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 evan&emma ∞ set fire to the rain.

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Emma Fawkes
Emma Fawkes

Poufsouffle


PRENOM/PSEUDO : JEKYLL&HYDE, alias Ophélie.
CREDITS : sugar slaughter & lynsyfonsecadaily.tumblr.
PARCHEMINS : 762
ÂGE : 31
PROFESSION : élève.
LOCALISATION : gwendalavir, narnia, westeros ou terre du milieu, au fil de mes lectures.
ICI DEPUIS : 18/05/2012

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MessageSujet: evan&emma ∞ set fire to the rain.   evan&emma ∞ set fire to the rain. EmptyMer 13 Juin - 20:11

And the games you'd play, you would always win,
but I set fire to the rain.
Il faisait beau. Dehors, le soleil éclairait de sa vive lumière le parc bordant l’école, apportant à ces lieux des airs d’été malgré la fraicheur de ce mois d’Octobre. J’avais toujours adoré le parc de Poudlard en cette période, lorsque les couleurs dorées et orangées embrassent les arbres de leurs teintes chatoyantes. Apaisantes de par leur beauté. Une beauté pouvant paraitre des plus simple, moment quotidien auquel on ne fait souvent pas attention, mais qui, lorsque l’on prend le temps de regarder peut être réellement magique, parfois bien plus que tous les enchantements enfermés entre les murs de l’école. La magie est après tout, bien subjective. Un instant, les mots de ma mère me revinrent en mémoire, réminiscence d’un soir d’été des plus banals. Alors que tout était différent, que j’ignorais tout des pouvoirs que je possédais réellement. Ce jour là, je me rappelle que je jouais dans le jardin avec Gregory, mon frère. Un jeu de chat des plus innocents, une course effrénée rythmée par nos rires entremêlés. Ce jour là, j’avais demandé à ma mère, dans ma candeur enfantine, si la magie existait. Une question existentielle pour le petit cœur battant de la jeune enfant que j’étais. Une de ces mille questions que l’on se pose à cet âge là : est-ce que le père Noël existe ? Pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi ? Comment ? Toutes ces questions sur le Monde qui nous entoure, le désir de tout savoir. Ma mère m’avait alors répondu par des mots gravés dans mon cœur comme au fer rouge, inextricables. Je poussai un léger sourire en repensant à cet instant tandis que je me quittais ma salle de métamorphose. La fin de la journée était enfin arrivée et, comme souvent, j’avais décidé d’occuper cette fin d’après-midi pour en me posant dans le parc, profitant des rayons automnaux pour travailler tranquillement.

En général, la plupart des élèves préféraient le calme de la bibliothèque, temple des érudits et du savoir. Là ou s’entremêlent l’odeur âcre du vieux cuir et du parchemin, le grattement des plumes et les chuchotements discrets. J’aimais bien la bibliothèque mais je préférais largement la fraicheur du parc bordant le château. De rares élèves trainaient comme moi dans le parc, en groupe ou seuls, riant ou méditant. Je m’avançais tranquillement en direction des tribunes du terrain de quidditch, lieu que j’affectionnais tout particulièrement. En effet, en dehors des périodes de matches, ces hauts gradins de bois verni, décorés fièrement aux couleurs des différentes maisons de l’école étaient très silencieux, contrastant avec la ferveur bruyante des supporteurs de quidditch. Je Si j’appréciais cette clameur entêtante durant les matches, il fallait avouer que c’était bien ce silence, apaisant, que je préférais. Je m’installais enfin sur l’un des gradins, ouvrant mon vieux sac de cuir pour y sortir un parchemin et une plume, me décidant à commencer mon devoir de potion, qui devait être un descriptif de la réalisation et des réactions durant la préparation de la potion de ratatinage, que nous avions fabriqué hier. Un rire jaune s’échappa de mes lèvres, le cours de la veille ne s’était pas vraiment bien passé, bien au contraire. En effet, alors que l’on m’avait mis en binôme avec un élève de Serpentard, Evan Rosier, celui dernier s’était montré très froid, avant de partir en renversant la potion. Résultat, un zéro et un devoir de punition à rendre pour la fin de la semaine, génial. Je tiquai à cette pensée, d’ordinaire j’étais une élève plutôt sérieuse, et assez bonne en potions, c’était bien la première fois que le professeur Slughorn me punissait. Je poussais un cri rageur en y repensant. Que donc lui avait pris ? Je ne comprenais pas, me remémorant le moindre mot qui s'était prononcé durant ce cours. La moindre parole, le moindre geste. Rien ne semblait justifier une telle réaction de la part du Serpentard. Et pourtant, je ne pouvais m’empêcher de me demander pourquoi. Cela me troublait, je détestais perdre le contrôle ainsi, ne pas comprendre ce qu'il se passait. Cela me rendait malade. Soudain, des pas se firent entendre, faisant craquer légèrement le bois massif des gradins. « Que fais-tu ici ? » demandais-je, en reconnaissant celui qui venait également profiter du calme du terrain.

