Moi, je suis un sorcier dont l'ascendance est pure ou mêlée et je suis élève de dixième année. Actuellement, j'étudie comme Serdaigle, cursus plutôt vers medicomagie, arts, justice magique et ça me plaît ! Je suis né(e) le JJ/MM/1961 à lieu et je suis donc nationalité. J'ai actuellement 20 ans. Comme sorcier, il faut savoir de moi que ma baguette est faite en bois de chêne (envie & curiosité) ou hêtre (orgueil), , qu'elle contient os de dragon (naissance - obscurité) ou poil de sphinx (intelligence & mefiance) et qu'elle mesure taille au choix. Particulièrement rigide, elle est légèrement incurvée et a des prédispositions pour si dragon > medecine magique / sphinx > runes.. Mon patronus prend la forme animal et face à un épouvantard, je vois au choix. Ma potion favorite est potion et mon sortilège préféré sortilège. Je suis un élève Bon et on dit de moi que je suis Attentionnée, dynamique, tendre, passionnée, curieuse, ambitieuse, vaillante, attachante, mais aussi quelqu'un de orgueilleuse, rancunière, bornée, calculatrice, manipulatrice, jalouse, possessive, légèrement fourbe et perfide. Mes matières favorites sont potions / sortilèges / défenses contre les forces du Mal et celle que je déteste est vol sur balai / astronomie / botanique. Je suis aussi particularité magique au choix. Je suis unique et je l'assume !



L'histoire est relativement libre, a quelques indications qui je sais ont l'air longues, mais sont très simples et relatives :

Ҩ Si elle se rends à Serdaigle, elle va forcément entrer en contact avec Calypso Delacour, dans la même année et même maison, et qui cette fameuse fille avec laquelle Nathaniel a trompé et craqué, et avec laquelle il entretient toujours une relation secrète, un lien avec la joueuse sera donc je pense de rigueur et intéressant
Ҩ Au départ bien évidemment, elle détestait Nathaniel et tout ce qu'il dégageait, ses airs arrogants, ses airs je m'en foutiste, mais pourtant une certaine complicité les liait. Il la trouvait attachante et lorsqu'il était avec elle il était plutôt calme, amusant, tendre et affectueux, elle lui donnait actuellement goût à la vie. Ils devinrent alors amis à leur façon, possédant une alchimie évidente en dépit de leurs petites disputes parfois futiles.
Ҩ Elle est née dans une famille très riche, une famille qui s'occupait peu d'elle étant donné ses bons résultats et qui lui donnait l'argent comme moyen d'acheter son amour probablement, toute cette opulence et cette bourgeoisie av fini par la dégoûter et la rendre amère. Elle a fini par protester et haïr publiquement sa famille il y a deux ans environ, elle ne les voit que très peu à présent, son compte en banque lui permettant même de louer un appartement correct à Londres, ville qu'elle explore alors seule durant l'été.
Ҩ Blessée par la tromperie de Nathaniel, ce qui l'a le plus blessée, c'est qu'il ne voulut pas dire qui était la jeune femme. Cette fille à ses yeux est donc plus importante qu'elle pour que Nathaniel, qui était auparavant si coureur de jupons, ne veuille pas révéler son nom. Il tenait actuellement à cette fille pour ne pas qu'elle lui fasse la misère, pour ne pas que cela se sache, pour que cela se reproduise peut-être. Depuis, blessé dans son orgueil et dans son égo, après deux ans pendant lesquels elle a beaucoup observé le jeune homme avec leur relation qui semblait être revenus au stade d'amis-connaissances, elle n'a pas oublié Nathaniel. Elle a tout fait pour, rien à faire, dès que son regard croise le sien dans les couloirs par exemple, juste un regard désintéressé ou involontaire, elle le sent, elle le sent en elle, imprégné, ancré dans ses pensées. Nathaniel non plus ne l'a pas oubliée bien entendu, à sa façon il tient toujours à elle mais une autre Vénus hante également ses pensées et amour et partage n'ont jamais fait bon ménage, surtout étant donné la possessivité et jalousie de X.
Ҩ Depuis le début de l'année donc, elle s'est engagée dans un plan de rapprochement, elle ne se le cache pas, elle souhaite plus ou moins reconquérir le jeune homme. Pas pour lui montrer qu'elle l'a pardonné non, simplement pour qu'il la délivre de ses névroses et de ses afflictions : savoir le nom de cette jeune femme qu'avec le temps elle a idéalisé et en a fait un de ses démons les plus persistants, qui lui rappelle ce coup d'égo qu'elle n'a jamais digéré. Cette nouvelle relation qui s'apparente aux montagnes russes entre glace et feu laisse le jeune homme perplexe qui résiste cependant peu. Du côté de la jeune femme, elle semble bien déterminée, calculant chacune de ses paroles et de ses actes, mais ne risque pas t'elle de se brûler les doigts avec le temps face à ce jeune homme méfiant qui l'analyse aussi de son côté et qui a toujours su la faire chavirer jusqu'à présent ?

