moi, le magicien,

prénoms : Mævrös, Lüx, Gabriel. nom : Rookwood nature du sang: sang-mêlé magiquement. Il semblerait qu'une vélane se soit glissée récemment dans l'arbre généalogique des Rookwood. âge : vingt-deux ans date et lieu de naissance :27 juillet 1958, à Newcastle nationalité : anglaise année d'étude : douzième année niveau scolaire :excellent. Il semblerait qu'à l'inverse d'un certain cousin, Mævrös se donne les moyens de réussir ses études. parcours scolaire : cursus médicomagie. Certains y voient sans aucun doute le côté bénéfique de la famille Rookwood. Le concerné prétend qu'il est bien plus facile d'empoisonner un ennemi sans laisser de trace en connaissant parfaitement les bases de cet art. Et puis d'autre part, tout le monde tombe malade non ? votre baguette : Bois de sureau renfermant un ventricule de cerbère des enfers, mesurant 29,93 cm. Souple, néanmoins difficilement maniable pour qui n'est pas son maitre, elle serait prédisposée pour les sortilèges et maléfices. matières favorites : Potions && Anatomie. matière détestée : L'histoire de la magie, plus particulièrement lorsqu'elle est enseignée par un fantôme. Le jeune homme ne se souvient pas avoir réussi à tenir plus de dix minutes sans dormir dans ce cours-ci. votre patronus : un alligator, animal patient et à la fois puissant. face à l'épouvantard : Un frêne qui pleure du sang. Ayant du sang de vélane dans ses veines, la nature clame vraisemblablement ses droits envers lui. La vision d'un arbre ensanglanté est pour lui pire que toutes ses peurs réunies.particularité magique : Souffleur de vie.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : Félix félicis, la potion la plus difficile à réaliser. Un sortilège : Silencio : il aime avoir du calme autour de lui. une chanson : Let me be a wizard. un instrument de musique : le violoncelle un bijou : de famille ? une insulte : 'foiré d'elfe analphabète ! une phobie : nécrophobie ou la peur des morts. une couleur : bleu nuit. une créature magique : la vélane un sorcier célèbre : Grindelwald un objet moldu : la machine à soda. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : piment un endroit : le parc un mot doux : darling un conte : L'oiseau bleu, qu'il trouve parfaitement ridicule.

généreux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver quidditch ou lecture : les deux patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette de réglisse argent ou amitié : argent st-mangouste ou ministère de la magie : Ste-Mangouste cavalier ou fou : fou balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chat

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Il va sans dire qu’il était plus que temps que nous changions de Ministre de la Magie. Et qui mieux qu’un membre réputé d’une famille reconnue et respectée pour cela ? Je ne doute pas un instant qu’Orion Black portera avec les lui les affres du changement. Homme d’ambition et de parole, je considère, que malgré mon désintéressement total pour la politique, il vaut la peine que l’on surveille de très près son ascension au pouvoir.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Merlin mais quelle peste cette vieille chouette asthmatique ! Couvre-feu à 19heures ? Est-ce que j’ai l’air d’être une poule ? Et ce sera quoi après ça ? Interdiction de mater les filles sous peine de devenir immédiatement aveugle ? Sans le cacher, j’avoue avoir apprécié son arrivée au château pour mettre fin au chaos y régnant, mais je n’ai que des inquiétudes à venir désormais…

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Quoi ce pseudo-fantôme ridicule ? J’avoue qu’il m’amuse… de loin. Je n’ai encore jamais été une victime de ce type, et pour ne rien cacher, j’espère bien ne jamais l’être un jour. Quand bien même cela devait arriver un jour, je ferai comme beaucoup d’autres : me plongerait dans certaines investigations pour trouver le coupable et lui faire passer la douce envie de chaparder de nouveau. Ce qui est à moi est à moi. Si ce type est kleptomane, qu’il aille consulter un psychomage, ils sont là pour ça après tout.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : C’est très intriguant et éveille ma curiosité. Hogwarts est déjà une école pleine de mystères, chacun le sait, mais cette fois… c’est plus mystérieux encore, plus préoccupant. S’il est vrai que ces mystères existent réellement, je ne cache pas ma curiosité et mon ambition de les découvrir, au moins un minimum. Qui sait ce que l’école nous cache encore ? Et quel est donc ce grand dévoreur qui fait si peur à ces demoiselles en fleur ?

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier : Que devrais-je en penser d’après vous ? C’est durant cette nuit-là que mon père nous fut arraché violemment. Honnêtement, j’ignore ce qu’il faisait là-bas, et en toute honnêteté, je ne désire nullement le savoir. Sans doute en train de régler une affaire avec l’importance d’une libellule coincée dans une toile d’araignée ?

Que pensez-vous des Mangemorts : Des mangemorts ? Allons bon, c’est quoi ça ? Un groupe de musique folklorique ? Sincèrement, je ne crois pas réellement en leur existence, il m’est avis que ce sont des abrutis de première qui veulent se donner une certaine importance. Croyez-moi, ils ont juste profité du bruit qu’à fait l’incident du 17 décembre pour faire parler d’eux. Rien de plus. Dans quelques mois, on ne parlera plus d’eux.

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Selwyn Mordred ? :Après la vieille, le vieux. Par Merlin, Poudlard serait-il en train de devenir une maison de retraite ? Que voulez-vous que Selwyn fasse de plus ici ? À part nous transformer en chiffe molle… Je ne vois pas. Toutefois, sa présence me dérange. Je n’aime guère l’idée d’avoir un auror aux bottes de Dolohov pour nous surveiller… Ca sent la restriction à plein nez tout ça. Il m’est d’ailleurs avis qu’il est surement l’amant de la vieille chouette… Remarque, j’ignore si cela est réellement possible.

à l'intérieur de ma pensine

affrontez votre peur : Vous vous promenez seul dans les couloirs de l'école, il fait nuit depuis déjà des heures et un silence lourd règne tout autour de vous. Soudain, le bruit d'une porte qui grince retentit, bientôt suivi par des éclats de voix se rapprochant de plus en plus. Vous vous stoppez net, le cœur battant, réfléchissant à toute vitesse. Non, je ne suis pas censé être là, si je me fais prendre, c'est retenue avec la Dolohov assurée ! Que faire ? Soudain, une voix retentit, semblant bien plus claire, bien plus proche et vous reconnaissez sans peine celle d'un de vos professeurs. Vous ne réfléchissez plus, et vous mettez à courir, sans vous retourner, aussi vite que vos jambes ne vous le permettent. Vous traversez quelques corridors avant de vous arrêter devant une porte close, la voie est sans issue et un bruit vous indique qu'un professeur vous suit, après une hésitation, vous déverrouillez la porte à l'aide d'un sortilège et vous entrez. La pièce est assez sombre, exiguë, vide si ce n'est un grand coffre de bois écaillé. Vous collez l'oreille contre la porte et entendez un échange de voix .. des professeurs se trouvent juste derrière, vous voilà coincé ! Vous n'avez pas le choix, vous devez rester ici, ainsi, pris par la curiosité, vous vous décidez à voir ce que renferme ce coffre. Si ça se trouve, il renferme un trésor, non ? Vous approchez, et ouvrez le coffre à l'aide d'un sortilège, soudain vous vous retrouvez face à votre plus grande peur qui bondit sur vous.
Comment réagissez-vous ? Est-ce vous qui réussissez à neutraliser cet épouvantard ou bien un professeur alerté par vos cris ? Décrivez vos sentiments à la vue de votre phobie, sans oublier de vous expliquer la raison de cette peur.

Ma tête collée contre le bois de la porte, je tente de reprendre mon souffle, tout en laissant mon esprit insulter de tout son soûl la responsable de cette situation. Vieille harpie de Dolohov ! Sans son foutu décret sur le couvre-feu, sans doute n’en serai-je pas là. À cette heure-ci, je pourrai au mieux prétexter m’être attardé un peu trop longtemps à la bibliothèque, le temps de retourner à ma salle commune, l’habituel couvre-feu serait dépassé de quoi ? Une quinzaine de minutes ? Manque de pot, le couvre-feu a été avancé de deux heures, mon excuse tombe fichtrement à l’eau. Vieille pendule asthmatique ! Un instant, je retiens mon souffle, le temps d’écouter derrière mon abri de fortune, de veiller à ce qu’aucun professeur ne m’ait suivi certainement. Manque de chance, ils sont juste derrière cette foutue boiserie. Par précaution, agite ma baguette dans le but de verrouiller la porte le plus discrètement possible, autant qu’elle l’était à mon arrivée impromptue. Je n’ai pas la moindre idée d’où je suis. Un placard ? Cela me paraît un peu plus grand pour cela. De nouveau, j’agite ma baguette, histoire de créer un peu de lumière et détailler l’endroit où je me trouve. Plus vide, tu meurs. À croire que cette pièce a été abandonnée depuis longtemps… plus rien ne saurait réellement m’étonner. Silencieux toujours, mieux vaut-il que ce soit le cas si je ne veux pas me faire pincer, j’entreprends de m’éloigner de la porte, reprenant ma découverte de la pièce. Avec un peu de chance, une trappe est cachée par-là, et qui me permettrai de sortir sans encombre de cette salle maudite ? Inutile de compter sur la fenêtre : c’est bien trop haut pour que je saute tout en restant vivant à l’arrivée au sol, et je ne tiens nullement à mourir jeune. Pas de trappe, mais autre chose qui attire mon regard : un coffre. Par Merlin ! Mais que fous donc un coffre en plein milieu d’une salle vide et au moins aussi déprimante qu’une cellule à Azkaban ??!! Je ris jaune. Un coffre. C’est ça ma porte de sortie ? C’est une vaste plaisanterie. Allez, y’a bien un mur qui s’ouvre sur un passage ? Je cherche, encore, tâtonne, laisse mes mains glisser, jouer avec les chandeliers… Quedal. Il n’y a que ce coffre et moi. Et la tentation qui se fait de plus en plus présente, souffrante, m’insurge d’ouvrir ce dernier, de regarder ce qu’il y a dedans. Que pourrait-il s’y trouver ? Un secret que nul ne voudrait que l’on découvre ? De vieux bouquins susceptibles de m’intéresser et d’agrandir ma culture ? L’argent, j’y crois moyen en toute sincérité. Remarque, avec une salle aussi désertique… peut-être que je vais y trouver le trésor du fantôme chapardeur, aucun élève ne serait assez stupide pour conserver un tel butin dans son dortoir, au regard de tous. La tentation me susurre à l’oreille, je passe ma main dans mes cheveux courts. Il faut que je découvre ce qui se cache là-dedans. De toute manière, ce n’est pas comme si j’avais réellement autre chose à faire ? Derrière-moi, le bruit se fait insistant, les professeurs semblent se douter que je me cache dans une salle des environs. Et nom d’un gobelin en rût ! Rapidement, je m’agenouille devant le coffre, va t’il montrer de la résistance ? Tentons. Tiens donc, pas de résistance ? Mais de la surprise : le coffre est vide. Enfin. Je passe ma main dedans, n’y trouve que de la terre. De la terre ? Mais qui donc est assez stupide pour mettre de la terre dans un coffre et à l’ombre qui plus est ?

À question stupide, réponse stupide. Sous mes doigts, je sens la terre vibrer, comme si quelque chose tentait d’en sortir à toute vitesse. Vivement, je me recule, pointe ma baguette sur le coffre. Bien ma veine ! Sur quoi suis-je encore tombé ? Si une bestiole sort de là, je jure de trouver l’abruti qui l’y a placé ici ! Néanmoins, sous la lumière, c’est une tige qui monte, comme celle d’une plante. Impossible. Pas sans lumière, pas dans un endroit aussi exigüe. Tout va bien trop vite ensuite, la tige prend de la forme, trop à mon goût. Maléfice ? Non, pire, bien pire. Je le sens, c’est au delà de tout ce qu’un étudiant ou un professeur peut faire. La minuscule plante, ce rien du tout, cette petite graine plantée est devenue autre chose, l’arbre que je vois dans les pires scénarios cauchemardesques de mon esprit. Un frêne. Étrangement, mon esprit s’est éteint, seules mes lèvres en arrivent à balbutier. « Pitié non… non… non … non… Pas de sang. Par pitié… pas le sa… » Trop tard, mes suppliques sont bien vaines, car devant moi, impuissant, l’arbre s’écorche seul, et c’est toute mon âme qui se déchire, crissements, j’halète. C’est tout mon être qui souffre de cette vision, qui souffre avec Dame Nature. Car d’elle il s’agit, souffrant, se tordant de douleur sous cette écorce qui tombe, mais c’est de ma peau qu’il s’agit, c’est elle qui s’arrache seule. Je brûle à l’air libre, me consume. Je deviens sourd, aveugle, muet. Pourtant, je hurle, je vois et entends. De par mon ascendance, je suis lié à la nature, les vélanes sont les protectrices de la nature, le sont aussi leur descendance. « Je n’ai pas trahi mon serment ! » m’entends-je dès lors hurler. « J’ai prit soin de vous, j’ai semé, j’ai veillé à chaque vie quelle qu’elle soit !!! » J’ai tout fait comme il se doit. J’ai beau être le petit connard que tout le monde connaît, j’ai des obligations envers la mère de toute chose. Mon rôle est de veiller à ce que rien n’entrave la croissance de ses enfants. Je sème les graines dans la terre, je marmonne les prières des ancêtres, cela me coûte en tant que sorcier arrogant, mais m’apaise en vertu de mon origine. Et je ne comprends pas ce qui se passe, pourquoi mère nature meure, pourquoi elle souffre et me fait partager l’horreur de son calvaire.

Et sous mes souffrances, mon esprit se réveille, m’intime que tout cela ne peut être réel, mon analyse était parfaite depuis le début : un tel arbre ne peut pousser dans un endroit tel que celui-ci, pis encore, pas à cette vitesse. Pas avec ce que j’ai fait. Je n’ai jamais manqué à mon devoir, le reste de l’humanité oui, mais c’est à eux de payer, pas à moi. Ma baguette s’élève, je cherche en moi les résidus d’un truc amusant, une étincelle de folie passagère, et m’exclame « RIDIKULUS » Ce ne peut être que cela. Ce ne peut être qu’un de ces maudits épouvantards, créatures infectes ! Et voit juste, tandis que l’arbre devient tout autre chose. Je préfère ne pas savoir, de quoi il s’agit. Ma douleur est toujours présente, et je ne m’étonnerai guère de m’être écorché la peau volontairement. Derrière moi, les voix se font insistantes, je discerne à peine l’éclat d’une porte qui s’ouvre à la volée. La discrétion n’est véritablement plus de mise. Et très sincèrement, quelques heures de retenues avec Dolohov, ne sauraient être pire que ce que je viens de vivre. J’accepte ma pénitence avec joie pour le coup.

méfaits accomplis,

ton pseudo : L.Pleasure
ton prénom : Tipheeeeeeuuuh.
ton âge : vingt-quatre ans.
ton avis sur le forum : miaouuu, il est seks.
comment as-tu transplané ici ? par PRD me semble t'il.
ta disponibilité : 4/7
ton avatar : Zac Taylor
ton personnage : est un inventé.
le mot de passe : validé
une dernière volonté : celle de voir ma Lucinda, mon Aleythia & ma Marloes se battre dans la boue en maillot de bain

l.pleasure