moi, le magicien,

prénoms : dorothea, marloes. le premier me vient de ma grand-mère maternelle, mais mes parents sont aujourd'hui les seuls à m'appeler ainsi : j'ai tendance à me présenter sous mon deuxième prénom - beaucoup plus "portable", c'est comme ça qu'on dit ? ah non, potable pardon. même mes professeurs m'appellent marloes ; dorothea n'est utilisé que pour la paperasse. nom : van persie, celui de mon paternel. original, vous dites? il l'est peut-être ici, mais ce n'est nullement le cas d'où je viens ; là-bas, van persie est un nom tout à fait banal. nature du sang: sang-mêlé. mes parents sont tous les deux des sorciers, mais il y a de nombreux moldus dans notre lignées, chose dont je suis d'ailleurs très fière. âge : vingt-deux printemps. date et lieu de naissance : un vingt-et-un mars, à utrecht, la ville dans laquelle j'ai grandit et où je vis toujours aujourd'hui. nationalité : hollandaise, mais on me prête également quelques origines belges. À ce que l'on m'a dit, mon arrière-grand-père paternel venait de Belgique. année d'étude : onzième année. j'ai doublé ma septième année à cause de mes notes catastrophiques et, croyez-moi, je suis bien heureuse de ne pas avoir doublé d'autres années avec des notes pareilles... niveau scolaire : plutôt mauvais. ou disons que je pourrais avoir un bon niveau si je travaillais sérieusement. mais avec une fille comme moi, flemmarde et qui a tendance à tout remettre au lendemain, ce n'est pas gagné. parcours scolaire : les sports magiques. c'était soit ça, soit le journalisme. ce qui est cérébral m'a toujours posé beaucoup plus de problème. votre baguette : bois de prunellier, aile de fée, 28.9 cm. Du moins, si je me souviens bien de ce que l'on m'a dit lorsque j'ai été l'acheter. matières favorites : vol sur balais et astronomie. le vol sur balai, car la pratique est quelque chose que j'ai toujours préféré à la théorie - pas besoin d'utiliser son cerveau pour faire fonctionner un balai - et l'astronomie parce que les étoiles m'ont toujours... fascinée en quelque sorte. mais j'avoue ne jamais vraiment avoir été une flèche dans cette matière. matière détestée : les potions. j'ai la mauvaise habitude de finir le cours avec une mixture bizarre dans mon chaudron - lorsque celui-ci n'explose pas. vous avez dit peu douée? ce n'est que le prénom, je suis pire que peu douée.votre patronus : un hippopotame. un lien avec cet animal? si vous le trouvez, j'attends vos explications ; je n'ai pas encore trouvé en quoi il me ressemble. face à l'épouvantard : des centaines d'aiguilles, pointées sur elle, menaçant de lui foncer dessus à tout moment. particularité magique : aucune. être une sorcière, c'est déjà bien assez, non ?

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : la goutte du mort-vivant. Un sortilège : spero patronum. une chanson : wonderwall - oasis un instrument de musique : un orgue. un bijou : un bracelet simple et discret. une insulte : espèce d'hypogriffe mal lavé ! une phobie : les objets pointus (aiguilles et autre). une couleur : bleu turquoise. une créature magique : une gobelin. un sorcier célèbre : merlin. un objet moldu : une lime à ongles. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : crème chantilly. un endroit : une plage. un mot doux : mon coeur. un conte : écrire ici.

généreux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ sérieux ; ambitieux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : été. quidditch ou lecture : quidditch. patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille. argent ou amitié : amitié. st-mangouste ou ministère de la magie : ministère. cavalier ou fou : la reine? balais ou transplaner : balai. elfe de maison ou liberté : liberté. astronomie ou arithmancie : astronomie. chat ou chien : chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Rien, strictement rien. La politique, ça n'a jamais vraiment été le truc de Marloes ; elle a toujours préféré laisser ce genre de tâche à ses parents, les laissant même voter pour elle tellement elle s'en fichait - la politique, c'est un truc bien trop sérieux pour elle. Cependant, elle sait en tout cas que ses géniteurs n'ont pas voté pour Black et lui ont toujours répété, pensant peut-être l'intéresser aux votations, qu'un sang pur de son calibre au pouvoir, ça ne pouvait être que très négatif.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Bonjour mégère, au revoir liberté ! Fini les promenades nocturnes, fini le flirt avec d'autres élèves en plein couloir. Du moins, c'est ce que Dolohov aimerait, car Marloes est loin de suivre ses décrets à la lettre. Il lui est arrivé de finir en retenue avec la harpie deux ou trois fois - sa main s'en souvient encore - cependant, cela ne l'a toujours pas convaincue d'arrêter d'aller contre les décrets. D'ailleurs, Marloes compte bien faire quelque chose contre l'espèce de régime totalitaire qui s'est instauré à Poudlard.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Un génie pur et simple. Quelqu'un qui a tout compris : s'amuser en rigolant des autres, voilà quelque chose qui plait à Marloes - tant qu'il ne lui vole rien à elle, du moins. La hollandaise aimerait découvrir son identité, non seulement par curiosité, mais également parce qu'elle adorerait devenir sa complice. Elle aime beaucoup ce genre de personne, qui - comme elle - semble ne rien prendre au sérieux.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Marloes est une jeune femme très curieuse. Donc forcément, ces mystères l'intriguent, bien qu'elle ne soit pas assez patiente afin de chercher elle-même la clé de ces enigmes - surtout qu'elle pense ne pas avoir l'intelligence pour. Elle espère en tout cas que quelqu'un résoudra ces secrets avant la fin de l'année, afin de satisfaire la curiosité de la jeune femme.

