moi, le magicien,

prénoms : aleÿthià freya nom : clavenport nature du sang: mêlé magiquement de part sa mère, cette dernière étant vélane âge : vingt-deux ans date et lieu de naissance : 12.28.58 birmingham, midlands de l'ouest, royaume unis nationalité : anglaise année d'étude : entame sa douzième année niveau scolaire : loin d'être newton isaac, reste néanmoins un bon élément parcours scolaire : second cycle scolaire, justice magique votre baguette : mélèze au crin de sombral, rigide et rectiligne atteignant les 25.6 cm, possède de remarquable prédisposition pour les enchantements matières favorites : enchantements et potions matière détestée : la métamorphose ainsi que la divinitation ; « levez le voile du futur » barbant et sans intérêt, lire sa mort dans le fond d'une tasse de thé la rebute. pour elle son avenir ne se présente encore qu'en filigrane, ce dernier fluctuant en fonction de ces choix et décisions votre patronus : un botruc, petite créature munie de longs doigts pointus et dont l'apparence semblable à un mélange d'écorces et de brindilles l'aide à se camoufler dans son environnement naturel. est un gardien des arbres qui se nourrit principalement d'insectes. face à l'épouvantard : lorsque les éléments se déchainent, qu'une fissure crevasse le sol, sombre significative de la colère de mère nature particularité magique : est une vélane dont le chant est envoûtant et tout mâle qui l'entend tombe sous leur charme, ne sachant plus trop ce qu'il fait. toutefois, une fois énervées les vélanes de sangs pures perdent toute beauté: leurs visages ressemblent à des têtes d'oiseaux et elles portent des ailes couvertes d'écailles sur les épaules. Pour aleÿthià, ses cheveux se ternissent ainsi que la manifestation d'écailles le long de la naissance de sa nuque et de ses épaules qui affectent son apparence en cas de virulentes colères.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : amortentia (filtre d'amour) le fabriquait avec sa mère mais ne crée pas vraiment un sentiment d'amour, produit simplement une forte attirance ou une obsession Un sortilège : nox (étint les lumos) une chanson : breathe me un instrument de musique : le violon un bijou : une gourmette à son nom une insulte : enfoiré d'neurasthénique une phobie : les endroit clos, étroits et sans fenêtre une couleur : le céruléen une créature magique : nous un sorcier célèbre : albus dumbledor, vieux, peut-être sénile mais un sourit bienveillant, une épaule solide sur laquelle se poser en font une figure remarquable, indispensable de howgarts un objet moldu : la télévision, apparut depuis peut au domicile des calvenport un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : marmelade un endroit : le parc, le lac, les espaces verts un mot doux : honey un conte : la petite sirène de sir anderson quelle trouve à son image

généreuse ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver quidditch ou lecture : quidditch patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette au réglisse argent ou amitié : amitié st-mangouste ou ministère de la magie : ministère de la magie cavalier ou fou : se dit plutôt un fou sans garde fou balais ou transplaner : balais elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : arithmancie chat ou chien : chat

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier : dérapage médiatisé, scandalisé, horrifié pour certains, jubilation pour d'autres, je reste incertaine. Silencieuse sur le sujet, ce jour là, les journaux étalés sur la devanture de mon couvre lit, m'oppressent de sentiments effrayants. Mes camardes de chambrée restent silencieuses. Elles ont vu, lu, entendu. Le teint cireux, fatiguées, elles sont dans l'attente. L’étau se ressert. Le palpitant s'emballe. En chien de faïence, on se fixe, se regarde, se jauge. D'abord elle, née moldue. Timide. Brillante. Tout lui réussit. Puis elle. Garce au possible. Garce au grand cœur mais dont le lignage pourtant pure se perd de part son métissage avec sa mère. Cracmol. Et puis moi... moi dont le cul se trouve entre deux sièges. Les mains moites, mes opinons, remarques acerbes, violentes, je me les garde. Silencieuse au possible, des sentiments trop amers m’oppresse. Et je reste là. Simple spectatrice d'une tragédie qui va se répéter. Encore. Peut-être ici. Peut-être dans cette chambre. La panique me gagne. L'ombre de mes cauchemars m'entoure et m'engloutit dans une spirale abyssale. Ce sont dans des moments comme ceux là qu'on prend conscience que de toutes petites bêtes peuvent créer des catastrophes énormes comme tornade, ouragan, tsunami et enfin meurtre à répétition.

