moi, le magicien,

prénoms : Nathaniel Liam nom : Hastings nature du sang: Sang-mêlé, mère moldu disparue bien trop tôt, père sorcier travaillant au Ministère. âge : 20ans date et lieu de naissance : le 06/07/1961 à Edimbourg; nationalité : Ecossaise, d'ou mon accent étrange et mon sang-chaud. année d'étude : dixième année sans redoublement, un miracle. niveau scolaire : Je divise la critique : certains me prennent juste pour un fumiste opportuniste, d'autre pour un génie avec un poil dans la main, on va dire que je suis plus ou moins bon sans me fouler, du moins, je n'ai pas de difficultés particulières et j'obtiens des résultats corrects sans réellement travailler, mais lorsque je m'investis, j'obtiens en général de bons, voire très bons résultats. parcours scolaire : Actuellement en second cycle de journalisme, faut croire que c'est le seule truc qui m'intéresse réellement à Hogwarts : l'étude de la société, de l'histoire de la magie, tout ce qui bouge un peu donc, s'avère un peu plus dynamique et qui mêle savoir théorique à culture et pratique. votre baguette : Ma baguette reflète parfaitement qui je suis, ou du moins je l'estime : de 28cm, avec ça, je peux en moins de deux et très rapidement lancer un Stupefix à quelqu'un pour qu'il me foute la paix et que je lui montre qui règne entre lui et moi. Son bois est celui d'un Saule Pleureur, synonyme de ma misanthropie et du fait que j'aime en général faire souffrir les gens, pouvant même aller jusqu'aux larmes que je trouve d'une mièvrerie exacerbée, composée d'une écaille de dragon, peu commun, qui caractérise mon caractère méfiant et solitaire, mais aussi très impulsif et violent dans le sens ou elle est prédisposée pour les sortilèges d'attaque. Elle également très rigide, si bien que je pourrais l'utiliser comme canne et plutôt incurvée, du moins, la plus incurvée de ma famille de sang-mêlée honorable et neutre, c'est pour vous dire. matières favorites : la défense contre les forces du mal et la métamorphose, en voilà des matières passionnantes qui nous apprennent des sortilèges d'attaques et nous permettent de transcender l'anatomie humaine et les mystères même de l'univers, ça, c'est ce que j'aime ouais. matière détestée : La botanique, ai-je réellement besoin de dire pourquoi ? Si vous insistez, ma question sera la suivante : pourquoi face à tous ce qu'apporte la magie et toutes les découvertes que nous avons encore à faire dans le monde des moldus et des sorciers, pourquoi diable s'intéresser à des putains de plantes, des putains de plantes insignifiantes et qui plus est franchement laides ? Je ne comprends pas, je n'ai jamais compris et je pense que je comprendrais jamais. Botanique is for pussies, I'm just sayin'. votre patronus : Mon patronus est celui d'un ours, et je dois dire que j'en suis assez étonné, mes proches m'accordant par la suite beaucoup de proverbes qui seraient relatifs à l'ours et qui me correspondraient comme "il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué" entre autres. face à l'épouvantard : Je me vois enfermé derrière un miroir avec la vie qui se déroule devant mes yeux, mes amis qui se trouvent de nouveaux compagnons de jeux, mon père qui déménage, mes amantes de nouveaux amants, sans que je puisse rien n'y faire, enfermé et abandonné, je suis mais je n'existe plus. Je n'aspire plus rien à plus personne et je suis mort de l'intérieur, un fantôme coincé dans le présent, quelle horrible sensation. particularité magique : Aucune, ou alors je n'ai jamais cherché à l'exploiter, et à vrai dire, je m'en contrefous royalement.

le test de personnalité du choixpeau,

Ce qui va suivre est nécessaire afin de déterminer la maison dans laquelle vous allez être réparti. Néanmoins, ne visez pas une maison, mais faites vraiment votre personnalité. La maison devrait suivre en fonction de ça et ainsi, vous aurez celle que vous vouliez.


