moi, le magicien,

prénoms : je me prénomme Esfyr, et mon deuxième prénom est Lennon, comme le chanteur moldu. nom : j'ai hérité du modeste nom de famille de mes parents : Merryl nature du sang: je suis une sang-mêlé. Ma mère est une sorcière, et mon père, un simple moldu. âge : je suis actuellement âgée de vingt-et-un ans. date et lieu de naissance : je suis née à Londres, du côté moldu, le dix-neuf octobre 1960. nationalité : je suis donc de nationalité anglaise. année d'étude : je suis en dixième année. niveau scolaire : je suis une bonne élève. parcours scolaire : je suis dans le parcours médicomagie et je souhaiterais devenir médicomage infirmière. votre baguette : elle constituée de bois de rose, mesure vingt-cinq centimètres, contient une plume de phoenix. Elle est droite, souple et à une prédisposition pour la métamorphose. matières favorites : j'apprécie particulièrement la botanique et la métamorphose. matière détestée : j'ai un engouement moins prononcé pour l'étude des maladies et des virus, en effet, il y a tellement de chose à retenir, tellement complexe et diverses que je m'y perds souvent. votre patronus : un golden retriever face à l'épouvantard : le spectre de la mort. particularité magique : aucune.

le test de personnalité du choixpeau,

Ce qui va suivre est nécessaire afin de déterminer la maison dans laquelle vous allez être réparti. Néanmoins, ne visez pas une maison, mais faites vraiment votre personnalité. La maison devrait suivre en fonction de ça et ainsi, vous aurez celle que vous vouliez.


une potion : essence de dictame Un sortilège : lumos une chanson : iris, the goo goo dolls un instrument de musique : un violon un bijou : un collier une insulte : va te faire cuire une bouse de dragon ! une phobie : la mort. une couleur : le bleu une créature magique : l'hypogriffe un sorcier célèbre : Cliodna, un objet moldu : une radio un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : toast grillé un endroit : le lac de Poudlard. un mot doux : mon ange. un conte : raiponce.

généreux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : été quidditch ou lecture : lecture patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille argent ou amitié : amitié st-mangouste ou ministère de la magie : st mangouste cavalier ou fou : cavalier balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chien

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier :
Tout le monde avait les yeux rivées sur le tyran qu'est Dolohov. Aucun de nous n'a vu arrivé cette catastrophe, je dois avouer que je ne m'étais jamais imaginé avoir à faire face à cela. Dans les rues, on sens dés à présent que tout le monde à la boule au ventre, de peur de se faire attaquer par quelqu'un. Cette attentat a semer la panique dans tout Londres et dans toute la communauté magique. Il a de quoi avoir la chair de poule ... Tout le monde croit qu'il n'y a que les moldus pour se déclarer la guerre à tout bout de champ

Que pensez-vous des Mangemorts :
Tout le monde croit qu'il n'y a que les moldus pour se déclarer la guerre à tout bout de champs, mais à présent, nous savons que les sorciers peuvent très bien le faire aussi. Après tout, il est vrai qu'il a toujours existé des règlements de compte, mais jamais d'une manière aussi violente. Je ne comprends pas les motivations de ces personnes. N'ont-elles rien de mieux à faire ? Elever des enfants, vivre leur vie ? Non, c'est que c'est tellement de venir jouer le rôle de la mort, qui elle, vient frapper bien vite à votre porte sans que d'autres s'en mélent !

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Selwyn Mordred ? :
J'y suis tout autant opposé qu'à l'arrivée de la Dolohov. Le directeur Dumbledore savait très bien dirigé son école avant leurs arrivées ! Plus aucune liberté, on se croirait dans une prison et non pas dans une école, c'est un comble. Tout ce que je souhaite, c'est que tout redevienne comme avant. Que nous retrouvions notre très cher Poudlard et que Mordred et Dolohov débarrasse le plancher !

Que pensez-vous des sept mystères de l'école :
Je suis dubitative, quand on m'en parle, je dois reconnaître que cela m'intrigue tellement. Tout ces mystères ne demandent qu'à être résolus, j'aimerais tellement découvrir tout cela ! Je ne suis pas du genre, à être d'une témérité arrogante, mais je ne suis pas non plus la plus lâches et trouillardes des jeunes filles. J'aimerais des explications, comprendre ces mystères, savoir ce qui se cache derrière. La pièce introuvable est le mystère le plus intéressant de tous, trouver tous les manuscrits et plantes d'Helga Poufsouffle serait une immense fierté et surtout, une source de connaissance.

