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 ROUND AND ROUND (EVAN).

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Bonnie S. Arton
Bonnie S. Arton

Personnel de l'école


PRENOM/PSEUDO : dripping alchemy.
CREDITS : mine (avatar), tumblr (gif)
PARCHEMINS : 70
PROFESSION : bibliothécaire depuis le début de l'année scolaire. Bien qu'enthousiaste au début, elle s'est vite aperçu que ce métier ne lui apporterait rien aussi bien sur le plan financier qu'intellectuel. Finalement, elle gagnait plus en vendant ses charmes à de riches sorciers.
ICI DEPUIS : 31/07/2012

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MessageSujet: ROUND AND ROUND (EVAN).   ROUND AND ROUND (EVAN). EmptySam 25 Aoû - 12:48

๕ ROUND AND ROUND ๕ FT. EVAN ROSIER.
Poussière et soleil se mêlaient comme deux parfaits amants dans la bibliothèque encore calme. Matin obligeait, naturellement. Les rayons de lumière, encore maigres, se fondaient sur les étagères remplies d’épais ouvrages ô combien fastidieux à ouvrir pour un élève. Quelques jeunes sorciers s’affaissaient autour des tables de travail, certains griffonnant avec une rapidité surprenante sur leurs parchemins, d’autres posant et reposant les livres nécessaires à effectuer leurs devoirs. Mais pas un mot, pas une seule parole ne brisait le silence d’or qui régnait sur la bibliothèque depuis son ouverture. En même temps, le plus hardi des insolents pourrait essayer d’ouvrir la bouche qu’il se retrouverait dehors sans avoir eu le temps d’effectuer le moindre son, la faute à cette bibliothécaire qui ne supportait pas que l’on trouble le calme olympien et légendaire de cet endroit dédié aux plus érudits. Pourtant, la bibliothécaire que les élèves baptisaient Miss Arton, n’avait rien d’effrayant. Bien au contraire. Perchée sur ses onze centimètres de talons, sa longe chevelure brune et bouclée rebondissant à chaque pas, elle ne donnait pas vraiment envie de se taire. Plutôt de la siffler, en fait. Bon nombre s’y étaient essayé mais tous avaient fini dehors sans la moindre explication. Quand on la connaissait un peu mieux, elle pouvait se montrer compréhensive et tolérante. Certains osaient s’aventurer sur le terrain périlleux qu’était l’humour mais Bonnie le prenait toujours avec le sourire. Après tout, les élèves en voyaient de toutes les couleurs avec certains professeurs, n’avaient-ils pas le droit de penser que la bibliothèque pouvait les aider à décompresser après une dure journée ?
Le regard de la demoiselle alternait entre la pile de livres qu’elle tenait docilement dans ses bras et les noms des étalages. Successivement, elle les reposait à leur place sous les yeux de quelques élèves qui levaient brièvement la tête au son de ses pas. Un jeune garçon, croisant alors la route de Bonnie, se risqua à lâcher un « Jolie robe, Miss Arton », sourire aux lèvres. La jeune femme lui rendit son sourire, tout en sachant que le Poufsouffle qui la complimentait fréquentait souvent la bibliothèque et donc, qu’il la connaissait plus ou moins. Rien de bien méchant donc. Pour autant, le deuxième obstacle qui l’attendait n’était pas être du même avis. « Vous devriez être plus ferme avec les élèves, Bonnie. Ne pas leur donner l’impression de faire partie de leur cercle d’amis ou les traiter avec indifférence vous éviterait d’attirer des ennuis. » Une remarque, une énième remarque. Comme toujours. Les doigts fins de la jeune femme tapotaient docilement la couverture de l’ouvrage qu’elle s’apprêtait à ranger, signe perceptible de son exaspération profonde. La voix de l’homme, qui avait daigné ouvrir la bouche pour la gratifier d’un tel compliment, était ponctuée d’ironie, de misogynie, de satisfaction, même. Une voix qui exaspérait, une voix qui agaçait la dénommée Arton alors qu’elle ne faisait que remplir son devoir de bibliothécaire. Elle ne répondait rien pour l’instant, trop occupée à ranger ce livre rendu quelques jours plus tôt, et son regard refusait de croiser celui de son collègue masculin qui se faisait un plaisir de la déranger dans son travail. « Bibliothécaire et professeur sont deux professions bien distinctes, Amos. C’est d’ailleurs pour cela qu’elles ne portent pas le même nom », finit par articuler Bonnie de sa voix fluette mais pourtant ferme. « En l’occurrence, votre rôle est d’ennuyer les élèves contrairement au mien qui est de les divertir. Lire rend aimable, vous devriez essayer. » D’un geste brusque, elle s’empara d’un livre au hasard pour le donner avec tant d’amour à son charmant collègue de sortilèges et enchantements. Amos O’Connor était le seul chieur du corps enseignant. Quand bien même la majorité des professeurs se montraient aimables avec la jeune femme, lui préférait lui pourrir l’existence. Selon lui, Miss Arton n’avait pas sa place. Selon lui, Miss Arton serait mieux dans un bar ou dans une maison close moldue plutôt que de conseiller des petits sorciers sur le livre à choisir pour leur devoir de Défense Contre les Forces du Mal. Après tout, on n’était jamais trop prudent ; Bonnie pouvait faire un strip-tease en plein milieu de la bibliothèque ou transformer la pièce en salle de speed-dating. Même si elle n’était pas fana de son rôle de bibliothécaire, elle l’était assez pour se montrer consciencieuse dans son travail. L’homme repartit donc hébété, le livre à la main, maugréant des mots remplis de sournoiserie et finit par sortir de l’immense pièce. Enième victoire pour la Arton qui se contenta simplement de tourner sur elle-même à l’abri des regards indiscrets. Enfin, indiscrets, c’était ce qu’elle croyait. Un jeune homme de sa connaissance se tenait au fond du rayon et, probablement conscient d’attirer le regard de la belle, se mit à renverser, défaire, enlever les livres qui se trouvaient à son niveau. Bonnie mit un temps avant de réagir tant la grossièreté de l’acte lui semblait tout bonnement impossible et impensable. Pourtant. Un troisième obstacle l’attendait au fond du rayon, rayon qu’elle arpenta à grandes enjambées telle une furie prête à bondir sur sa proie. Elle délaissa la pile qui lui restait à ranger et sortit sa baguette, ses yeux noirs fixant avec intensité le Serpentard à sa hauteur. « ROSIER », aboya-t-elle sans ménagement avant de s’arrêter net, ses deux mains sur ses hanches. « Vous mettez le bazar une nouvelle fois et je ferme la bibliothèque en stipulant à vos camarades qu’il faudra vous demander des explications. Alors vous rangez. MAINTENANT ! » Bonnie aurait pu employer un ton beaucoup plus calme au vu de sa relation avec le jeune Evan Rosier. Mais pourquoi donc, au fond ? Elle n’avait fait que le déflorer suite à un pari, comme tant d’autres. Ce n’était pas parce qu’il était encore à Poudlard qu’il bénéficierait d’un traitement de faveur. Loin de là.
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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : Amandine
CREDITS : Tiphe
PARCHEMINS : 337
LOCALISATION : Près de toi
ICI DEPUIS : 29/05/2012

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MessageSujet: Re: ROUND AND ROUND (EVAN).   ROUND AND ROUND (EVAN). EmptyLun 3 Sep - 18:24

๕ ROUND AND ROUND ๕ FT. EVAN ROSIER.
Tu avais la dent dure et cela, personne ne le savait vraiment. Oui, tu étais le genre de personne qui ne passait pas les ponts facilement et pour toi, certains souvenirs pouvaient te hanter durant des années. Te baladant dans les couloirs, tu savais exactement ce que tu allais faire. Tes pas te poussaient en direction d’un lieu que tu ne connaissais pas vraiment. Il est vrai que tu n’avais, au cours de ta scolarité, que passer un temps minimal dans la bibliothèque. Tu n’étais pas le genre de personnes à passer des heures, la tête dans un bouquin poussiéreux pour gagner quelques points. Non, tu avais toujours été le genre de personnes qui préféraient peser sur ses acquis, qui ne travaillaient pas outre mesure et cela t’avait assez bien réussi. Tu n’avais jamais doublé une seule année et tu ne pensais en aucun cas suivre ce chemin. Tu savais que cette année se passerait sans encombre. Alors, pourquoi te retrouvais-tu ici ? Pour une raison bien plus obscure que toi seul était capable de comprendre. Tu avais, depuis quelques mois, une envie plus que poussée de rendre la monnaie de sa pièce à quelqu’un. Tu savais, sans le moindre doute, que c’est ici que ta vengeance serait complète que tu pourrais mettre hors d’elle l’une des plus affreuses créatures que cette terre n’avait jamais peuplé. Tu avançais entre les allées tout en essayant de ne pas te faire remarquer. En effet, la discrétion était ton maitre mot pour qu’elle ne comprenne pas ce qui l’attendait. Heureusement pour toi, elle était occupée, entourée d’hommes qui la draguaient comme elle en avait si souvent l’habitude. Femme à l’homme, elle l’était sans aucun doute et toi, tu en avais pâti à une époque où tu étais beaucoup plus innocent, beaucoup moins cruel, plus influençable. Maintenant, tout cela était fini et tu pouvais t’amuser à ta guise. Ton petit plaisir était de la faire tourner en bourrique. Pour le moment, tu t’amusais à échanger des livres de places. Tu savais qu’elle ne le verrait pas avant plusieurs heures ou jours et qu’elle se mettrait immédiatement en colère. Cela pouvait sembler enfantin ou cruel mais tu avais bien pire en réserve. Oui, dans un élan de bonté, tu avais décidé de faire descendre les livres des étagères afin qu’ils viennent embellir le seuil de la veille bibliothèque. Oh, elle allait t’en vouloir mais tu n’en avais que faire, elle le méritait. Tu avais la dent tenace et elle allait seulement le comprendre maintenant. L’observant d’un coin de l’œil, tu lâchas un rire plutôt discret n l’observant faire sa drôle de dance. Oui, Bonnie Arton était vraiment une femme étrange et au fond elle l’avait toujours été. Totalement envoutante, tu la détestais pour ce qu’elle t’avais fait mais tandis qu’elle s’avançait vers toi, tu étais bien obligé d’admirer la courbure de sa taille, sa merveilleuse peau, tout ce qui faisait d’elle une sublime créature qui un soir avait été tienne. La furie fonça sur toi et l’attaque ne pouvait qu’arriver. « ROSIER ! Vous mettez le bazar une nouvelle fois et je ferme la bibliothèque en stipulant à vos camarades qu’il faudra vous demander des explications. Alors vous rangez. MAINTENANT ! » Un sourire taquin apparaissait sur tes lèvres tandis que tu appréciais l’état dans lequel tu venais mettre la vielle demoiselle. Oh oui, elle paraissait furieuse et toi, tu ne pouvais t’empêcher de jubiler de la situation. Ne savait-elle pas qu’il ne fallait pas s’attaquer à toi ? Ne savait-elle pas qu’on ne devait pas se jouer de toi ? Non elle ne l’avait pas su et maintenant, elle allait en payer le prix sauf qu’elle ne le savait pas encore ce que cela allait lui coûter. « Oh Mademoiselle Arton, je ne sais pas du tout pourquoi vous m’accusez. Il est certain que vous n’avez aucune preuve de mes méfaits supposés et que vous ne pouvez donc pas faire des conclusions si hâtives. » Tu marquas une petite pause tout en t’approchant tout doucement d’elle. Tu voulais la mettre mal à l’aise, joué avec elle comme elle l’avait fait avec toi à un moment étrange et dérangeant de ton existence. « En tout cas, la personne qui a si méchamment dérangé votre bibliothèque attendait surement que vous ramassiez ces livres pour apercevoir vos gambettes ou bien le reste. » Tu savais qu’elle allait te tuer pour avoir osé dire une telle chose mais tu t’en moquais totalement. Elle le méritait et tu avais envie de la faire passer pour un bout de viande ce qu’elle était maintenant à tes yeux. « Cependant si il vous plait à crier mon nom et à vous jeter sur moi, je n’y vois pas le moindre inconvénient. » Elle allait t’arracher la bouche pour avoir osé dire une pareille chose mais tu t’en moquais, tu voulais voir sa réaction et la détruire comme elle avait pu faire avec toi. Tu attendais maintenant à voir sa réaction, à découvrir ce qu’elle avait en tête et surtout à apercevoir ce que pouvait donner une Bonnie Arton en colère.
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ROUND AND ROUND (EVAN).

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