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 RP SOLO ► pour des chocolats.

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Absinthe C. Potter
Absinthe C. Potter

Poufsouffle


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MessageSujet: RP SOLO ► pour des chocolats.   RP SOLO ► pour des chocolats. EmptyLun 23 Juil - 17:04



Bois une potion ; rp solo

absinthe dans la salle commune dans le hall puis au première étage.

La nuit venait de tomber sur la salle commune. Assise dans un des fauteuils qui connaissent si parfaitement ton corps tu rédige encore un de ces parchemins qui te vaudra une note admirable. Tu rédige tu te perds dans toute ses lettres qui se présente à toi et pourtant tu désespère en silence. Oui voilà déjà une heure que tu attends avec impatience que le sommeil te gagne, que tu oublies un peu ces bouts de papier pour plonger tête baissé dans les bras de Morphée. Malheureusement pour toi, le tableau s’ouvrant n’annonce pas vraiment la fin de ton supplice. La tonk passe la porte muni d’une boite qu’elle cache dans son dos. Là elle se jette comme à son habitude, prêt de toi pour passer un œil furtif sur le devoir que tu rédige. Le sourire aux lèvres tu laisses tomber cette plume qui glisse entre tes doigts, pour laisser ton dos épouser le dossier de ton siège. Le regard en biais tu interroges la jeune femme sur son sourire malicieux. Doucement elle te tend cette boite qu’elle tenait dans ses mains. ❝ c'était devant la salle commune ❞ dit-elle le sourire aux lèvres avant de déposer un baiser sur ta joue et de te laisser dans ta situation pour aller jouer à un jeu dont tu ne connais même pas le nom. Prenant entre tes mains cette petite boite tu aperçois sur son dessus un mot, l’ouvrant curieusement tu laisses apparaitre un doux sourire sur tes lèvres : en espérant que ces chocolats te plaise. En bon souvenir de notre conversation. J. tu te pince la lèvre inférieure avant de déposer la boite de chocolat sur la table devant toi. Rangeant tes affaires tu remontes munis de cette boite dans ton dortoir ou tu te jettes tel tonk sur ton lit. Là tu ouvres cette boite prenant une des friandises que tu déposes délicatement sur ta langue, là dans un croc tu laisses le chocolat s’ouvrir doucement en deux dans ta bouche laissant échapper un liquide dont tu ne reconnais pas la saveur. Un, puis deux puis trois, savourant chacune des saveurs. Pourtant après le troisième la fatigue te gagne enfin, tes yeux te pique, et d’un revers de la main tu les frottes dans l’espoir que cette sensation s’évapore. Pourtant rien n’y fait. Tu décides donc de laisser cette boite sur le côté de ta commode pour laisser tes rêves prendre doucement place.