Que pensez-vous des Mangemorts : mystérieux détraqués. Je les déteste. Je les adore. Je sais pas trop. Le mal. Le bien. L'un ne va jamais sans l'autre. Mais ou s'arrête l'un et ou commence l'autre ? Un attrait sombre que je ne peux nier et que je recherche. L'adrénaline ? Peut-être... juste pour changer de cette routine, de cette dictature qui nous opprime, nous empêche de nous épanouir. Adolescence enchaînée, entravée, ils arrivent, ouragan qui ébranle tout sur son passage. L'agitation à du bon ici. Ca nous change des décrets, d'elle : Dolohov. Et tant de questions les entoure. J'aimerais connaître, en savoir plus sur eux. Je me dis que ce n'est que curiosité. Curiosité morbide, il est toutefois difficile d'en parler autour de soit. Tout le monde se tait. On fait l'autruche. Jamais entendu. Jamais vu mais suspendu sur toutes les lèvres « mangemorts ». Une violente envie de les connaître. J'avoue. Mais au delà des masques, leurs actes me hérisse et me laisse juste mauvaise envers leur intentions barbares.

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Selwyn Mordred ? : en premier lieu, la venue de notre charmante garce nationale qu'on voudrait bien écorcher au détour d'un couloir. Dictateur, tortionnaire... vielle bonne femme acariâtre qui ne sait que crier, elle m’insupporte. Garce de bonne femme, son caractère merdique efface petit à petit notre bon vieux directeur. Papy se fait de plus en plus rare. Il me manque. Sentiment de perdre doucement ceux qui ont fait la renommer de Howgarts, le château n'est qu'une plaie ou règne complots, menaces et dictature. Je me lasse, me révolte contre cette école dont l'autorité est encore plus pesante qu'un camp de concentration. Déplorant le début de ma scolarité, doucement je perds goût à cet enchantement. Cette magie qui rendait ce vieux château magique. Désabusée, je suis devenue le gentil petit fantassin qui obéit sagement. Au doigt et à l’œil. Jusqu'à... Selwyn. Gâteux et certainement sénile. Course de déambule dans les couloirs au programme. Aurore de son état, à l’image de Dolohov, tout deux dans le même panier, je ne sais trop quoi penser de lui. Tous, on attend. Silencieux, on attent de connaître la suite. La fin ?

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : encore des mystères bien plaisant. Il est parfois tentant de s'y laisser totalement entraîner. Retrouver cette insouciance de jeunesse. Courir après un mythe, une légende ou tout simplement une vérité à demi-cachée. Amusée, j'adore me perdre dans une illogique sans fin pour décortiquer un mystère. Même sans réponse, je m'évade, pense à autre chose pendant un court laps de temps. Et si vérité il y a, je veux être de celle qui trouve, découvre ce mystère. Avoir la jubilation d'avoir réussi là où tant d'autre on échoué. La compétition, j'adore ça. Ca me stimule, me pousse à toujours en vouloir plus et rend un peu de charme et d'authenticité à Hogwart, lui devenu si platonique...

à l'intérieur de ma pensine

des mangemorts et de la propagande : Vous n'êtes pas sans le savoir, l'attentat de Diagon Alley a été orchestré par un groupe de sorciers terroristes portant le nom de Mangemorts (Death Eaters.) Les Mangemorts sont activement recherchés, mais on ignore qui sont les membres qui en font partis. On ne connait qu'une chose, à savoir, l'identité du chef qui dit s'appeler Samaël, en référence au fils déchu de Dieu qui devint Lucifer, maître des enfers et des démons. Les défenses de l'école ont été accentuées sur ordre d'Albus et de Cordélia, néanmoins, cette nuit là, pour une raison que vous choisissez, vous avez dépassé le couvre-feu. Alors que vous vous rendez dans votre dortoir, vous voyez une silhouette sombre au loin qui colle des affiches de propagande pour rejoindre les Mangemorts. Il s'agit d'un élève, c'est certain, mais ce-dernier est impossible à identifié car il fait trop sombre. Que décidez-vous de faire ?

