Moi, je suis un sorcier dont l'ascendance est pure et je suis élève de septième annéeé. Actuellement, j'étudie comme Gryffondor et ça me plaît ! Je suis né(e) le JJ/MM/AAAA à Nottigham et je suis donc Brittanique. J'ai actuellement dix-sept ans. Comme sorcier, il faut savoir de moi que ma baguette est faite en bois de rosier, qu'elle contient une larme de fée et qu'elle mesure trente centimètres très exactement. Particulièrement rigide, elle est incurvée et a des prédispositions pour les sortilèges de défense. Mon patronus prend la forme d'un loup des neiges et face à un épouvantard, je vois moi même, en face de la silhouette d'un homme, une impression de déjà vu me prends et lorsque je lève les yeux vers son visage, celui-ci se dérobe, représention du père que je n'ai jamais connu. Ma potion favorite est potion et mon sortilège préféré sortilège. Je suis un élève très bon/bon/moyen/faible/médiocre et on dit de moi que je suis généreuse, sympathique, enjouée, loyale, mais aussi quelqu'un de tête de mule, colérique, impatiente, colérique.. Mes matières favorites sont la métamorphose et la défense contre les forces du mal et celle que je déteste est l'étude des runes. Je suis aussi particularité magique. Je suis unique et je l'assume !


Je préfère vous laisser l'histoire en partie libre, afin que vous puissiez vous approprier le personnage à votre image, néanmoins je crois qu'il est important que certains points soient respectés, afin que mon scénario corresponde à mes attentes et à l'idée que je me fais du personnage mais aussi et surtout à l'histoire de ma Eden étant sa fille, c'est important pour moi.

→ Saphyre est née alors qu'Eden était très jeune, à peine sortie de l'adolescence. Fruit de l'amour passionnel de deux adolescents éperdument amoureux, une histoire d'amour, de passion, de sentiments exacerbés bien loin de s'imaginer les conséquences de cette histoire. En effet, Eden était loin de s'imaginer tomber enceinte à seize ans. Néanmoins, ce fut une belle histoire qui soudain fut brisée. (voir scénario Tobias)

→ Elle a grandi dans un contexte plutôt aisé, héritière d'une famille de renom, où la pureté prime bien que sa mère ne lui à jamais inculqué les principes de sang radicaux auxquels elle ne croit pas. Pourtant, Scrimgeour est un nom empli de renommée et de majesté au sein des murs de l'école, ainsi elle ne peut vraiment échapper à cet héritage mais est plutôt considérée comme une traitre à son sang par les radicaux.

→ Elle a toujours pensé que son père était mort, et ce n'est que depuis cet été qu'elle a retrouvé une lettre adressée à sa mère. Depuis elle en veux énormément à sa mère de lui avoir menti, et s'est mise en tête de retrouver son père. Ignorant que celui-ci se trouve à Poudlard, là ou elle étudie depuis déjà des années.

TWO YEARS LATER ∞ Les rires résonnaient dans la modeste maison de Nottingham. Francs, incontrôlés. Les rires entrelacés d'une mère et d'une fille qu'un rien pouvait faire s'esclaffer tant la complicité était palpable. Elles étaient tout, proches comme jamais tant elles se ressemblaient, le même visage angélique, les mêmes boucles dorées. Eden et Saphyre, Saphyre et Eden. La mère et la fille, la fille et la mère. Unies à jamais. Élevée dans la rigueur d'une famille de renom, Norah-Eden s'était toujours refusé à élever son enfant dans les principes où elle même avait été élevée, ne lui inculquant guère les principes de sang pourtant propres à sa glorieuse lignée. « Bon arrête maman » s'exclama Saphyre en calmant peu à peu son fou rire. « Faut qu'on finisse ce gâteau je te rappelle, la fête est ce soir ! » Scrimgeour mère et fille se tenaient dans la cuisine de leur maison, leurs vêtements tachés de farine, alors que la préparation d'un gâteau d'anniversaire pour une amie de Norah s'était terminée en bataille effrénée de farine. Un moment de bonheur complice, incontrôlé. Comme bien souvent entre elles. « Oui, tu as raison chérie, allons-y. » La trève dura une poignée de secondes, à peine Norah retournée que Saphyre la gratifia d'une nouvelle poignée de farine. Moment de joie complice. Unies comme les deux doigts de la main

Juin 1981 ∞ Les yeux de Saphyre parcoururent la chambre de sa mère, d'un lit impeccablement fait à la grande armoire de bois verni. Tant de moments passés dans cette chambre, moments de joie. Rires. Sourires. L'amour débridé d'une mère et d'une filles unies par le sang d'un lien indéfectible. Elles étaient tout. tout l'une pour l'autres. Alors qu'elle s'avançait dans la pièce, les souvenirs de batailles d'oreillers et nuits enlacées revinrent en l'esprit de Saphyre. Sa mère avait toujours été là pour elle, pour la rassurer, l'enlacer, sécher larmes et peurs. Toujours. Et pourtant, il manquait quelque chose. La voix grave et rassurante lui souhaitant une bonne journée le matin, une main assurée sur sa frêle épaule. Oui, elle avait tout, elle le savait., ne manquant ni d'amour, ni d'argent. Rien, sauf d'un père. Son père, décédé avant sa naissance. Rapidement, la jeune fille chassa ses sombres pensées, se concentrant à nouveau sur la surprise qu'elle préparait à sa mère, à savoir déposer une jolie lettre sur sa table de nuit, qu'elle ne verrait qu'en allant se coucher, vers minuit. Le jour même de son anniversaire. Saphyre s'approcha déposant la lettre sur le meuble de bois mais trébucha, manquant de tomber tandis qu'elle se raccrocha au tiroir de la petite table. Mon amour. Deux mots, une fine écriture un brin penchée sur une enveloppe que le tiroir ouvert dévoila soudainement aux yeux de la jeune adolescente. Un instant, elle pensa à refermer le tiroir, avant que la curiosité n'enserre son cœur.

Mon amour,
Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Nous savions dés le début que cela ne durerait pas après tout. Nous avons seize ans, à peine. Deux adolescents surement trop fous,. Mais je ne pensais pas que tu tomberais enceinte. Je ne peux plus, Norah, nous ne pouvons plus. Trop de choses qui font que cette histoire doit se terminer. Ainsi, lorsque le médicomage te donnera cette lettre, je serais déjà loin. N'essaye pas de me retrouver, Norah, je changerais de nom, de pays. C'est fini. Sache que je suis désolé, pour toi, et cet enfant qui dans quelque heures sera le tien seul.

Prends soin de toi, mon amour, je te souhaite d'être heureuse, toi ainsi que ta fille.

Tobias.

Une lettre. Mots entrelacés. Saphyre sentit son coeur s'accélérer au fur et à mesure qu'elle lisait et relisait les quelques mots. Son père. Il n'était pas mort. Non, tout depuis son enfance n'avait été que mensonge. Il était vivant. « Saphyre ? Tu es en haut ? Descends, s'il te plait, on va déjeuner. » Aussitôt, Saphyre rangea la lettre. Le coeur battant, sa mère lui lui avait menti depuis toujours. Son père était vivant. vivant. Ou était-il ? Comment était-il ? Qui était-il ? Mille questions qui fourmillaient dans son esprit en un incessant écho. Enfin, elle poussa un soupir avant de redescendre. Comme si de rien était.

Quelques mois ont passés, Saphyre n'a toujours pas dit à sa mère ce qu'elle a découvert. Néanmoins, quelque chose s'est brisé.Détruit. La jeune fille se plongeaint peu à peu dans une spirale infernale de cris silencieux. Insolente et colérique, elle devenait peu à peu une fille rebelle et incontrôlable. Mais un jour, le secret explosera. Et qui sait ce qu'il adviendra entre les filles Scrimgeour.