La nuit fut courte tu le sais bien quand tu ouvres tes yeux. Courtes surement plus que tu ne le crois car autour de toi le noir reste encrée dans le paysage. Tu frottes à nouveau tes yeux de tes mains espérant trouver une silhouette non loin de toi, pourtant rien. Tu te relèves pour élargir ton champs de vision, pourtant toujours le néant. Les ténèbres sont tout autour de toi et tu te sens tomber dans les abysses comme si ta vision en avait pris un coup. Pourtant tu le sais la nuit noir et encore bien haut dans le ciel, chassant toute espoir de conception. Pourtant alors que tu veux te remettre en position pour finir cette nuit à peine commencé des bruits de pas s’approche, tu le sais la porte du dortoir vient de s’ouvrir. « alors on ne se lève plus potter » demanda la jeune fille qui venait de passer l’entrée. ❝ quel heure est il ?!❞ demandes-tu dans un espoir infime. « il est déjà onze heure » onze heure ?! onze heure du soir voilà la première explication qui te viens, pourtant tu les entends ses bruits venant de la salle commune, onze heure.. ❝onze heure.. du soir ?! ❞ Tentes tu de faire passer comme une question des plus naturel. Un rire s’échappe de la bouche de ta partenaire « bien sûr que non, tes chocolats ne t’ont pas réussi absinthe » tu te frotte encore les yeux tentant de voir quelques chose. Pourtant rien ne viens, rien le néant. Tu panique, tu flippes, pourtant tu ne laisses rien paraitre à la jeune femme qui vient de s’installer sur le lit non loin de toi. Tu ne perçois plus rien, tu dois aller à l’infirmerie, mais dans un état pareil tu te doutes que le chemin risque d’être long. Dans un élan tu enlèves le drap qui recouvre ton corps, tu poses un pied à terre et tu te lèves. Tu avances, enfin tu avances tu tentes de mettre un pied devant l’autre pour joindre un mur qui t’aidera surement à trouver l’armoire qui t’appartient. Tu avances sur de toi comme si de rien n’étais comme si tu avais conscience de chaque obstacle se trouvant devant toi. Malheureusement tu ne vois strictement rien. Trop fier de toi pour demander de l’aide tu te diriges sans même le savoir vers les escaliers qui se marrent déjà de te voir arriver tête baissé. Tu avances et tu sens cette première marche glisser sous tes doigts de pied, tu ne sais même pas pourquoi mais tu réagis, dans un bond tu te propulse en arrière t’étalent sur le sol du dortoir comme si tout était normal. Tu le sais ta camarade de chambre te regarde de manière surement interrogative et pourtant, naturellement tu souris et écarte tes bras et tes jambes, faisant l’ange autour de toi. Oui tu décris des arcs de cercles autour de ton corps comme si cette attitude était complétement réglementaire. Tu restes là à terre pendant quelques minutes incrustant on corps dans le sol. « eum tout va bien ?! » voilà surement la seul question que tu ne voulais pas entendre. Tu t’arrêtes tu t’asseyes face à tu ne sais où, surement en pensant que tu fais face à ton interrogatrice. ❝ oui tout va bien, je regarde si le sol du dortoir a les mêmes effets que la neige ❞ tu perds un sens et tu trouves rien de mieux à dire que cela. Voilà maintenant que tu passes pour une dingue. De peur de retournais vers les escaliers et de répéter ton numéro tu décides de rester a même le sol. Te mettant à quatre pattes, tu erres. Les bras en avant tel une tigresse, tu cherches un élément que tu pourrais saisir. Heureusement pour toi tu arrives à attraper un placard, peut être le tien, ou celui d’une autre jeune femme, de toute façon cela tes bien égale. Tu te relèves et ouvre l’armoire. Prenant ce qui te semble être une tenue de sorcier entre tes mains tu tentes de l’enfiler correctement. Bien entendu tu n’y arrive qu’as moitié mais à quoi bon de toute manière tu ne vois rien. Après avoir enfilé tout cela, tu poses tes mains brusquement sur ta chevelure pour l’aplatir, oui tu ne sais pas réellement comment tu es coiffé mais au moins cela évitera peut être quelques épis.. Enfin si tu pouvais voir ta tête tu aurais surement deux arrêts cardiaques. Tu te retournes à nouveau bien décider à prendre la direction de l’infirmerie pour connaitre la cause de cette perte de sens. Cette fois-ci tu avances avec prudence laissant tes bras devant toi, et tes jambes tendu tel un pantin. Tu trouves à nouveau ces escaliers qui secrètement n’attendaient que tu poses le pied sur une marche pour te laisser les dévaler instinctivement. Malheureusement pour eux tu arrivais en bas de ceux-ci sans embuche. Voilà une épreuve passé avec brio. Mais tu le sais devant toi se trouve la salle commun qui a ce son est emplie de monde, tu fais un pas en avant tu souris bêtement au cas où quelqu’un poserait le regard sur toi. Tu avances les bras encore en avant tu trébuches sur le coin d’un fauteuil, surement celui qui avait quelques heures plutôt emprisonné ton corps. Tu écoutes chacun des bruits qui t’entour espérant entendre le tableau de la salle commune s’ouvrir, heureusement pour toi tu l’entends ce tableau qui râle encore parce qu’un élève de première année n’a pas était très aimable. Dans un empressement tu t’avances, tu poses tes main contre la toile et tu la pousse violemment. Enfin dehors.