JE DÉAMBULE, INSOUMISE ET INSOUCIANTE, L'AIR HEUREUSE DE VIVRE, D'EXISTER CAR MON CŒUR ABRITE UN DÉSESPOIR CRIANT. Peu d'endroits où trouver sérénité et paix, aucune berge épargnée par la solitude, nulle place où affronter la multitude, car le plaisir, pour mon être, n'est pas fait. Et comme toujours c'est à la lisière du bois que je me perds, me complais dans le silence pesant des sylves. Immenses. Imposants. Sombres et oppressants, pour certains, rassurants pour d'autres, je me vautre parmi l'étendue fraîche d'herbes, le chiendent couvrant la roche, les troncs et quelques racines émergeant des profondeurs. Paysage apocalyptique, j'y vois une vie mal comprise s'étendre au devant, arrachant tout du paysage féerique du bois enchanté. Hurlant d'incompréhension, les branches se tordent. Abruptes. Tranchantes. Et parmi ces squelettes d'écorce, une pousse fragile y apparaît sur une cime. Ici s'épanouit toute la fragilité complexe d'une nature à l'agonie. Et de par son émeraude éclatante, elle embellit ce vieux sylvestre. Sourire éphémère qui étire mes lèvres, l'éclat de voix de mes camarades de classe m'arrache à ma contemplation. Je les regarde de par mon épaule, parler, rire, crier, chuchoter, profitant de ces rares rayons de soleil. Insouciant pour certains, les événements passés ne les atteignent pas. Ils restent les mêmes. Aveugles et bruyants. Mon regard finit par se porter sur le château, arpentant les fenêtres, soupiraux et châssis. Inconsciemment, je te cherche. Encore. Fais chier. Frustrée, je ressers l'écharpe qui s'échappe de mon blazer et me redresse prestement. Prenant le bouquin qui traîne à même le sol, je bouge. Besoin d'un moment de solitude. Besoin de faire le point, d'évoluer, d'oublier. De travailler. De m'évader quelques heures. Rien de plus. Et d'un pas vif, je m'engage dans les entrailles de la forêt, le vent vif diminué dans son brutal élan par les rangées serrées d'arbres. Finalement, coupé de monde, assaillis par des questions sans importance, je n'ai rien entendu, rien vu du temps qui a pu passer. Vautrer contre une roche, à l'abri du vent, à travailler un foutu devoir de métamorphose, à gribouiller quelques idées mal assurées, ce n'est que lorsque la pénombre à doucement commencée à pendre possession des lieux que j'ai réalisé. Réalisé l'heure plus qu'avancée. Sourde angoisse due au règlement intérieur du château, je me suis arrachée de mon travail. Balançant le sac en travers de mon épaule, parcourant rapidement la lisière de la forêt dans laquelle je m'étais abandonnée, m'écorchant joues, nez et mains, je me suis élancée vers l'école longeant l'obscurité déjà présente pour dix-neuf heures à peine dépassées.