une potion : Le Polynectar, prendre l'apparence d'un autre, sérieusement ça déchire pas ça ? Un sortilège : Rictusempra, le rire est le propre de l'homme, pourquoi dès lors ne pas le montrer à tous les étages haha? Et puis il y a le rire noir, le rire pervers, le rire amusé, le rire coquin, le rire sincère, tous ces rires si différents et si nombreux, cela me fascine. une chanson : Crystal Ship des Doors, car elle représente souvent assez bien mon état quelques peu inconscient, rêveur, pleine de poésies et de souffrance, je m'identifie souvent au Shaman incompris qu'était Jim Morrison. un instrument de musique : Une guitare, instrument simple et aux mélodies agréables, mouvementés comme calme, c'est mon instrument de prédilection. un bijou : Un collier simple qui appartenait à ma mère et qu'elle m'a léguée un jour, un beau jour ou nous allions au parc et il est accidentellement tombé. Je l'ai ramassé prudemment alors que j'étais haut comme trois pommes et elle me l'a donné le jour même, depuis je ne le quitte plus. une insulte : tu es aussi harmonieux qu’un croupion de scrout-à-pétard sexuellement possédé par un hippogriffe, celle là n'a pas de prix. une phobie : Assister à la transformation d'un loup-garou. une couleur : Le violet est une si belle couleur, la couleur de la drogue, de la fantaisie, de la provocation même, comme ces vieilles paroles de JImi Hendrix, purple haze, all in my brain you've got me blowin' my mind. une créature magique : Le Basilic, je sais, un peu trop classique, mais cette créature dangereuse est si fascinante, rien que de penser qu'en un seul regard elle peut prodiguer la mort, j'en suis tout feu tout flammes, créature ô combien divine et perversement admirable. un sorcier célèbre : Cornélius Agrippa, L'Emile Zola du Moyen-Age dont les magnifiques écrits - car oui j'ai réussi a en trouver des fragments - ont été condamnés par ces abrutis de moldus à l'époque, un génie de littérature et de sorcellerie stoppé bien trop vite dans ses ambitions. un objet moldu : Une caravane hippie. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : Epinards, salé et succulent à souhait, je ne m'en lasse jamais. un endroit : Le parc de Hogwarts ou les belles plaines de la campagne anglaise, seuls endroits ou je peux réellement avoir la paix et être en totale ataraxie. un mot doux : Tu es la plus belle personne laide qu'il m'ait été donné de rencontrer. un conte : Le coeur Velu du Sorcier, une histoire noire et terrifiante comme on les aimes, qui change des habituels contes avec une morale bon-enfant.

généreux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● sérieux ; ambitieux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● timide ; bruyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ naïveté

hiver ou été : Eté. quidditch ou lecture : Choix difficile, j'apprécie énormément les deux pour diverses raisons, j'aurais tendance cependant à me tourner vers le Quidditch en premier lieu. patacitrouille ou baguette au réglisse : Patacitrouille, je déteste le réglisse. argent ou amitié : Je me contrefous des deux assez royalement, j'aurais tendance à privilégier l'amitié qui est plus utile à long terme. st-mangouste ou ministère de la magie : St Mangouste, assez des responsabilités et de toute cette politique de la sorcellerie à la con. cavalier ou fou : Un Cavalier fou c'est possible ? Le fou en général a plus la paix, donc un fou. balais ou transplaner : Rien ne vaux les beaux voyages du balai. elfe de maison ou liberté : LIberté totale. astronomie ou arithmancie : Astronomie, c'est déjà un peu moins chiant que l'arithmancie mais ça reste assez chiant. chat ou chien : Chat, les chiens ça pue et ça bave.

