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 (SOLO) ⊰ JUST SAY YES

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AuteurMessage
Remus J. Lupin
Remus J. Lupin

Préfets


PRENOM/PSEUDO : LAETITIA AKA .DAUNTLESS
CREDITS : MOGO & .DAUNTLESS
PARCHEMINS : 1416
ÂGE : 32
LOCALISATION : REGARDE LA CARTE DU MARAUDEUR ET TU AURAS TA RÉPONSE.
ICI DEPUIS : 21/05/2012

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MessageSujet: (SOLO) ⊰ JUST SAY YES   (SOLO) ⊰ JUST SAY YES EmptyDim 22 Juil - 16:16

(SOLO) ⊰ JUST SAY YES Tumblr_li9cx0B1tn1qhwqgto1_500 Ce soir, c’était soirée ravitaillement. Tes amis et toi aviez faim et vous aviez épuisé les réserves que vous vous étiez fait lors de votre dernière visite dans les cuisines de l’école. Plus de quoi grignoter en plein milieu de la nuit, après vos excursions ; il vous fallait redescendre afin de chercher de quoi survivre au moins durant la semaine prochaine. Sans compter que la pleine lune se rapprochait et qu’avec ça, tu avais tendance à avoir besoin de plus de sucreries que d’ordinaire lorsque vous rentriez de vos promenades nocturnes. Lycanthropie. Une maladie, une malédiction qui faisait de toi celui que tu étais aujourd’hui. Tu n’étais pas que ça bien entendu, tu étais beaucoup plus qu’un simple loup. Mais si tu n’avais pas été mordu, aurais-tu été le même ? Tu ne pouvais t’empêcher d’en douter. Tu aurais sans doute été différent. Pas aussi discret, pas aussi timide. Un peu plus ouvert à autrui. Au fond, tu aimais tout de même l’actuel toi. Tu avais peut-être mille-et-un défaut, mais tu avais des amis loyaux qui t’avaient accepté pour ce que tu étais et qui ne t’avaient pas rejeté en apprenant ta vraie nature. Ces amis faisaient aujourd’hui ta force et c’était avec eux que tu t’apprêtais à quitter le dortoir, direction les cuisines de Poudlard pour les ravitaillements. James regarde la carte du Maraudeur qu’il a en main. Dolohov ne rôde pas encore. Elle est encore dans son bureau. Parfait, tu espérais ne pas la croiser ce soir. Depuis qu’elle était entrée en fonction à Poudlard, au début de l’année, vous aviez quelque peu du réduire vos activités nocturnes. Vous vous étiez fait avoir à plusieurs reprises – malgré la cape d’invisibilité de James et la carte des Maraudeurs, à croire qu’elle avait un radar implanté dans son cerveau – et, connaissant les retenues qu’elle infligeait, mieux valait éviter la harpie autant que possible. Tu ne tenais pas à ce qu’elle t’inflige de nouvelles cicatrices. Vous vous séparez donc. James et Sirius descendront en premier avec la cape et Peter et toi les suivrez de quelques minutes, avec la carte en main – que James venait d’ailleurs de te donner. Tu regardais tes camarades disparaître de la salle commune alors que tu étais assis sur un canapé, dans la salle commune des rouge-et-or. La pièce était déserte ; il n’était pas excessivement tard et pourtant, tout le monde semblait déjà dormir. Tant mieux. Personne ne vous posera de question. Et personne ne vous dissuadera de rester ici à cause des nombreux points que vous avez déjà fait perdre à votre maison. Généralement, tu étais plutôt posé et calme, du genre à calmer tes amis lorsqu’une idée farfelue leur traversait l’esprit – et surtout lorsque cela consistait à enfreindre le règlement de l’école – mais la nourriture, c’était du sérieux. On ne plaisantait pas avec ça. Les cinq minutes d’attente étaient passées. Tu jetas un coup d’œil à la carte. Toujours rien à signaler. Dolohov était calme ce soir-là et ça te paraissait bien étrange. Même Selwyn, dernièrement arrivé à Poudlard, était occupé dans son coin. Parfait. Sirius et James ne devaient pas avoir eu de problème jusque-là. Tu te levas alors, rapidement imité par ton ami, et, ensemble, vous quittiez la salle commune des Gryffondor.

Aucun problème pour arriver jusqu’aux cuisines. Vous n’aviez croisé personne en chemin – et fort heureusement – et vous aviez pu descendre jusqu’aux cachots sans vraiment trop de soucis. James et Sirius y étaient déjà lors de votre arrivée – information que tu avais apprise lorsque tu avais regardé la carte du Maraudeur, à peine quelques minutes plus tôt. Vous n’étiez restés là-bas que quelques minutes que, déjà, vous repartiez. Un nouveau coup d’œil à la carte : Dolohov était de sortie, il allait falloir se montrer prudent sur le chemin du retour. Tes amis et toi ne quittiez pas ce qui vous servait de radar des yeux alors que vous vous rapprochiez de votre dortoir. Et puis, lorsque tu vis le point indiquant Dolohov se rapprocher de vous et que tu prévins tes camarades, vous entriez dans la première porte à l’aide d’un sortilège, attendant que la secrétaire de l’éducation s’en aille. Cependant, cela n’avait pas l’air d’être dans ses plans. Elle ne bougeait pas, elle restait près de la pièce. Comme si elle savait que vous étiez là. Comme si elle vous sentait. Alors, tu te laissais tomber sur le sol avec un soupir alors que tes amis prirent place sur les bureaux, à quelques mètres de toi. Au bout de quelques minutes, tu te décidais enfin à quitter la carte des yeux. « On risque d’être coincé ici un bon moment. » « La prochaine fois, on pensera à prendre des cartes pour passer le temps au cas où. » lança Peter. Tu entendis James soupirer alors qu’il fouillait dans le sac et tu tournas la tête vers lui, le regardant avec curiosité. Ton ami était bien connu pour ses idées farfelues ; s’il y avait bien quelqu’un qui trouverait comment faire passer le temps en attendant le départ de la mégère, c’était lui. Mais, lorsque quelques minutes plus tard, il sorti quatre bouteilles qu’il posa à côté de lui, tu levas les yeux au ciel. « Des bièraubeurres ? » « Ouais, les elfes avaient aussi du Whisky Pur-Feu mais ils ont refusé de m’en donner. C’est la réserve personnelle de la prof d’astronomie, il paraît. » expliqua Sirius. Tu esquissas un sourire – imaginant un instant le professeur Blackwood avec sa bouteille. Du Whisky Pur-Feu ? Tu n’aimais pas ça. Ça avait un goût atroce et c’était bien trop alcoolisé pour que tu en supportes plus de deux gorgées. Mais, boire de la bièraubeurre, ici, maintenant ? Pourquoi pas, après tout. Il n’y avait aucun alcool là-dedans et puis, vous n’aviez rien de mieux à faire en attendant que Dolohov ne s’en aille. Avec ta baguette, tu fis léviter la bouteille jusqu’à toi et, lorsque tu l’eus dans la main tu la décapsulas. Heureusement qu’il n’y avait pas d’alcool dans ce breuvage. Vous auriez eu l’air d’une belle bande d’alcoolique si ça avait été le cas – boire au milieu de la nuit, dans une salle de classe désaffectée. Vous riiez, vous buviez. Et au bout de quelques minutes, tu sentis ta tête tourner. Le mal de mer ? Ca y ressemblait en tout cas ; tu tanguais, tu avais l’impression d’être sur un bateau. Pourquoi est-ce que la salle bougeait ? C’était étrange, très étrange. Tu avais l’impression d’être dans la quatrième dimension. Tout te semblait différent, le monde te semblait plus beau. Tes lèvres se tordaient en un sourire étrange – sourire que tu n’arrivais pas à enlever de ta bouche – et tu riais. Doucement, bêtement. Tes amis te fixaient d’un air curieux, mais tu ne le remarquais même pas. Tu étais dans ton monde ; le reste t’échappait totalement. Du coin de l’œil, tu vis l’un de tes amis te rapprocher. Peter ? James ? Ah non, Sirius. Il s’approcha de toi, pris ta bouteille et la porta à la hauteur de son nez, humant le parfum qui en sortait. « Par la barbe de Merlin ! C’est pas de la bièraubeurre, ça ! » Ah ? Qu’est-ce que tu avais bu alors ? Peu importe. Tu te sentais bien. Et ça faisait longtemps que tu ne t’étais pas mis dans cet état ; tu avais presque oublié tous tes soucis, tout allait pour le mieux. Il faudrait que tu penses à demander aux elfes de maisons ce qu’il y avait dans ta bouteille. Histoire de retenter l’expérience un autre jour. Ton regard se promenait sur ton ami alors qu’il t’observait attentivement, essayant sans doute de déceler ce qui n’allait pas chez toi. Tu le détaillais et, lorsque ton regard arriva sur ses lèvres, tu te demandas quel goût celles-ci avaient. Alors, sans hésitation, tu décidas d’aller voir cela par toi-même et tu t’approchas de lui, posant tes lèvres contre les siennes. Un baiser d’enfant. Ta tête était lourde, le monde autour de toi tournait. Tu ne savais plus vraiment ce que tu étais en train de faire. Hilare, tu te remis sur tes pieds et tu te dirigeas avec difficulté vers Peter et James, qui te regardaient bouche bée – mais là encore, tu ne remarquais rien depuis ta bulle. Et hop. Un deuxième baiser sur les lèvres de James, puis un troisième sur la bouche de Peter. Et tu éclatas de rire, sans vraiment savoir pourquoi. Tu ne savais pas ce qu’il t’arrivait et, étrangement, tu ne cherchais pas à le découvrir. Tu étais bien, tu avais envie de rire jusqu’à en avoir mal au ventre. Tu ne pensais à rien. Tu vivais, tu faisais ce qui te passait par la tête. « Arrête, Remus ! La harpie va pas tarder à débarquer si tu continues à être aussi bruyant ! » T’arrêter ? Tu n’y arrivais pas ; ça t’était impossible. Et pourtant, plus aucun son ne sortait de ta bouche, malgré ton hilarité. Un sort. Tes amis t’ont jeté un sort de silence afin que tu te taises. Et tu ne comprenais pas ce comportement. Tu étais heureux, tu étais joyeux. Quel mal y avait-il à cela ? Décidément, tes amis étaient vraiment bizarres ce soir-là. Et tout à coup, la porte s’ouvrit à la volée et une femme sublime pénétra dans la pièce. Tu ne la reconnaissais pas. En fait, il te semblait ne jamais l’avoir vu. Mais elle était belle. Vraiment belle ; c’en était presque surnaturel. « Je peux savoir ce que vous faites ici à une heure pareille ? » Une voix douce, mélodieuse. Tu quittas tes amis, tu t’approchais de la femme en question, n’entendant pas les protestations de tes amis derrière toi. Et tu l’embrassas comme tu avais embrassé les maraudeurs quelques secondes plus tôt. Et lorsque tu retiras tes lèvres des siennes, une grimace. Et un cri coincé dans ta gorge qui ne voulait pas sortir – que tu ne voulais pas laisser sortir plutôt. Cet espèce de mannequin que tu avais cru apercevoir n’en était pas un. C’était le diable personnifié, une personne sans charme aucun et qui te détestait déjà avant que tu n’oses l’embrasser. La secrétaire de l’éducation. Cordélia Dolohov, plus communément appelée la harpie. La plus grosse erreur de ta vie. Tu ne t’en remettrais jamais ; ta vie était finie. Terminée. Elle allait te tuer. À moins que tu ne t’occupes toi-même de ton cas. Embrasser Dolohov. Un cauchemar devenu réalité. « Mon… Monsieur Lupin ! Puis-je savoir ce que vous fabriquez ? » Une bonne question à laquelle tu ne pouvais fournir aucune réponse. Tu baissais la tête sur le sol, affreusement gêné et honteux. Quelques secondes de silence, rapidement interrompues par les rires de tes amis – faux frères. « Suivez-moi. Je vais vous apprendre ce qu’est la discipline ! » Une chose était sûre : tu entendrais parler de cette histoire pendant bien longtemps.

Citation :
Si t'as lu tout ça, tu dois être maso geuuu Parce que c'était vraiment pourri geuuu Arrow
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