Ombre lugubre étrangement illuminée par une centaine de lumières tremblotantes, l'imposante stature du château efface progressivement ma présence. Echevelée, à bout de souffle j'atteins les portes. Fermées et silencieuses, je tends l'oreille dans l'espoir vain d'entendre quelqu'un. Seul le silence, lugubre et inquiétant répond à mon souhait. Saloperie de Dolohov ! Je déteste cette vielle harpie... baguette en main, j'ouvre les entrailles de ce vieux bonhomme de Hogwart et m'engouffre dans la demie pénombre du château. Inquiète, je suis moite. Je transpire. Sue et suffoque sous le coup de l'adrénaline. Mes mains dérapes sur la pierre froide. D'un geste fébrile, je les essuie, sur mon jean, ma veste et ma langue passe sur mes lèvres sèches. L'angoisse me gagne. Mon cœur s'emballe, se serre, ralentit et repart comme un dératé au moindre bruit suspect. Mon esprit travaille à plein régime. Les séries de meurtres. L'attentat. Les flammes. Tout me revient avec une netteté crue. Tranchante. Et alors que je me traîne dans les couloirs, l'immense escalier capricieux s'offre enfin à moi. J'abaisse ma baguette. Rassurée. Un léger sourire apparaît sur mes lèvres. Je n'ai qu'à prendre la volée de marche qui s'offre à moi. Grimper l'escalier, rejoindre mon dortoir. Aussi simple que ça. Juste à m'avancer et ne surtout pas tourner la tête vers le bruit plus qu'inquiétant qui résonne derrière moi. J'arpente les tentures. Lisses. Rien ne bouge. Rien ? Rien si ce n'est elle. Ombre parmi les ombres. Immobile le long de mur. Capuche rabattue, sweet sombre, elle me tourne le dos. Grande ou petite j'en sais rien. Je m'en fous. M'en balance. Je ne veux pas savoir. Non. Absolument rien. Et elle bouge, doucement, sur le côté, dévoilant une affiche. Couleur noir sur fond de parchemin jauni, j'y vois qu'une seule note « mangemorts » A ce moment, c'est le vide. Complètement vidée de toutes pensées correctes, je me recule précipitamment. Mon pied heurte, violemment, une porte donnant sur une minuscule pièce. Et tandis que le son mate résonne dans le silence immobile du grand hall, un kaléidoscope de sentiments s'emparent de moi. Je le vois. Présence glaciale. Une fugitive seconde pour le sentir, une existence entière à vouloir le dominer. Au ralentit. Pareille qu'un vieux film. Son visage se tourne. La peau apparait albâtre sous l'astre argenté de la lune puis plus rien. L'ombre a le visage totalement tourné vers moi. Je la vois. Bras suspendus dans le vide, l'affiche injurieuse aux bouts des doigts, le visage pointé vers moi. Elle me toise par dessus de son épaule. Impassible. Les secondes s'enchaînent. Des heures pour moi. Enfin elle bouge. Se tourne. Lentement. Son bras regagne le long de son corps. Mes yeux, avides d'informations suivent ces gestes, cette affiche qui glisse de ses doigts pour venir choir à ces pieds. C'est le signal. Ma main ce tend précipitamment derrière-moi, tâtonne, trouve puis tourne la poignée. Ma logique m'abandonne alors que je m'engouffre à reculons dans le cagibi. Dans la précipitation, ma baguette s'échappe. Merde. Elle glisse, roule et se fige sur le côté du chambranle. Je chancelle. L'endroit restreint m'empêche de bouger correctement alors que je me vautre contre une étagère. Gémissement douloureux, je m'y glisse, mon cul rencontrant rudement le sol marbré et glacé du placard. Tétanisée, mes muscles s'ankylosent. De façon incontrôlable, mon esprit repasse en boucle, encore et encore, ma baguette m'échappant des mains. J'ai envie de pleurer de rage. Et mon regard s'agrandit sur cette foutue porte qui se rabat violemment sur mon entrée précipitée. Mais pas assez fort. Elle reste entrouverte. Saloperie. Fuck.

J'ai toujours voulu les rencontrer. J'ai recherché, fui, poursuivi ces ombres. Cruelles. Mystérieuses au génocide organisé, aujourd'hui, devant l'une d'elle, un élève au visage mystérieux, je détalle. Lapin apeuré qui se réfugie dans le fond de son terrier, je regarde le raie de lumière de la lune apparaissant sous la porte. Sécurité éphémère, j'y entrevois l'ombre d'une personne. J'ai le cœur qui balance. Ca tangue. Douloureuses tamponnades, j'ai l'impression de courir un marathon. Respiration saccadée, je me maudis. Moi et ma foutue maladresse d'avoir lâché ma baguette. Et quelque part dans les tréfonds de mon âme siège un étrange et familier visiteur. S'éveillant d'une noire torpeur, il se pare d'un manteau de glaces, foudroyant mon être car de ma vie il veut être le seul roi. Les doigts crochus tel un odieux rapace, il dévore toute manifestation d'hérésie. Le néant. Rien n'assouvit son appétit vorace. Et tandis que les secondes s'égrènent, soumises à une tiède et inconnue nuisance, pourrissent, de ma vie, les vertes graines de ma destinée. Sonne alors le glas de mon existence. La poignée tourne, bouge puis s'immobilise. Doucement. Incontrôlable, mes genoux se pressent contre ma poitrine alors que je regarde cette porte s'ouvrir. Je m'attends à y voir un funèbre présage. La mort personnifiée sur les traits d'un docile fantassin. Une bouille enfantine, d'un adolescent psychologiquement instable. Sa baguette braquée sur moi. L'ombre d'un sortilège impardonnable crépiter à l'extrémité de cette dernière. Et quand enfin un visage m'apparaît, orné de sourcils broussailleux, je reste interdite. Un moment se passe avant de sourire brusquement. Merlin. Je suis contente de le voir ce papy ! Et une ligne amère abîme ces traits de vieux débris sénile alors que la porte s'ouvre en large. J'y vois du beau monde mais aucun élève encapuchonné. Ma baguette, étroitement nouée entre les doigts osseux de Selwyn, m'est brutalement tendue. Ouais vieille charogne. J'ai compris le message. J'ai pas été sage, je dois être punie. Mais je ne dis rien. Silencieuse, je reste. Juste quelques secondes. Un, deux ou trois hoquets nerveux. Juste le temps que la tension se libère. Que les vannes s'ouvrent. Brutalement. Et lorsque toute mon énergie me quitte, lasse et éteinte, j'apparais fatiguée sous son regard scrutateur. Gestes raides, j'essuie quelques traces de larmes de rage et me redresse avec le plus de dignité possible. Drapée dans ma fierté blessée, je prends ma baguette. Sans un merci. Sans un regard. Je prends mon sac, le rajuste sur mon épaule et quitte mon trou de boursouf. « Demain. Sept heures. Dans mon bureau mademoiselle. » J'écoute à peine. Mon intention se porte vers le mur du fond. Plus d'affiche. Plus personne. Comme un mirage. Un cauchemar. J'ai rêvé. Eveillée. « Mademoiselle Clavenport... » Dans état second, je me tourne vers lui, glisse une mèche rebelle derrière mon oreille, la bouche sèche. J'essaie de reprendre contenance alors que j'ai bien failli me pisser dessus à l'instant. J'abaisse légèrement mon regard pour me plonger dans l'abyssal de ses yeux de fouine. Docilement, je hoche la tête. Oui. Demain, sept heures, prête pour ma flagellation publique. Impatient, il me montre les escaliers pour rejoindre mon dortoir. J'exécute. Un pas, puis l'autre. Lentement. Puis rapidement. J'avale les marches, à bout de souffle. Et alors que j'atteins le haut des escaliers, j'ose un regard derrière moi. Le vide. Oui. Le vide s'offre à moi. Le silence oppressant à reprit ces droits sur le château et les ombres des immenses conifères apparaissent sur les dalles froides de l'endroit. Dans le hall dépouillé, à cet instant, aucune trace des affiches criardes...

méfaits accomplis,

ton pseudo : babycakes
ton prénom : cora x)
ton âge : vingt-quatre balais
ton avis sur le forum vraiment sympa. contexte très original, peut vu, j'adore et j'adhère !
comment as-tu transplané ici ? bonne question... certainement via bazzart
ta disponibilité : régulière, voir 5/7
ton avatar : tuii kuik
ton personnage : inventé - scénario - prédéfini
le mot de passe : les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : je suis amoureuse

mem0rial fox, everdeen, eurydice

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations aleÿthià f. calvenport ² ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serdaigle, chez les sages et réfléchis aigles ! Ce choix était une évidence car tu es aussi sérieuse et studieuse que ce doit de l'être un serdaigle digne de ce nom. Ainsi, te voici dans la maison bleue et bronze. Tu dois savoir que la salle commune est ici et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. et que j'en suis réellement tombée amoureuse ! Tu as parfaitement su capter le personnage, bref, je suis vraiment fana de chez fana. Epouse-moi, on fera des bébés trop seks et voila

Aleÿthià, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous