moi, le magicien,

prénoms : Satya. nom : Macbeth. nature du sang : Née-moldue. âge : Dix-neuf ans. date et lieu de naissance : Le 12 juillet 1961 à Lerwick, îles de Shetland. nationalité : Écossaise. année d'étude : Huitième année d'études, aucune classe redoublée. niveau scolaire : Les résultats de Satya ne sont pas excellents mais ils sont tout de même plutôt bons, même plus que cela. Et puisqu'elle est littéralement passionnée par le sujet de ses études, naturellement elle obtient aisément de bonnes notes. parcours scolaire : Journalisme. votre baguette : Composée de bois de tilleul argenté, mesure 26,2 cm, droite et souple, contient une larme de banshee, prédisposée à la métamorphose. matières favorites : Sortilèges et enchantements & rapport entre les sociétés magiques. matière détestée : L'études des runes ; pourquoi ? Tout simplement parce que la théorie l'ennuie profondément. votre patronus : Un colibri. face à l'épouvantard : Une masse d'eau incontrôlable qui se dirige vers moi. particularité magique : Don de voyance.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : L'aiguise-méninges. Un sortilège : Spero Patronum. une chanson : Feeling Good de Nina Simone. Ou alors Lucky de Radiohead ; en tant qu'éternelle indécise, les goûts musicaux de Satya changent perpétuellement mais ces deux chansons la plongent curieusement dans un état de parfaite détente et de plénitude. un instrument de musique : Le piano. Elle ne sait absolument pas en jouer mais ne peut s'empêcher d'admirer et d'adorer les sons mélodieux qui s'en échappent et trouve l'instrument en lui-même tout simplement magnifique. un bijou : Un pendentif. une insulte : Espèce de croupion de scrout-à-pétard sexuellement possédé par un hippogriffe. une phobie : L'eau. une couleur : Le rouge. une créature magique : Un phénix. un sorcier célèbre : Rowena Ravenclaw. un objet moldu : Un stylo à plume. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : Toast grillé. un endroit : Le parc de Poudlard. un mot doux : Les mots doux, Satya n'en utilise pas des masses ; notamment parce qu'elle est assez mal à l'aise avec ses sentiments et qu'elle préfère agir. un conte : Les contes des frères Grimm, c'était ses préférés étant enfant.

généreux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ aveugle ; créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : Été. quidditch ou lecture : Lecture. patacitrouille ou baguette au réglisse : Baguette au réglisse. argent ou amitié : Ça dépend ; amitié, le plus souvent. st-mangouste ou ministère de la magie : Ministère de la magie. cavalier ou fou : Cavalier. balais ou transplaner : Transplaner ; plus classe et moins de risque de s'étaler sur le sol, la tête la première. elfe de maison ou liberté : Liberté, sans la moindre hésitation. astronomie ou arithmancie : Astronomie ; Satya est allergique à tout ce qui implique, de près ou de loin, des calculs. chat ou chien : Chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier ? : Satya n'était pas présente ce jour là. Elle ne connaissait ne connaissait pas personnellement ceux qui ont péri dans cet attentat. Et pourtant, la blondinette ne peut s'empêcher de se sentir concernée. Logique : en tant que née-moldue, elle se dit qu'elle aussi, elle aurait du y passer.

Que pensez-vous des Mangemorts ? : Lorsque l'on parle d'eux, la journaliste en herbe qui sommeille en Satya s'éveille brutalement. Ce groupuscule dont on ne sait pratiquement rien l'intrigue. Alors, elle tente de glaner quelques informations par-ci, par-là dès qu'elle le peut mais tout ce qu'elle a appris, c'est qu'ils sont puissants. Très puissants. Et ce pouvoir l'attire autant qu'il lui fait froid dans le dos.

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Minos Selwyn ? : Selwyn ne lui inspire pas confiance et de surcroît, il est irritant avec ses décrets agaçants qui privent un peu plus les écoliers de leur liberté. Et justement, manquer de liberté et se sentir piégée, c'est tout bonnement ce que Satya déteste le plus au monde. Et puis, elle aime beaucoup Dumbeldore et le fait que ce soit un homme juste.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école ? : Satya est avide de découvrir ces fameux mystères dont elle entend quelques bribes de conversations en passant à travers les couloirs de l'école. Rechercher ces secrets aiguise sa curiosité au plus haut point : c'est intrigant, excitant et aussi follement amusant.

à l'intérieur de ma pensine,

Une porte se dresse devant elle ; massif obstacle lui barrant la route que la blondinette maudit. Le visage de Satya - digne de celui d'une véritable poupée de porcelaine - s'assombrit en quelques instants et c'est désormais une moue contrariée, remplaçant son petit sourire adorablement satisfait, qui trône sur ses traits. La blondinette a la mine boudeuse tandis qu'elle fixe son nouvel adversaire : ce grand, très grand adversaire inanimé, colosse entièrement constitué de fer, mesurant plus de deux mètres de hauteur et de surcroît particulièrement gênant. Car oui, du haut de ses un mètre 20, Satya se doute que d'ouvrir cette satanée porte le plus silencieusement possible – et plus important, de pouvoir enfin voir ce qu'il se cache derrière – ne se sera pas une mince affaire. Front plissé, sourcils froncés, la petite fille se résigne déjà à tourner les talons lorsqu'une idée lui traverse soudain l'esprit. Quelques petits pas de loup et regards furtifs de droite à gauche plus tard et la voilà de retour devant son rival, les yeux pétillants de malice, un tabouret entre les mains qui ne lui permet, certes, que de gagner quelques centimètres de plus, mais c'est déjà assez pour lui permettre d'accomplir sa mission. Victoire ! Sa main chétive parvient à atteindre la poignée qui oscille doucement et un grincement torturé émane de l'imposante porte tandis que l'adorable frimousse aux longs cheveux couleur sable fait finalement son entrée. L'enfant referme avec toute la précaution du monde la porte derrière elle ; il ne faut surtout plus faire le moindre bruit, c'est d'une importance capitale. Dès l'instant où elle a ouvert la porte, une odeur particulière est venue se nicher, éveiller puis chatouiller ses narines. Le nez désormais stimulé, la petite fille ferme alors les yeux, prend une profonde inspiration et se concentre sur cette fragrance si singulièrement troublante. Elle hume aussi fort que sa cage thoracique lui permet et se sent aussitôt en proie à un léger vertige, à cause des effluves chimiques qui naviguent à travers la pièce. La senteur ne lui est pas inconnue. C'est fort, c'est âcre. Un peu comme du dissolvant, en beaucoup plus puissant. Cette odeur si familière qui enivre l'air, c'est du formol. Elle en est sûre, elle la reconnaît : son père l'utilise fréquemment et la petite fille en renifle souvent les relents qui imprègnent les vêtements de son papa lorsqu'elle se blottit dans ses bras douillets.
Le silence gouverne entièrement la pièce ; pas un bruit, pas un son n'ose en troubler la quiétude. Et la petite écossaise fait tout son possible pour ne pas briser le calme instauré : elle a même retiré ses chaussures, histoire d'éviter que ses semelles claquantes la trahissent ; et à présent, telle une véritable ninja, elle laisse progresser ses deux petits pieds désormais nus à travers la pièce. La voix caverneuse de son père lui interdisant formellement de pénétrer dans sa pièce interdite ou sa "salle des miracles" - comme il se plaît à appeler sa salle d'embaumement – vibre encore dans son esprit. Son père à Satya, il est thanatopracteur. Un mot savant aux sonorités agressives - voire barbares - qui signifie simplement qu'il s'occupe de rendre aux morts leur "jeunesse perdue et beauté d'autrefois". Ce sont les mots de son père, pas les siens. Mais, du haut de ses huit ans, Satya trouve cela vachement cool comme métier. Le fait que son papa travaille entouré de cadavres toute la journée ne la dérange ni ne l'offusque pas le moins du monde. Au contraire : ça l'intrigue, la fascine et l'amuse presque. Semblables aux autres fillettes de son âge, Satya adorerait – comme elles - observer son père travailler ; le voir à l’œuvre, le voir exercer son art. Cet art qui avive son œil et lui donne un si bel éclat lorsqu'il en parle. Cependant, son "papa d'amour adoré" (car c'est comme cela qu'elle l'appelle, pour mieux l'amadouer, lorsque vient le temps des supplications) refuse catégoriquement de la laisser vagabonder dans son atelier. Par conséquent, elle n'a pas le droit d'être là et elle en a parfaitement conscience. Mais c'est tellement amusant de désobéir ! Et puis, depuis que son paternel en avait prononcé l'interdiction, l'envie de s'infiltrer dans la fameuse pièce défendue la consumait.
L'excitation accélère les battements de son cœur ; c'est comme si elle était un agent en mission secrète. Un sourire mutin s'impose sur les traits de son visage à cette pensée, tandis qu'elle observe religieusement tout ce qui l'entoure. C'est la première fois qu'elle met les pieds ici mais déjà, l'envie de procéder à une petite rénovation la titille. Simplicité, c'est le mot d'ordre ; la décoration est rudimentaire, voire simpliste. Papier peint blanc, étagères incrustées dans les murs qui accueillent une bonne trentaine de flacons, pinces, ciseaux et autres instruments divers qui reposent sur une large table, dans un coin de la salle.
Mais qu'importe tous ces outils : c'est pour voir ce qui trône au centre de la pièce que l'agent spéciale Satya est venue : une table. Une grande table à roulettes, entièrement constituée d'acier inoxydable qui, à première vue, n'a rien de bien extraordinaire mais qui pourtant ravit l'enfant ; une table d'embaumement. L'exaltation qui l'anime s'amplifie tandis que la petite fille s'en approche à tâtons, comme si elle se préparait à ce qu'une bête féroce – ou pire, son père - surgisse pour l'empêcher d'y accéder. Un peu plus d'une minute s'est écoulée lorsque Satya arrive finalement à destination. Elle n'a fait que quelques pas mais le sentiment de victoire qu'elle ressent est comparable à celui d'un alpiniste qui aurait tout juste atteint un sommet fulgurant. Ses yeux s'illuminent et les battements de son petit cœur flirtent dangereusement avec une vitesse anormale comme elle remarque que quelqu'un a déjà fait de la table sa nouvelle demeure. Face à face avec un corps inerte, d'un blanc cadavérique. Les yeux de l'enfant deviennent balles de ping-pong et sa bouche prend la forme d'un joli "O" bien rond alors qu'elle se poste sur la pointe des pieds pour mieux observer – pleine d'un certain émerveillement – le fameux cadavre.
Frémissement de cils. Sa tête s'incline tandis qu'elle commence à l'examiner : son visage s'est figé en une expression calme, sereine, de plénitude. Ses yeux sont fermés, sa bouche aussi et ses bras reposent joliment en croix contre sa poitrine. Allongé comme cela sur cette table, il a l'air si paisible que Satya l'envie. Une moue dubitative s'esquisse sur son faciès comme elle se demande : à quoi peut-il bien penser pour avoir l'air aussi heureux ?! Et, est-ce vraiment si plaisant de se retrouver dans cette position ? L'enfant hausse doucement les épaules, comme si elle cherchait à se répondre à elle-même, ne sachant trop quoi penser d'une telle réflexion. Alors, intriguée, elle se stoppe soudain dans sa contemplation pour s'étendre sur le sol froid. Elle ferme bien les yeux, la bouche, croise tranquillement ses bras sur sa poitrine et attends. Elle attend de voir ce qui change, ce qu'il y a de si agréable à se retrouver dans cette posture. Seulement, rien ne se passe et la patience de la fillette s'égrène au fil des secondes qui s'échappent lentement. Soupir exaspéré ; elle capitule. La mine de nouveau boudeuse, elle se relève, jauge et toise une dernière fois le cadavre puis tourne les talons et sonne le glas de cette première expérience peu concluante en quittant la pièce.