La première fois que je t'ai vu, tu étais avec une amie qu'on avait en commun lors d'une partie de Quidditch. Tu étais divinement belle mais si arrogante et imbue de toi même, j'avais presque envie d'en vomir. Je me suis même dit que tu étais "la plus belle personne laide que j'avais jamais vu." Je ne t'ai pas vraiment parlé, ou alors des simples conversations de politesse, tous ces rires, ces blagues que tu semblais partager avec tes amies, me semblait totalement faux, artifices et hypocrisies pour arriver à tes fins, cacher ta véritable nature plus sombre. Tu as fait une blague à un moment, je me suis forcé à rire de façon excessive pour te montrer que tu ne pouvais me faire illusion. « Haha ma foi c'est pas tous les jours qu'une Serdaigle me fait rire comme ça HAHA. » Je forçais. Je faisais de grands rires théâtraux avant que mon visage ne se referme. Ton regard a croisé le mien. Tu m'as détesté tout comme je t'ai détestée. « Et vous êtes... ? » Avec du recul et de l'anticipation, j'aurais probablement pu répondre ton futur petit ami. Ton cassecouilles favori. Celui dont tu vas follement t'éprendre. Ton plus beau Serpentard. « Pas intéressé. » J'échappe un sourire au coin avant de tourner les talons. Notre amie soupire et commence à m'excuser de mon comportement mais tu ne l'écoutes pas. Tu restes là, un sourcil mi-levé, à me regarder partir alors que tu finis à ton tour par échapper un sourire au coin. Tu ne veux pas l'admettre, mais notre alchimie est déjà bien présente, un seul regard a suffit.

Ton visage m'inspirait à la fois aigreur et affection mais avec le temps, une complicité s'était lié. Ce n'était que des petits piques, des petites remarques amusantes et parfois grinçantes. Ca a fini par devenir une façon de se dire bonjour et de se montrer notre affection. Tes amis me disaient que j'étais une mauvaise fréquentation. Tes amis disaient beaucoup de choses sur moi. Il n'appréciait pas ma fougue, mes tendances buissonnières, ma maison, mon caractère, il n'aimait pas ma personne. Tu n'en avais que peu faire. Tu te savais rare pour entretenir une amitié avec moi, aussi étrange soit-elle. Je me savais rare que tu ne me haïsse pas du fait de tes fréquentations et de ton statut. Ce n'était qu'une question de temps à présent. Une question de courage. Le début de notre amitié qui s'est par la suite embrumée. J'étais devenu un bon ami, ton confident parfois, et je me suis rendu compte que tu n'avais pas une vie tel que je l'avais pensé au premier abord : Tu n'étais pas qu'une simple petit fille à papa plein de tunes, non, tu avais horreur de l'argent. Tu avais tellement baigné dans l'argent que tu en étais dégoûté. Tu ne pouvais supporter l'attitude hautaine et bourgeoise de ton père, et si tu en avais l'occasion, tu préférais largement t'installer dans une caravane avec quelques bons cds et des clopes. Et accessoirement, découvrant peu à peu tes failles, et nos nombreuses similitudes caractérielles,, sur notre vision du monde et de la vie en générale, ainsi que de ses qualités que je n'avais jamais vu auparavant, je crois que cela devint une évidence pour moi. Nous étions proches, trop proches pour rester de simples amis. Tes amis devenaient de plus insistants et lourds à ce propos. Mes amis de même. Nous restions silencieux sur le sujet. Avec toi j'étais calme, j'étais bien, j'étais en paix. Ce jour là, nous étions au parc. Septième année. Avant les décrets Dolohov et toute cette merde. Tu me lisais quelques vers d'un poète moldu que tu avais trouvé à la bibliothèque. Je t'observais et lisais la beauté de ton âme comme dans un livre ouvert, un léger sourire au coin. « Je crois que je t'aime. » Tu me regardes avant de partir dans un fou rire ironique. Je n'échappe pas un rictus et je reste statique. Tu finis par te calmer. « Tu crois ? » « Je crois que je suis amoureux de toi oui. » « Qu'est qui te rends si sûr de toi ? Qu'est qui te dit que moi je t'aime aussi ? » « Je ne sais pas si tu m'aimes. Je sais simplement que comme Chimère à Rodrigue, tu ne me hais point. Moi je sais que je t'aime car jamais personne ne m'a rendu aussi heureux que toi. » Je suis un peu mièvre je sais. Mais tu m'agaces, tu me tortures, tu sais. Tu sais que je t'aime. Tu sais que tu m'aimes. Tu sais que je le sais. Tu sais tout. Et pourtant tu te joues de moi, tu fais durer ce qui ne devrait même pas posséder de mots. Ton regard reste ancré dans le mien suite à mes derniers mots. Tu n'attends qu'une chose à présent. A mon tour de te torturer. A ce jeu, j'excelle. Bavarde en général, je sais que tu ne supportes pas cette attente interminable. Tu te mords la lèvre, je ne bouge pas d'un poil alors que mon visage n'échappe aucun rictus. Tes poings se serrent. Je continue de te regarder avant que je ne te délivre de ta souffrance. Je prends ton livre avant de le poser sur l'herbe. Ma main se pose alors sur ta joue alors que je rapproche ton visage du mien pour t'embrasser. Tu feins d'être surprise, mais toi comme moi savons que tu crevais sur place en attendant ce geste. Car tu es orgueilleuse, car tu es réservée, car tu es toi, et que je suis moi.

Nous sommes sortis ensembles quelques temps, un an il me semble. Je t'aimais bien, je crois même que je t'aimais tout court. On se complétait, tu m'apaisais, tu faisais de moi une meilleure personne et nous avions tendance à nous tirer vers le haut avec nos deux caractères. Avec toi, j'étais tendre et calme. Et puis j'ai craqué. J'ai rencontré quelqu'un d'autre. Je l'ai rencontré. Je t'ait trompé. Je t'ai quitté. Tu as crié. Tu m'as frappé. Tu m'as embrassé. Tu m'as insulté. Tu as peut-être versé une larme. Ca s'est fini ainsi. Plus tard, tu m'as demandé son nom. Tu voulais savoir. Tu avais le droit de savoir. Je n'ai pas voulu divulguer son nom. Tu as compris. Tu t'es senti encore plus blessée par ce refus que par mon acte en lui même. Tu m'as harcelé. Je n'ai pas pipé un mot, tu as fait tes recherches, en vain. Aujourd'hui, notre relation est étrange. Tu tentes probablement de me reconquérir même après tout ce temps, juste pour redorer ton orgueil, je l'ai compris mais cela ne me dérange pas. Parfois tu es garce, parfois tu es tendre et fourbe, mais j'aime ça. Parfois je t'utilises pour la rendre jalouse, parfois non. Notre relation est lunatique et désordonnée mais je me méfie quand même de toi, tout comme tu te méfies de moi. Je n'arrive pas à savoir si tu es sincère, tu ne sais même plus si tu flirtes avec moi dans le but d'obtenir ce précieux nom dont tu as tant besoin pour par la suite mieux me détruire ou non. C'est malsain, c'est agréable.