Deux étages à grimper, deux étages que tu dois parcourir sans te retrouver en mauvaise posture. Tu n’avais pas réfléchie à cela, toi absinthe potter la jeune femme la plus martyrisé de tout poudlard qui se retrouve à gambader les yeux bandé. La proie encore plus fragile qu’à l’habitude, mais c’est trop tard tu ais hors de la salle commune, tu ne peux plus faire marche arrière, il faut que te rendre à l’infirmerie même si tu risques de rester coincé le reste de la journée les pieds en l’air, la tête en bas. Après tout cela sera beaucoup moins terrible pour toi, car pour une fois tu ne verras rien. Tu te colles au mur qui longe la salle commune, tu visualise intérieurement ce qui t'entour et tu avances. Tu le sais-tu passeras surement peu inaperçus en ayant une attitude pareil et pourtant tu n’as pas le choix, sinon tu te perdras et là tu risques de ne plus pouvoir revenir.. Alors tu grimpes les escaliers à moitié allongés sur ceux-ci, heureusement tu restes seule et personne ne te croise, après tout tu ressembles juste à un crabe qui tente de retrouver la plage mais qui par les vague de la mer redescend toujours d’un stade. Après surement vingt minutes de monté divine tu arrives dans le hall. Tu espères un instant que celui-ci sera vide et par une heureuse coïncidence celui-ci est bondé de monde ! Tu soupires, tu as juste envie de mourir, et pourtant tu dois continuer ce périple. Coller contre le mur tu te doutes que de toute manière quelqu’un remarquera surement ta situation, alors courageuse comme pas deux, tu t’accroupies, voilà qu’à quatre pattes tu avances au milieu des gens. Pitoyable voilà surement le mot qui te définit le mieux, pourtant tu avances, passant sous les jambes de certaine personnes, écartant celle d’autre, tournant en rond durant un moment, tu trouves enfin les escaliers menant au première étage, alélouiaaaaaa !! Retrouvant de ta hauteur tu avances dans le long couloir du premier étage. Tu avances sans savoir où tu vas, les mains en avant les pieds qui tâtonnes, tu continues ta route. Mais un obstacle s’immisce entre toi et la terre promise. Tu entre en collision avec quelqu’un là un pas en arrière tu passes une main dans tes cheveux en espérant ne pas aggraver ton cas.. ❝ excuse moi je n’ai pas vraiment les yeux en face des trous se matin ❞ tu esquisses un sourire gêné espérant ne pas être entrée en collision avec le grand manitou des vipères. Pourtant aucune réponse, aucun bruit, aucun soupire.. ❝ tu pourrais au moins me répondre.. je suis désolé ❞ tu hausses un sourcil attendant encore une réponse pourtant le silence reste entre toi et cette fameuse personne. Tu en as mare d’attendre alors tu ouvres grand tes jambes et tu fais un écart pour éviter ce muet. Peut-être est-ce une blague du jour, toi aveugle et lui muet pourquoi pas après tout.. tu bouges reprenant ta trajectoire et la sbam tu entres encore dans ce même interlocuteur. ❝ tu te fou de moi là avoue ! ❞ aucune réponse, tu commences à t’énerver et pourtant personne ne daigne te réponse.. et là ton intelligence s’installe au-dessus du fait que tu ne vois rien. Dans un instinct tu te mets de profil tu tends ton bras déposant une main sur ta seconde collisions et tu t’attends vers l’autre. Des armures. « alors potter tu mesures la distance entre les armures du château ?! » fudge. Tu sautes sur place ramenant tes membres contre ton corps, par la suite tu te tournes vers cette voie tendant ton bras ❝ prend le fudge et conduit moi à l’infirmerie ilico presto ❞ murmures-tu sous un ton autoritaire. La dans ton dos un rire s’échappe « déjà si tu veux que je te conduise à l’infirmerie regard moi » tu le trouves comique et te retourne. ❝ arrête de te foutre de ma gueule fudge conduit moi à l’infirmerie ❞le jeune homme surement en face de toi te prend la main. Là tu te colles à lui et tu t’approches de ce que tu penses être son oreille ❝ je suis aveugle alors aide moi s’il te plait ! ❞ la tu sens doucement son souffle contre tes lèvres, tu te recules dans un sursaut et passe ton autre main sur ton visage en espérant que cette abrutit t’accompagne à destination. « potter aveugle je vais te laisser la tiens » d’un touché violent tu prends contact avec son bras. tu le regarde enfin, regarder est surement un grand mot dans ta situation. ❝ Bouge ton cul fudge sinon ❞ « sinon quoi potter ?! » ❝ sinon je te fais perdre ta virilité alors en de route encore ! ❞ un soupire exaspéré vint doucement à tes oreilles, pourtant d’un mouvement brusque il t’attire contre lui et prend le relais de tes yeux. Vous avançait a un pas cadencé, il s’arrête et ouvre cette porte. Tu te laisses tombé sur le lit et la tu comprends enfin cette dure réalité : toi et les chocolats c’est fini !
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