à l'intérieur de ma pensine

chapter one

 « MAMAN ! MAMAN ! », criais-je à travers la maison. C'était la première fois que je voyais ma mère dans cet état, je devais avoir six ans. Je m'étais précipitée vers ma mère allongée par terre. Elle était entrain de convulser et je ne comprenais pas ce qui se passait. J'appelais alors mon père à grands cris et avec des larmes de peur. Ma respiration me faisait mal, j'avais tellement peur. Nous avions fini par atterrir à l'hôpital, j'attendais sur la chaise de la salle d'attente, l'air hagard et les joues striées de larmes qui s'étaient taries. Mon père revint vers moi, avec mon jus de fruit préféré. Le jus de pêche. J'avais le ventre noué, mais j'acceptais le présent avec un faible sourire. Il me prit sur ses genoux et caressa ma joue.  « Elle est où maman ? », demandais-je en fixant mes pieds. Il prit mon menton entre mes mains et m'obligea à le fixer dans les yeux.« Ta maman va bien. Elle a une maladie, c'est tout. », tenta t-il de m'expliquer.  « Comme un rhume ? », l'interrogeais-je, les yeux brillants. « Pas exactement. Je t'expliquerais quand tu seras plus grande. », finit-il par dire, après avoir réfléchi. Je fronçais les sourcils, une moue interrogative, et inquiète sur les lèvres.  « Elle va mourir ? », m'inquiétais-je. Mon père eu un rire, et déposa un baiser sur mon front, en m'assurant que non, ma mère n'allait pas mourir, bien au contraire. Pour faire simple ma mère est atteinte d'un déficit immunitaire, tous les microbes, bactéries, virus … elle les chopes sans exception, et quand elle en chope, il lui arrive – généralement – de faire une crise d'épilepsie avec. Les médecins moldus ont tout tenté pour la guérir ou du moins, diminué le mal qui la ronge. Sans succès. Je suis née dans le monde moldu, j'y ai vécu toute ma vie. Les médecins ne pouvaient pas guérir ma mère, simplement parce qu'elle est une sorcière. Vous l'aurez sans doute, plus ou moins deviné, je suis une sang mêlé. Je suis fille d'un père moldu, employé dans une banque et d'une mère, sorcière qui tient un petit magasin sur le chemin de traverse. Ils ont maintenu les apparences pour que je ne me sente pas différente des autres enfants qui fréquentaient la même école que moi. Jusqu'à ma lettre de Poudlard. Je n'ai pas compris sur le coup, je me suis demandé ce que pouvait bien être cette école. Pour moi, la magie n'existait que dans les contes que ma mère me raconte. Pourtant, il a bien fallu que j'y crois, lorsque mes parents m'ont fait faire du shopping sur le chemin de traverse, quand ils m'ont obligés à faire ma malle malgré la crise de nerf que j'ai piqué. Et surtout, lorsque je me suis retrouvée face à l'énorme Poudlard Express. Je me suis accrochée à ma mère, j'ai supplié mes parents de ne pas me laisser toute seule. Mais, je suis partie tout de même, dans ce train. Ce train qui me menait vers ma destinée, celle d'être une sorcière.

chapter two

« Merryl. Si le cerveau était en or, tu serais encore plus pauvre que ton amie, ce qui n'est pas peu dire. », entendis-je derrière moi. J'étais en seconde année, et ma meilleure amie venait de faire exploser notre chaudron par inadvertance. Le professeur de potion l'avait prise en grippe, je m'étais alors désignée comme coupable, ce qui avait eu don de faire rire - et grandement plaisir - à Nohlàn, un serpentard prétentieux qui ne me portait pas dans son cœur, - et c'était un euphémisme ! Il nous avait suivi dans le couloir, et ne s'était pas gêné pour nous foncer dedans, en passant, récoltant un regard noir de ma part. Je sais, ce n'était pas quelque chose de très courageux, mais je n'avais pas envie d'envenimer la situation, et je restais donc muette face à ses piques acérées. Ce qui m’intéressait, c'était mes études, ma famille et mes proches amis. Ce que cet élève pouvait bien penser de moi, après tout, il n'allait pas définir ce que j'allais faire de ma vie.

« Tu m'as menti, Nohlàn. », assénais-je, les bras croisés sur ma poitrine. Non, vous ne rêvez pas. C'est bien la même personne que précédemment. Nous avions finalement réussi à se parler sans se battre. Nous étions devenus amis. Et lors de notre septième année, nous étions devenu un couple. Des amants, des amis, des confidents, un grand mixte de tout. J'étais heureuse, même si la jalousie, venait frapper à ma porte quelques fois. Nous finissions toujours par nous rabibocher sur l'oreiller, et avec quelques mots doux, murmurés à l'oreille. Jusqu'au jour, où je l'avais surpris dans une classe vide. Dans une classe vide, enfonçant sa langue dans la bouche d'une autre que moi. Je m'étais sentie explosée, je m'étais retenue de lui balancer à un sortilège à la figure, ou même de faire cramer les vêtements à terre de la pouffiasse. J'avais disparu en courant, ravalant mes larmes et ma fierté. Il s'était bien fichu de moi, sur ce coup là. « Depuis combien de temps ? », interrogeais-je, le regard noir. Il avait fini par me rattraper alors que j'éteignais le lac de Poudlard. Je ne lui avais pas laisser le temps de l'ouvrir. J'avais essuyé mes larmes qui avaient débordées, et avait planté mon regard dans le sien. Il ne répondit pas. « Depuis combien de temps ? », hurlais-je. Si bien que ma voix résonna dans le parc. Il sembla se réveiller, vouloir trouver les mots. « C'est pas ce que tu crois, Esf' ... », bredouilla t-il. J'eus un rire sans joie. Pas ce que je croyais. « Et tu faisais quoi, explique-moi ? Tu t'entraînes à être médicomage, c'est ça ? », ironisais-je, langue acérée. Il baissa les yeux, ne trouvant rien à redire. « Bien. Je crois qu'on a fait le tour. Adieu. », déclarais-je avant de tourner les talons et partir d'un pas décidé.« Esf' ... ESF' ! ESFYR !», hurla t-il à son tour. Je restais sourde à son appel, continuant mon chemin, le cœur lourd.

chapter three

« Alors mes jolies, vous ne voulez pas aller faire un tour du coté du Chaudron Baveur ? ». Deux jeunes sorciers de l'âge de ma meilleure amie, et moi, nous suivais. Nous étions sorties sur le chemin de traverse pour un peu de shopping, cependant, je regrettais la présence de mon cousin, à nos côtés. En effet, il était assez … dissuadant. Je me crispais, mais continuais à marcher aux côtés de Bluelynn. « Hé ! On vous parles ! », s'exclama l'un d'eux en m'agrippant le bras. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. La main de Blue s'abattit sur celle de l'agresseur, m'arrachant de sa poigne. « Par merlin, on ne traine pas avec des ivrognes, alors bats les pattes et dégages. », rétorqua t-elle avant de m'entrainer par le bras. Nous ne fîmes que quelques pas, lorsque nous nous retrouvâmes contre un mur, prisonnière de leur poigne. Effrayée, je lâchais un cri, mais mon agresseur l'étouffa avec sa main. Je les entendais rire alors que mon crâne se faisait douloureux. « On fait moins les malignes, hein ? », dit-il, à mon oreille, et j'écartais vivement la joue de ses lèvres. Quelques secondes, plus tard, j'étais à terre car mes jambes ne me soulevaient plus. Aussi, parce que deux éclairs rouges avaient foudroyés les attaquants. J'étais comme dans un univers parallèle, je ne comprenais pas grand chose, mis à part, que des bras étaient autour de moi et qu'après je me retrouvais dans mon dortoir avec Blue. Une bonne nuit de sommeil me permit de recouvrer mes esprits, et je descendis donc le lendemain, pour le petit déjeuner dans la Grande Salle. Et tout cela fut troubler par l'arrivée d'hommes d'Azkaban. Je ne compris pas, jusqu'à ce qu'ils empoignent Nohlàn et ne l'emmène. Je regardais Blue, ne comprenant rien.  « C'est lui, qui nous a sauver hier, Esf'. Il a tuer les mecs qui nous ont agresser », m'apprit-elle. Je portais une main à mon crâne douloureux, puis à ma bouche, suivant Nohlàn d'un regard horrifié. Dans un élan, je me lève, mais Blue m'a retenu, m'empêchant de commettre une bêtise, ce qu'elle ne pu pas retenir en revanche, ce fut mes larmes. J'étais totalement dépasser. J'ai fini la semaine à l'infirmerie, avec une potion de sommeil. J'étais décomposée face à cet événement, malgré ce qu'il avait fait, je n'arrivais plus à lui en vouloir, pour tout. Mais Blue ne cessait de me répéter qu'il fallait continuer nos vies et qu'on pourrait le remercier bientôt. Je m’attelais donc à réussir mes ASPICS.