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier : Je crois que j'ai encore du mal à comprendre les enjeux de cet attentat. Je me déplore des nombreux blessés et morts de ces attentats mais j'ai bien l'impression que l'on s'est rabaissés à la stupidité du monde moldu qui fait la guerre pour tout et rien. Tuer des moldus pour tuer des moldus, je trouve ça profondément grotesque. J'identifie pour ma part le combat nés-moldus / sangs pur au conflit israélo-palestinien avec une guerre improbable et une paix impossible. Je dois donc dire que je reste neutre sur le sujet mais que je trouve cet attentat en lui même assez répugnant et pathétique.

Que pensez-vous des Mangemorts : Les mangemorts, les sorciers kamikazes haha. Ils ne me font pas peur, pas autant qu'ils me fascinent, ils me font plutôt doucement rire à vrai dire. Je sais, en général, je ne me rends pas compte de ce que je dis jusqu'à qu'un jour je me trouve enfermé dans une cave et qu'il me tue dans d'atroces souffrances, mais en dépit de l'attentat du Diagon Alley, j'ai du mal à les prendre au sérieux. Leurs pseudos-revendications sont vieilles comme le monde et ne sont absolument pas inscrits dans notre époque contemporaine, avec eux, on se croirait au Moyen-Age, leur traditionalisme les rends aussi ridicules que des chrétiens moldus aux cul-serrés.

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Minos Selwyn ? : Je m'en serais bien passé de ces deux-là tiens aussi. Déjà que Hogwarts j'avais un peu du mal, avec leur arrivée, cela devient carrément infernal et insoutenable au quotidien les jours scolaires. Même une pension catholique ou un couvent moldu serait déjà plus détente, je les déteste, eux avec leur omnipotence, leur valeurs de vieux, leur règles, toujours des règles et des règles pour se faire respecter, cette lâcheté de se cacher derrière des sanctions sans lesquelles il n'aurait absolument aucun pouvoir et aucun respect de la part des élèves, je trouve ça dégoûtant et petit.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Les journées scolaires m'assomment tellement le crâne tant elles sont longues et donc fatigantes que je ne m'intéresse pas réellement aux sept mystères de l'école, je les connais tous, mais seul celui du farfadet et du buste pleureur m'intriguent quelques peu, pour le reste, je pense que c'est beaucoup de bruit pour rien et que ce sont simplement des légendes urbaines destinés à lancer des psychoses et spéculations au sein de la communauté étudiante, juste pour qu'on soit encore plus fllippés et donc obéissants.