Citation :
c'est nul et en plus je mets deux ans à le poster, Arrow je suis désolée je ferais mieux (et plus rapide !) au prochain mon chou ! I love you
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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


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ICI DEPUIS : 29/05/2012

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MessageSujet: Re: evan&emma ∞ set fire to the rain.   evan&emma ∞ set fire to the rain. EmptyVen 29 Juin - 8:50

And the games you'd play, you would always win,
but I set fire to the rain.
Tu étais encore totalement énervé parce qui s’était passé hier. Oui, tu avais passé une très mauvaise nuit et tu t’étais fait porté pâle pour tous les cours de la journée. Tu aurais surement une retenue mais tu n’en avais que faire, cela ne te ferrait rien. C’était le début de l’année ou du moins, elle n’était pas encore totalement entamée et puis, qui viendrait te déranger. Tout ce que tu voulais c’était un peu de paix et cela tu ne pouvais pas vraiment l’acquérir en te trouvant en cours. Non, tu avais tous ces regards qui se tournaient dans ta direction et tu n’aimais vraiment pas cela. Tu t’étais senti comme une bête en cage et puis, il y avait eu elle, sans doute la pire de toutes, celle qui se pensait meilleur qu’eux mais qui était bien pire. Trop gentille, trop adorable, dans ton esprit cela cachait obligatoirement quelque chose et tu ne désirais vraiment pas découvrir de quoi il s’agissait. Sa gentillesse t’avait donné envie de dormir car il était impossible qu’on se montre aimable avec toi sauf pour avoir quelque chose en retour. Tu ne voulais pas te laisser avoir, tu l’avais déjà été bien trop souvent et cela ne te plaisait nullement. On avait décidé, avant même que tu viennes ici, que tu serais un souffre-douleur que les autres te traiteraient pour un monstre parce que tes parents ont fait une erreur dont tu n’es nullement responsable. Depuis le temps, tu étais habitué à beaucoup de choses mais surtout pas à ce qu’on soit sympathique avec toi. Tu préférais les regards méchants ou les paroles acerbes car tu savais ce que la personne pensait mais là tout avait trop agréable et cette manie qu’elle avait de vouloir te faire la conversation. Tu avais trouvé cela des plus détestables si bien que tu avais fini par craquer, renversant le chaudron au sol et sortant en trombe de la pièce. Pour cela, tu t’étais ramassé une retenue, ce n’était la première et cela ne serait certainement pas la dernière. D’une certaine manière, tu y étais maintenant habité, tu connaissais l’endroit comme ta poche et tout ce qu’on pourrait t’y faire subir ne t’empêcherait pas de vivre une agréable existence, autant que pouvait l’être ta triste et sombre vie. Après quelques heures passées à trainer quelque part dans le château, tu t’étais enfin décider à sortir de cet endroit pour te trouver ailleurs. L’extérieur, de la liberté à l’était pur, c’était ce que tu désirais, te promener dans le parc et être seul avec le silence. Cela était bien trop demandé puisque ton passage amenait des réactions multiples et variées qui ne te plaisait pas. Tu détestais même cela, toutefois, tu ne pouvais rien faire contre, tu étais bien obligé d’accepter cet état même s’il te rendait quelque peu malade. Cependant, tu cherchais, dans ton esprit, un endroit où personne ne viendrait te déranger et tu le trouvas. Il n’y avait aucun match de Quidditch prévu aujourd’hui et tu