à l'intérieur de ma pensine
Chapitre Un ♕
Le début et autre banalité
Puisque toute histoire à un début, vaut mieux commencer par là. Né le jour de l’halloween, à Salem alors qu’une pluie torrentielle avait provoqué un manque d’électricité et que même les hiboux refusaient de voyager sous cette pluie. Je fus le troisième enfant d’une famille de six. Taylor, Camille, moi, Mireille, Charles et Sebastian. Mes parents, tous deux sorciers avaient un grand cœur. Concis de rester à la maison vu une vielle blessure de Quiddich, mon père fut parent au foyer alors que ma mère tenais une librairie dans le quartier sorcier. Car même si je n’étais pas de sang pur, j’étais né d’une famille de sorcier. Mon père avait dragué ma mère leur dernière année d’étude et quelques semaines avant la fin des cours elle avait tombé dans ses bras. Quelques mois plus tard ils se marièrent en apprenant la venue inattendue de Taylor. Il n’y a pas grand-chose à dire sur mon enfance à vrai dire. Elle fut heureuse, remplis de bagarre avec mes frères, de jeux avec mes sœurs et de moments à me cacher dans la librairie de maman pour lire l’histoire des grands sorciers de notre époque et a recréé ces grandes bataille dans le jardin familial. À onze ans je fus accepté à l’école de magie de Salem, je fus mis dans la confrérie des gens avec une soif d’aventure et des ambitieux. Bref, une vie normale, emplis d’amour et de magie. Banal quoi.
Chapitre Deux ♕
Mary-Lynn
«Finn Paylor Shepard, rend moi ça tout de suite.» Je regardai la petite blonde avec un sourire moqueur. Bon sang qu’elle était belle lorsqu’elle était en colère. De mon sourire le plus narquois, je regardai son livre d’astronomie.
«Sinon quoi? » Dans la salle commune, les gens avaient été habitués à ce genre d’éclat. J’aimais autant charrier mes frères et sœur que mes amis, les embêtant au maximum. Mais depuis quelque mois, mon dévolu c’était jeté sur la plus belle fille de l’école. Mary-Lynn Duseuil. Ses yeux bleu foncé, sa bouche en cœur, sa poitrine volumineuse et ses cheveux blond avaient fait tourner la tête de plus d’un garçon. Elle, connaissant son pouvoir, c’était toujours arrangée pour être au bras des plus populaires joueurs de Quiddich ou préfet de l’école. À seize ans, elle était la reine de l’école et elle le savait bien. Et je n’étais qu’un homme. Sa beauté ne m’avait pas laissé indifférent. Mais je refusais d’être un de ces chiens de poche qui la suivait le regard suppliant, dans le simple but de pouvoir tenir ses cahier ou de pouvoir avoir une soirée avec elle. Sans me vanter, j’avais mon lot de succès avec les filles et je préférais me concentré sur elle que sur une fille qui croyait que sa beauté pouvait lui permette de traiter les hommes comme des moins que rien.
«Donne-le moi tout de suite Shepard! C’est l’examen demain» Ah oui. Les examens de fin d’année. Rien qui ne me stressait réellement. J’avais un don avec l’école que certains n’avaient pas. Je n’étais pas le meilleur de ma classe mais mes résultats variaient entre Effort exceptionnel et Optimal et ce avec un minimum d’étude.
«Et quoi tu ne te rappelle plus si c’est la terre qui tourne autour du soleil ou l’inverse? » Elle me darda d’un regard qui me fit éclater de rire. Elle paniquait vraiment la pauvre. Oui, j’avais la chance d’être excellent à l’école, mais je savais que certains avaient plus de difficulté que moi. Arrogant, mais pas méchant. Je lui tendis son livre rigolant.
«Oh ça va fait pas cette tête, habituellement tu adooooores que les gars tiennent des livres. » Elle prit le livre et tourna les talons, vexé. Je roulai les yeux. Elle était belle. Mais c’était une vraie peste cette fille
. «Dis Finn, tu veux nous aider?» Je me tournai, c’était ma sœur Mireille qui était avec de ses amies, elles semblaient faire un devoir de sortilège. En bon grand frère je m’assis donc avec elle et je tentai de lui expliquer ce qu’elle n’avait pas compris. La pauvre. Avec les BUSEs qui arrivaient, elle était sur le bord de la crise de nerf.