à l'intérieur de ma pensine

« Mademoiselle van Persie, il me semblait que nous avions rendez-vous ce matin. » Marloes se retint d'afficher une horrible grimace à la harpie. Elle se retint de soupirer, même si elle en avait très envie. À la place, ce fut un sourire resplendissant qui vint accueillir l'arrivée de sa très chère amie, Cordélia Dolohov. Première punition avec la harpie ; cela se fêtait. Pour une fois que la hollandaise se faisait prendre en train d'enfreindre les nombreux décrets qui avaient été instaurés depuis son arrivée... Les règles sont faites pour être brisées. « Il me semblait aussi, mais comme vous ne veniez pas, j'ai pris la liberté de m'en aller. » Alors que ses amies gloussaient, Marloes jeta un rapide coup d'oeil à sa montre. Elle espérait surtout avoir la possibilité d'assister à l'entraînement de Quidditch, en réalité. Sa retenue n'aurait pas pu plus mal tomber. Toujours souriante, elle continua : « Vous aviez... trente secondes de retard. C'était suffisant pour que je m'en aille. » Peur de Dolohov? Non, Marloes n'avait pas peur. Elle ne connaissait pas encore le spécimen. Et puis, pour la demoiselle, la vie était un grand terrain de jeu, dont il fallait profiter avant qu'il ne soit trop tard. Sérieuse? Elle ne le deviendrait sans doute jamais. Lancez-lui un défi et elle l'acceptera, peu importe de quoi il en retourne. C'était d'ailleurs pour cela qu'elle ne s'était pas rendu à la retenue de Dolohov. On l'avait défiée de le faire. Je parie que tu n'oseras pas "oublier" ta retenue avec la harpie, lui avait-on dit. Challenge accepted !
Le visage de Dolohov avait pris une teinte rouge inquiétante - peut-être avait-elle trop chaud ? - mais Marloes voyait bien qu'elle essayait de se contenir. Marloes étaient doué pour faire sortir les gens de leurs gongs et elle devait au moins reconnaître que Dolohov était assez patiente pour supporter les remarques insolentes de la demoiselle. « Suivez-moi. » Marloes se leva alors, bien qu'elle n'en eut nullement envie ; les quelques élèves présents dans la grande salle les suivaient du regard alors qu'elles avançaient en direction du hall. Marloes se maudissait encore pour s'être faite prise en train d'errer dans les couloirs la nuit passée. Elle ne regardait pas où elle allait, elle avait heurté une armure et son casque était tombé sur le sol, provoquant un fracas épouvantable. Et Dolohov avait rappliqué. La hollandaise se souvenait encore du sourire satisfait qu'elle avait sur les lèvres lorsqu'elle l'avait trouvée. Que faites-vous hors de votre lit après le couvre-feu, mademoiselle van Persie ? avait-elle demandé. Ce sera deux heures de retenue pour vous dans mon bureau, demain matin. Elle s'était faite avoir comme une débutante ! Cette fois, un soupir échappa à Marloes. Sa mère lui avait toujours dit que sa curiosité lui porterait un jour préjudice. Elle en avait eu la preuve la nuit passée, lorsqu'elle s'était fait prendre alors qu'elle souhaitait explorer chaque recoin du château - en très bonne compagnie, d'ailleurs.

Marloes était toujours en train de ruminer cette histoire lorsqu'elle arriva dans la bureau de Dolohov. Elle prit alors place à un bureau et ouvrit son sac pour en sortir une plume ainsi qu'un morceau de parchemin et une bouteille d'encre, mais la harpie l'arrêta : « Rangez-moi votre matériel. Vous utiliserez le mien. » Marloes haussa les épaules. Le sien ? Une nouvelle lubie du monstre ambulant, rien de plus. Il n'y avait pas de quoi être suspicieux à propos de la requête de Dolohov ; elle devait tout simplement être maniaque ou quelque chose dans le genre. Elle s'empara donc de la plume offerte par la secrétaire de l'éducation - une plume tout à fait banale - et, au moment où elle s'apprêtait à écrire, Marloes se tourna à nouveau vers l'horreur assise derrière son bureau : « Vous ne me fournissez pas d'encre ? » Un sourire mauvais s'installa sur les lèvres de Dolohov, un sourire qui faisait froid dans le dos à la hollandaise : « Vous n'en aurez pas besoin. » Un silence durant lequel Marloes fronça les sourcils - comment allait-elle pouvoir écrire sans encre ? Les plumes à réservoir d'encre inclus n'existaient malheureusement pas. « Vous m'écrirez la phrase suivante : "je ne dois pas manquer de respect aux adultes, surtout quand je suis aussi intelligent qu'un troll". » Marloes grimaça. Rien à voir avec la raison initiale de sa retenue. Il fallait croire que son insolence avait inspiré la harpie.
Les lèvres pincées, Marloes se pencha sur son bureau et posa la pointe de la plume sur le parchemin. Un instant de réflexion quant à l'orthographe des mots - qui n'était malheureusement pas son fort de part son origine néerlandaise - et elle se lança, traçant des lettres rondes, élégantes. Un étrange picotement avait atteint sa main, mais elle ne s'en soucia pas le moins du monde. Et puis, le picotement se transforma en douleur et, étouffant un cri, Marloes s'autorisa un regard sur sa main droite. Sa peau était maintenant écarlate et elle pouvait distinguer des formes, comme incrustées dans sa peau. Les mots qu'elle était en train de copier sur son parchemin ; son corps les subissait. Une plume de punition ; Marloes en avait entendu parler en cours, il y a quelques temps. Interdites, il lui semblait. Pourtant, Dolohov en possédait. Le ministre était sans doute au courant, peut-être lui avait-il même donné la permission de l'utiliser sur ses élèves. Par Merlin ! Si c'était le cas, ils étaient vraiment dans la bouse de dragon. « Un problème ? » Marloes leva les yeux vers la secrétaire d'éducation. Cette dernière la fixait avec une étrange lueur dans les yeux ; une lueur inquiétante. La garce ! Elle le lui paierait un jour ! « Oh non, aucun. » Un rire nerveux s'échappa des lèvres de l'élève. Dolohov pensait sans doute qu'elle allait en rester là, mais il n'en était rien ; la harpie ne connaissait pas encore le spécimen. « Ces plumes sont interdites, me semble-t-il. Le directeur est-il au courant de son utilisation ? » Albus Dumbledor. La dernière protection des élèves ; la jeune femme avait beau ne pas vraiment le connaître, elle était persuadée qu'il ne laisserait pas une telle chose se produire sous son toit. Marloes continuait à frictionner sa main droite, essayant de faire partir la douleur ; elle ne lâchait cependant pas son vis-à-vis des yeux. La mégère arrêtera de te fixer la première; challenge accepted. Celle-ci l'observait attentivement avant de détourner son regard et de soupirer : « Entre nous mademoiselle van Persie, qui du ministre ou d'Albus Dumbledor a la plus haute autorité ? » Un point pour la harpie. Forcément. Le ministre était beaucoup plus puissant qu'un "simple" directeur ; il avait un rang beaucoup plus élevé.
Marloes avait envie de dire à Dolohov ses quatre vérités ; elle avait envie de lui dire ce qu'elle pensait des ses fichus décrets, de cette retenue. Pourtant, elle décida de garder le silence. Elle connaissait ses limites ; elle savait qu'elle avait trop souvent tendance à les dépasser. Cette fois, elle ravala sa fierté et se concentra à nouveau sur son parchemin. Se lever et quitter la pièce en insultant la mégère ? Elle aurait pu, oui. Mais à quoi cela aurait-il mené? Elle aurait été forcée de revenir dans cette pièce pour son insolence de toute manière. Alors il valait mieux rester docile ; faire ce que le pion du ministre demandait. Marloes n'était peut-être pas une élève très douée, mais elle n'était pas stupide non plus ; lorsqu'il le fallait, elle arrivait sans trop de mal à réfléchir sur une situation donnée.
Le sang continuait de couler alors que la plume grattait le rouleau de parchemin ; la douleur se faisait de plus en plus insupportable. Mais Marloes tenait bon, parce qu'elle ne voulait pas montrer à Dolohov qu'elle ne supportait plus la douleur. Et surtout, elle évitait de regarder son parchemin, préférant fixer un point, sur le bureau. Elle ne pouvait pas regarder sa main, elle ne pouvait pas regarder ce qu'elle écrivait. Parce que la vue du sang la dégoûtait. Parce que la vue du sang la terrifiait. Une peur qu'elle ne pouvait pas réellement expliquer ; d'aussi loin qu'elle s'en souvienne, il en avait toujours été ainsi.

