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 evil's challenge ϟ pv blossom

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Mordred Fenwick
Mordred Fenwick

Gryffondor.


CREDITS : Sheeran.
PARCHEMINS : 567
ÂGE : 31
PROFESSION : élève à poud, what else ?
LOCALISATION : et ta soeur ?
ICI DEPUIS : 25/05/2012

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MessageSujet: evil's challenge ϟ pv blossom   evil's challenge ϟ pv blossom EmptySam 9 Juin - 21:13


Playing with fire.

ft. blossom & mordred.


« Bien, monsieur Fenwick... 5 points pour Gryffondor. » Je ne peux m'empêcher de sourire, dévoilant outrageusement mes dents blanches, enfin je dis "blanches", mais elles ne le sont peut-être pas. Je m'en fous si, à l'heure actuelle, toute la classe me prend pour un idiot, un petit rigolo qui se la joue, un bouffon. Je suis heureux et, pour rien au monde, je ne voudrais cacher cette douce et chaleureuse sensation. Cette dernière se faufile dans chaque extrémité de mon corps et, sur le coup, j'ai une énorme envie de me lever, de monter sur la table et de danser la chachumba (ne cherchez pas ce mot dans le dictionnaire, je viens de l'inventer...), bref de faire la fête, de crier haut et fort la joie qui me transporte. Je me retiens de ricaner en présence du prof, je tape du pied à la place. D'ailleurs, en parlant du prof, celui-ci a l'air plutôt surpris. Vous savez... il a ces yeux tellement globuleux qu'on dirait qu'ils vont sortir, voire s'expulser, de leur orbite. C'est assez morbide à contempler, moche aussi, mais moi ça me fait rire, comme réaction. J'ai conscience que je n'ai jamais été une flèche en cours, mais le professeur a l'air de me prendre pour un monstre venu d'une autre planète que la Terre. Je pousse un soupir et puis je me calme. Je ne vais blâmer son comportement, après tout, il a raison. Depuis quand ai-je fais gagné des points à ma maison ? Je crois qu'il n'y a même pas eu de première fois, c'est vous dire... mais c'est la vérité. Dès la rentrée à Poudlard, il y a treize ans de cela, et même avant à Durmstrang, j'ai compris que l'école ne me seyait pas. Trop de temps à poser son cul sur une chaise, trop de temps à rester immobile et à devoir écouter inlassablement le professeur. Je me sentais con à ne rien faire de mes journées, à écrire des phrases dont je ne comprenais même pas le sens, ou bien qui me paraissaient bien trop tarabiscotées pour être apprises. Ce que je désirais sans cesse, et ça n'a pas changé depuis, c'est de m'enfermer dans une salle de classe déserte, d'embrasser ma guitare dans les bras et de gratter sur ses cordes vibrantes. C'est dans ces moments-là que je me sens à l'aise, dans un monde que je comprends, que je me sens puissant. Des pas s'approchent de moi, je reviens brusquement à la surface et je manque de tomber de mon siège tellement mon esprit avait pris le monopole de mon attention. C'est fou comme l'on peut s'immerger dans ses pensées et que des choses matérielles puissent ainsi disparaître l'instant d'un moment. Je lève la tête, perdue, vers le professeur qui s'est quelque peu avancé vers moi. Il me regarde avec un air suspicieux. Quoi ? Il se méfie maintenant ? Qu'il croit que j'ai triché ou non, je m'en contrefous. Je hausse donc les épaules et plonge mes prunelles sur les lignes imprimées de mon bouquin et je reste ainsi pendant le reste de l'heure. Le prof a repris son cours dans la tranquillité. Il flotte une atmosphère lourde et étouffante dans la pièce. J'enfouis la tête dans mes bras, mes paupières se fermant inexorablement sur mes iris bleus et je sombre dans un semi sommeil... DRIIIIIIIIING. Tous mes muscles se contractent à ce bruit caractéristique de la fin des cours. Fin des cours. Je sursaute et me jette sur mon sac de toile afin de ranger le plus rapidement possible mes affaires posées négligemment sur la table. Vite, vite, je presse la main d’œuvre et je sors finalement de la salle, laissant derrière moi une étuve.