Cet été-là, ce fut la coupe du monde de Quiddich à Salem. Fébrile, le monde magique américain se ruait pour avoir des billets alors que la France jouait contre la Hollande. Grace à ses anciens contacts, mon père nous eut des billets dans les gradins. Avoir un père qui avait fait une saison dans l’équipe Américaine servait au final. C’est donc à la fin de l’été que toute la famille se retrouva à camper dans un champ, entouré de centaines d’autres sorciers en attendant l’heure où il faudrait se rendre au stade. Après avoir maquillé mon plus jeune frère au couleur de la France, j’allai chercher de l’eau au puit à la demande de ma mère. C’est alors qu’une voix m’interpella. Devant une tente se trouvait Mary-Lynn qui agitait sa main. M’autorisant un petit détour, je me dirigeai vers elle et fis un sourire.
«Je ne savais pas que tu avais des billets!» me dit-elle. Il était vrai que contrairement a plusieurs personne de l’école, je n’avais pas crier sur tous les toits que je pouvais venir ici. La présence de la jeune fille, par contre, ne me surpris pas. Son père était sous secrétaire au ministre de la magie. C’était sans doute le genre de truc qui apportait ce genre de privilège. «
Ouais, cadeau de fin d’année de mon père. » Dis-je, à demi-sourire. Je remarquai alors une jeune fille sortit de la tente et me regardaiavec des yeux vitreux . «
Ma sœur» dit-elle, gêner. Après une brève discussion, je partis de sa tente, ayant promis à ma mère d’apporter de l’eau. Mais je ne pu m’empêcher de jeter un dernier regard sur elle. Qui aurait dit que la fille la plus populaire de l’école avait chez elle une jeune sœur handicapée physiquement et mentalement.
«Je le veux». Le publique applaudit alors que je fus autorisé à embrasser celle qui serait maintenant ma femme. Comment en étions nous venu là. D’une fille qui m’ennuyait et que je trouvais égoïste, me voilà à lui avoir juré fidélité devant Dieu et les hommes. J’aimais Mary-Lynn. Plus que tout. Si au début de notre septième année elle m’avait fait la tête en me suppliant de ne rien dire pour sa sœur, je fini par me lier d’amitié avec elle, à devenir son confident sur cette situation qu’elle cachait aux yeux de tous mais qu’elle trouvait horriblement difficile. Et une confidence en apportant une autre, au retour de Noël nous nous étions embrassé comme jamais. Depuis je savais qu’elle était la femme de ma vie. Du moment où j’avais vu son côté plus humain, je l’avais compris. Et maintenant, elle était mienne a jamais.
Chapitre trois ♕
Who want to save the world tonight
Je me retrouvai rapidement au ministère à la fin de mes études pour être dans les aurors. Chasseurs de mage, combattre pour un monde meilleur. C’était ce que je voulais. J’avais toujours voulu donner à ma famille une sécurité, une assurance que jamais ils ne seraient blessés et inquiet pour chacun. Non pas que nous vivions dans un temps de guerre, mais je savais que la paix s’achetais au coup de grandes guerre secrete. S’il y a quelque chose que j’avais retenu de mes cours d’histoire, c’était bien que la paix entre sorcier était souvent voilés d’un drap blanc, couvrant milles histoire et combat aux héros inconnu qui mouraient pour être simplement donner à leur prochain un futur meilleur. C’était ce genre de vie que je recherchais, ce genre d’histoire que je voulais avoir. Et d’avoir Mary-Lynn dans ma vie, de la voir s’occuper de sa sœur en devenant médicomage simplement pour savoir la soignée un peu mieux, tout ça me faisait vouloir un monde encore un peu plus en paix, un monde un peu plus sécuritaire. Un monde qu’elle méritait vraiment.
«Avada Kedavra» J’esquivai le sortilège de mort de justesse, plongeant sur le ventre, j’eu le temps de faire un mouvement de baguette et de lancer un sortilège d’entrave avant de poursuivre la bataille. L’homme devant moi me sourit. Je ne le connaissais que trop bien. C’était un type populaire du temps que j’étudiais à l’école. Populaire, certes, mais sans cervelle. Il existait des mages noirs plus puissants que d’autre. Celui que je pourchassais depuis quelques mois avec mes comparses avait fait repère au Texas, et on savait que quelques sorciers plus naïf s’était rallié à lui, croyant réellement pouvoir avoir de plus grand pouvoirs qu’il ne pourrait jamais possédés. C’était ça ma vie maintenant. Passer des mois à traquer quelques mages, faire un plan d’attaque, m’absenter souvent de la maison pour faire des missions d’infiltration ou de protection et lorsque le moment était propice frapper durement et détruire toute tentative de mal. Du petit malfrat à la simple protection de sorcier, c’était le lot d’un auror. Et bien que je m’éloigne souvent de mon foyer, je savais que chaque action que je posais aidait à l’équilibre de notre monde. Aujourd’hui, c’était enfin un soir d’action. Nous avions assez de preuve pour incarcéré le petit groupe de sorcier, maintenant c’était le temps de les arrêter Une fois les renforts du ministère arrivé, des dizaines d’aurors tentèrent de démantelé l’organisation. Que le plus fort gagne, c’était ce soir que nous allions le savoir. Je sentis un sortilège m’entailler la joue. Je levai ma baguette, la nuit allait être longue mais je refusais de sortir d’ici autrement que victorieux.
Suite à cette immense bataille, je pu revenir près de Mary. Le temps de lui promette de fonder une famille, d’acheté une maison et de me faire croire que j’étais heureux. Mais bien que nous ayons réussis à détruire une organisation, une autre se créa ou j’eu a faire une patrouille pour la sécurité des étudiants qui entraient à l’école. . Quittant la maison plusieurs mois, ne revenant que quelques semaines. Je détruisais mon couple, Mary trouvait cela difficile, mais elle avait fini par l’accepter. Par comprendre que je me battais pour lui offrir un monde sans danger.
Chapitre Quatre ♕
Back to reality. Oh! Here's come gravity
Assis dans les escaliers, le bras en écharpe, un verre de scotch dans ma main valide, je regardais les valises devant ma porte. On frappa, je regardai le morceau de bois d’un air glacial. Comme si je pouvais tuer cette porte avec ma simple pensée. À l’étage, j’entendis Mary dire «
tu ne vas pas répondre» j’eu un petit rire sarcastique. Elle osait. En hochant la tête, je bu mon verre et ne bougeai pas d’un centimètre. On frappa de nouveau à la porte. J’entendis des pas pressé descendre l’escalier, Mary me jeta un regard noir, je lui rendis la pareil. Dave était dans le cadre de porte, il eut un sourire radieux en voyant la jeune femme répondre, mais son teint changea de couleur lorsqu’il m’aperçut le dévisager avec haine. «
Vas-y embrasse là, ce n’est pas comme si tu ne l’avais jamais fait. A moins que le fais que je sois là te dérange? » Lançais-je, acerbe. J’entendis Mary-Lynn soupirer.
«Finn…» Je déposai mon verre sur le sol avec trop de force, il éclata. Je contenais ma rage bien mal. «
Ne me ‘’Finn’’ pas Mary. Je ne dis que la pur vérité.» Bel accueil n’est-ce pas. Dave entra dans la maison alors que je donnai un coup de baguette au débris de verre qui reprit leur forme initiale. «
Tu as tout?» Demandais-je à la femme devant moi. Elle avait les yeux plein d’eau, elle allait pleurer. Encore. Je le sentais. Mais elle ne m’entendrait pas ainsi. Pas cette fois. Je vis le grand badaud prendre les valises et les apporter à sa voiture, elle se retourna vers moi, les joues humides. Je ne savais pas pourquoi, la voir ainsi me mettais encore plus hors de moi. «
Au revoir» pleura-t-elle.
«Adieu» clarifiais-je. Elle étouffa un sanglot.
«Je suis désoler Finn…» J’hochai la tête, hors de moi. J’avais envie de l’étrangler de ma main inerte
. «Non tu ne l’es pas. Une fois c’est une erreur, durant trois ans c’est une situation amoureuse. » Je regardai mon ex-femme essuyer ses larmes qu’elle savait inutile. Avait-elle du remord, je l’ignorais. Tout ce que je savais en ce moment c’était la sensation de trahison qui me traversait la colonne me déplaisait énormément. «
Pourquoi?» Demandais-je. Cette question me brulait les lèvres depuis que j’avais découvert le petit manège qui se passait lorsque j’étais partit au combat.
«Tu n’étais jamais là.» «
Tu savais à quoi t’attendre bien avant de m’épouser» «C’était dur. » «
Pour moi aussi tu sauras» «
Tu aurais fait la même chose dans ma situation » «Q
ui te dis que je ne me suis jamais fait draguer durant mes voyage. » «
…» Dave nous attendais à l’extérieur, les bras croisés. «
Au moins j’espère que ton meilleur ami te donnera ce que tu voulais. J’espère qu’il valait le coup et qu’il était bon au lit. » Dans un geste de pur méchanceté, j’allai replacer son manteau correctement. Elle pleura de plus belle, ce qui m’irrita. «
Finn…» Agacé, je tournai les talons, pris mon verre et montai les marche de la maison pour aller dans ma chambre. J’entendis la porte se fermer puis je regardai celle que j’avais aimé quitter dans la voiture de son amant, celui avec qui elle m’avait trompé durant tant d’années. J’avais risqué ma vie pour donner un monde meilleur à une fille qui ne le méritait même pas. Je lançai mon verre contre le mur et poussai un cri de rage qui se transforma en sanglot. Mon monde venait d’exploser, je n’avais plus rien dans la vie.
Chapitre cinq ♕
Poudlard
Deux semaines plus tard j’avais vendu la maison. Incapable d’y vivre. Je pris un mois de congé durant lesquels je passai la majorité de mon temps à boire jusqu’à m’endormir sur mon divan de mon petit appartement en haut de la librairie de ma mère, que mon plus jeune frère Sebastian gérait maintenant. J’allai en cours régler les derniers papiers du divorce qui donnait la moitié de ce que je procédais à celle qui m’avait arraché le cœur. Mon humeur avait changé, j’étais devenu plus acerbe, même au travail. Mon patron m’obligea à prendre un mois de repos pour ‘’remettre ma vie en ordre sans quoi il devrait céder aux plaintes de ses compagnons et devoir le rétrograder à un poste administratif. ‘’ La belle merde quoi.
«Aller debout fainéant!» C’était Mireille qui tirait les rideaux de ma chambre. Le soleil qui me tapa les yeux fut trop vif, j’émis une plainte en plaquant mon drap sur mon visage
«quesquetufaisla» marmonais-je. «
J’en ai marre de te voir couler à cause de cette nana. Alors viens. Sebastian et moi on t’emmené à l’hôpital Ste-Honoré te faire soigner.» Je me redressai, brutalement.
«Je suis pas malade!» «Tu n’es pas en santé non plus, alors soit tu le fais par volonté, soit je t’assommé avec un chaudron. Dépêche. » Parfois avoir été élevé avec des garçons avait rendu ma sœur si forte de caractère que s’en était renversant. Je sortis de consultation avec dans mes mains des anti-dépresseurs et une famille beaucoup plus soulager de me voir essayer de remonter la pente.
Si au départ je n’avais pas voulu de l’aide, maintenant je savais que j’en avais eu besoin. Grâce à des consultations et la bonne dose de potion je fini par sortir ma tête de la zone grisâtre dans laquelle Mary-Lynn m’avait laissé. Et ‘est un matin en lisant le journal au travail que j’appris pour l’attaque anti-moldu à Londres. Ça avait un gout de déjà vu, mais encore trois fois pire. Je demandai à mon patron si les aurors anglais n’avaient pas besoin d’aide. Après tout je m’y connaissais en traque et j’avais besoin de changement. Être transféré, même si ce n’était que pour quelques mois, me ferait du bien. Après quelques appels par cheminer, on me parla d’un poste de défense contre les force du mal à l’école là-bas. Un poste venait de se libéré et j’étais plus que qualifier pour enseigner vu mon expérience sur le terrain. Sans même prendre le temps d’y réfléchir, bien que je n’ai aucune notion sur comment enseigner, j’accepter derechef. Ce n’était qu’un défi de plus à relever…