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 you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP

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D. Marloes van Persie
D. Marloes van Persie

Serpentard


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MessageSujet: you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP   you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP EmptyLun 13 Aoû - 22:41



you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP Tumblr_m1cd0frHm81rnwqsxo6_250L’heure était à la fête et tu comptais bien profiter de la soirée pour t’amuser. L’ambiance de ces derniers jours avait été lugubre – avec l’attentat de Diagon Alley le mois passé et puis, plus récemment, l’attaque des Mangemorts lors du gala de charité organisé en mémoire des victimes de la première catastrophe. Tu te souvenais d’ailleurs particulièrement bien de ce gala puisque tu avais écopé d’une jolie bosse à l’arrière de ton crâne. Tu étais une sorcière de pacotille, tes professeurs te le répétaient depuis maintenant douze ans et tu en avais eu la preuve lors du gala. Tu avais voulu viser l’un de ces hommes masqués, tu avais raté ton sort. Et c’était finalement toi qui t’étais retrouvée expulsée contre l’un des murs de la pièce, perdant connaissance. Tu n’avais pas assisté à la fin de ce gala, inconsciente, mais les murmures t’avaient narrés ce qu’il s’y était passé. Tu savais ce qu’il s’y était produit. Le monde magique était en crise et Poudlard en pâtissait également ; tu étais là pour étudier certes – enfin tu étais censée étudier – mais également pour t’amuser et ces derniers temps, tu étais loin d’avoir eu l’occasion de t’éclater par ici. Tu t’étais habillée rapidement – et ta tenue plus que suggestive (attendez, y aura possibilité de se baigner vous n’imaginiez tout de même pas que je vais mettre autre chose que des sous-vêtements si c’est pour tout enlever une fois là-bas ?) laissait entendre que tu ne comptais pas rentrer seule ce soir.

Tu étais venue seule. De toute façon, tu retrouverais sans doute certaines connaissances par là-bas. Sans doute pas Franck – préfet trop coincé pour venir faire la fête avec des gens comme elle – mais il y aurait bien au moins une personne qu’elle connaissait. Sinon, elle étendrait son réseau de connaissances. Elle n’était plus à ça près et elle aimait faire de nouvelles rencontres. Tu avais déjà bu plusieurs verres lorsque – après une confrontation avec cette petite peste de Poufsouffle et deux-trois autres rencontres – ton regard fut attiré, comme un aimant, par un jeune homme que tu ne connaissais que trop bien. Maevrös Rookwood, celui qui avait autrefois su faire battre ton cœur. Bon d’accord. Peut-être qu’aujourd’hui, c’était toujours le cas. Peut-être. Quoi qu’il en soit – même si c’était le cas – tu étais bien trop fière pour l’avouer au premier venu. Tu avais d’ailleurs eu l’occasion de reparler au Serpentard récemment. Au gala, juste avant le drame. Et tu étais restée sur ta faim après cette rencontre. Tu voulais des explications ; tu ne les avais pas eues. Tu les attendais toujours. Et tu savais que, si tu n’allais pas à Maevrös, alors il ne viendrait jamais à toi. Tu poussas un soupir, repris une gorgée de cet étrange mais néanmoins délicieux breuvage qu’il y avait dans ton verre et puis, lorsque tu vis que sa meilleure amie s’éloignait de lui quelque instant, tu fonças tête baissée vers lui. Tu voulais des réponses, tu voulais savoir le pourquoi du comment. Maevrös était le seul en mesure de répondre aux questions que tu te posais depuis bien trop longtemps. « Je crois qu’on a des choses à se dire, non ? » Pas un bonjour, pas la moindre politesse. Tu n’avais pas de temps à perdre avec ce genre de trucs. Tu préférais aller droit au but avant que ton vis-à-vis ne change de sujet, comme il savait si bien le faire. Tu le fixais droit dans les yeux et tu résistais à l’envie de détourner les yeux – le regard de ton interlocuteur te mettait extrêmement mal à l’aise bien que tu essayais de ne pas le montrer. « Tu es parti bien vite après notre dernière danse. On n’a pas eu le temps de finir notre conversation. » Et quelle conversation. Vous n’aviez même pas abordé le vif du sujet, vous n’aviez même pas parlé de ce trou béant que tu avais dans la poitrine. Ce trou qui t’empêchait à présent d’aimer autrui, ce trou à cause duquel tu gardais une certaine distance avec les autres. Et cette blessure qui saignait aujourd’hui encore, bien des mois après votre rupture, te faisait toujours autant souffrir. Pourquoi ? Un seul mot pour résumer ce que tu souhaitais savoir. Pourquoi. Pourquoi t’avait-il quittée ? Pourquoi t’avait-il abandonnée alors que ton monde tout entier tournait autour de lui ? – car oui, étonnamment, il fut une époque où Marloes van Persie était une adolescente naïve qui croyait en ce genre de sentiments. Qui croyait que Maevrös l’aimait sincèrement.
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Mævrös L. Rookwood
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MessageSujet: Re: you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP   you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP EmptyMar 14 Aoû - 12:59

you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP 192180RAYOSDELSOL« Tu penses que les moldus font la fête comme ça ? » Te voilà tournant déjà la tête vers l’interlocuteur, ce meilleur ami perplexe fixant sceptiquement sa bière pratiquement vide. Tu hausses les épaules, avant de porter tes lèvres au goulot de ta propre et misérable petite bouteille. À tes côtés, Aleÿthià, ta douce et tendre meilleure amie – qui sait pourtant se montrer farouche à ses heures perdues – se blottit contre ton torse, sa main passée lascivement sous ton tee-shirt. L’on dira ce que l’on veut, que vous êtes en couple, que vous êtes amants, nul ne sait réellement quel nom donner à cette relation à laquelle tu tiens tant. Et à ne rien cacher, tu te moques bien de ce que peuvent penser les autres. « Non mais je suis sérieux ! Pas une étincelle de magie, pas de feu follets dans les airs, pas d’alcool à effets temporaires… Et merde, t’imagines le sexe avec cette chose autour de ta queue ? » Cette fois, tu éclates de rire, la connerie de ton meilleur ami t’étonnera toujours autant. « Je te signale qu’on a nous aussi des préservatifs, mais c’est vrai que ça reste meilleur avec le sortilège. » En connaissance de cause, tu sais que le monde moldu n’est pas tant différent du vôtre, hormis qu’il semble bien plus ennuyeux. « Ouais, tes ombradex c’est vrai. D’ailleurs, t’en as pas deux ou trois pour moi ? Je me ferai bien la Monroe. » Un soupir. Non, ce n’est pas vraiment le genre de choses que tu traînes partout avec toi, et pour de multiples raisons : tu n’es pas en couple, célibataire qui s’assume, et encore moins coureur de jupons. La dernière raison, tu préfères la taire, et pourtant, ton regard vairon accroche l’espace d’une seconde celui de la douce créature logée dans tes bras. Cette même demoiselle qui farfouille son sac avant de lancer une boîte au confident. « Tiens. Bravo monsieur le PDG. C’est pas comme ça que tu vas faire ta pub. » De la pub ? Tu n’en as pas besoin, tu as déjà veillé au grain de toute manière, car quelque part dans un coin de la salle de bain des préfets, tu sais qu’il y a de quoi tenir toute une orgie. On t’as déjà demandé de participer un peu, tu ne te fais guère prier. Sourire goguenard sur les lèvres, ton meilleur ami se lève déjà, clamant haut et fort qu’il se met en chasse, t’abandonnant toi et ta moitié magique à vos occupations… inexistantes.

Reposant finalement ta bouteille vide, tu jettes un regard avide à la vodka qui trône fièrement sur la table. A deux, elle sera peut-être vite descendue, mais déjà ta conquête se redresse, et te glisse à l’oreille son départ bien trop rapide. Foutus serdaigles et leur sérieux à tout casser ! Tu hausses les épaules toutefois, non sans lui souhaiter bonne nuit, alors que ta main se porte déjà sur l’alcool des contrées froides, versant d’ores et déjà une bonne dose dans le fond du verre que tu tiens. D’autres camarades de maison ne tardent pas à te rejoindre, vautours sans gallions attirés par l’odeur de l’alcool à partager. Un soupir glacial dans ton esprit tandis que tu invites ces derniers à se servir. La musique change, on porte un toast à cette idée bien sympathique, tu bois cul sec le fond de ton verre, et observe non sans rire tes camarades qui n’ont pas le même goût des jeux d’alcool. Oui, c’est une bien bonne idée, tu le penses sincèrement. Par les temps qui courent, mieux vaut sans doute profiter de chaque instant de la vie, avant que celle-ci ne nous soit retirée bien trop tôt. Tu étais parti avant le début du massacre au gala, ta délicieuse génitrice ayant finalement jugé qu’elle se sentait de trop en ces lieux, et tu n’avais pas non plus cherché à rester plus longtemps, ayant fait preuve de présence. Mais l’on t’avais conté la misérable histoire, et ton côté sermenté t’avais fait souffrir. Mais déjà tes pensées viennent s’interrompre, alors même qu’une cigarette se cale dans le creux de tes lèvres : l’on pourra dire tout ce que l’on veut, jamais tu n’échangera tes Dead Sin contre des clopes moldues. Tu veux bien faire des efforts, mais il y a des limites. Avant même que la flamme n’ait atteint ta cigarette, ton regard unique se porte sur la créature qui s’est installée à tes côtés, glissant son ton agressif à ton oreille. « Je crois qu’on a des choses à se dire, non ? » Te voilà haussant un sourcil. Tu ne t’attendais pas à sa présence, ni même à ce qu’elle vienne te voir. « Tu es parti bien vite après notre dernière danse. On a pas eu le temps de finir notre conversation. » Enfin tu allumes ta putain au bas blanc, inspire la première bouffée, le temps de réfléchir. Cette dernière danse au gala, sa peau contre la tienne à cet instant, et la promesse de ne plus jamais venir l’ennuyer. Tu as tenu cette promesse, n’approchant plus ton ancienne dulcinée, délaissant sa chevelure blonde dans lequel tu avais apprécié glisser tes doigts autrefois. Tu ne lui avais pas dit au revoir non plus, les mots étant inutiles à ton sens. Ton assurance ne te quitte pas, ne l’a jamais fait, tandis que tu te cales au fond de ton siège, recrachant lascivement la fumée rougeâtre obstruant tes lèvres. « Je tiens mes promesses. Je t’avais promis de ne plus t’importuner à moins que tu ne le désires. » Tu dis vrai, et ta belle le sait très bien. Pour autant, tu apprécies le fait qu’elle vienne te voir, vienne chercher ta compagnie, même si cette dernière pourrait bien s’achever au plus mal. « Je ne me souviens pas d’une conversation en revanche. De ton corps glissant contre le mien certes, mais les mots… se sont avérés inutiles me semble t’il. » Tu n’aspires qu’à ce qu’elle vienne te chercher, te trouve, et t’ordonne d’entrer de nouveau dans son monde où tu étais roi quand elle était ton impératrice.
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MessageSujet: Re: you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP   you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP EmptyDim 2 Sep - 19:17



you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP Tumblr_m1cd0frHm81rnwqsxo6_250Mævrös Rookwood. Pourquoi fallait-il toujours qu’il se trouve sur ton chemin lorsque tu avais l’intention de t’amuser, de profiter d’une soirée ? Tu te souvenais de la façon dont le gala s’était terminé ; ton camarade était de mauvais augure et cette soirée-ci risquait un sort funeste. Pourtant, tu n’avais pas pu t’empêcher de t’approcher de lui pour cracher ton venin sur celui qui fut autrefois ton soleil. Le jeune homme ne réagissait pas au son de ta voix, il se contentait d’allumer sa cigarette tout en promenant son regard sur ta personne. Tu n’aimais pas cette façon de se comporter ; tu avais l’impression de t’adresser à un mur et tu détestais ce sentiment. Tu avais besoin qu’il te parle, qu’il te dise quelque chose. N’impote quoi. Un instant, tu songeas à une manière bien différente d’attirer son attention mais, lorsqu’il décida finalement à te répondre, tu préféras oublier cette alternative. Non, ça aurait été une grave erreur de le faire. « Je tiens mes promesses. Je t’avais promis de ne plus t’importuner à moins que tu ne le désires. » Un point pour Rookwood. Mais il te connaissait bien. Il savait sans doute que tu ne pourrais pas te contenter de cette dernière danse, que tu aurais envie de plus. Que tu viendrais lui demander des explications quant à ce qui te tourmentait. Tu étais curieuse, tu voulais toujours tout savoir. Et plus encore lorsque cela te concernait directement. Le vil personnage ! Il savait très bien ce qu’il faisait, à la soirée de gala. Il te connaissait trop bien ; il avait sans nul doute prévu que tu viennes le voir. Tu t’étais laissée avoir comme une débutante ; tu avais sauté à pieds joints dans ses filets. « Je ne me souviens pas d’une conversation en revanche. De ton corps glissant contre le mien certes, mais les mots… se sont avérés inutiles me semble t’il. » Et il jouait avec les mots en plus de cela ; tu voulais lui parler de cette rupture que tu ne comprenais toujours pas, tu voulais lui parler de cette conversation que vous auriez dû avoir – pourtant, le souvenir du gala, de vos corps l’un contre l’autre étaient très plaisant, bien que tu n’avais aucune envie d’y penser sur le moment. Tu te retins de soupirer, tu te contentais de le fixer droit dans les yeux, bien consciente que les tiens lançaient presque des éclairs. Mævrös avait le don de t’énerver en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire. Pire que t’énerver, en fait. La moindre de ses paroles pouvait provoquer ta descente aux enfers ou t’emmener au septième ciel. Et tu détestais cette sensation. Tu n’aimais pas te sentir faible et, malheureusement pour toi, tu étais bien trop fragile lorsqu’il se trouvait dans les parages. Par le passé, il avait été ton tout ; avec lui, tu avais été heureuse. Réellement. Jusqu’à la fin. Et aujourd’hui, il ne provoquait chez toi que des émotions négatives. Du moins, c’était ce dont tu essayais de te convaincre. La réalité était toute autre, mais tu ne voulais pas l’accepter. Malgré ton cœur qui se serrait chaque fois que ton regard se posait sur celui qui sut autrefois te dompter. Malgré les preuves évidentes. C’était terminé ; tu devais tourner la page. Même si cela te faisait souffrir plus que tu ne voulais bien l’avouer. « Bon, dans ce cas nous allons avoir cette petite conversation maintenant. » Il ne fuirait pas. Pas cette fois. Tu voulais des réponses, tu les aurais. Et aujourd’hui, il ne t’empêcherait pas d’arriver à tes fins. Tu n’étais plus la même lorsque Mævrös était près de toi ; il arrivait à te faire faire des choses dont tu ne te serais jamais crue capable. Ravaler ta fierté pour aller lui dire quelques mots, aborder ce sujet qui t’avait tant blessée. Pourtant, cette simple question, ce mot, ces deux syllabes restaient coincées dans ta gorge. Tu n’arrivais pas à les prononcer. Parce que tu avais peur de la réponse, parce que tu avais peur qu’il ne te détruise encore plus qu’il ne l’avait déjà fait. Il t’avait brisée, tu avais du recoller les morceaux, seule. Et tu ne supporterais pas qu’il te brise à nouveau car, même si tu refusais de l’avouer à quiconque, tu savais qu’il en était encore capable. Tes yeux étaient toujours plantés dans le siens mais tu sentais peu à peu ta volonté faiblir ; tu résistais à l’envie de détourner le regard et de t’enfuir. Tu étais venue pour lui parler, tu lui parlerais. Tu avais besoin de cette conversation, tu avais besoin d’entendre ce qu’il avait à te dire. Alors, tu ravales difficilement ta salive et, malgré ta lèvre inférieure qui tremble plus que de raison, tu te lances. « J’aimerais... Des explications, tu sais. Je n’en ai jamais eu puisque tu t’es contenté de me jeter comme l’on se débarrasse d’une vieille chaussette. » Exagérer ? Peut-être, mais c’était l’impression que tu avais eu. Il s’était lassé de son petit joujou et il l’avait abandonné en oubliant que celui-ci avait un cœur. C’était comme cela que tu avais ressentis la situation de ton côté, comme si – au fond – tu n’avais jamais eu d’importance à ses yeux. Comme si tu n’avais été qu’une fille quelconque pour cet homme. Cet homme qui t'avait fait vivre ce que tu redoutais le plus. L'abandon. Il t'avais donné l'impression que tu n'étais rien, il t'avais donné l'impression d'être remplaçable. Et c'était exactement ce qui t'effrayait.
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MessageSujet: Re: you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP   you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP EmptyMer 5 Sep - 12:39

you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP 192180RAYOSDELSOLElle se tient devant toi, droite, fière, comme au premier jour de votre rencontre… Bien que contrairement à cette première fois, cette première œillade, la tenue n’avait absolument rien à voir, la conversation non plus d’ailleurs. Cette fois-ci, elle te paraissait bien plus ingénue, bien moins encline à croire aux histoires de toujours, mais bien celle d’un jour, d’une nuit, d’une heure. Ton regard s’accrochait bien malgré toi sur ce corps clamant son côté désormais libertin, sur ce côté lubrique que tu ne pouvais qu’espérer retrouver un jour. Retoucher un jour cette peau que tu avais sut goûter un jour et dont la saveur demeurait inlassablement sur ta langue. La vérité ? En cet instant, tu espérais intérieurement pouvoir la reconquérir, et délivrer tout mensonge sous son être. Tu voulais lui promettre mille et une merveilles qu’elle avait connu et lui faire la promesse que tout serait différent cette fois-ci. Mais tu connais le dicton, tu sais que ce qui est brisé ne peut être réparé. Pour autant, tu n’écoutes pas les conseils des autres, et te voilà délivrant une nouvelle volute de fumée rougeatre. La belle fulmine intérieurement, son ton te l’indique, et tu te délectes d’avances de la voir s’énerver contre un mur, car tel est le cas. De vous deux, c’est bien toi le plus calme, celui-là même qui ne sort que très rarement de ses gonds. Après tout, tu n’es pas beau à voir lorsque Colère te serre dans ses bras, tu aurais même plutôt l’image d’un démon prêt à écorcher vif le premier sur ton chemin. Tu tiens de ta mère après tout. Et tu attends, sans parler, sans esquisser un seul geste refusant la conversation qui pourrait suivre, car n’est-elle pas venue te voir tandis que tu t’es juré de ne plus l’importuner ? Et pourtant, tu en rêvais depuis que tu la sais en compagnie de l’autre arbuste pourri. Tu hais ce type de toutes les fibres de ton corps, et pourtant, rien n’y fait, tu ne saurais aller le voir pour lui arracher ses petits yeux de merlan frit. Tu ne le feras sans doute même jamais pour diverses raisons mais dont la peur ne fait nullement partie. S’il peut rendre ta dulcinée heureuse, qu’il fasse, voilà que tu t’effaces. Et ta cigarette se consume, alors que ton regard unique vient finalement se perdre dans celui de ton ancienne reine. « Bon, dans ce cas nous allons avoir cette petite conversation maintenant. » Un signe de tête entendu, puisque c’est ce qu’elle souhaite. Ce que femme veut, Dieu le veut aussi, alors en avant toute. Néanmoins, tu sais déjà sur quoi tournera la fameuse conversation, et tu sais aussi que toute vérité n’est pas bonne à entendre, te voilà déjà dans cette optique de menteur, et intérieurement, te renfrognes déjà. Tu sens que les choses ne tourneront pas dans le bon sens. Finalement, tu te redresses et attrape la bouteille de vodka à moitié pleine, ainsi que deux verres, dont le tien. « Donnons-nous du courage ma tourterelle », semble déjà dire ton attitude alors que tu verses deux bonnes rasades dans le porteur du liquide. Tu tends un verre à la belle blonde, allant même jusqu’à lui faire une place à tes côtés, avant de t’arrêter, reportant ton regard sur les faux amis qui t’accompagnent. Un seul signe de ta part, et voilà ces derniers qui s’échappent. Ce ne sont nullement leurs affaires après tout. Vous êtes seuls désormais, et malgré cela, ton air suspicieux t’oblige à te lever pour fermer les rideaux improvisés et destinés à laisser un semblant d’intimité aux jeunes en rut. En ce qui vous concerne, ce n’est pas ce caractère que vous allez exploiter, quand bien l’envie ne te manque pas. Un dernier regard et tu sors ta baguette pour assurer que rien ne filtre au delà de ces rideaux, ni même qu’aucun regard curieux ne viendra se glisser à l’intérieur. Vous voilà plus seuls que seuls, l’un face à l’autre, prêt à en découdre. Tu te laisses enfin retomber dans un fauteuil, non loin d’elle, allant même jusqu’à lui faire signe de s’asseoir. « J’aimerai… Des explications, tu sais. Je n’en ai jamais eu puisque tu t’es contenté de me jeter comme l’on se débarrasse d’une vieille chaussette. » Ta mâchoire se serre, se crispe. Tu redoutais cette demande, et ce, depuis que tu l’as quitté sans réellement vouloir lui dire pourquoi. Comment lui expliquer que tu es engagé ailleurs ? Plus pour longtemps toutefois, puisque ta promise ne saurait tarder à quitter ce monde aussi subtilement qu’elle y est entrée. À l’époque, tu n’avais sut comment le lui dire sans briser son cœur. Tu ne désirais conserver comme souvenir que son sourire, pas ses larmes, ni même sa colère. Vous vous étiez ignorés, tout simplement. Mais que répondre aujourd’hui ? Tu te sens mal à l’aise, et pourtant, ton assurance ne semble guère te quitter, tandis que tu te cales un peu mieux. « Te jeter comme une vieille chaussette n’était nullement mon intention Marloes. » Tu es sincère, tu n’as jamais voulu que les choses se déroulent ainsi. « J’imagine que j’avais besoin de connaître quelqu’un d’autre que toi, de m’amuser avant de songer à fonder quelque chose de sérieux. J’ai pensé que tu voudrais le faire aussi, que cela ne t’affecterai pas plus que cela. Après tout, nous étions jeunes. » C’était tout ce que tu trouvais de mieux à dire, Lucinda était par ailleurs tombée au bon moment, ce qui accentuait cette explication, la renforçait même. Tu plantes ton regard dans celui de ton impératrice déchue, avant de prendre sa main et de la porter à tes lèvres. « Si je t’ai blessé, j’en suis plus que navré Marloes, mais je veux que tu saches que nulle autre ne m’a jamais autant captivé que tu as put le faire, et que tu sais encore si bien le faire. » Tu la veux de nouveau dans tes bras, tu aspires à son pardon, à ses lèvres sur les tiennes, qu’elle demande, tu le lui offriras avec grand plaisir.
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D. Marloes van Persie
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MessageSujet: Re: you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP   you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP EmptyMer 5 Sep - 20:55



you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP Tumblr_m1cd0frHm81rnwqsxo6_250Rien ne t’avait obligé à aller le voir pour lui parler et pourtant, tu l’avais fait. Et pourtant, tu n’avais pu t’en empêcher, comme attirée par la présence de l’homme au sang de vélane. Satisfaire ta curiosité ? Il y avait de ça. Tu avais passé tellement de temps à te demander ce qui n’allait pas chez toi et pourquoi, du jour au lendemain, tu n’avais plus eu de nouvelles que tu te sentais obligée de connaître la vérité, quand bien même celle-ci pourrait te blesser plus que tu ne l’avais déjà été. Mais ce n’était pas tout. Au fond, n’espérais-tu pas autre chose ? Sans doute pas un nouveau départ, tu doutais que cela soit un jour possible au vu de votre passé commun. Non, tu en étais arrivée au stade où tu pouvais te contenter d’une simple nuit en sa compagnie. S’il voulait bien t’expliquer pourquoi. Quand tu lui déclaras vouloir avoir cette conversation, il acquiesça avant de s’emparer d’une bouteille d’alcool moldu et de te servir un verre. À la suite de quoi ses camarades quittèrent gentiment la table comme si quelqu’un leur en avait donné l’ordre – peut-être était-ce le cas, mais tu n’avais rien vu. Et tu l’observas se lever, tirer les rideaux, insonoriser les lieux, puis lorsqu’il t’y invite, tu t’installas sur un fauteuil pour finalement lâcher la question qui te brûlait les lèvres depuis un moment. Pourquoi. Sa réponse se fit attendre ; tu ne le quittais pas des yeux, tentant tant bien que mal de déchiffrer ses pensées. Sans succès. Avec lui, ce n’était pas aussi facile. « Te jeter comme une vieille chaussette n’était nullement mon intention Marloes. » Mais bien sûr. Son comportement t’avais pourtant fait penser au contraire. Il t’avait ignorée, il avait fait comme s’il ne te connaissait pas. Toi qui ne jurais que par lui, tu t’étais retrouvée complètement seule. Abandonnée. Peut-être exagérais-tu, mais c’était ainsi que tu l’avais ressenti. Et dire que tu l’avais très mal vécu serait un euphémisme. Ca avait été pire que cela. Heureusement, tu avais remonté la pente – ou tu avais cru l’avoir fait, en tout cas. Jusqu’au fameux gala où vos routes se sont à nouveau croisées. Jusqu’à ce gala où il t’avait donné l’impression d’être remontée dans le temps. À l’époque où tout allait bien entre vous. « J’imagine que j’avais besoin de connaître quelqu’un d’autre que toi, de m’amuser avant de songer à fonder quelque chose de sérieux. J’ai pensé que tu voudrais le faire aussi, que cela ne t’affecterai pas plus que cela. Après tout, nous étions jeunes. » Justement. Vous étiez jeunes ; tu étais naïve. Tu n’étais pas encore la Marloes d’aujourd’hui, qui ne pense qu’à s’amuser. Tu étais sérieuse avec lui. Il avait été ton monde, ton tout. Mais ça n’avait pas duré ; tu étais rapidement descendue de ton petit nuage. Comment avait-il pu penser un instant que tu puisses souhaiter une fin pareil à votre histoire ? Une histoire incomplète, un fragment de ta vie. Et aujourd’hui encore, il t’arrivait de te demander ce qu’il se serait passé s’il n’y avait pas eu cette soudaine rupture. Tu avais longtemps vu en Maevrös l’homme de ta vie. Tu y avais réellement cru. Peut-être y croyais-tu encore au fond de toi. L’ancienne Marloes était toujours présente en ton sein et elle avait tendance à vouloir prendre le dessus lorsque tu te trouvais en compagnie de celui qui fut autrefois ton roi. Tu maudissais ta faiblesse, tu maudissais Rookwood. Le regard de ce dernier dans le tiens, il s’empara de ta main avant de la porter à ses lèvres. Tu fronçais les sourcils, mais le laissa néanmoins faire. « Si je t’ai blessé, j’en suis plus que navré Marloes, mais je veux que tu saches que nulle autre ne m’a jamais autant captivé que tu as put le faire, et que tu sais encore si bien le faire. » Ses mots te surprirent, mais tu tentais tant bien que mal de ne rien en montrer. Tu te contentas de détourner les yeux et tu hésites. Le croire ? Il semblait sincère mais tu le connaissais très bien et tu savais que son visage ne disait pas tout. Il était doué. Assez pour réussir à ne pas dévoiler ce qu’il avait en tête. Tu te méfiais de lui comme l’on se méfie de la peste et pourtant, tu avais envie de le croire. Tu avais envie de croire que ce qu’il avait dit était réel. Tu le captivais, disait-il. « Prouves-le moi. » Tu avais lâché ces trois mots sans réfléchir. Prouve-le moi. Quoi donc ? Tu ne savais pas vraiment ; cette phrase s’était échappée de tes lèvres sans ta permission. Tu avais décidé de tirer un trait sur Maevrös et pourtant, tu n’y arrivais pas. Qu’il te prouve que tu peux lui faire confiance ? Sans aucun doute. Tu voulais qu’il te rassure, tu voulais le retrouver même si ce n’était que pour une nuit. Et ce, malgré le fait que tu te sois longtemps interdit de pense au jeune homme et à votre histoie. Alors une fois de plus, tu agis sans réfléchir. Et tu plongeas tes lèvres sur les siennes afin de gouter à ce plaisir oublié. Afin de retrouver cette saveur qui t’avait bien trop manquée.
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Mævrös L. Rookwood
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MessageSujet: Re: you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP   you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP EmptyLun 10 Sep - 7:53

you can't chose what stays and what fades away ∆ TMP 192180RAYOSDELSOLAu fond, n’avais-tu réellement rien prévu, calculé et manipulé ? L’on ne pouvait que se le demander. Certes, tu sembles bien loin de tes camarades verts et argents, à prévoir mille et une conneries pour en découvre avec vos meilleurs ennemis… Tu n’es pas du genre non plus à sortir ta baguette à tout bout de champ pour prouver que tu es le plus fort. Tu n’es que stratège, homme habile, observateur et aussi silencieux que le félin prêt à attaquer. Le front n’est pas pour toi, tu préfères de loin élaborer les plus viles manœuvres, pour autant, il t’arrive de te salir les mains, si besoin est. Est-ce ton côté ambitieux qui ressort, ou cette partie de ta chair qui se bat pour survivre dans ce monde où la différence est bien moins appréciée ? Alors dis-moi Mævrös Rookwood, avais-tu prévu qu’elle te rejoindrait ce soir, qu’elle se glisserait à tes côtés ? Une part de toi, la plus habile, jure que oui, que tout était calculé à la seconde près, l’autre se veut encore surprise de l’audace dont ton ancienne compagne fait preuve. Après tout, une promesse est une promesse. Tu t’affaires, tu réfléchis, puis enfin, tu portes ce verre à tes lèvres, délivre une gorgée dans ta gorge, peut-être pour te donner du courage face à cette dure épreuve ? Car oui, tu le reconnais : affronter Marloes Van Persie est de loin la pire épreuve que tu pouvais rencontrer, et tu ne redoutes que trop qu’une autre jeune femme à la chevelure des blés faisant aussi partie de ton âme ne vienne en découdre de la sorte. Tu en doutes toutefois, Lucinda… non, tu ignores comment elle est, tu n’as prit que de peine à s’installer dans ta vie et te laisser bercer par une symphonie veillant à apaiser ton existence un peu trop compliquée. Ce soir néanmoins, la musique se voulait toute autre, te laissant te débrouiller dans cette situation. Hier, tu dansais avec elle, comme si rien n’avait changé, comme si les choses pouvaient de nouveau reprendre le cours du temps, un infime espoir, né par le décès de ton paternel. Car après tout, c’est lui qui t’a imposé la séparation précoce, lui qui t’a obligé à t’enquérir de la main d’une parfaite inconnue… lui qui t’a poussé à commettre l’irréparable… Des actes qui n’ont plus de valeurs à tes yeux, des chaines invisibles qui se brisent pour mieux retrouver cette liberté égarée. Tu sais d’avances pourtant, que la jolie verte et argent ne sera pas facile à récupérer, pas avec ton pire ennemi qui rôde autour d’elle. Et pourtant, n’as tu donc jamais cessé de la conquérir, de conserver son affection, même anonymement ? Ces lettres qu’elle reçoit sans savoir de qui elles proviennent, ne sont-elles pas de ton esprit ? Certes, il t’as fallut élaborer tout un stratagème pour qu’elle ne sache jamais de qui toutes ces attentions pouvaient provenir, tu avais usé de ton pouvoir pour qu’une petite ribambelle de toute année se plie à cet étrange jeu, mais au final, elle recevait les cadeaux, cela suffisait bien amplement. Pour autant, iras tu le lui dire un jour ? Non. Pas que tu sois lâche, mais parce que cela est un secret bien gardé. Tu finis par répondre à sa question, que tu éludes un peu à ta façon… la vérité est mauvaise à certains égards, plus tard peut-être, lui diras tu réellement pourquoi tu as du partir de façon si brusque, sans même dire au revoir. L’ignorance semblait bien plus facile en ce temps là, mais tu as mûri depuis. Elle ne t’a pas quitté des yeux depuis, jusqu’à cet infime instant. « Prouve-le moi. » Tu manques de t’étouffer avec cette nouvelle gorgée de vodka, avant de porter significativement ton regard sur elle. Le lui prouver ? Et par quelle façon désirait-elle que tu le fasses ? Incrédule, tu l’observes, avant d’ouvrir les lèvres, « et comment souhaites-tu que je le pr… » Tu n’as guère le temps d’aller plus loin dans ta phrase que déjà, les souvenirs d’autrefois te reviennent en pleine face, avec l’écho de ses lèvres sur les tiennes. Et merde, elle t’a bien eu. Tu lui rends ce baiser, et tu en viens même à te demander si tu a bien ton charme ancestrale sous main, qu’il ne t’a pas échappé ne serait-ce qu’une seconde. Mais non, tout est sous contrôle malgré le taux élevé de l’alcool dans ton sang. Tu cherches, mais tu finis par rejeter ton esprit et ta morale loin de tout cela, pour mieux attirer la jeune femme à toi, glissant ta main derrière sa nuque pour mieux répondre à son baiser, s’insinuer entre ses lèvres et trouver la passion qui sommeille en elle. Elle est tienne ce soir, et tu te régales de retrouver les gestes d’autrefois, de ceux qui la flattent, à ceux qui la font vibrer, et tu l’attires plus encore, jusqu’à ce qu’elle vienne se coller contre toi. Juste un geste d’elle, et tu te perdras de nouveau sous sa peau, lui laissera entrevoir combien elle peut te faire de l’effet comme personne. « Demande-moi ce que tu veux Marloes, et je te l’offre sur un plateau… » finis-tu par murmurer à ses lèvres, charmé, conquis, sous la coupe d’une petite fièvre lubrique qui ne demande qu’à être contagieuse.
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