à l'intérieur de ma pensine

Nathaniel à 16ans. C'est un sang mêlée, et sa famille est très fière de l'être. Un Hastings, second enfant de la dynastie écossaise, un sorcier bien entendu. C'est un jeune homme écossais né à Edimbourg et arrivé très tôt en Angleterre marginal. Brillant à l'école lorsqu'il le veut, il est cependant d'un naturel paresseux et se met rarement à l'ouvrage, ce qui le rends marginal. Misanthrope, qui paraît toujours à l'écart, dans sa bulle et lance des regards qui font froids dans le dos au premier qui ose trop s'approcher de son espace vital. Quelqu'un qui ne parle pas, qui peut vous balancer d'insultes haineuses et de phrases méprisantes en un seul regard. Quelqu'un de mystérieux, dont personne ne sait absolument rien, si ce n'est la réputation qui traîne derrière son nom de famille. Quelqu'un qui intriguait cependant chacun des élèves de Hogwarts, mais que finalement, personne n'a osé approcher, même les plus lourdingues qui veulent se donner un genre, étant donné l'aura charismatique et sombre du jeune homme, ou du moins mystérieuse. Quelqu'un qui ne participait jamais en classe, mais dont les rares interventions demandées par les professeurs étaient claires, nettes, précises et synthétiques, à en faire clouer le bec du professeur. Toujours provocateur, souvent bagarreur, colérique et impulsif dans ses remarques, il était à la fois craint et admiré. Il était celui que vous voyez toujours tard dans la nuit sa clope au bec, braver le froid de la cour ou les récents décrets de Cordélia qui interdissent tout et n'importe quoi. Nathaniel n'a jamais été très scolaire, il faut croire que son sang en partie moldu lui a toujours donné une fibre artistique, flemmarde mais surtout très dynamique. Il déteste l'idée d'être cloîtrée pendant des heures dans une salle écouter un professeur, suivre des règles précises, manger sa soupe à 18H30 pour se coucher à 19h, non.. Lui il aimait vivre, il aimait la nuit, il aimait toutes ces musiques profanes de rockn'roll, psychédéliques et autres fantaisies, il aimait toutes ces drogues qu'il consommait à profusion pendant les étés, toutes ces belles filles moldues ou non qui lui tendaient les bras et n'attendaient qu'un vaillant étalon pour la nuit, bref, il aimait l'instant, et l'école pour lui se rattachait à l'obligation, au devoir, à tout ce qui concerne l'avenir en somme, et donc lui était incompatible et répugnant. En apparence donc désinvolte et anticonformiste, en réalité, lorsqu'il se rendait et se cachait dans les vastes parcs au lieu de se rendre compte, ce n'était non pas, par une réelle envie sinon un mépris pour tout ce qui constituait cette école. Nathaniel fut donc élevé par son père, qui était assez absent et lui laissait une grande part d'autonomie, bien que Nathaniel lui causait énormément de soucis, avec la montée de Orion Black au Ministère, il semblait peu se soucier de son fils qui avait toujours été autonome et retombait toujours sur ses pattes, n'ayant jamais été très proche de lui après la mort de sa mère lors de ses 15ans. Sa mère, qui représentait la seule personne pour laquelle Nathaniel avait une sympathie et attachement profond, lui confiant même parfois des choses, lui qui était d'habitude d'un silence de glace. Sa perte, bien qu'il resta à l'enterrement, dans son discours pleine de poésie et de charme d'une placidité déconcertante, l'a beaucoup affecté. Il avait perdu le seul être auquel