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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


PRENOM/PSEUDO : Amandine
CREDITS : Tiphe
PARCHEMINS : 337
LOCALISATION : Près de toi
ICI DEPUIS : 29/05/2012

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MessageSujet: ☞ Bang bang I shot you down pv ehzeee   ☞ Bang bang I shot you down pv ehzeee EmptySam 28 Juil - 22:36


Tu avais entendu parler d’elle. Une rumeur, un bruit de couloir, quelque chose que tu n’aurais jamais retenu si l’information n’avait pas perturbé ton esprit. Oh oui, la nouvelle, étrange, particulière avait attiré ton attention comme si c’était la seule et unique chose qui pouvait avoir de l’importance. Muette, un mot qui te laissa interdit comme si tu venais de faire une grande découverte. Une sorcière, sans voix, un être étrange, quelqu’un que tu ne connaissais pas mais qui t’intriguait déjà. Oh oui, des millions de questions torturaient ton esprit d’habitude si peu enclin à rechercher ce genre d’informations. Au fond, cela était devenu une obsession, tu voulais comprendre, savoir, mesurer tout ce que cela pouvait changer. Une part de cette partie sombre en toi se demandait tout ce qu’il serait possible de faire avec quelqu’un qui serait totalement incapable de parler. Plusieurs parties de ton être voulaient obtenir cette réponse mais elles se battaient également. Chacune désirait une approche différente de la question. Le peu de curiosité que tu possédais se demandait comment il était possible d’apprendre la magie si l’on n’exprimait aucun sort. Pour toi cela était totalement étrange voir dérangeant. Ce côté de toi était toutefois le plus sympathique. Les autres parties de ton être avaient des idées beaucoup moins charitables sur sa tendre personne. Il y avait tellement d’inconnus, tellement de choses à découvrir et en même temps une sensation de trop. Les choses dans lesquelles tu pourrais te lancer pour découvrir la vérité ne seraient pas des plus adorables et tu ne voulais pas finir en prison. Un seul interdit et tellement d’envies. Un poids pesant lourd dans la balance, un poids qui t’empêchait de craquer totalement. Avançant vers ton prochain cours, tu prenais possession de ce couloir comme tu le faisais si souvent. Cette supériorité, cette impression de pouvoir qui se plaçait dans tes veines dès que tu aperçois l’air apeuré de tes victimes. Des idiots, persuadés que tu es le mal personnifié, tu en joues encore et encore comme si c’était la seule et unique chose dont tu étais capable. Savoir que personne ne t’approchait n’était pas un fardeau mais ta libération, ce qui te permettrait de te sentir libre, totalement. Ce petit garçon en toi s’en servait pour chasser au loin ses nombreux cauchemars, pour ne plus penser à l’époque où il était la victime et non le bureau. Quelques pas, ta classe, lé début d’un cours et puis elle. Deux jambes qui n’en finisse pas, un corps à en damner un saint. De dos, tu la reconnais, cette obsession, cette bizarrerie de la nature qui occupait de façon presque malsaine tes pensées. Elle avançait, brebis égarée dans cet immense troupeau. Elle cherchait sa classe, sans l’ombre d’un doute et tu n’allais pas l’aider. Non, tu regardais les couloirs se vider tandis qu’elle restait là, ce chien à l’allure battue, ce monstre que tu allais bientôt découvrir. Plus qu’elle, toi et quelques élèves. Un pas, puis un autre. Un rapprochement. Sans le lui laisser le temps de réagir tu l’agrippa par le bras et la poussa dans un couloir beaucoup plus reculé. Ici personne ne pourrait te déranger. Ici tu pourrais jouer avec ton plus merveilleux jouet. Une nouveauté, une pièce unique que tu attendais avec impatience de découvrir. Un sourire sur ton visage, tes mains qui serraient ses poignets, tout était fait pour lui faire peur. Est-ce qu’une muette savait crier ? A quoi cela ressemblerait-il ? Tu avais hâte de le découvrir. « Bonjour ma jolie… » Une mise en bouche, ta voix était glaciale et malsaine. Tu voulais la bruler de l’intérieur, lui faire comprendre qu’avec toi tout allait être différent. Oui, elle était tombé sur un monstre et tu allais lui montrer à quel point tu pouvais l’être. « Ici il n’y a que toi et moi mais je ne veux pas te faire de mal… Du moins pas si tu réponds à mes interrogations… » Sourire machiavélique, regard alléchant, tout est fait pour qu’elle comprenne, pour que tout son être soit détruit avant même que tu commences. Oh oui, ce jouet allait être plus que passionnant.
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Ehrzeÿna N. Arkadÿevna
Ehrzeÿna N. Arkadÿevna