Les minutes défilaient et aux minutes succédaient les heures. Marloes ne leva pas les yeux une seule fois ; elle ne regardait pas l'horloge, préférant ignorer la vitesse à laquelle le temps passait, elle ne regardait pas Dolohov, bien qu'elle sentait le regard de celle-ci sur sa main. Elle ne lui donnerait aucune satisfaction. Sa main brûlait et la jeune femme n'arrivait pas à en faire abstraction. Au contraire, elle ne pouvait penser à autre chose qu'à la douleur. Elle serrait les dent, elle gardait les yeux rivés sur le parchemin. Et elle continua son travail. Jusqu'à ce qu'elle n'entendre la harpie quitter son bureau pour s'approcher d'elle. « Montrez-moi votre main. » Alors, Marloes leva enfin les yeux et adressa à Dolohov un regard noir. Ce fut à contre-coeur qu'elle lui tendit sa main, que la secrétaire de l'éducation examina, un sourire mauvais se formant peu à peu sur ses lèvres. Elle la détestait. Elle la haïssait, même. Ce n'était pas une sorcière, c'était un monstre. Et encore, le mot était bien faible pour désigner l'espèce de chose qu'elle était. Alors que Dolohov lâcha sa main et se retourna, Marloes en profita pour rapidement se frotter la main, essayant tant bien que mal de faire partir la douleur. « Vous pouvez y aller. J'espère que vous avez retenu la leçon. » « Merci. » Le ton de l'élève était froid, dur. Sec. Dolohov avait réussi à la mettre de mauvaise humeur ; non seulement elle lui avait fait rater l'entraînement de Quidditch, mais elle avait réussi à la mettre face à l'une de ses plus grande peur - le sang et la douleur.
Marloes se leva, pris son sac et quitta la pièce sans jeter le moindre regard à la harpie. Elle tira la manche de sa robe de sorcier sur sa main, la cachant ainsi aux yeux de tous - autant aux siens qu'à ceux d'autrui. Il fallait faire quelque chose contre Cordélia Dolohov. Mais quoi? Qu'est-ce qu'une simple élève dans son genre pouvait réussir à faire contre un monstre? Dolohov avait raison : elle était sous les ordres du ministre et celui-ci avait plus de pouvoir que Dumbledor. Lui parler serait donc inutile. Il ne lui restait plus qu'une chose à faire : ne pas se faire prendre la prochaine fois. Croyiez-vous sérieusement qu'elle aurait tiré des leçons de sa retenue ? Ce serait mal connaître Marloes. La vie est son terrain de jeu et elle n'arrêterait de jouer pour rien au monde. La vie serait bien triste si l'on en profitait pas au maximum. « Alors, la retenue ? » Marloes se tourna pour une amie et haussa les épaules ; que pouvait-elle faire d'autre ? « C'était... tranquille. » Plutôt mourir que d'avouer l'enfer qu'elle venait de vivre. Elle pouvait encore sentir son coeur battre sous la peau de sa main ; cette dernière avait besoin d'un traitement mais Marloes doutait qu'il en existait un. Dolohov ne serait pas si gentille. Il ne lui restait plus qu'à supporter la douleur et attendre que cela passe. « Tu sais, cette histoire de grand dévoreur ? » Marloes acquiesça. « On compte investiguer là-dedans cette nuit. M'enfin, si tu as la trouille, tu n'as qu'à rester dans la salle commune. » Tout ce qu'il fallait dire à la hollandaise pour la convaincre : « Tu rigoles? Je serais de la partie. » Et cette fois, elle ne se ferait pas pincer par Dolohov.

méfaits accomplis,

ton pseudo : .DAUNTLESS
ton prénom : Laetitia,
ton âge : vingt ans.
ton avis sur le forum : j'aime, quelle question
comment as-tu transplané ici ? ça vous dit pas quelque chose, les infos ci-dessus ?
ta disponibilité : 7j/7 normalement
ton avatar : doutzen kroes.
ton personnage : inventé
le mot de passe : ok par Remus
une dernière volonté :