« Hey Blossom! » Mes deux mains sont portées à ma bouche en forme de haut-parleur. Mon cri résonne dans le couloir le plus animé de Poudlard. Personne n'y prête attention, tout le monde parle et s'intéresse à ses camarades. D'autres cris se font d'ailleurs entendre, parfois des gloussements ou des rires éclatants et sadiques à la fois. Je répète ma phrase de deux mots, mais cette fois je me fraye un passage dans la foule d'élève. « Hey Blossom! » J'ai aperçu la concernée et je n'ai pas l'intention de la laisser couler entre les doigts. L'autre jour, je n'avais obtenu d'elle qu'un regard comblé d'indifférence. Je n'avais vu pareille personne depuis ma rencontre avec cette jeune fille. Je la charrie autant que je veux, je la taquine dès que je le peux, mais rien n'y fait, elle reste de marbre, pas un sourire, pas un haussement de sourcils. RIEN. Et ce vide infini qui me fait face m'empoisonne l'esprit et me rend encore plus curieux, encore plus chiant que d'habitude. Je désire la connaitre, savoir ce qui fait d'elle cet être non-émotionnel. Plus j'essaye de la percer, plus je me prends des murs de pierre en pleine gueule. Alors, je charge à nouveau, le lendemain, avec une nouvelle tactique et aujourd'hui j'en ai trouvé une : la séduction. L'excitation parcourt tout mon réseau veineux tellement je suis pressée de mettre en œuvre ma trouvaille, d'en observer le résultat que j'espère positif. Je frissonne d'avance de voir Blossom perdre contenance, de la voir tomber de son piédestal. J'arrive à elle. La saleté ne s'est même pas retourner à l'annonce haute et forte de son nom. Ses cheveux blonds, tombant en cascade sur son dos fins, me font face. Je pose alors une main sur son bras droit, histoire qu'elle me remarque un jour. « Hey, Blossom, j'te parle. C'est pas très polie de ta part de ne pas te tourner vers ton interlocuteur... » Encore une fois, je la taquine sur la jeune femme qu'elle est, mais je sais que je n'aurais pas de résultat en la traitant ainsi. Il fallait que j'applique ma nouvelle méthode. Je plonge alors mes prunelles dans les siennes et j'esquisse un sourire en coin, assez provocateur je dois l'admettre... mais n'est-ce pas le but de ma relation avec elle ? La provoquer, coûte que coûte ? « Comment vas-tu Blossom ? » Le brouhaha s'amplifie et je suis attaqué par des coudes de temps en temps. Je maugrée malgré moi, car je risque de perdre une occasion. Je cherche du regard un recoin et mes yeux se posent sur un placard, sûrement à balais. J'agrippe Blossom toujours par le même bras et la tire vers l'endroit. Je sens une résistance de son côté, mais je la tiens fermement et, lorsque j'ouvre le placard et que je découvre que l'endroit peut contenir deux personnes entières, je la mets carrément dedans. Je me glisse à l'intérieur, ignorant ses exclamations et ferme le battant. « Lumos. » Son visage est tout prêt du mien, tant mieux, ça me facilitera les choses. « J'en étais où ? ... ah oui. Comment vas-tu ces derniers temps Blossom ? J'ai l'impression que tu m'évite. Mais, maintenant, on a tout notre temps, n'est-ce pas ? » Je lui lance un regard coquin. En vérité, je n'ai pas conscience que je joue avec le feu et que j'avive en elle un mal qu'elle porte depuis longtemps...



Dernière édition par Mordred Fenwick le Dim 10 Juin - 10:09, édité 2 fois
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P. Blossom Magee
P. Blossom Magee

Serpentard


CREDITS : mocking jay.
PARCHEMINS : 1054
ICI DEPUIS : 25/05/2012

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MessageSujet: Re: evil's challenge ϟ pv blossom   evil's challenge ϟ pv blossom EmptyDim 10 Juin - 0:17

C’est certain, cette fois-ci, ses yeux ne pétilleront plus jamais. C’est véritablement la fin. Game over, comme on dit. Game over ? Comme si sa vie n’a été, durant tout ce temps, qu’un simple jeu. De toute façon, ses yeux ne pétillaient plus depuis déjà un bon nombre d’année. La vie elle-même semblait s’être éteinte depuis trop longtemps, et ça se remarquait surtout dans ses yeux gris, vides d’émotions, la plupart du temps. Et personne n’y pouvait rien. C’était comme cela. Parions qu’elle-même, pauvre femme, n’y pouvait rien. Dans un état comme cela, on ne peut pas être heureuse. Ni être fière. On abandonne la bataille. Manque de courage, de force. Ou d’envie ? L’envie de crever, pour en finir ? Qui sait. Son teint est blafard et ses lèvres sèches. C’est fini. Oh que oui. Elle est décédée. Elle qui adoptait déjà auparavant le rôle de spectre ambulant, elle n’a plus à feindre dorénavant. Blossom, elle, elle a mal, quelque part. Elle ne parvient pas à déterminer l’endroit exact de cette douleur. Mais c’est à l’intérieur. Une sorte de boule, de nœud. Dans le corps. Dans le cœur. A moins que ça ne soit dans la poitrine. Peu importe. Ses yeux se brouillent. Elle aimerait crier le nom de sa mère. L’insulter. Lui cracher sa haine. Elle l’abandonne une fois de plus. Mais d’une manière plus définitive, cette fois-ci. Mais aucun son ne sort de sa bouche, à Blossom. Elle n’y parvient pas. Son corps s’y refuse, faut croire. Elle voit trouble. De plus en plus. Les larmes ? Aucune idée. Un son strident lui perce les tympans. Ses yeux s’ouvrent subitement. Un rêve. Ce n’était qu’un rêve. Elle n’est pas chez elle. Pas maintenant. Elle est à Poudlard. Un soulagement. Un immense soulagement. Quoi qu’elle est tout de même agacée. Et dire que cette infâme putain parvient à la hanter ici aussi. Oh, il ne faut pas croire que Blossom passe son temps à cauchemarder de sa propre mère. En réalité, elle pionce même mieux à Poudlard qu’autre part. Généralement, ces mauvais rêves répondent : « présent ! » lorsque les vacances arrivent. Parce que, lors de cette période, Blossom est supposée rentrer chez elle, comme certains élèves font lors des vacances. Elle finit toujours par rester le cul dans l’herbe à Poudlard. La trouille au ventre de revoir sa mère. Lâche. Une foutue lâche, elle n’est rien d’autre. Finalement, ce n’est sans doute pas pour rien que le choixpeau l’a désignée comme étant une Serpentard, lors de sa répartition.
Soit. Dormir en cours, à vrai dire, elle le fait régulièrement. Elle n’a aucun intérêt à suivre ces cours. Aucune envie, aucune motivation, et rien à tirer. Donc, elle sèche. Ou roupille. Ou, à de rares occasions, daigne accorder sa présence aux autres élèves et au professeur. Et encore, n’attendez pas d’elle qu’elle participe au cours. De toutes façons, elle n’y connait rien, elle, à la magie. Née-moldue. Cela signifie bien qu’elle n’est pas vraiment une sorcière. Ou en tout cas qu’elle n’a pas sa place ici. Elle range vulgairement ses quelques affaires dans son sac et prend la fuite. Prendre la fuite, une de ses spécialités, remarquez.

Elle entend vaguement quelqu’un prononcer son nom, dans les couloirs. Pas intéressée. Là, tout de suite, elle ne souhaite qu’une chose : sortir prendre l’air et griller une lucky strike. On verra après pour le reste. Dans le genre assez lunatique, Blossom, elle peut vous tomber dessus sans prévenir et vous taper la causette, comme vous fuir comme la peste pour être seule. Et là, ce n’est pas vraiment qu’elle veut être seule, vous voyez, mais elle veut sa clope, Blossom. Compagnie autorisé, si clope il y a. Elle entend son nom une seconde fois. Néanmoins, cette fois-si, elle reconnait la personne. Il s’agit sans aucun doute de Mordred Fenwick, un Gryffondor. Peu importe, encore une fois. Elle trace. Elle a bien capté que ce type-là ne la porte pas dans son cœur. Sans réelle raison, d’ailleurs. Quelques provocations, quelques moqueries. Et une indifférence totale en réponse. Mordred ne lui inspire strictement rien. Ni amitié, ni amour, ni haine. Une simple indifférence. Elle n’a pas envie de discuter avec lui, de le connaître. Pas envie de se disputer non plus, ou de se battre. Elle s’en moque. Chaque action avec lui serait sans doute une perte de temps incroyable. Aucun envie ne lui vient, lorsqu’elle le voit. Si ce n’est d’aller voir ailleurs, quelqu’un de plus … intéressant. Blossom accélère légèrement le pas. C’est que ce con-là serait capable de la rattraper, vous savez. Qu’il essaye donc de l’empêcher de fumer sa sèche. Et puis, il ose, oui, il l’attraper par le bras. Les mots défilent. Pas très polie ? Elle ne l’est pas vraiment. Remarquez, on ne peut pas dire non plus qu’il l’est énormément, lui, avec sa prise d’otage conversationnelle. Contrainte, elle se retourne vers le garçon. Il tente on-ne-sait-trop-quoi en la regardant, yeux dans les yeux, et sourire en prime. Blossom observe son stratagème, toujours muette. A quoi joue-t-il, cette fois si ? Ce garçon a un don pour jouer toutes de personnages à la fois. L’emmerdeur. Le type louche. Le blaireau un peu collant. Absolument tout. Il relance, demande à la jeune femme « comment vas-tu » Ni un seul sourire, ni une seule grimace. Seulement ses yeux, parcourant tantôt les gestes du garçon, tantôt les individus se bousculant dans ce couloir. A la fois attentive et distraite. Totalement ambivalente. La seule chose qu’elle a en tête, c’est d’aller fumer sa sèche. Oh, qu’il l’accompagne, s’il le souhaite. Elle ne partira pas en courant. Elle l’ignorera. Sans doute. A quoi bon lui accorder une quelconque importance ? A-t-il une seule utilité ? A ses yeux, non. Blossom accorde un intérêt seulement aux personnes pouvant lui apporter quelque chose. Hors, Mordred ne lui décroche ni rire, ni sourire. Ni même l’envie de se quereller, ce qui est pourtant divertissant, quelques fois.

Il part, alors, vers un placard. Autant dire que cela ne dérangerait absolument pas Blossom s’il ne tenait toujours pas son bras. Hors, il la force à l’accompagner. Une manière un peu brute. Un peu sauvageonne. Blossom comprend qu’elle n’aura pas le droit à sa cigarette tout de suite, hélas. Forcément, elle résiste. Elle en est même à regretter de ne pas être lourde. Genre, dans les quatre-vingt-dix kilos. Qu’il ait du mal à la tirer aussi facilement. Il la place dans le placard. Oui, il la place. Vulgaire objet, vulgaire jouet. Fais de moi ce que tu veux, hun ? L’impression de n’être qu’une marionnette, en vérité. C’est qu’elle n’a pas pu se défendre, Blossom. Elle n’en a ni eu le temps, ni eu la force. Mettez un type pareil face à une brindille comme elle. Forcément. Il fait sombre, dans ce placard. Lorsque Blossom entend le battant se fermer, son cœur s’accélère, sans raison apparente. N’allez pas penser là qu’elle a une certaine peur d’être enfermée avec lui. Il ne l’effraie pas et elle ne pense pas une seule seconde qu’il puisse lui faire quelque chose de mal. Il n’est pas suffisamment tordu. Foutu. Il n’en a pas l’air, du moins. Oh non, si son rythme cardiaque s’accélère légèrement, pour l’instant, ce n’est sûrement pas à cause du garçon, mais de la situation. L’enfermement en est la cause. Blossom est claustrophobe. Et entendre ce battant se fermer est suffisant pour qu’elle se sente mal à l’aise. Enfin. Elle se raisonne. Elle n’est pas dans un ascenseur, ni dans un avion. Elle peut sortir si elle le veut. Pas de quoi paniquer, dans ce cas-là. Néanmoins, elle reste tout de même enfermée, et dieu sait, s’il existe, que c’est déplaisant. Il faut aussi dire qu’elle commence à étouffer sérieux. Du moins, c’est l’impression qu’elle a. Comme s’il n’y aurait jamais suffisamment d’air dans ce minuscule placard à balai pour que les deux survivent. Entre temps, Mordred a jugé bon de mettre un peu de lumière, avec un sortilège. Il l’ouvre, encore une fois. L’impression qu’elle l’évite ? Tout juste mon grand. Il ajoute qu’ils ont dorénavant tout leur temps. « Hélas, je doute sincèrement ressentir le besoin ou l’envie de t’accorder un peu de temps. » Incroyablement polie et calme, avec ça. Quoi qu’elle serait plutôt tentée de répondre avec un « va te faire foutre et laisse-moi sortir, d’accord ? », en vérité. Pas la plus délicate, en général. Faut croire que ça l’amuse de rester aussi calme et de garder ses injures pour elle, avec lui. Elle se contrôle facilement. Sans doute l’une des choses qu’elle tient de sa mère : sa capacité à rester impassible et froide, si elle le souhaite. Pour le moment, sa respiration est à peu près normale. Bien qu’étant un peu plus rapide que la normale. Pas de crise d’angoisse, donc. Elle peut sortir quand elle veut. C’est ce qu’elle se répète, dans sa tête. Un malaise, une gêne, c’est tout. Son regard se papillonne entre la porte du placard et le garçon. « Ceci dit, j’aimerai que tu ôtes ta main de mon bras, pour que je puisse sortir d’ici. » et vite. Plus le temps passe et plus sa respiration devient plus rapide et plus courte que d’habitude. Ce ne serait pas si dérangeant que cela, au fond, si elle n’était pas aussi proche que cela –physiquement parlant- du garçon. L’ennui, c’est qu’à cette faible distance, il risque de s’en rendre compte. Se rendant bien compte que monsieur ne va pas déverrouiller la porte pour elle, Blossom dirige sa main valide – parce qu’il n’a toujours pas ôté ses doigts de son bras, le bougre- vers le battant. Sortir, et vite. Sans vraiment s'en rendre compte, Blossom se recule, petit à petit, pour se coller contre le mur. Mettre un maximum de distance envers elle et le gryffondor. Pour avoir plus d'air. Du moins l'impression.
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