il tenait et qu'il considérait important, digne d'être aimé. A Hogwarts, il n'avait pas d'amis car ils les trouvaient tout simplement tous aussi stupides les uns que les autres. Tous ces élèves aussi idiots les uns que les autres qui vont droit à l'abattoir avec leurs connaissances vagues, mais qui se croient pourtant intelligents. Toutes ces filles sottes qui avaient l'odeur du puritanisme obsessionnel, ses professeurs qui avaient tous l'air sous substances illicites ou avec un balai dans le cul, cette culture si basse, ces sous-vêtements en apparence qui étaient si vulgaires, que portaient certaines demoiselles simplement pour aguicher et se montrer faussement provocatrices dans un univers si strict, toutes cette fille qui s'extasiaient devant le premier jeune homme a la coupe au bol, tout ceci avait toujours été trop aberrant pour lui. Nathaniel était le genre de jeune homme tout simplement avide de connaissances, qui pouvaient passer ses longues soirées de pluie anglaises en hiver à dévorer des livres de magies, philosophie, astronomie, mathématiques, sciences et potions, botaniques, biologie, histoire.. tout y passait avec lui, du moment que cela se faisait seul et au calme, il aimait se cultiver et apprendre, mais par lui même et pour lui même seulement. Mais ce sont finalement cette haine pour cette société qu'il devait côtoyer au quotidien, tous ces gens insignifiants dont il croisait la route et avec lesquels il était parfois dans le devoir de converser, qui le poussèrent vers la sociologie des moldus, l'étude des runes et de la société, il méprisait tellement cette société qu'il souhaitait l'étudier en profondeur pour tout connaître d'elle et donc lui apparaître bien supérieur, et c'est ainsi qu'il se tournait vers le journalisme après sa septième année. Souvent réprimée pour ses excès, il aspirait à la fois craintes et fascination chez ses camarades Serpentard. En effet, ses notes brillantes lors de la plupart des examens à quelques exceptions près - ha satané botanique - compensaient ses (nombreux) écarts disciplinaires. Ses camarades de classe et de maison l'ont toujours décrit comme un garçon provocateur et méprisant, si méprisant et provocateur qu'on se demande ce qu'il fiche encore ici. De la haine / crainte qu'éprouvaient ses camarades envers lui de par son caractère imprévisible, violent et sans pitié, il l'avait réussi à le tourner en fascination et admiration, dans le sens ou tous se demandaient comment faisaient-ils pour obtenir des notes si excellentes alors qu'il semblait parfois prendre les cours à la carte. Cependant, l'arrivée de Black au Ministère et surtout celle de Cordélia arrivé il y a environ deux mois ont bien changés la donne : Nathaniel s'est rapidement pris un troll pour avoir enfreint le décret numéro deux et numéro treize, étant donné qu'il était plus ou moins entrain de flirter avec une demoiselle. Ne souhaitant pas aller plus loin, Nathaniel s'est donc plus ou moins rangé au grand plaisir de certains professeurs, damne d'autres qui souhaiteraient simplement le voir à la porte une bonne fois pour toutes, bien qu'en secret, sa persévérance et sa motivation sans failles lui permettent souvent des sorties nocturnes, des "bécotages" soient-disant interdits et autres petites folies, il ne peut plus réellement échapper aux cours de botaniques ou cours tout court, ce qui l'embête réellement, vivement qu'il se casse pense-t'il chaque jour.

