moi, le magicien,

prénoms : horace gaspard, mais j'ai toujours trouvé le gaspard plutôt superflu. nom : slughorn... nom étrange, je sais. nature du sang: né-moldu. âge : quarante-et-un ans. date et lieu de naissance : deux janvier à glasglow en écosse. nationalité : écossais. profession : professeur des potions puisque j'aime les potions. en fait, je suis dans les potions depuis très longtemps. j'ai travaillé à st-mangouste (j'étais excellent, comme vous vous en doutez sûrement) et c'est mon très cher ami albus qui m'a demandé de devenir professeur. puis, je suis également le directeur des serpentards, mais ce n'est qu'un poste à part... ancienne maison : serpentard bien entendu. statut matrimonial : célibataire. votre baguette : ma baguette est faites en bois de saule, mesure vingt-neuf centimètres et contient du venin de acromantula (les grosses araignées, vous voyez). elle est très rigide et droite.matières favorites : j'adorais les potions, une chance, et l'histoire de la magie. matière détestée : je détestais l'arithmancie, une matière complètement inutile selon moi.votre patronus : une chenille. face à l'épouvantard : je vois ma famille... mais morte. c'est bizarre non ? particularité magique : aucune, bien malgré moi, même si je suis plutôt doué pour me métamorphoser.

l'interrogatoire des aurors,

une potion : felix felicis (la chance liquide). Un sortilège : spero patronum (le sortilège du patronus). une chanson : pas vraiment une chanson, mais la suite numéro un de Bach pour violoncelle. un instrument de musique : le violoncelle. un bijou : les pendentifs. une insulte : va te faire cuire une bouse de dragon. une phobie : le noir. une couleur : le vert (puis ensuite le brun). une créature magique : les vélanes. un sorcier célèbre : Dumbledore, mon grand ami que je respecte beaucoup. un objet moldu : une brosse à dent. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : *toussote* vomi. un endroit : mon bureau. un mot doux : mon chaton. un conte : le sorcier et la marmite sauteuse.

généreux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ infidèle ; téméraire ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver. quidditch ou lecture : quidditch. patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille. argent ou amitié : amitié. st-mangouste ou ministère de la magie : st-mangouste (j'y ai travaillé). cavalier ou fou : fou. balais ou transplaner : transplaner. elfe de maison ou liberté : liberté. astronomie ou arithmancie : astronomie (je déteste l'arithmancie, je croyais vous l'avoir déjà dit). chat ou chien : le chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Je n'ai rien contre les Black, croyez-moi. J'ai enseigné à plusieurs membres de la famille et je les trouve tous très intéressants. À mon avis, je ne pense pas qu'Orion puisse faire un bon premier ministre de la magie. Aucun Black ne pourrait faire un bon premier ministre. Ils sont vils et n'acceptent pas (pour la plupart) l'idée que des Moldus peuvent apprendre la magie dans un institut comme Poudlard. Pour eux, les étudiants « nés-moldus » sont sûrement tous des incapables... mais regardez-moi ! Suis-je mauvais ? Non, pas du tout, bien au contraire. Orion n'a pas le potentiel pour être premier ministre et bientôt, les autres vont le réaliser. Et quand ils vont le réaliser, ils vont pouvoir dire que j'avais raison. J'ai souvent raison, mais on pense que je suis un « illuminé »... Je ne le suis pas tant que ça non ? Je ne suis pas tant bizarre, mes propos sont la plupart du temps crédibles et justes. On dirait que depuis que je suis professeur, tout le monde a oublié que j'étais un philosophe réputé et un sorcier fort intéressé par la politique (et reconnu pour mes opinions d'ailleurs) ! Je pourrais en parler pendant des heures vous savez. Mais là, je dois partir, j'ai un rendez-vous... oui oui.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Cordélia est un cas à part. Je ne connais aucun professeur qui l'aime quand j'y pense. Mon ami Merwyn trouve que ses décrets sont beaucoup trop strictes et « vieux-jeu ». Et effectivement, elle est vieux-jeu. Vous imaginez, elle empêche les étudiants de se bécoter ! C'est stupide et complètement inutile. J'ai bien essayé de lui parler une fois, gentiment, mais elle m'a marché sur le pied avec ses talons sans même m'adresser la parole ou s'excuser ! C'est une folle, voilà tout ! Je fais ce que je veux et si elle essaie de me faire changer, je vais lui dire d'aller se faire cuire d'la bouse de dragon. Et regarder la : on dirait un cadavre ambulant. Elle se met de profil et pouf! elle a disparue. Merwyn et moi l'appelons le « sac d'os ».