pensais que le terrain serait désert. Tout ce qu’il te fallait afin de décompresser un tant soit peu. Pour toi, il n’y aurait personne et tu n’avais même pas fait attention à ce qui t’entourait tandis que tu montais sur les gradins. Ton idée était des plus simples, te cacher là, un petit miment avant de te trouver un autre lieu. Le calme et la paix voilà tout ce que tu demandais. Malheureusement, il devait y avoir quelqu’un qui désirait te faire souffrir atrocement puisqu’il t’envoya directement sur elle. Non, tu ne voulais pas penser à elle, tu ne voulais plus la voir et encore moins lui parler. Avait-elle vraiment décidé de te rendre fou jusqu’au bout ? Il semblait bien que ça soit le cas. Cette folle te poursuivait pour te rendre malade, pour t’amener à la tuer, tout simplement. Oui, tu ne voulais pas de sa gentillesse, tu ne voulais pas qu’elle soit près de toi. Tu ne l’aimais pas, tu ne l’apprécierais jamais parce que tu étais et seras toujours persuadé que tout cela n’est qu’une façade pour mieux te détruire. « Que fais-tu ici ? » Tu n’aimais pas ces propos ni la manière dont sonnait ce qu’elle venait de te dire. Tu avais l’impression que cet endroit lui appartenait et que tu venais de la perturber dans son lien mais tu avais autant le droit qu’elle de te retrouver ici et puis pourquoi était-elle toujours sur ta route. Décidément, tu n’apprécierais jamais cette demoiselle, là où tu ne désirais pas qu’elle soit. « J’y fais ce que je désire, à ce que je sache les gradins n’appartiennent pas aux demoiselles trop gentilles pour être honnêtes. » Ton ton avait été froid, sans aucune émotion, tout comme ton visage, rien n’y ressortais si ce n’était tes deux prunelles glaciales qui la transperçait tel des poignards. Oh oui, tu n’allais pas y aller par quatre chemin, tu n’étais pas ce genre de personne et elle allait vite comprendre qu’en s’attaquant à toi, elle venait de faire une grande bêtise. T’approchant doucement d’elle tu ne lâchais pas du regard, essayant de rester fort, toi petit gamin, terrorisé par ce monde. « Pourquoi étais-tu gentille avec moi ? Pour t’approcher du malade Evan, lui faire croire que tu pouvais l’apprécier avant de lui faire une crasse dans le dos et rigoler avec les autres. » Tu marquas une pause tout en t’approchant encore davantage de la pauvre demoiselle. « Ton plan n’a pas marché et ne marchera jamais, je n’ai besoin de personnes et surtout pas d’odieuses créatures dans son genre. Alors si ma présence ici TE gêne, tu es totalement capable de t’en aller. Marcher, cela doit être dans tes capacités ? » Tu étais méchant, totalement injuste, elle était gentille et toi tu l’attaquais. Personne ne te comprenait mais pour toi c’était ta seule façon de te défendre, on te bousculait dans les couloirs, on se moquait de toi, tu étais le souffre-douleur qui voulait arrêter de souffrir. Au fond, tu n’étais qu’un gamin totalement perdu, incapable de te montrer gentil parce qu’on t’avait prouvé que tu ne faisais pas partie de ce monde et qu’on ne désirait nullement t’y donner une place. La méchanceté, voilà tout ce qui te restait, voilà pourquoi tu te montrais extrêmement froid, surtout à cet instant, tandis que tu te sentais si faible.
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Emma Fawkes
Emma Fawkes

Poufsouffle


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MessageSujet: Re: evan&emma ∞ set fire to the rain.   evan&emma ∞ set fire to the rain. EmptyMar 24 Juil - 20:40

And the games you'd play, you would always win,
but I set fire to the rain.
« J’y fais ce que je désire, à ce que je sache les gradins n’appartiennent pas aux demoiselles trop gentilles pour être honnêtes. » Je me retournais vers lui fronçant les sourcils d’étonnement, ne m’attendant guère à une réaction aussi cinglante. « Pourquoi étais-tu gentille avec moi ? Pour t’approcher du malade Evan, lui faire croire que tu pouvais l’apprécier avant de lui faire une crasse dans le dos et rigoler avec les autres » . J’ouvris la bouche pour lancer une réplique cinglante mais la referma immédiatement. Je ne ressentais pas une once de colère, pas de rage, pas d’énervement. Rien de tous ces sentiments viscéraux, émotions dévorantes pouvant métamorphoser chacun de nous en un battement de cil. Ces comportements bien souvent insensés, emplis d’une violence qui s’infiltrent en nos âmes comme un venin des plus vils. Non, pas de tout ça. C’était un tout autre sentiment que je sentais prendre chaque part de mon être, bien moins violent. Incompréhension. Non, décidément je ne le comprenais pas. J’avais beau réfléchir, me remémorer les rares instants passés ensemble mais rien ne semblait justifier un tel mépris. Pas d’insultes, pas de violences. Rien qu’une ignorance réciproque, une indifférence entre deux êtres que tout avait toujours opposés. Et que rien ne semblait pouvoir rapprocher. Lui, le serpentard issu d’une bien noble lignée mais dont la sombre réputation était connue et reconnue entre les murs de l’école et moi, une simple née-moldue issue de la maison poufsouffle, une fille parmi tant d’autres. Diamétralement opposés, comme nés pour s’ignorer. Et pourtant tandis qu’il se rapprochait d’avantage de moi je me ressassais à nouveau le moment, entremêlement de secondes qui avait tout engendré. Qui aurait cru, décidément qu’un jour Rosier et Fawkes ne ferait ne serait-ce que s’adresser la parole. Et pourtant. Comment pouvait il penser ça de moi ? Incompréhension.

« Ton plan n’a pas marché et ne marchera jamais, je n’ai besoin de personnes et surtout pas d’odieuses créatures dans son genre. Alors si ma présence ici TE gêne, tu es totalement capable de t’en aller. Marcher, cela doit être dans tes capacités ? » La, c’était trop. Beaucoup trop. Enfin, la colère montait, viscérale, faisant mes points se refermer avec force. Mes ongles s’enfonçaient dans ma paume jusqu'à m’en faire mal tandis que mes phalanges se blanchissaient, mais ça n’avait pas d’importance. Rien n’avait plus d’importance que cette colère, bouillonnante et puissante entremêlée de cette incompréhension. Je ne le comprenais pas, et cela me rendais malade de voir cette méchanceté éclatée au grand jour. « Mais bon sang, c’est quoi ton problème, Rosier ? » Brusquement, je me levais pour lui faire face, ignorant les affaires qui tombaient de mes genoux en un bruit sourd, le contenu de mon encrier s’écoulait désormais sur le bois écaillé du gradin en une tâche noire et brillante comme un lac. Je m’en fichais néanmoins. « Je ne t’ai rien fait, rien du tout à ce que je sache, et c’est pas mon intention. Puis merde, tu n’as pas à me juger, tu ne me connais même pas ! » Je marquai une légère pause, la colère s’était calmée, aussi soudainement qu’elle était apparue. Il ne pouvait agir comme ça impunément, personne ne le pouvait. Cela pouvait paraitre bien utopiste et peut-être que j’étais une pauvre sotte naïve, mais je me refusais à croire que l’on pouvait être foncièrement mauvais. Il y avait forcément une blessure profondément cachée au fin fond de son âme, n’importe quoi. Quelque chose qui le poussait ainsi à montrer les crocs pour un rien. Je soupirais prenant le temps de ramasser frénétiquement quelques parchemins emplis d’encre avant de me relever pour lui faire face à nouveau. Poussant un soupir avant de parler. « Tu sais Rosier, tu n’aurais pas à craindre autant que les gens te fasse du mal si tu n’agissais pas comme un animal blessé, attaquant à tout va. Tout le monde n’est pas gentil par intérêt malgré ce que tu semble croire, et c’est sur qu’en continuant à agresser la moindre main tendue que resteras toujours seul » J’ignorais ce qu’il m’avait pris, les mots étaient sortis, s’écoulant naturellement comme un torrent furieux.

Citation :
Ou comment avoir écrit le rp depuis ce w-e et avoir oublié de le poster siffle
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