We're in a mess babe, your more is less baby, you have damned me, but you're the one.

« Rachel tu ferais bien de t'y prendre à deux fois avant de parler à ce demeuré, à moins que t'aimes avaler quelques petites bêtes croquantes. » Toujours très subtile. Toujours très agréable et chaleureuse. Toujours là. Toujours agaçante. Nathaniel voit alors la naïve Rachel qu'il avait réussi à attirer entre ses filets pour la soirée s'en aller, réellement à deux doigts de vomir. Déjà qu'il avait du braver toutes les interdictions en introduisant un peu d'alcool dans la boisson de la jeune femme lors du déjeuner, il était à deux doigts de pouvoir conclure et l'emmener dans son repère secret pour ce faire, les toilettes juste avant la reprise des cours, il fallait que Calypso gâche tout. Quelle sotte aussi, comment pouvait-elle croire d'un coup de tête cette demeurée et bien la seule qu'était Calypso ? Certes, Calypso était réputée dans Hogwarts pour être la voie même de la raison, tant elle était brillante et puritaine, servant d'exemple pour cette chère Cordélia, cette sang-pur si noble et si parfaitement parfaite, mais elle n'en devenait pas pour autant le "répertoire officiel des élèves." comme si elle savait tout sur tout, y compris l'anatomie du jeune homme. Nathaniel lançait alors un regard noir à Calypso qui avait un sourire au coin visiblement hilare, probablement entrain d'imaginer Rachel avaler les soi-disants morpions du jeune homme qui étaient loin de réellement exister. Nathaniel, n'avait jamais pourtant couché avec Calypso, oh non, il lui vouait une haine bien trop indescriptible et immuable pour ce faire. Elle semblait se croire supérieure à tous, de par son statut de sang-pur, qui devrait pourtant lui prodiguer le contraire. Rigide, elle traitait la plupart des étudiants comme des moins que rien à ses yeux, alors qu'elle devrait être traitée comme tel, elle seule. Alors, Nathaniel en a fait sa plus belle tête de turc, son plus beau martyr, pendant des mois, il était là derrière elle pour lui faire une remarque cynique ou lui donner une insulte, pendant des mois, il était là, juste à son oreille pour lui rappeler qu'il y avait toujours plus brillante qu'elle, pendant des mois, il était là à toujours accidentellement renverser son verre sur elle, à lui faire pleins de crasses par ci par là. Rapidement, elle a repris du poil de la bête et s'est permise à son tour de tenter de lui rendre la monnaie de sa pièce, et Nathaniel en restait très agacé. En effet, la plupart du temps, elle était calme et d'un sang-froid imparable, mais dès qu'elle était avec lui, elle devenait comme une autre personne, une jeune femme sarcastique, joueuse, redoutable, provocatrice et cruelle, sa plus belle ressemblance en fin de compte. Il aurait aimé cependant qu'elle cède, qu'il devienne son bourreau et qu'elle subisse, qu'elle se taise, bref, il ne pouvait admettre qu'elle soit semblable à lui en dépit de toute cette haine qu'il éprouve pour elle, il ne voulait pas l'admettre et pour ce faire, il devait l'achever et l'abattre, verbalement parlant, qu'elle l'admette comme définitivement supérieur à elle dans le registre de la provocation et de la cruauté. Et puis rapidement, il y a eu l'adrénaline, ce désir malsain d'être toujours plus cruel, ce jeu de haine et d'épines dans lequel Nathaniel s'était jeté avec la jeune femme pour la pousser à bout, ce combat sans fin. Ce jour-là, une nouvelle bataille semblait bel et bien lancée. « Delacour, toujours aussi incapable d'être cynique étant donné la bassesse de tes remarques, as-tu seulement déjà eu des rapports à moins de quarante mètres avec un être masculin ou même être humain tout court ? Avoir le droit à une remarque de ce genre de ta part, je pense que c'est la définition même de l'absurde. » Nathaniel dit ça sans une once de regret, de culpabilité, ses mots sortent naturellement de façon fluide et claire alors qu'il s'approche d'elle tout en continuant ses paroles, son regard foudroyant le sien. Il finit par passer son chemin ne préférant même pas écouter la suite de ses futiles paroles. Plus tard en fin d'après midi, Calypso qui ne voulait pas en démordre et revint à la charge. Alors que Nathaniel s'apprêtait à s'en aller avec une autre jeune femme, juste avant le souper et après la fin des cours, la boisson de la jeune femme vint se propulser sur l'uniforme du jeune homme. « Excuses moi, j'taurais bien payé pour la lessive Hastings, mais de un j'ai pas d'argent sur moi, deux j'ai pas envie, trois, étant donné l'odeur nauséabonde que tu dégages, j'suppose que t'es du genre à vivre avec ta crasse. » Elle passait alors son chemin, s'arrêtant soudainement par la suite pour se retourner avant d'ajouter : « Et désolé pour le caleçon aussi, celui là je sais aussi que ça fait un mois que tu l'as. » La jeune femme s'en va seule face à tant de drames alors que Calypso passe son chemin après avoir fait sa crasse. Nathaniel finit par l'attraper pour l'entraîner dans un lieu éloigné du parc : « Je vais t'étrangler, ce simple contact entre nos épaules m'a suffit pour me dégoûter et comprendre que tu méritais une bonne correction à présent et si tu m'en crois incapable tu te trompes tu ouvres encore une fois la bouche je te .. » Alors qu'il avait levé sa main et sa baguette la pointant juste devant la jeune femme à l'heure actuelle désarmée, exaspéré et à bout de nerfs, son regard croisait le sien, et de par un geste impulsif inexplicable, sa main se serrait bien vite autour la hanche de la jeune femme alors que ses lèvres se propulsèrent aux siennes alors qu'il eut juste le temps de propulser la jeune femme entre deux buissons. Impulsif : qui agit sans réfléchir.

Extrait du journal de Nathaniel :

Je veux la posséder. Je la veux. Totalement. Entièrement. Complètement. La sentir mienne entre mes mains, mais elle m'échappe sans cesse, elle part, elle revient, elle part, elle revient, elle est insaisissable et cela me rends fou. Je ne sais que penser d'elle et ce que j'éprouve réellement à son égard. L'Amour n'est t'il qu'un perpétuel rapport de force de domination ? Mais est-ce réellement de l'Amour que j'éprouve pour elle ? Alors je joue avec elle, je la torture, je la manipule, je lui en fais baver, j'ai envie de voir si elle tient réellement à moi ou non, chaque fois j'ai néanmoins l'impression que je la brise un peu plus, que peut-être cette fois ci, elle ne reviendra pas, pourtant, je refuse de lui montrer un réel intérêt, car cela montrerait que je m'attache, et s'attacher, c'est la force des faibles. Pourtant, je me suis attachée. Je l'apprécie ô combien bien plus que je ne l'aurais imaginé. Calypso, elle est belle comme une statue grecque, elle paraissait pleins de problèmes, compliquée et casse-couilles à souhait, manipulatrice, ambitieuse, rigide, glaçiale et sans pitié, collé sur un visage divin, le plus beau visage du diable, tout comme moi, laissant des éclats pantois partout ou elle passait. Je crois, que naturellement, mon esprit et mon regard tends vers elle, inconsciemment sans que puisse réellement le vouloir ou non. Sauf qu'elle m'a rendu fou, elle est devenu folle et elle m'a rendu fou. Elle m'entraîne dans les tréfonds obscurs de mon esprit et dans mes retranchements les plus indécents. Elle m'expire, me suce, me bute, me vide de tout émotions tant parfois elle est cruelle et cynique, me poussant à dépasser mes limites et parfois même mes valeurs les plus ancrées juste pour lui clouer le bec, mais dès lors que nos lèvres se percutent, c'est un feu de dieu qui parcoure mes veines et une fougue, une animalité presque incontrôlable. Pourtant, en apparence, elle est tout ce que je méprise et déteste le plus au monde : une sang-pur vaniteuse, dédaigneuse, hautaine, trop parfaite, orgueilleuse, trop fermée d'esprit, trop lisse, trop superficielle et plongé dans les études à mon goût, tout ça pour satisfaire papa-maman, aucune indépendance, aucun désir, c'est une fille purement pathétique et vaine. Il n'en demeure pas vrai que je lui découvre chaque jour de nouveaux aspects ô combien alléchants et désirables. Devrais-je céder à la tentation et à mes pulsions de désir non consumés pour la jeune femme, ce Graal ultime ? Du moins, c'est déjà fait, mais devrais-je envisager plus loin avec la jeune femme ? Je sais qu'elle me veut tout comme je la veux, elle est absolument ancré dans mon esprit et pourtant dès que je suis amené à lui parler, je ne pourrais que la repousser, l'insulter, la violenter verbalement et la faire souffrir, baiser d'autres en pensant à elle ou au contraire en ne pensant pas à elle pour me donner bonne conscience lorsque mon esprit n'est pas pervers, car j'adore ça avec elle, car elle me fascine, elle me fait perdre la tête, elle me rend toute chose, elle me rends con, elle me donne envie de me détester moi- même, elle me conduira à ma propre perte.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Pépito Bleu.
ton prénom : Margaux.
ton âge : 18ans
ton avis sur le forum : Très beau et bien construit, j'ai hâte.
comment as-tu transplané ici ? Bazzart j'avais repéré le forum avant sa seconde version, et c'est le scénario de Calypso qui m'a fait craqué.
ta disponibilité : Un peu tous les jours.
ton avatar : Gaspard sexy Ulliel.
ton personnage : inventé - scénario - prédéfini
le mot de passe : les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : Une orgie est-elle envisageable?

tumblr&bazzart

Félicitations Nathaniel L. Hastings ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serpentard, chez les malins et ambitieux serpents ! Ce choix était une évidence car tu es quelqu'un de malin, égoiste, calculateur et quelque peu fourbe. Ainsi, te voici dans la maison verte et argent. Tu dois savoir que la salle commune est [ur=https://windowtothepast.1fr1.net/f27-salle-commune-des-serpentard]ici[/url] et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. J'aime beaucoup la foçon dont tu t'es improprié le personnage, il est bien cerné tout en étant adapté à ta façon. La fiche est très bien écrite et agréable à la lecture. Je te valide donc avec plaisir

Nathaniel L. Hastings, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous