moi, le magicien,

prénoms : Basile, Jean-Baptiste, dites JB. A l'anglaise, s'il vous plait nom :Pinderschloss nature du sang: sang mêlé âge : 32 ans date et lieu de naissance : 10/03/1948 à Doncaster nationalité : britannique profession : Professeur de LV3 gobelin ancien. Pourquoi ? Allons, ne fais pas l'innocent, je sais que toi aussi tu meuuurrs d'envie d'apprendre à invectiver ton banquier dans les règles de l'art. ancienne maison : Poudlard, Serdaigle statut matrimonial : Célibataire votre baguette : ma baguette est faite en bois de chêne, qu'elle contient une plume de phéonix et qu'elle mesure 30 cm. Particulièrement rigide, elle est droite et a des prédispositions pour les sortilèges. matières favorites : Alchimie et potion, soit les deux plus exquis cours au monde, durant lesquels des matières étranges émettent des bruits non moins étranges, et finissent par prendre des formes, couleurs, densités, poids, consistance sont pour le moins ... étranges matière détestée : métamorphose. Imaginez-vous le mauvais goût de cette mutation débilitative. Si l'on pouvait encore changer une tasse de thé en troll, mais là ... pécadille. Il s'agit de changer un rat en coupe. Et ce cher enfant n'est jamais allé plus loin que cette métamorphose, d'ailleurs râtée. votre patronus : épagneul face à l'épouvantard : un mangemort particularité magique : /.

l'interrogatoire des aurors,

une potion : potion de Babillage Un sortilège : Avis une chanson : le générique de minidou un instrument de musique : le trombone un bijou : la ficelle de cuisine version bracelet. une insulte : Féal Pedzouille ! une phobie : coulrophobie iune couleur : bleu éléctrique une créature magique : Hypogriffe un sorcier célèbre : moi même, quelle question ! Comment ? Vous dites que je ne suis pas célèbre ? Mais çà, très cher, c'est la postérité qui le décidera. un objet moldu : Le métronome. Comment ces gens bizarres peuvent-ils fixer cette chose pendant des heures. Autohypnose ? Mystère qui reste à lever un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : Crotte de Nez un endroit : La volière un mot doux : Alouette un conte : Hansel et Gretel

généreux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● lâche ; travailleur ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ pragmatique ; patient ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver quidditch ou lecture : quidditch patacitrouille ou baguette au réglisse : patacritouille argent ou amitié : argent st-mangouste ou ministère de la magie : st-mangouste cavalier ou fou : fou balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chien

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Il ne croit pas en l'idée de l'absolutisme gouvernementale est déteste le fait qu'une seule personne se retrouve en tête. Il est passionné de politique et n'aime pas le genre de candidats qui se cache ainsi. Il tient trop à la réforme et franchement, ça lui déplait.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Il ne l'apprécie pas particulièrement et adore ce moquer d'elle gentiment. Il lui joue des tours passant du poil à gratter à des sortilèges malins pour l'embêter. Il n'est pas du tout d'accord avec ses valeur et trouve un vilain plaisir à l'embêter.


Quel est votre souvenir le plus douloureux : Récemment, le KKK de la magie a décidé de rendre visite à la famille Pinderschloss. Parents, Grand-parents, enfant, bref, progéniture comme géniteur s'est retrouvé anéanti, à l'exeption d'un certain Basile qui pour sa part vadrouillait à Poudlard. L'enfant unique s'est vu d'un coup de baguette magique, ôter tout ce qui avait construit son enfance. Un pan de son identité, arrachée. Si le fantasque personnage ne laisse rien paraître, il se raccroche avec grand mal à ce qui reste de sa vie. C'est-à-dire Poudlard.

à l'intérieur de ma pensine

Et voici une longue matinée de travail qui s'achève, fatigante. Histoire de vous détendre, vous décidez de passez prendre un café au chaudron baveur. Comme d'habitude, le bar est bondé de sorciers tous plus étranges les uns que les autres, habitués et badauds de passages. Vous vous posez à une table, observant d'un air distrait tout autour de vous en attendant votre commande, ressassant la matinée et ses problèmes dans votre esprit, quand soudain le serveur apparait avec votre café. Vous prenez la tasse et commencez à boire, vous attendant à sentir la chaleureuse sensation du liquide chaud coulant dans votre gorge, parfait pour vous revigorer après une dure matinée. Mais, surprise à la place du goût amer du café, c'est une saveur acre et piquante qui se ait sentir, étrange. Alors que vous levez la main pour appeler le serveur et lui demander explication, vous vous apercevez que vous ne voyez plus votre bras. La panique commence à monter alors que vous regardez votre corps, désormais inexistant. Non pas inexistant, invisible. Ce n'était un café, mais une potion d'invisibilité ! Vous hurlez mais les sorciers présents ne vous voient pas, évidement, ils observent tout autour d'eux, interloqués, cherchant la source de ce cri. Puis ils retournent à leur activité, vous êtes là, et personne ne vous vois. Vous lancer un regard vers votre montre avant de vous apercevoir avec agacement qu'elle a disparu avec le reste de votre corps. Combien de temps cela va-il durer ? Vous l'ignorez.

Charmante journée que le lundi matin. Après une ludique séance d'enseignement, le damoiseau a pu s'apercevoir, une fois de plus, de l'imperméabilité de bien des élèves à l'apprentissage de cette langue recherchée qu'est le gobelin ancien. Subtile, et pourtant si simple. Il semble après tout que la différence entre un "Ger", un "Gèr", et un "Ger-h" soit d'une trivialité confondante. Visiblement pas pour les petites oreilles des sorciers. Mais qu'importe. Un jour, ils comprendront ce qu'ils ont manqué en s'endormant sur leur table. Un jour, ils comprendront la vanité de leur dédain pour cette langue morte. Qui a beaucoup d'avenir, rajoute mentalement le sorcier. Un jour, ils se souviendront d'avoir répandu leur salive sur les bureaux du dernier rang, durant son cours. Et ils en seront si outrés qu'ils iront de suite se frapper la tête contre des portes de placard. Et ce ne sera que justice, songe-t-il encore. Un jour, dans toute la gloire et la splendeur d'un brillant futur, tous lèveront les yeux vers lui, profaillon de Gobelin ancien, et aveuglé par la splendeur de ...
Trêve de mégalomanie, monsieur Pinderschloss, voulez-vous bien ?
Alors, il se ressaisit, rappelé à l'ordre par une gouvernante imaginaire, qui lui dicte un peu plus de self control, et un débit un peu moins trash. Ce faisant, ses yeux s'arrondissent, et il reprend contact avec le monde cruel de la caverne. Où en était-il ? Bien sûr, après une matinée de cours, où l'érudition a été rejetée violemment aux portes de cervelles de jeunes personnes bien davantage intéressée par de mornes matières, - citons sans grief particulier, la métamorphose - Pinderschloss cherche un endroit où s'étendre, avec toute la grâce d'un phacochère, et où siroter un café, dans la plus délicieuse des atmosphères de ces lieux. Vous l'avez compris. Ses petits pieds râclent le sol, et c'est vers le chaudron baveur que son éminence se dirige.

Poussant la porte de bois, le cher ange entre en écarquillant les yeux, la tête rentrée dans les épaules, et un drôle de sourire fixée sur son visage. Lieu de rencontre de toutes les bizarreries, le chaudron magique. Sa deuxième maison. Le petit brun glisse jusqu'au comptoir avec l'allégresse d'une danseuse.

- Un café, mon brave ...

Pinderschloss examine le troll, de l'autre côté du comptoir. Avec une dextérité qu'il ne soupçonnait pas aux créatures de son espèce, le Bartroll, ainsi que Pinderschloss l'appelle - barman semblant quelque peu ... hasardeux, ne serait-ce qu'au regard des proportions -, s'empare d'un pot et verse distraitement le contenu dans ce qui servira de tasse à café. Le consommateur ne peut qu'admirer le formidable ballet qu'à opéré le liquide, sachant que le bartroll n'a pas un instant daigné regarder ce qu'il faisait. Trop occupé qu'il était à ... Qu'importe. Le petit sorcier miaule un léger merci, et repart, la bouche en cœur pour se dégoter une place.
C'est donc dans un petit coin du Chaudron Baveur qu'il élit domicile. Mais alors même qu'il commence à siroter le breuvage, la curiosité s'éveille. Couleur exotique. Sans doute une fantaisie du troll pour célébrer le retour du printemps ? Un café rose. A-t-on jamais idée de quelles créatures pleines de ressources sont les trolls ? Il jette un regard sur la masse flasque qui s'appuie sur le comptoir et qui, en dépit de son extraordinaire manque de dynamisme, possède des mains d'une grande dextérité. Quel dommage. Il aimerait bien connaître ce troll, dont la respiration lourde et sifflante cache des prodiges artistiques.
Un café rose. Avec un petit rire satisfait, Pinderschloss pince les lèvres et entame sa boisson favorite. Déglutit. Quelques minutes passent. Avant de s'apercevoir avec horreur que ce liquide, d'habitude inoffensif, commence à avoir des effets gastriques des plus inconvenants, d'autant plus déplaisant qu'ils menacent de ruiner ce monument de politesse et de self control très british. Lorsqu'enfin le ballottement de son estomac devient intenable, il éructe une bulle rose et grassouillette. Souris d'un air gêné, craignant que son voisin - un gobelin à la peau parchemin et à l'air revêche - n'ait entendu le manquement suprême aux bonnes manières. Car, si peu distingué qu'il semble, nul doute que son raffinement et son sens de l'étiquette rivalise avec le sens de l'esthétique du brave bartoll, songe-t-il encore, quelque peu confus.

Il essaie de retenir les petites bulles roses et savonneuses qui sortent de sa bouche en avalanche alors qu'il balbutie des excuses en forme de bulles. Elles vadrouillent paresseusement, échappant aux moulinets du sorcier confus, avant de s'éclater au plafond dans un ploc majestueux. Finit par être attiré par une curiosité non moindre que ce café et ses bulles. Hoquète une bulle, et passe son bras devant. Vainement. Son ... bras ? Où est-il ? Oh merveilles du monde de la sorcellerie. Pinderschloss regarde, mi figue mi-raisin, son épaule. Absente. Se lève d'un bond. Tourne sur lui même à la recherche de quelque chose, fusse un infime bout de tweed de sa veste, ou même un orteil, quelque chose pour lui rappeler son existence.

Rien. Faut-il qu'il soit une âme en peine, s'apercevant soudainement de son immatérialité ? Mystère et boule de gomme. Non, non, voyons, monsieur Pinderschloss, ressaisis-toi, songe-t-il. Mais l'angoisse est plus forte sur l'instant. Il tire désespérément sur sa veste de tweed, puis sur son odieux t-shirt criard. Rien. Il ne voit plus cette détestable tête de chat rose sur fond blanc qu'une moldue lui avait refilé en miaulant un incompréhensible Hello Kitty. Grave est la situation. Grave, si grave, qu'il en fulmine après s'en être inquiété quelques minutes. Il pince les lèvres, et se dirige avec désespoir vers le comptoir où la gracieuse créature sert toujours des boissons. Gracieuse ? Complètement inconsciente, oui.
Ce pourrait-il que le Chaudron Baveur ait eu l'indécence de foutre un vieux troll aveugle au service juste par manque d'argent ? Ca, çà, c'est intolérable ! La touche esthétique du rose printemps s'avère être une duperie ou une mauvaise farce, et, croyez moi, si Pinderschloss peut transiger avec un gobelin, il n'apprécie pas l'humour de son trollesque bartroll. D'ailleurs, quand ce genre de créature commence à vous refiler une potion à la place d'un breuvage, qui sait ? Oui, qui sait ce qu'il y a de plus. Il ne considère désormais plus l'oeil fixe du troll comme nonchalant, mais véritablement pernicieux. Son inexpressivité n'est qu'un masque, il le sent. Mascarade pour mieux tromper le client naïf. Ce qui, au demeurant, n'est pas du tout son genre, bien évidemment. Non mais ! Pour qui le prenez vous ? Un dandy égaré dans un conte de farfadets ?
Qui sait ? Peut-être l'odieux personnage a au demeurant bavé dans la boisson. Elle était un peu âcre, note mentalement Pinderschloss. Bavé ? Ou pire. Répandu ce mucus visqueux qui pare tout son corps luisant, des pieds à la tête en passant par les mains. Ces mains. Elles se meuvent comme des araignées. En voilà une qui distribue allègrement ce qui ressemble un éclair au chocolat sur lequel se tortille une ... chose. Chaudron baveur ! ô salubrité, ô mœurs ! La bouche tordue d'une rage hirsute, le sorcier s'approche du comptoir et fixe avec des yeux exorbités le troll. Espérant qu'il attrape, dans sa langueur, le regard courroucé du client. Nenni. La bouche tremblante, Pinderschloss éructe une nouvelle bulle rose, qui cette fois-ci s'accompagne d'un retentissant coup de poing sur la table.

- Petit malotru de troll ! Je savais bien qu'on ne pouvait pas faire affaire avec vous. On vous commande du café, et se retrouve sans substance, sans corps ! Il faut voir quel amiral de bateau lavoir vous êtes ! Bougre d'ectoplasme à roulette, qu'est-ce-que je fais maintenant, moi ?

