moi, le magicien,

prénoms : Des prénoms des plus simples à savoir Béatrice pour un prénom usuel passe partout ni plus ni moins, quand à sa seconde appellation la jeune femme porte celui de sa marraine, un trait de famille qui se perpetue de génération en génération. nom : Riordan. Si jamais vous entendez ce patronyme alors que c'est que vous avez la fibre de la découverte par nature mais aussi un gout prononcé pour la littérature sous toutes ses coutures. nature du sang: La jeune Riordan est une sang mêlée, une de plus dans la balance mais elle vit cette condition sans la moindre honte bien au contraire, il faut de tout pour faire un monde après tout. âge : Dix-neuf années de vie, une existence longue et compliquée mais qui a de nombreux attraits intéressants. date et lieu de naissance : Un certain trente et un aout, de l'année 1961 à Londres. Un jour de bain de soleil éclatant et chaleureux parait il. nationalité : Britannique depuis plusieurs générations déjà, la belle collectionne néanmoins quelques origines écossaises de part sa figure maternelle. année d'étude : Neuvième année, et elle étudie le parcours de l'enseignement magique et de la culture. niveau scolaire : Malgré une confiance peu véritable en elle et surtout en ces capacités, la belle révèle un potentiel énorme qui lui permet tout de même de maintenant un niveau satisfaisant qui pourtant manque de rigueur. votre baguette : Taillée dans du bois d'érable, et mesurant vingt-huit centimètres cette baguette contient un crin de licorne et à de très bonnes prédispositions pour les sortilèges et enchantements. matières favorites : Ces matières de prédilections sont sans le moindre doute l'astrominie et l'étude des civilisations étrangères. matière détestée : la botanique quand bien même elle connait un bon nombre de plantes et herbes magiques, elle trouve ce cours peu nécessaire. votre patronus : Aussi rare et difficle à cerner parmi le monde qui l'entoure, le patronus de Tris prend la forme d'un Lori Bleu. face à l'épouvantard : La noirceur qui prendre forme sous l'aspect d'un trou béant sans lumière ni moyen de sortir. particularité magique : Bien que d'ascendance mêlée, la Riordan possède le don du troisième oeil, un secret qu'elle passe sous silence et qu'elle masque sous son air rêveur.

le test de personnalité du choixpeau,

Ce qui va suivre est nécessaire afin de déterminer la maison dans laquelle vous allez être réparti. Néanmoins, ne visez pas une maison, mais faites vraiment votre personnalité. La maison devrait suivre en fonction de ça et ainsi, vous aurez celle que vous vouliez.


une potion : écrire ici Un sortilège : écrire ici une chanson : écrire ici un instrument de musique : écrire ici un bijou : écrire ici une insulte : écrire ici une phobie : écrire ici une couleur : écrire ici une créature magique : écrire ici un sorcier célèbre : écrire ici un objet moldu : écrire ici un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : écrire ici un endroit : écrire ici un mot doux : écrire ici un conte : écrire ici

généreux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : écrire ici quidditch ou lecture : écrire ici patacitrouille ou baguette au réglisse : écrire ici argent ou amitié : écrire ici st-mangouste ou ministère de la magie : écrire ici cavalier ou fou : écrire ici balais ou transplaner : écrire ici elfe de maison ou liberté : écrire ici astronomie ou arithmancie : écrire ici chat ou chien : écrire ici

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : écrire ici en quelques lignes, votre avis sur la prise de pouvoir récente de Orion Black comme premier ministre de la magie.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : écrire ici en quelques lignes, votre avis sur l'arrivée récente et mouvementée de la secrétaire de l'éducation, Cordélia Dolohov, ainsi que votre avis sur les premiers décrets qui ont suivis.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : écrire ici en quelques lignes, votre avis sur ce Fantôme Chapardeur qui sévit à l'école en dérobant les sorciers ! Pensez-vous savoir de qui il s'agit ? Avez-vous des idées sur qui se cache derrière ce nom ? Avez-vous déjà été victime de lui.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : écrire ici en quelques lignes, votre avis sur les sept mystères qui hantent l'école. Voulez-vous les découvrir ? Avez-vous peur ? N'y croyez vous pas ?

à l'intérieur de ma pensine

Lettre à Hunter,

Autrefois alors que le temps était monotone au dehors, et que les arbres couverts de mousse verte épousaient à merveille les gouttelettes d’eau de la pluie tombée, et que le froid d’hiver régnait en maitre sur la nature, ta présence me faisait tout oublier de la déchéance naturelle. Mains autour de ma taille, tête au creux de tes bras, genoux serrés contre ma poitrine, prunelles rivaient sur l’horizon des nuages, nous nous promettions de toujours être là, l’un pour l’autre en tant qu’amis comme les frères et sœurs que nous n’étions pas. La brise glaciale d’un vent de Verlaine vint alors se jetait dans ma chevelure d’un blond rebelle que tu ne cessais de toucher parce qu’elle avait un parfum de cannelle, une senteur qui s’occulte facilement avec le temps. A l’image d’une valse à trois temps, j’essaie de me remettre en mémoire les nombreuses promesses que nous avons dérobées au pouvoir de l’existence humaine. Toutes ses fois où notre tandem à fait rugir ce pauvre et malheureux professeur de potions, celui qui ne cessait de te taper sur la tête avec son livre miteux et poussiéreux ou encore de la sortie tardive pour fêter une victoire au quidditch ! Cette soirée avait été drôle car nous avions essuyés une belle punition pour avoir désobéit au règlement. Je rigole encore de cette soirée folle et amusante au possible, la dernière avant ta disparition soudaine et sans nouvelles.

Ne plus te voir ne satisfait pas ma conscience, et la sentence du coupable de ta montée aux cieux - dont je crois guère la subsistance - n’apaise pas le moins du monde les nombreux maux qui font de l’ombre au vestige de notre passé commun. Tu sais combien j’aime le hasard et son sens de l’aventure, mais savoir ton souvenir loin de moi, loin de mes pensées me rend réticente face à la croyance pure et simple de ton souvenir. Je suis une piètre amie pour tenir de tels propos, pour autant je devine pour croire, et tout en continuant de te deviner je ne te vois toujours pas. La mort semble dure, lente mais salutaire à celui qui semble la vivre, du moins c’est ce qu’en rapporte certains auteurs, certains philosophes. Toi et moi étions un puzzle de malice, de conneries et d’audace ; et ces morceaux de puzzle constituent nos vestiges antérieurs communs.

Le sourire ambiguë aux coins des lèvres j’espère encore pouvoir saluer et honorer ta mémoire, du moins je le fais de mon mieux. En ce mois de février, je t’écris de nouveau une lettre comme si rien n’avait changé à nos habitudes coutumières. Mes yeux scrutent toujours un horizon bondé de nuages aux couleurs cotonneuses et claires, mais c’est seule, dos calé à un arbre centenaire que repose mon corps qui se gèle au fur et à mesure des minutes. Les bourrasques excessives du froid me picorent les joues en ce moment précis où je couche sur papier mes pensées personnelles. Je vais devoir mettre fin à l’encre qui coule de ma plume pour ce jour. Infiniment amis. Infiniment liés. Infiniment nous. Infiniment nous liés à l’amitié. Je t’adorais au passé, je t’adore au présent, je t’adorerai dans un futur idyllique.

Béatrice.

Son meilleur ami avait disparu, son meilleur ami avait perdu la vie. Il était encore jeune, elle était encore qu’une adolescente qui croyait que tout été possible et elle le croit encore. Toujours plongée dans son écriture, toujours tête tourner vers un illusoire imaginaire qui ne regarde qu’elle. La mort d’Hunter n’était qu’une expérience de plus a ajoutée à son existence comme à son expérience avec autrui. Autrui était une science en lui-même, une étude qu’il fallait toujours voir grandir et voir espérer pour qu’il donne le meilleur, qu’il détonne tout à la fois. Les yeux rêveurs, elle porte son regard d’un brun écorce vers le ciel encore brumeux et bien que quelques nuages blancs s’en dégagent, Béatrice n’a aucun mal à laisser ses pensées voguer au bon gré de ses rêves. Une minute s’écoule, puis deux, puis trois comme un compte à rebours laissant s’échapper des gouttes d’eau. Une à une, elle s’écoule et s’écoule jusqu’à trouver un point de chute, une chute qui se révèle être la voix coutumière de Cain. « Toujours dans les nuages à ce que je vois. ». Lui avait il demandé tout en s’appuyant légèrement contre le vieux tronc d’arbre à son tour. Les bras croisés sur son torse, la tignasse légèrement en bataille, le brun n’avait rien à envier à son frère : Cain avait les mêmes. Pour autant, la jeune sang-mêlé se contentait tout simplement d’observer le lointain horizon d’un ciel qui lui était encore farouchement hostile. Voyant que sa camarade ne lui répondait toujours pas, le dénommé Cain s’installa à son coté en prenant soin de prendre la main de sa camarade dans la sienne. Depuis la mort de Hunter un rapprochement considérable avait vu le jour, pour Béatrice cela semblait naturel et simple. Cain était au courant de sa particularité magique puisqu’il en avait été témoin de l’une de ses visions alors qu’ils se trouvaient tous deux à la bibliothèque en plein dimanche après midi. Cette vision l’avait quelque peu surpris, mais il était resté là à ses cotés à lui tenir la main en espérant que tout irait au mieux possible pour elle. Il déposa sa main contre sa peau rugueuse comme pour la ramener à la réalité. « Tris … Tu voudrais bien qu’on parle un moment ? ». Un instant de silence s’imposa à eux, puis doucement la blonde aux nombreux reflets vénitiens reporta son regard noisette vers son compagnon. « Cain ? Qu’est ce que tu fais ici … ». Le sorcier la toisait d’un regard impassible et bien à lui le tout teinté d’une œillade protectrice. Reprenant doucement sa respiration, la Riordan laissa s’échapper un léger soupire en reportant son regard vers le large. « … Laisse deviner … J’étais encore en période d’absence c’est ça ? ». L’ange rigolard à ses cotés ne put s’empêcher de réprimer un sourire aux commissures de ses lèvres tout en secouant la tête d’un air moqueur. « Les bonnes habitudes ne changent jamais Tris. Tu devrais peut être arrêter de penser ce n’est pas toujours bon pour l’esprit … ». Arrêter de penser ? C’est pour elle comme arrêter de respirer. Grace à cela elle pouvait laisser la souffrance de ses visions s’effacer en libre choix. Dieu savait combien ses idées ingénieuses bien que loufoques avaient le don de surprendre mais aussi de révéler son grand potentiel. La Serdaigle se contenta d’hausser les épaules, une expression lointaine dessinée sur son visage angélique. Cain passa un bras autour des épaules de sa camarade, la serrant au plus proche de lui-même. « Tout ira bien, tu pourras toujours compter sur moi. ». Une vérité qu’il comptait rendre exclusif et réelle.