Serdaigle


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PARCHEMINS : 76
LOCALISATION : Certainement dans la bibliothèque.
ICI DEPUIS : 09/07/2012

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MessageSujet: Re: ☞ Bang bang I shot you down pv ehzeee   ☞ Bang bang I shot you down pv ehzeee EmptyMer 15 Aoû - 14:19

IT'S YOUR RIGHT, AND YOUR ABILITY TO BECOME, MY PERFECT ENEMY

Ce n’était pas la première fois que l’on s’écartait de son passage, comme une frayeur ancrée en chaque être de cette école, moutons craignant l’odeur du loup, effrayés par une colère possible, un désir de basse vengeance, de destruction et de corruption. Encore une fois, un petit groupe venait de s’écarter d’elle, sans même qu’elle ne daigne franchement accorder un regard étonné, ou condescendant. Lasse. Remus Lupin le lui avait bien mentionné pourtant dans une de ses lettres : les étudiants de Durmstrang sont des suppôts de satan, et la magie noire est la plus vile des magies. Certes, pas tout à fait ses mots, mais l’idée était là. L’on avait peur d’elle, pour une raison qui ne lui échappait pas tout à fait, mais qui la laissait sincèrement impassible. La solitude semblait étrangement lui coller à la peau, comme une double peau, un vêtement des plus soyeux dont elle ne pouvait que se parer encore et encore. A durmstrang, on la respectait, après l’avoir humilié pour la condition qu’elle occupait. Mais là bas, il avait été fait en sorte qu’elle se montre respectable et bien moins écervelée que la plupart de ses camarades féminines. Il lui avait fallut se montrer rusée pour attirer la sympathie des messieurs. Ici, tout lui était encore étranger, quand bien même cela faisait maintenant quelques mois qu’elle avait trouvé refuge entre ces murs. Certes, elle avait eu le loisir de rencontrer son correspondant et de « converser » avec lui dans la mesure du possible, le préfet de sa maison était un jeune homme agréable qui daignait bien souvent lui demander comment les choses se déroulaient ici pour elle. Mais mieux qu’eux tous, c’était son ami d’enfance qu’elle avait put retrouver, glissant avec une joie non dissimulée dans ses bras sauvages, parcourant de son regard électrique les traits de ce visage devenu celui d’un homme. Il était son plus grand repère ici, celui vers qui elle pouvait se tourner sans crainte de représailles ou de rejets, le seul partageant son étrange comportement. Un amour amical, fraternel, deux âmes reliées. Il y avait au moins un point positif à s’être exilée au Royaume-Uni, et il n’était pas négligeable. En revanche, ne pas savoir combien de temps son exil durerait était un point on ne peut plus inquiétant à ses yeux, la laissant dans une perplexité qui n’était que la surface de son anxiété. Combien de temps encore, avant qu’elle ne puisse fuir de nouveau ? Elle n’avait pas osé rentrer chez sa famille d’accueil durant les vacances de Noël, préférant vivre recluse dans ce lieu de protection que de laisser son frère retrouver sa trace. Mais à l’été ? Elle n’était pas dans le besoin, tout l’argent de son compte chez « Njörden » pour le transférer dans un coffre secret à Gringotts, sur le point financier, on ne pouvait qu’avouer qu’elle était tranquille. Les autres plans cependant étaient bien moins faciles à jouer. Où aller ? Un soupir, tandis qu’un élève s’écarte vivement, commençant déjà a balbutier des excuses pour Raspoutine seul savait quoi. Fallait-il vraiment que l’image d’une garce avide de magie noire lui colle à la peau ? C’en était réellement ridicule.
Inutile de s’en vouloir, vraiment, pensa t’elle avant de finalement sortir son emploi du temps de la semaine. Huuum. Quel était le prochain cours déjà ? Elle n’avait fait que suivre un camarade de classe, sans réellement savoir où elle devait se rendre. Génial. Une heure de rien. Une heure de liberté à réfléchir à cet avenir incertain, ou mieux, à se distraire à la bibliothèque. Enfin, c’était tout du moins quelques suppositions car la vérité fut qu’elle n’eut pas même l’occasion de penser à quoi que ce soit, car aussi soudainement que ses pensées interrompues, elle put sentir une main venir se casser sur son bras, à chercher à lui faire mal peut-être, un malheureux qui n’avait pas peur d’elle ? Bouchée bée, elle n’a d’autres choix que de suivre son agresseur, sans même voir son visage, jusqu’à l’arrêt total de la marche, jusqu’à enfin voir son visage tordu par une fureur qu’elle ne connaissait que trop bien pour l’avoir connue durant des années. « Bonjour ma jolie… » Ouhla, lui, il commence très mal. Et pourtant, elle n’esquisse mimique qui saurait prédire l’état dans lequel elle se trouve. Peur ? De quoi ? D’un stupide élève de serpentard persuadé de contrôler la moitié du château ? Allons bon. Non, seule la surprise saurait se lire sur son visage de poupée, tandis qu’elle attendait la suite des évènements. Il allait faire quoi ? Tenter de lui faire peur ? Par Raspoutine, quand donc les Anglais comprendront que face aux élites russes, ils ont l’air de parodies vivantes ? « Ici, il n’y a que toi et moi, mais je ne veux pas te faire de mal… Du moins, pas si tu réponds à mes interrogations. » Bla bla bla. L’ancienne Maitresse et Dame se lasse déjà de cette conversation qui n’a pas commencé, lui, ne lui fait pas peur. Pourtant, déjà esquisse un signe de tête entendue, pour mieux entrer dans le jeu peut-être ? Sa baguette se trouve encore sagement ranger dans un endroit que seule elle saurait. La mettre au même endroit que tout le monde… est une faiblesse qu’elle ne saurait s’accorder. Allons donc pour jouer la frêle créature et déjà son regard se fait curieux autant qu’elle pourrait sembler mal à l’aise. Parfaite actrice, joueuse à ses heures perdues. Elle qui ne savait pas quoi faire durant l’heure à venir, allait sans doute s’amuser un peu en fin de compte, et de surcroit, avec quelqu’un presque à sa hauteur, car le seul ici qui saurait l’égaler, ne portait nullement les couleurs de celui-là.
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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


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MessageSujet: Re: ☞ Bang bang I shot you down pv ehzeee   ☞ Bang bang I shot you down pv ehzeee EmptyDim 26 Aoû - 10:02