Son voisin se retourne. Semblant à peine effarouché de cette voix orageuse venue de nulle part.

- Espèce de cachalot de calembredaine mal empaillé ! Outch !

Interrompant un morceau de bravoure qui commençait pourtant si bien, un géant se fraie un passage jusqu'au comptoir. Comme le maigre espace n'est pas suffisant pour la créature et ... disons, ce qui reste du sorcier, Pinderschloss se retire. Tirant sur sa veste de tweed invisible. Rajustant avec orgueil son nœud papillon verdâtre. Quel piètre sens des bonnes manières. Déplorable.

Fort heureusement, Fletcher n'est pas du genre à rester dans la confusion fort longtemps. Jetant son plus méprisant regard sur la Salle du Chaudron Baveur, Basile Fletcher, professeur de gobelin ancien décide qu'il ne se laissera pas traiter de la sorte. C'est un outrage. Un sourire de chat satisfait orne alors son visage invisible. Fletcher, très sûr de lui, se glisse alors de l'autre côté du comptoir, et, évitant lestement les bras du troll impassible, observe l'arsenal de boisson. Lui, un alcoolique ? Point du tout. Mais orner son bureau de quelques liqueur de vieux garçon version magique, çà lui plaît terriblement. Pomme, citron-réglisse, grenade. Monsieur est au marché. Il berce les trois premières victime et leur chante une berceuse. Santa baby, I want a Yoatch, and that's really not a lot .... Tend le bras vers une bouteille à l'apparence nettement plus surprenante. Bois de balais magique macéré dans de la liqueur de patracitrouille. Je prends. Puis son œil avide rencontre ... cette forme replète et féminine. Dorée et brillante. Il sait qu'à l'intérieur, çà pétille. C'est de format moyen. Cuvée très spéciale. Les moldus adorent. Donc lui aussi. Ils murmurent son nom avec délectation. Un nom d'ailleurs délicieux, qui chuinte tout à la fois, avant de pétiller sur la langue - exquis chatouillement -, et de finir sur un trémolo aigu. C'est le champomy. Les yeux pleins de convoitise, Fletcher tend le bras, toujours plus haut. Mais alors même que ses doigts nerveux et avides touche le verre délicieusement frais, un engourdissement très curieux s'empare de Fletcher. Vomit une pénultième bulle à l'éclat plus terne. Puis patatra !
Fletcher se regarde. Se voit, dans cette situation très compromettante, câlinant déjà trois bouteilles, et tendant la main vers une autre : la bouteille. La cuvée sacrée. N'a pas le temps de se retourner pour offrir un sourire d'épagneul contrit au cerbère de ces lieux. Pas même une excuse. Outch. Basile Fletcher, vilain garnement, vitupère. Ce n'est pas moi ! Pas moi ! C'est le café ! Le café rose ! Le tr...AAARRrrrgh.

Depuis ce jour, monsieur Fletcher ne peut plus venir siéger dans ce sublime troquet. Qu'importe, un autre a ouvert, pas très loin. Son management a le bon goût d'avoir un authentique barman, même si Fletcher le soupçonne d'être en vérité un androïde contenant une autruche mutante. Mais çà, c'est encore une autre histoire.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Patate
ton prénom : Ophélia
ton âge : 18 ans
ton avis sur le forum :
comment as-tu transplané ici ? En cherchant une recette de gaspacho. QED ?
ta disponibilité : Plutôt ultra geek jusqu'à la semaine prochaine. Après, je dirais que je sort de mon bagne d'été à 16h. Donc tous les jours 4h/24h
ton avatar : Matt Smith
ton personnage : Prédéfini de Herr Lovegood
le mot de passe : validé par Laeti.
une dernière volonté : Adopter un shadock >>

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Basile Pinderschloss ! Tu es désormais validé et tu es surtout un sorcier adulte ! Hé oui ! tu ne possèdes pas les contraintes de l'école, alors c'est partit ! Transplanes où tu veux, partout dans Londres, ailleurs même !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. Le personnage est géant Sérieusement, en lisant ton histoire, j'ai rit du début à la fin J'ai adoré, autant le personnage que ton style d'écriture C'était parfait

Basile, tu es, en plus de devenir un sorcier officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu pourras recenser ta profession et bien plus ! Oh et puis, tant qu'on est, tu étais à l'école non ? dans une maison? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous