance. Primrose est la seule exception à la règle, c'est pour cela qu'il la déteste. Très sarcastique, provocateur et querelleur; on le trouve toujours en train de se bagarrer avec les autres élèves.

Tu es moche. Agacée, je me lève de mon fauteuil brusquement. Tes parents - choqués - se raclent la gorge bruyamment. Ma mère, me fusille du regard et d'un geste m'oblige à me rasseoir. Je te tire la langue. Je te déteste. TOI, petit fils à papa, qui débarque dans ma vie sans me prévenir et me contrôle déjà. Primrose, ma chérie, excuse-toi auprès de Mika'îl. Ma mère, cette dame aux bonnes manières toujours prête à me sortir des situations bien gênantes. Je soupire. Je n'ai pas le choix, hein Nott ? Je ne peux quitter le salon et jouer dehors vu que tu es là. Tout va changer, à présent. Je n'ai que sept ans mais je suis bien intelligente. Toi aussi, tu l'es. Arrête de prétendre le contraire. Je le vois dans tes yeux, tes gestes. Tu as tout compris, aussi. Tu sais qu'ils en parlent depuis une semaine, depuis des mois; voir même avant notre naissance à tous les deux. Tu es un Nott, je suis une Greengrass: c'est la tradition, la coutume. On n'a guère le choix. On n'est que des poupées, des pions qu'ils contrôlent à leur guise. On ne nous demande pas notre avis, à tous les deux. Ce n'est pas grave, Diana. C'est encore un enfant. Allez Kole, va jouer dehors avec Primrose. Diana et moi, devons parler toutes seules. Un ricanement. Je ne pus m'en empêcher. Pathétique. Elles nous prennent pour des imbéciles ? On les a démasquées, hein mon Kole ? Oui, MON Kole. De toute façon, que tu le veuilles ou non, tu m'es destiné. N'est-ce pas ? Soupirant, je me lève et traîne des pieds en quittant le salon. Je ne te regarde pas. Tu m'agaces. Une fois arrivés, je me laisse tomber sur le sol. Et toi tu es plus moche que notre elfe Kariva. Tu as enfin parlé. Tu ne peux le faire devant tes parents, hein ? Tu n'es qu'un petit chéri, une petite mascotte qu'on programme à l'avance. Tu ne peux les décevoir, leur tenir tête. Je l'ai compris. C'est ton point, ta faille. Malheureux, je vais en profiter maintenant. Ennemis, on l'est déjà. A nos regards, nos paroles: on ne peut être que cela. Pourtant, on devrait se lier tous les deux. L'as-tu oublié mon Kol ? On va être mari et femme.

TOI. Tu es morte. Une gifle et la voila par terre, comme une imbécile. Faible créature. Elle ne peut même pas se tenir immobile. Comment as-tu osé ? Je sors ma baguette, me laissant emporter dans une furie incontrôlable. D'habitude plus raisonnable, je prends mon temps pour réfléchir. Mais là, elle a dépassé les limites. On ne touche pas à ce qui m'appartient. Mais je n'ai rien fait, Prim. Tu es folle ? Calme-toi. Elle tremble. Elle sait que je suis meilleure qu'elle dans tous les domaines. Elle sait que d'un coup, je pourrai l'achever. Je suis la première en cours de Sortilèges. Elle sait que j'en suis capable. Expelliarmus. Ma baguette fut projetée dans l'autre sens. Je ne me retourne pas. Figée, bouillonnant de colère. Tatiana en profite pour quitter la salle commune. Je ferme les yeux, essaies de respirer. Je dois me calmer. Il ne peut me voir dans un état pareil; il n'a pas le droit. Un afflux de jalousie me submerge, subitement. Je grimace. Je ne peux être jalouse ? C'est impossible. Agacée, je me retourne. Te voila: immobile, un sourire moqueur au coin des lèvres, les bras croisés; toujours aussi beau. Je soupire. Tu souris. Tu te nourris de mes tourments, de ma tristesse. Cela te rend fort encore plus. Cela t'enchante. Tu es heureux de me voir souffrir, de me voir tant blessée et perdue. Qu'est-ce qui se passe, ici ? Tu fais comme si de rien n'était. Comme si tu n'avais rien compris. Comme si tu n'y étais pour rien. Tu fronces les sourcils - comme toujours, quand tu essaies de mentir. Je connais tes tics, par coeur, Kol. Tu ne sais pas mentir. Je me mords la lèvre, essayant de calmer ma colère. Mais en vain, ta présence ne m'apaise guère. Cela a toujours eu l'effet contraire. Tu me frustres, me perturbes. Tu fais sortir mon côté enfantin et à la fois sadique et machiavélique. Tu m'entraînes dans des jeux dangereux, malsains et inadmissibles. Tu t'amuses à me dévergonder, convaincu que je ne le suis pas assez. Il ne fallait pas t'attaquer à elle. C'est encore un enfant. Tu me déçois. Je t'emmerde. Hargneuse, je croise les bras et me retourne te laissant tout seul. Je fais quelques pas en avant puis m'arrête. Je ne peux t'abandonner. Cela m'énerve. Je te déteste tellement, je veux te défoncer la gueule, te tuer, te massacrer. Mais je ne peux le faire. Clouée sur place, je résiste contre l'envie de me retourner. Tu ne bouges pas, ne parles pas. Le silence. Tu me languir de ton absence, de ta distance. Tu t'amuses, n'est-ce pas Kol ? Tu as besoin de divertissement, et tu l'as trouvé. Ne sois pas si grincheuse ma belle Primrose. Ce n'est qu'un jeu, l'aurais-tu oublié ? Et comment ? Je ne peux l'oublier. Je ne peux me permettre de tourner la page, de penser à autre chose. Je n'ai pas le droit de croire une seule seconde que l'on est plus que de simples partenaires de jeu. Tu es heureux, enchanté, ravie. Non tu es au septième ciel. Je suis malheureuse, tu le sais, ça te rend heureux encore plus. Je n'aurais jamais du accepter. J'aurais du refuser, dès le départ. Mais je suis bien trop fière, bien trop têtue pour accepter de perdre. Je suis cependant perdue dans cette impasse, mon Kol. Viens me secourir. On est tous les deux perdus, ne prétends pas le contraire. Entre l'amour et la haine, il n'y a qu'un pas. Et on se retrouve dans cette situation là, si délicate. On est ligotés, tous les deux, par nos désirs. On ne veut céder et pourtant on en rêve nuit et jour. Ce désir nous obsède, nous rend fou de plus en plus. On se laisse emporter par notre folie du jeu sans considérer les circonstances. Me voila attachée à toi, alors qu'au début on cherchait le contraire. Te voila l'objet de mes désirs, mon cher ennemi. Te voila, présent, prêt à me secourir à chaque fois même si tu prétends le contraire. Kol, mon mal-aimé, je sens ta tristesse, ta douleur, ta peur. Tu crains de t'attacher à moi. Tu crains de m'aimer, aimer ta future femme. Tu crains d'accepter ce mariage arrangé que l'on a refusé dès le départ. Tu m'emportes donc dans ta bulle, dans ton jeu si diabolique, tu joues avec le feu, avec Satan. Tu es jalouse. Tu romps le silence. Je grimace. Je ne réponds toujours pas. Ce n'est pas une question, c'est une affirmation. Je n'ai guère besoin de m'expliquer, de m'exprimer. Tu me connais par coeur. Tu analyses mes faits, mes grimaces, mes expressions sans mon aide. Pour toi, je suis un livre ouvert. Tu crois me contrôler mais au fond on se contrôle tous les deux. Au fond, tu m'es soumis aussi mon cher Kol. C'est cela qui t'énerve. Qui te pousse à m'aimer et me détester en même temps. "Aimer". Tu n'oses pas le prononcer, n'est-ce pas ? Tu ne peux l'accepter. Tu sors avec des minettes, maintenant, Kol ? Une pique. Tu l'as mérité. Tu t'énerves. Tu vas t'emporter, exploser très bientôt. Tu détestes que je t'appelle ainsi. Pourquoi ? Je voudrai le savoir. Tu as mal à chaque fois que je prononce ce prénom. Ta douleur se transforme ensuite en colère et j'observe ce spectacle si beau, lentement. Tu es beau dans tous tes états. Triste, malheureux, gai, énervé; tu l'as toujours été. On rentre. Dolohov va te punir, sinon. Protecteur, tu n'acceptes pas que quelqu'un d'autre que toi me fasse du mal. Je suis tienne, point barre. Tu me surprotèges contre tout le monde, sauf toi même. Ce que tu ignores, cependant, mon cher Kol. C'est que TU es le vrai danger. Tu es mon bien aimé, mon tueur, mon ami, mon briseur. Ton amour, NOTRE amour, nous consume, nous détruit constamment. Nous voila perdus, pour toujours. Tous les deux, tellement fiers et orgueilleux, pour avouer ceci le premier. On s'aime et on se déteste. On ne s'aime pas mais on s'aimera toujours. Cela n'a pas de sens ? Tout comme notre amour, notre relation. Un amour vache ? Sûrement. Tout est permis. L'on se fait du mal: physique, moral. L'on se querelle constamment mais on n'accepte pas de se séparer. On est liés, tous les deux. Pas que par cette promesse de mariage, par un lien beaucoup plus fort. On se connait depuis toujours, toi et moi. Après tout, on est Prim et Kol.