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 (SOLO) « Everybody in da club ! Tout le monde, dans le sandwich ! Let's go, lets go ! Laisse aller, laisse aller ! put your hands up in the air ! Mets tes mains dans les cheveux ! »

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AuteurMessage
Mævrös L. Rookwood
Mævrös L. Rookwood

Serpentard


CREDITS : somebody™
PARCHEMINS : 149
LOCALISATION : certainement dans la bibliothèque
ICI DEPUIS : 27/05/2012

(SOLO) « Everybody in da club ! Tout le monde, dans le sandwich ! Let's go, lets go ! Laisse aller, laisse aller ! put your hands up in the air ! Mets tes mains dans les cheveux ! » Empty
MessageSujet: (SOLO) « Everybody in da club ! Tout le monde, dans le sandwich ! Let's go, lets go ! Laisse aller, laisse aller ! put your hands up in the air ! Mets tes mains dans les cheveux ! »   (SOLO) « Everybody in da club ! Tout le monde, dans le sandwich ! Let's go, lets go ! Laisse aller, laisse aller ! put your hands up in the air ! Mets tes mains dans les cheveux ! » EmptyDim 22 Juil - 17:13



Une nouvelle volute de fumée qui s’envole vers le plafond, et d’un geste subtile, me voilà recalant ma putain au bas blanc entre mes lèvres, me délectant de sa saveur épicée, ignorant la fumée âcre qui l’accompagne pourtant, replaçant ma concentration sur les cartes que je tiens alors en main. Le silence se fait à notre table, et mes compagnons déjà se jettent plusieurs regards inquiets avant de reporter leur attention sur la mise placée sur la surface boisée. Il y a beaucoup en jeu en toute vérité : des galions, des montres et autres fantaisies en tout genre. Viles jeunes hommes que nous sommes. Si Dolohov venait à passer par la tête du sanglier et tombait sur nous, nul doute qu’elle piquerait sans aucun doute une crise de bonne femme respectable. Par chance, la vieille avait préféré se rentre au salon de thé pour esseulée en manque d’amour, permettant ainsi à mes compagnons et moi-même de nous décontracter autour d’une table, à siroter une bonne bierraubeurre et en pariant tout en jouant au poker sorcier. Ah Merlin ! Enfin un peu de repos dans cette dure vie de labeur ! Assis à côté de moi, je pouvais observer le jeune Nott mordiller sa lèvre, comme si son jeu ne le satisfaisait guère. Face à lui, Avery, concentré comme jamais, froncement de sourcil qui déjà, m’indiquait ô combien il pouvait s’avérer un adversaire de taille. A ses côtés… Mon propre cousin. Propre… mouais, un bel euphémisme lorsque je me plaisais à regarder l’état de ses cheveux. Gras comme… comme si cet abruti avait confondu l’huile d’olive avec le shampoing. Sérieusement, daignait-il seulement les laver au moins une fois par semaine ? Non non. La réelle question était : ce type avait-il même une hygiène corporelle ? C’était à croire que non, je peinais même à penser qu’il pouvait être mon cousin… Adopté peut-être ? Ou alors ma tante avait eu l’audace de tromper son mari. Il était tout bonnement impossible que ce type soit de ma famille. Remarque. On ne peut pas avoir deux Rookwood parfaits. Finalement rassurant. Bref, où en étais-je déjà dans mes pensées ? Tiens, une petite gorgée de bierraubeurre allait sans doute me remettre l’esprit en ordre. Voilà… Tiens, quel dommage, mon verre se voulait désormais vide… Vraiment pas de chance, j’en reprendrais certainement une tout à l’heure. Quoi que… « Excusez-moi, est-ce qu’on pourrait avoir cinq bierraubeurres de plus par ici s’il-vous-plait ? » Aussitôt dit, aussitôt fait. Mais déjà mon regard s’est reporté sur les cartes que je tiens en main, avant que je ne daigne reporter mes yeux uniques sur mes adversaires. La tension est on ne peut plus palpable, chacun veut récupérer la mise, ses objets, son argent… Je n’ai laissé que des galions pour ma part. Père me tuerait si je laissais ma chevalière en gage. Un souffle bruyant, puis Nott qui finit par jeter ses cartes sur la table. « Okay, j’me couche. », et un sourire satisfait de venir s’étendre sur mes lèvres, tandis que je libère de nouveau une bouffée de fumée. En effet, son jeu est on ne peut plus mauvais. Une aubaine pour les restants. Mais voilà déjà que notre camarade se lève et quitte la table, prétextant quelques achats à faire avant de rentrer. Nos boissons arrivent enfin, je ne la touche pas pour le moment, l’heure est à la fin de la partie. Au tour de Black de se coucher, de nous délivrer son jeu pourri. Un rictus, un rire rauque. La fin approche. Mon jeu est quelque peu mauvais, je pourrais tout laisser maintenant, mais ce serait bien trop facile en fin de compte. Greengrass. Et un de moins. Ne reste désormais plus qu’Avery, Augustus et moi-même. Plus que nous trois. Je sais déjà que mon cousin a un jeu de merde, j’ai pu le voix un peu plus tôt à sa mine renfrognée, à cet agacement portant son ongle à frapper la surface boisée. Mais Avery ? Un pincement de lèvres, mon camarade finit par se coucher lui aussi. Une tension en