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« Qu'est-ce que tu veux ? » Il n'est pas encore arrivé à sa hauteur que déjà elle tressaillit ; quelque chose se crispe au creux de son estomac tandis que des frissons lui agitent la nuque. Elle la sent : cette curieuse aura morbide et mortifère qui – en permanence - émane de lui, l'auréole et l'enveloppe tout entier ; cette impression imperceptible et indescriptible de danger, ce besoin irascible de fuir tant qu'elle en a encore la possibilité et, instinctivement, elle se méfie. Mais pourtant, elle ne prend pas ses jambes à son coup, préfère croiser les bras pour se donner une certaine contenance et attends, une lueur d'arrogance teintant désormais ses prunelles. « Ton sang. J'ai besoin de quelques gouttes, pour mes travaux sur les voyants. Tu m'aideras. » Nouvelle série de frissons face à ces propos, qu'il accompagne de son habituel sourire en coin carnassier. « Et, qu'est-ce qui te fais croire que j'accepterais de t'aider ? » Le ton de la blondinette se veut cassant voire méprisant ; intérieurement, elle se félicite de ne pas avoir flanché. Cependant, on décèle sans mal dans sa voix le mélange de peur et de méfiance qui lui inspire le Carlson. Et Satya, intriguée, est trahie par les traits de son visage qui, involontairement, s'éclairent. « Pour le bien de la science ? » Le sourire narquois et satisfait du jeune homme confirme ses pensées : pour elle, c'est perdu d'avance ; Tyler obtiendra ce que Tyler voudra. Ainsi, Satya se résigne à acquiescer à sa requête ; non pour la science, mais purement et simplement pour son intérêt personnel : la jeune fille crève littéralement d'envie d'en savoir plus sur ce don – ou plutôt cette malédiction – qui la détruit de l'intérieur. Et si pour cela, elle doit offrir quelques gouttes de son sang à celui capable de la faire défaillir en un regard, ainsi soit-il.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Biniii.
ton prénom : Bineta ; ouip, c'est original.
ton âge : Dix-huit ans.
ton avis sur le forum : Il est magnifiquement magnifique ; très bien construit, complet et vraiment beau. Puis les admins et membres ont l'air super, tout comme l'ambiance.
comment as-tu transplané ici ? On m'a menacée de mort si je venais pas. C'est Maddie et Mow qui m'ont forcée à venir, moi je voulais pas à la base parce que j'vous aime pas ! *SBAF* Oui non, Maddie & Mow ont fini par me convaincre après maintes et maintes demandes.
ta disponibilité : Le plus souvent possible, presque tous les jours donc.
ton avatar : Magdalena Frackowiak.
ton personnage : Scénario.
le mot de passe : Les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : J'veux 100 000 euros cash, sinon j'me barre et j'dis à ma môman que vous êtes tous des méchants. Oh, et aussi, je tiens à m'excuser d'avance d'être une grosse inculte de l'univers d'HP ; c'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'hésitais à m'inscrire.

tumblr.