moi, le magicien,

prénoms : dymphna alice nom : purkiss nature du sang: je suis une sang-mêlée âge : vingt-et-un andate et lieu de naissance : Londres, dix-neuf avril 1958 nationalité : anglaise et brésilienne année d'étude : dixième année niveau scolaire : dymphna est une très bonne élève, ce pourquoi elle à de grandes chances de devenir un médecin magique parcours scolaire : parcours en médicomagie votre baguette : bois de cerisier, plume de phénix. vingt-trois virgule cinq centimètre, moyennement flexible. puissante. matières favorites : potions et sortilèges et enchantements matière détestée : métamorphose et botanique, car dymphna trouve que ce sont les matières les plus inutiles pour devenir un médecin magique votre patronus : magyar à pointes face à l'épouvantard : les clowns, elle déteste au plus haut point ces personnages de romans et de films fictifs particularité magique : la legilimancie

le test de personnalité du choixpeau,

[size=10]Ce qui va suivre est nécessaire afin de déterminer la maison dans laquelle vous allez être réparti. Néanmoins, ne visez pas une maison, mais faites vraiment votre personnalité. La maison devrait suivre en fonction de ça et ainsi, vous aurez celle que vous vouliez.


une potion : véritaserum Un sortilège : chaînes enchantés une chanson : eyes on fire - céline dion un instrument de musique : un violon un bijou : un collier une insulte : dégage de ma vu espèce de chien puant ! une phobie : croiser un clown une couleur : vert émeraude une créature magique : un dragon (plus précisément un magyar à pointes) un sorcier célèbre : Nicolas Flammel un objet moldu : un stylo un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : framboise et cerise un endroit : sur le bord de l'océan un mot doux : je t'aime un conte : les reliques de la mort

généreux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ aveugle ; créatif ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : été quidditch ou lecture : quidditch patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette au réglisse argent ou amitié : amitié st-mangouste ou ministère de la magie : st-mangouste cavalier ou fou : le fou balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : arithmancie chat ou chien : chien

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Honnêtement, au début je n'avais aucun avis sur le fait du premier ministre. On en a connu des gens à qui ont ne faisait aucunement confiance, mais qui se révélait être une personne très intelligente au niveau politique et du fonctionnement de la société magique. Mais depuis quelques temps, je le regarde aller et je trouve que son petit sourire en coin cache quelque chose de plus gros de qu'est-ce qu'on pense. Il devrait perdre immédiatement sa place, parce que quelque chose se prépare, je le sens, je le vois. Il n'est pas très net comme jeune homme. Charmant, mais mystérieux.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Pour être bizarre, elle gagne le prix. Son air arrogant et ses mimiques énervantes me donne la nausée. J'ai l'impression qu'elle aussi cache quelque chose. Elle a un lien avec Orion Black c'est sûr. Je ne lui fait pas confiance comme je ne fait pas confiance à un détraqueur tout juste sortie d'Azkasban. Ses petites lunettes en forme de demi-lune me donne envie de les lancer contre un mur. Je ne sais pas pourquoi Albus ne fait rien. C'est à voir.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Je n'ai aucune idée de qu'est-ce que ce fantôme fou à Poudlard, quel est son but en dérobant les élèves, quel est son vrai nom. Moi tout ce que je sais, c'est s'il ose essayer de me dérober, je lui lancerais les pires sorts que le monde sorcier connait. Il va en baver. Pour le moment, il ne m'a pas touché, donc je n'ai rien contre lui, mais dès qu'il fera quelque chose qui me touche, warning mon cher fantôme.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Depuis la construction de Poudlard, l'école cache amplement de secrets comme ça, donc pourquoi les sept mystères de l'école m'effraieraient ? Il y a beaucoup trop de choses qui se passent dans cette école pour que je commence à avoir peur et que je perds mon temps-là-dessus. Bien sûr que j'aimerais découvrir qu'est-ce que c'est, je suis une personne très curieuse, mais en perdre son année scolaire, non merci.

the story of my life

Citation :

Le rêve est le phénomène que nous n'observons que pendant son absence. Le verbe rêver n'a presque pas de présent. Je rêve, tu rêves.

Je glissais et tu criais mon nom. Nous deux avions le souffle court et nos muscles n'avaient plus de force pour soutenir nos deux corps lourds de fatigue. Je paniquais, je voyais la mort approcher de loin. J'étais rempli de sables, de terres et d'eau. J'étais suspendu au-dessus du vide, ne tenant que les mains du jeune garçon qui criaient mon nom et qui me disait de rester accroché à lui, qu'il me sauverait. Nous étions que tous les deux, personne ne nous entendait. On était à plus de trois cents-cinquante pieds dans les airs, sur des rochers. Nous étions réellement seuls. Je ne tenais plus, ça faisait quinze minutes au moins qu'il essayait de me remonter. Il n'abandonnera pas, je le sais. Mais, la fatigue se sentait dans ses bras et partout dans son corps, il allait lâcher, comme moi j'allais lâcher. Des larmes de peurs et de tristesses coulaient de mes yeux émeraude. Je lui disais de me lâcher, que l'un de nous devait mourir, c'était notre destin. L'un survie au dépit de l'autre. Et, c'était moi. Celle qui allait mourir. Mes mains glissèrent tranquillement. Je paniquais, mais je devais rester calme. Mes mains finirent par lâcher. Il criait mon nom au point de perdre la voix, il essayait tant bien mal d'essayer de me rattraper une main mais c'était déjà fini. Je tombais dans le gouffre, dans les ténèbres. J'étais rendu proche du sol quand tout d'un coup je me suis réveillée en pleins sursaut, en suant abondamment. Depuis déjà le début de l'été que je faisais ce cauchemar, celui de mourir. C'était toujours le même garçon qui essayait de me sauver. Cependant, j'avais l'impression d'avoir un lien physique et mental très fort avec lui. Je ne l'ai jamais vu de ma vie, sauf dans ma tête. Je tournais la tête, ma fenêtre était encore ouverte et j'étais rempli de terre, comme dans mon rêve. Depuis quelques mois déjà je me réveillais avec pleins de substances comme celle-ci. La rentrée était dans quelques jours, je ne pouvais continuer ces rêves à Poudlard, ma maison dirait quoi ? Je me suis levée et je suis allée dehors, comme à chaque fois que je vivais ces rêves.

Citation :

L'homme ? Un magicien parfois, mais combien mesquin son pouvoir, petites ses réalisations.

Kornylia et moi courons comme de vraies petites folles. Nous nous cachions du professeur Chourave. La botanique et moi n'avons jamais été amie, surtout le professeur et moi. Elle m'énervait, avec ses petites mimiques et ses cheveux frisés couper en soucoupe volante et son chapeau de sorcière des années quatre cents-vingt avant jésus christ. Pendant le cours, elle avait enlevé vingt points à ma maison, donc j'avais décidé de faire une petite blague pendant son cours. Je lui ai fait pousser une queue de cochon sur son gros derrière. Cependant, elle ne l'avait pas trouvé très drôle. « Les filles, revenez ici immédiatement ou je vous met en retenue ! » Nous rions aux larmes, on courait toujours comme de vraies petites pestes. On se tapa dans les mains et on part à courir plus vite. « Un cochon est capable de courir plus vite que ça professeur Chourave ! Je sais que vous êtes capable de faire mieux ! » Nous éclatons de rire au point de verser quelques larmes, jusqu'à temps que nous frappions un mur. Nous sommes éjectés au sol avec une force étonnamment puissante. Nous étions étourdies, nous avions pris là un sale coup. Nous nous sommes relevées, prêtes à rebrousser chemin quand la voix du directeur résonna dans notre tête. Nous nous sommes figées, nous avons arrêté de respirer et nous avons espéré qu'il ne ferait rien de grave. « Merci professeur d'avoir intervenu, je vous dois tout ! Maintenant, vous deux, je crois que c'est le temps de dire adieu à vos récréations, un mois de retenue vous attendent. » Kornylia et moi allons protester quand le directeur pris tout d'un coup la parole, d'une voix étrangement calme et même, avec un fond de bonne humeur. « Professeur Chourave, je crois que votre décision n'est pas assez sévère pour ses deux jeunes petites filles ici, je vais donc me charger de leurs punitions. Vous pouvez maintenant retourner dans votre chambre et surtout, n'oubliez pas d'aller voir l'infirmière, elle vous enlèvera votre jolie queue de cochon. Maintenant, les filles, dans mon bureau. » Je n'avais plus aucun sourire. J'avais le visage neutre. Ce retrouver dans le bureau du directeur était l'un des pires actes qui pouvaient m'arriver. Je n'avais jamais été dans son bureau et j'étais déjà en troisième année. Kornylia et moi commencions à avoir la frousse. Nous allions être expédiés, c'est sûr. Avec le nombre incalculable de stupidité que nous avons fait au coeur de notre année scolaire, nous allons devoir finir serveur au Chaudron Baveur pour pouvoir vivre notre vie et ramasser quelques sous.

Ça faisait déjà plus d'une demi-heure que ma meilleure amie et moi étions assises là, à regarder le directeur manger ses baguettes à la réglisse et les déguster. Nous n'avions jamais osé dire un seul mot, un seul bruit et même respirer. Mon front dégoulinait de sueur, j'étais restée assise bien droit depuis le début. Je regardais ailleurs, partout où je n'étais pas obligée de croiser le regard du maître suprême de l'école. Les tableaux étaient tout simplement magnifiques, autant travaillé l'un que l'autre. Le décor était chaleureux et aimable, on se sentait calme en rentrant ici. « Alors les enfants, des baguettes à la réglisse ? » Nous ne répondions rien, par peur de se faire bouffer ou de se faire claque sur les doigts. Le directeur me regardait par-dessus ses lunettes en forme de demi-lune avec un sourire en coin, comme s'il n'était tout simplement pas sérieux, comme s'il était encore un jeune enfant. « Miss Kornylia, vous auriez pu proposer une autre idée que de faire pousser encore une queue de cochon, à la longue ça ne vient plus très amusant et vous Miss Dymphna, apprenez à changer de drôlerie, je ne les trouve plus comique. » Nous étions abasourdies. Qu'est-ce que le directeur venait de dire. Il n'était absolument pas sérieux, ça c'est sûr. Il ne pouvait pas l'être. « Mais qu'est-ce que ...» Je n'avais aucun mot à dire, il n'y avait plus aucun son qui sortait de ma bouche. « Vous pensez que je n'ai jamais été jeune moi aussi, Miss Dymphna ? Allez sorter, je ne veux plus vous voir ici. Bonne nuit les filles. » Ma meilleure amie a déguerpie comme une guêpe qui avait peur de se faire tuer. Moi, j'étais figée pendant quelques temps. Le directeur était décidément fou. Les rumeurs sur lui étaient fondées. Ce vieux fou avait quelque chose qui clochait dans sa tête depuis déjà des années. Aimable, mais bizarre. Je sortie du bureau en fermant la porte tranquillement, en remerciant le ciel d'être enfin sortie de cet enfer. Plus jamais je viendrais remettre les pieds dans ce bureau, jusqu'au prochain cours de botanique.

Citation :

Si tu ne vis pas ce moment à ce moment là, il faut que tu attendes le moment suivant pour revivre ce moment à ce moment là.

Quand j'étais jeune, j'aimais les oiseaux. Je pouvais les regarder du matin au soir, j'aimais en dessiner, en bricoler quand j'étais petite. Je trouve que les oiseaux sont des êtres courageux et remplis d'entrains. Ils sont féroces et pleins de pouvoirs, surtout quand ils déploient leurs ailes et s'envolent avec liberté vers l'infini. Ils font preuves d'espoirs. J'avais un cahier remplis de différentes espèces d'oiseaux que j'avais dessiné et construit, c'était mes passions. J'avais onze ans quand j'ai décidé de rouvrir ce livre comportant des souvenirs de mes premières années de vie. Je n'avais que touché le livre que j'entendis des bruits. À cet âge, on ne se pose pas de question et on fonce. Donc j'ai ouvert le livre et les cinquante d'oiseaux qui s'y trouvaient ce mis à voler un peu partout dans ma chambre. Je n'avais aucunement peur, j'étais que tout simplement émerveillée. C'était magique, ça ne pouvait être vrai. Ma mère paniquée en entendant les bruits d'ailes battent en haut de la maison, accourue jusque dans celle-ci et vit enfin le spectacle. Elle était stupéfaite de voir sa fille unique au milieu de tous ses oiseaux en papier, en carton et toute autre substance voler autour d'elle. Elle était émerveillée, heureuse. Ensuite, nous avons eu une discussion de plus de trois heures sur mes ''pouvoirs'' et sur ce que c'était l'école de magie Poudlard, à l'école où papa et maman avait étudié toutes les vies, que j'étais finalement pas une personne normale. J'étais une sorcière.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Pweezes
ton prénom : Chloé
ton âge : seize ans, bientôt dix-sept ans
ton avis sur le forum : enfin un forum hp qui est plaisant !
comment as-tu transplané ici ? bazzart
ta disponibilité : en ce moment c'est trois ou quatre jours sur sept (:
ton avatar : jessica lowndes
ton personnage : inventé
le mot de passe : Code validé par Janu
une dernière volonté : appelez-moi maître !