Il n’avait pas peur de cette femme. Non, dans son esprit, une femme ne pouvait pas l’être surtout pas quelqu’un d’aussi inférieure qu’une muette. Oh oui, sa composition amenait Evan à la considérer comme un être étrange voir inférieur. Pour lui, voir une demoiselle de la trempe de cette nouvelle, c’était du pain béni, un moyen de se sentir bien, de savoir que dans cette école, quelqu’un était plus étrange que lui, quelqu’un attirerait plus l’attention plus que le fou fruit d’un inceste qu’il était. Son attrait envers la demoiselle n’était nullement sain et ne parait nullement de bonnes intentions. Tout ce qu’il désirait c’était elle, c’était la détruire et jouer. L’amusement et le plaisir qu’il en ressortirait le rendait encore plus enthousiaste de mettre son plan à exécution. Une seconde et tout c’était passé. Le couloir était désert, personne ne pouvait t’empêcher de l’emmener. Oui, tu avais un plan en tête et tu allais tout faire pour t’y tenir. Ton idée était simple mais elle valait tout l’ord du monde, tu voulais simplement l’observer, décoder sa façon d’être et… Tu ne savais pas, cette bizarrerie de la nature faisait sortir une part étrange de ton être qui ne demandait qu’à en découvrir davantage. Tes buts étaient étranges, inexplicables pour autrui mais tu suivais tes envies tout en sachant qu’elle ne pourrait le raconter à personne. Au fond, voilà ce qui t’amusait, elle serait incapable de répéter tout ce que tu pourrais lui dire ou lui faire, elle était un jouet, le nouveau à ta collection et tu allais t’en délecter. Personne ne pourrait te le prendre, surtout pas maintenant. Tu t’étais enfoncé, avec ta victime, dans l’un des lieux les plus tranquilles du château. Ton plan semblait parfait et tu n’avais même pas fait attention à ce qu’elle pouvait te faire. Tu t’en fichais, cette envie te dévorait de l’intérieur. Tu voulais la titiller, découvrir si elle était aussi muette qu’elle le laissait croire, comprendre le fonctionnement de cette créature étrange. Fou, tu l’étais sans l’ombre d’un doute à cet instant mais cela ne te dérangeait en aucun point. L’ayant entrainée à l’écart, tu te mis à lui parler, tu essayais de lui faire peur de démarrer ce jeu qui te donnait tellement envie et auquel tu ne voulais que céder. L’avoir si près de toi te permis d’admirer son corps. Tu ne pouvais nier que de l’extérieur, elle paraissait une bien sublime créature, envoutante et porteuse d’un petit quelque chose qui la rendait différente de toutes celles que tu avais déjà vu. Ton jeu n’en était que plus divertissant. Plongeant tes prunelles dans les siennes, tu essayais de déchiffrer ce que tu pouvais y voir malheureusement, tu n’arrivais pas à en déchiffrer le contenu. Cependant, tu te persuadais qu’elle était surement effrayée et cela te fit sourire de cette manière machiavélique qui te sied si bien. « Pourquoi ne réponds-tu pas ? Tu sais, il serait dommage d’abimer un si beau visage… » Par tes mots, par ton ton, par ton attitude, tu lui faisais comprendre que tu savais parfaitement qu’elle tare était sienne mais que tu en jouais pour l’enfoncer encore davantage dans tes étranges envies. T’approchant doucement d’elle, tu la poussas alors, avec beaucoup moins de délicatesse contre le mur le plus proche. Tu désirais l’effrayer, tu rêvais qu’elle te supplie d’arrêter cette torture qui s’annonçait. Oui, c’était comme si la présence de la donzelle avait été conçue pour te mettre au défi, pour te faire te retrancher dans tes limites, pour démarrer un drôle de jeu. T’approchant le plus près possible de sa pauvre carcasse, tu attrapas son menton d’une de tes mains, sans avoir le moins du monde peur de lui faire mal. Au contraire, tu espérais que le force exercée par le contact entre tes doigts la ferrait sursauter de douleur. « Tu sais, si tu ne te montres pas plus coopérative, je vais être dans l’obligation d’employer des manières peu agréables. Comme pour renforcer la force de tes mots, tu déplaças ta main jusqu’à son cou que tu caressais doucement. Oh oui, elle n’avait aucune de tout ce que était capable de faire, de la noirceur qui prenait parfois possession de ton âme t’amenant dans ce genre de situations étranges et malsaines. « Allez, juste un petit mot pour me faire plaisir. » La main toujours posée élégamment sur son coup tu lui avais susurré cette phrase dans l’oreille. Tes yeux ne quittaient pas les siens tandis que tu attendais de voir où te mènerait la situation. Une chose était sûre, tu t’en délectais d’avance.
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