moins, car le jeu est entre mon dernier adversaire et moi-même. Je me redresse enfin, écrase la cigarette consumée dans le cendrier. « C’est entre nous hein, Gus ? Comme au bon vieux temps… » Le cousin d’esquisser un grognement digne d’un ours. Quelle classe. Je suis l’adversaire qui sait au moins aussi bien bluffer que lui. Meilleur même, sans vouloir me vanter. La nature n’a décidemment pas gâté mon pauvre cousin. « J’ai cru comprendre à ton agacement, que ton jeu est on ne peut plus mauvais non ? » Outch, le regard furieux, les cartes qui s’abbattent sur la table, et les éclats de rire autour de cette dernière. La mise est pour moi. Wouhou, le début de la fortune ! D’une traite, j’avale ma bierraubeurre, avant de lui trouver un goût étrange sitôt le verre reposé sur la table. Ca n’avait pas vraiment le goût de… Olaaaaa… Depuis quand La tête de Sanglier n’avait pas le sol droit ? Abattant mon pied sur le sol bruyamment, je lâchais un rire mesquin, assuré d’avoir eu le dessus sur le sol. Autour de moi, mes camarades continuaient de rire, mais j’ignorais bien que j’étais le sujet de leur ricanement. Pour ne rien cacher, je me sentais bien, bien mieux que quelques minutes plus tôt. Détendu, libéré de toute pression. Le poker, ça a du bon ! Ca délivre un homme !! Je me sentais fort, revigoré… mais visiblement, le sol voulait véritablement que je lui pète ses planches. « Fuck le plancher ! Tu veux te battre c’est ça ?! Et tiens, reprends ça ! » Clamais-je en écrasant de nouveau du pieds la planche qui cherchait par tous les moyens à me faire tomber, avant de tenter de me débarrasser de mes camarades cherchant à me retenir dans ma folie. « Rookwood ! Oh ! Qu’est-ce qu’il te prends ? » Direction la sortie, je me laissais trainer, non sans lancer des menaces « Le premier qui en profite pour me faire les poches je l’écartèle à la petite cuillère ! Rookwood, enlève tes mains de mon cul ! » D’un geste brusque, me débarrassais de tout ce petit monde un peu trop collant avant de fuguer en courant, rien à gorge déployée de mon acte d’héroïsme, allant me cacher dans une petite ruelle où une femme vendait des fleurs. Et si j’en achetais pour en offrir à Aleÿthià ? Non, ptêtre Lucinda finalement. Marloes en méritait bien plus. Je lui achetais finalement la totalité, gloussant à moitié en imaginant d’ores et déjà la scène ou la femme de ma vie m’accueillerait à bras ouvert en voyant le bouquet. Trop facile, c’en était risible… mais OH ! Déjà mon regard se perdait dans la vitrine de cette boutique de bric à brac. Je voulais absolument cet objet ! Il serait magnifique chez moi ! J’en demeurai absolument convaincue ! M’engouffrant en ce lieu, je dévastais quelques rayons, achetant un chapeau de mexicain dont j’avais toujours rêvé étant gosse, mais aussi de petites choses parfaitement inutiles qui suffisaient pourtant à contribuer à mon bonheur du moment. Je voulais tout et n’avait pourtant besoin de rien. Dehors, mes camarades m’attendaient de pieds fermes, je soupirai bruyamment, tout en conservant mon chapeau sur la tête, enfonçant les étranges lunettes que je possédais sur mon nez. A tous les coups, ces fils de chacal allaient tout me voler. Je les détestais. Et pourquoi je devais retourner à Poudlard maintenant ? Il fallait déjà que je trouve. PAR MERLIN ! Marloes se tenait devant moi ! Joie, déjà, je me précipitais sur elle, rêvant de l’embrasser à pleine bouche, de lui prouver tout l’amour dont j’étais capable, chose que, bien évidemment, je n’eus guère le temps de faire, que déjà mes geôliers me rattrapaient. « Mæ’ bordel ! Arrête d’agresser les gamines, on va croire que t’es pédophile !! » Je n’entendais rien de ce qu’il me disais. « MARLOES ! MAIS REVIENS ! MARLOES !! » La garce ! Elle m’ignorait en plus ?? Tss. Elle allait entendre parler de moi la fausse blonde. Maussade, désespéré, je suivis mes camarades, sur un chemin qui voulait lui aussi que je l’écrase. Allez tous en Enfer ! Sifflotant un air sortit de nul part, je m’arrêtais pourtant au bout de quelques minutes, subjugué par une beauté que je n’aurais jamais cru un jour rencontrer. « Ma ma mia. Mà quelle beauté, quel amour, quelle… mademoiselle, je brûle désespéremment d’amour pour vous ! Faites moi l’honneur d’être ma femme, je vous jure fidélité, plus jamais je ne coucherai avec Aley’, jamais… c’est toi que j’aime de tout mon cœur. » Oh oui, je l’aimais par dessus tout, me mettant à genoux à ses pieds, glissant mes bras autour de son corps, ignorant les fous rire de mes camarades. La belle était consentante, alors qu’elle enfouissait sa tête sous mon chapeau. Par Merlin… belle… mais elle sentait vraiment le bouc. Pas très grave, je lui achèterai du … mais par Merlin ! C’EST UNE CHÈVRE ! Stupéfait, sortant de ma torpeur, je me redresse, et regarde sans trop comprendre mes camarades pleurant de rire. « C’est quoi ce bordel ? Oh ? Je vous parle ! »
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