Quel est votre souvenir le plus douloureux : Sachez mes chers amis que mes compagnons de Serpentard avaient de la difficulté à aimer ma présence. Et quand je dis « difficulté », c'est qu'il ne voulait tout simplement pas essayer de me supporter. Je ne faisais rien de mal croyez-moi, je restais moi (normal). Ils devaient être jaloux de mon talent. Ils mettaient ça sur le dos de la différence, car pour eux, j'étais différent, chétif et - malheureusement - bavard. On m'insultait, on me baissait les pantalons grâce à la magie, on me lançait des surnoms étranges tel que « Slug la limace » et, bien entendu, « sang-de-bourbe ». Je n'étais pas un vrai serpentard pour les autres étudiants de mon âge, je n'avais pas le comportement typique des serpentards et on me l'a souvent reproché. Mais qu'est-ce qu'un « vrai serpentard » au juste ? Enfin bon, ironiquement, je suis maintenant le directeur de cette même maison. Marrant non ?

à l'intérieur de ma pensine

sujet choisi : matinée à diagon alley.

J'étais assis confortablement dans mon siège, mangeant de délicieux ananas cristallisés que m'avait offert l'un de mes anciens étudiants quand je pus percevoir des hululements de hibou. Je ne m'intéressais guère à eux en premier lieu, préférant lire ma gazette en paix. On y lisait : « Orion Black, nouveau Ministre de la Magie ». Qui avait eu la fâcheuse idée de le nommer premier Ministre ? C'était absurde, un scandale, j'étais outré. Outré de savoir que ce Ministre n'allait guère rester assis bien longtemps sur son trône. Je n'ai rien contre les Black croyez-moi, mais ils ne savent point comment diriger des gens. Ils sont insipides et malsains, ils susurrent et traficotent des plans machiavéliques dans les coins les plus sombres de notre monde. Il faut faire attention. Je n'ai jamais eu la chance (ou la malchance) d'échanger des vocables avec cet air sombre et ténébreux, mais j'ai la certitude qu'il est vil et que, bien sûr, il n'aime point les nés-moldus tel que moi. Suis-je un mauvais potionniste pour autant ? Nope.

Les hululements se trouvaient être de plus en plus persistants, de plus en plus énervants. Je levai les yeux de mon journal, cherchant autour de moi la fenêtre derrière laquelle serait susceptible de se cacher l'un de ses hiboux voyageurs qu'on utilise tant. Je la trouvais rapidement, puisque bon, il n'y avait qu'une fenêtre dans la pièce où je me trouvais (qui se trouvait être mon gentil petit bureau dans ma gentille petite maison). « Alohomora », proclamais-je, ayant pris ma baguette quelques instants auparavant. La fenêtre s'ouvrit, laissant le passage pour cette créature ailée tant aimée des sorciers. Elle vola vers moi et vint se poser sur le guéridon situé à la gauche de mon siège. Je pliai minutieusement mon journal, le posant sur mes genoux doucement, puis je tirai l'enveloppe du bec de l'oiseau. « Que vois-je, une lettre de mon ami Wagtail... » Je me mis à la lire une fois. Puis une autre fois. Puis encore une autre fois. Elle n'était pas très claire. En fait, je n'y comprenais rien. On pouvait y lire que sa pauvre soeur était malade et que puisque je suis un potionniste de réputation, mon très cher ami avait pensé à moi pour que je puisse la guérir. Elle avait prise, pour une raison que j'ignorais complètement, une potion d'enflure et séjournait désormais dans un état critique chez elle, n'arrivant pas à bouger d'un pouce. Malheureusement pour mon ami, il ne pouvait pas aller chercher les ingrédients lui-même, car s'il osait quitter le chevet de sa soeur, elle pourrait mourir d'étouffement. Il avait déjà la plupart des ingrédients, mais il lui manquait du pus de Bubobulb. Je déposai la lettre sur le guéridon, le hibou étant rapidement parti par la fenêtre d'où il était venu, je me levais, pris ma poudre de cheminette, me dirigeais vers la seule cheminée de la maison (soit dans mon bureau) et tout en criant « chemin de traverse », je disparus dans un épais nuage de fumée pour apparaître dans une cheminée se trouvant sur cette mythique allée. Tout en toussotant un bon coup, je sortis d'un pas assuré de la boutique pour me rendre à celle de l'apothicaire du coin. L'un de mes bons amis.

L'homme gras aux joues rouges se tenait derrière son comptoir, prenant le temps de répondre aux questionnements des jeunes étudiants cherchant à tout prix des bézoards. Pendant ce temps, j'arrangeais un tantinet mes vêtements. Je remis mon nœud papillon bien droit, je remontai mes pantalons, je regardai ma montre à gousset. Puis les étudiants partirent, leur bézoard enveloppé dans un petit sac brunâtre. « Horace, mon ami ! » « ... Hé ! » « Que me vaut l'honneur de ta visite ? » « Je suis à la recherche d'un ingrédient bien spécifique, pour faire une gorgée de Désenflage... » « Du pus de Bubobulb ? » « Euh... oui ? » « J'en ai pas. » « Ah ? » « Non, mais », il baissa le ton de sa voix et se rapprocha de mon oreille, « tu pourras en trouver sur l'allée des embrumes. » Je restai figé quelques instants, me forçant à sourire. « C'est une blague ? » « Non... pourquoi ? » « Rien. Au revoir, ravi de t'avoir vu. » D'un pas rapide, je sortis de chez l'apothicaire. L'allée des embrumes. Oh non. Le coin le plus mal-famée du monde magique, le coin où se tient les escrocs, les voleurs et les tueurs. Je n'avais pas peur, non, j'étais effrayé.

Déjà suite à mon premier pas, on avait le tableau : l'allée était petite, sombre et une épaisse fumée provenant de nulle part nous aveuglait. Des boutiques telles que Barjow et Beurk défilait à mes côtés. Je regardai à travers la vitrine. Des êtres vêtus exclusivement de noir y faisaient boutiques. Je passai mon chemin. Je finis par trouver le petit kiosque de l'apothicaire, tenu par une femme au nez crochu et au dos biscornu. Je m'approchai, un petit sourire hypocrite sur le visage. « Bonjour, je voudrais... » « Enlève-moi ce sourire stupide de ton visage Slughorn ! » J'arrêtai de sourire, m'apprêtai à continuer, quand je remarquai un truc. Elle connaissait mon nom. Comment pouvait-elle le connaître ? Cette vieille femme difforme devant être deux fois plus vieille que Dumbledore lui-même ! « Vous... vous me connaissez ? » « Bien sûr que je te connais Horace ! Tu ne te souviens pas de moi ? » « Euh... » « J'étais première dans notre cours de potion en troisième année en Poudlard ! On travaillait ensemble. Tu n'as pas changé d'un pouce. » « Ah oui, je me souviens. Toi, tu as... tu as... » « Changée. Enfin bon, pourquoi viens-tu dans cet endroit sinistre ? » « Je recherche du pus de Bubobulb. L'apothicaire du chemin de traverse m'a dit que je pourrais en trouver ici. » « J'en ai oui. » Je souris, content d'avoir enfin trouvé ce que je cherchais. « Quel est le prix ? » Je sortis mon porte-feuille, me préparant à payer n'importe quoi pour partir d'ici. « Un baiser. » Mon sourire se relâcha, mon argent faillit tomber sur le sol. Un baiser ?! Pour qui se prenait-elle ?! « Je t'ai toujours aimé tu sais. Alors, je voudrais un baiser. » « Non. » « Tu n'auras donc pas ton pus. » Je pensai à mon ami. Ce cher Wagtail, il aimait tellement sa soeur. Les deux étaient comme les deux doigts de la main. Je savais que si elle mourrait, Wagtail n'aurait plus aucune raison valable de vivre dans ce monde qu'il trouve insensé. « J'accepte... » J'approchai tout doucement ma bouche de la sienne puis je déposai mes lèvres sur les siennes (des lèvres très sèches si vous voulez savoir). Après quelques instants, j'enlevai mes lèvres des siennes, puis je lui dis : « Maintenant, tu me donnes mon pus de Bubobulb. » « Rooh, calme-toi un peu, ce n'est pas la fin du monde. » Elle me donna un flacon rempli et sans dire un mot de plus, je détalai. « Tu pourrais dire merci ! »

***

« Voilà le pus qu'il te manquais. Veux-tu que je t'aide pour la potion où tu vas la concocter toi-même ? » « Je vais la faire. Toi, occupe-toi de ma sœur, que sa gorge ne s'enfle pas trop. » Il partit avec le flacon en main, me laissant seul aux côtés de son ballon de sœur. Ses bras étaient énormes, ses jambes étaient énormes, ses doigts ressemblaient à des saucissons et sa figure à un gigantesque pamplemousse. Elle ne pouvait pas parler et avait beaucoup de difficultés à bouger. C'est pourquoi elle restait allongée, les yeux grands ouverts. « Ton frère arrive bientôt avec la gorgée de Désenflage. » Comme seule réponse, elle cligna des yeux. Je m'assis sur une chaise en bois et je commençai à regarder autour de moi jusqu'à ce que je trouve un journal. Je le pris, je l'ouvris, puis recommençai ma lecture là où j'étais rendu lorsque j'avais été dérangé.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Nevermore.
ton prénom : Hahaha
ton âge : Dix-sept ans.
ton avis sur le forum : Il m'a redonné le goût de m'inscrire sur un forum HP. Car bon, pratiquement tout le monde a commencé sur un forum Harry Potter. Et j'ai toujours voulu joué à l'époque des Maraudeurs, seulement, je n'ai jamais eu d'idées de persos. Mais là, le pv de Horace (et un autre m'intéressait bien) était trop
comment as-tu transplané ici ? Par un endroit qu'on nomme Bazzart.
ta disponibilité : Cinq jours sur sept, donc presque toujours sauf le week-end. Mais ce sont les vacances bientôt *haha*
ton avatar : David Fucking Tennant.
ton personnage : Prédéfini. Je ne pouvais pas résister car premièrement, Slughorn me fait marrer, deuxièmement, j'ai toujours aimer sa personnalité et je le trouve très intéressant à jouer (avec son club de Slug et tout) et troisièmement, le choix d'avatar que vous avez choisit pour camper ce rôle est parfait. Tennant quoi !
le mot de passe : Sachez que ce mot de passe est trop vrai ! J'en ai rencontré un hier et il avait oublié ses chaussures, on pouvait voir une épaisse fumée verte nauséabonde provenant de ses pieds. Enfin bon, voilà le fameux mot de passe : Mumus confirme
une dernière volonté : S'il vous plaît, jouez une chanson joyeuse à mes funérailles, je ne veux pas que mes invités pleurent.