chapter four

 « Vous êtes malade Miss Merryl. », déclara l'infirmière de Ste mangouste. Nous étions à présent fixées, mes parents et moi. Pendant les vacances, j'étais tombée malade et avait commencé une crise d'épilepsie, comme ma mère avant moi. Je soupirais, la maladie n'aurait pas pu rester latente ? Non, bien entendu. Je ressortais de l'hôpital abattue et à la rentrée, je continuais mes cours à Poudlard, en parcours de médicomagie. Je suivais mes traitements consciencieusement, je ne voulais pas que ma mère ne s'inquiète encore plus. J'allais à l'infirmerie régulièrement. J'avais donc le droit à l'administration régulière d’un mélange de différente potion obtenus à partir de dons de sang sous la forme d’une perfusion toutes les trois semaines, puis des injections, qui stimulent la fabrication des globules blancs par la moelle osseuse, et d'autres choses pour m'empêcher de convulser. Magnifique et barbare n'est-ce-pas ? En tout cas, ces traitements m'aident à avoir une vie – presque – normale.

 « MAMAN ! MAMAN ! », criais-je. Cette scène m'était familière, et cette fois, c'était bien plus grave. Et là, j'insistais auprès de mon père pour transférer ma mère à Ste Mangouste. J'avais appris à ne plus pleurer, ni même avoir peur face à ses crises, mais là, j'avais l'impression que le ciel me tombait sur la tête ! Elle était blanche cadavérique, ne convulsais plus, mais été très faible. Encore une fois, je restais assise dans la salle d'attente. Mon père arriva une nouvelle fois prés de moi, un jus de pêche à la main. Il ne prit pas sur ses genoux, cette fois, mais posa une main sur mon épaule. J'eus un pâle sourire, il n'avait pas besoin de mot, j'étais assez grande pour comprendre. Un médicomage arriva vers nous.  « Madame Merryl est très faible, nous avons peu d'espoir. Je suis désolé. », dit-il. J'eus un haut le cœur et plaquais une main sur ma bouche, en enfouissant ma tête dans l'épaule de mon père. Il s'accrocha à moi, m'entourant d'un bras. Je ne pleurais pas, en fait, je ne réalisais pas que je risquais de perdre ma mère d'un instant à l'autre.  « Est-ce qu'on peut la voir ? », demandais-je, il hocha la tête en signe d'approbation. Je me précipitais alors dans la chambre de ma mère. Elle était toujours aussi pâle, comme un fantôme. Je m'emparais de sa main, la portant à mes lèvres.  « Maman, faut que tu te battes ! », la suppliais-je et elle me fit une promesse silencieuse. Mon père travailla dur et moi, j'étais en vacances loin de Poudlard. A peine deux jours après son admission, j'arrivais et sa chambre était vide. Quémandant des informations, on me dit qu'elle a été transférée ailleurs. Je grimpais les étages et on m'interdit l'accès de la salle dans laquelle est ma mère. Le médicomage que j'avais déjà vu, m'expliqua qu'il ne pouvait rien pour ma mère. J'avais envie de lui coller quatre baffes. Un de ses collègues arriva.  « Je peux la soigner !  », déclara t-il. Je fronce les sourcils, qui me mène en bateau entre les deux ? Ils se mettent à l'écart, le premier n'a pas l'air content et moi, je continue de fixer le deuxième. Il avait l'air de croire férocement en la guérison de ma mère. Il me regarde dans les yeux, je ne me dérobes pas, son attitude me réchauffe le cœur.  « Je peux la soigner. », répète t-il. Je continue de chercher une faille dans son regard. Mais je ne trouve rien autre de la détermination. J'hoches la tête, lui laissant le droit de soigner ma mère. Pourtant, un mois après les doutes m'assaillent. L'état de ma mère se maintient, mais rien ne s'améliore. Alors, je me mets à le traiter de menteur, même si nous avons passé du temps à échanger des conversations sérieuses et plus légères, même si je l'ai vu tout les jours s'évertuait à rendre la vie meilleure à ma mère. Tous ces doutes simplement parce que la peur s'accroche à moi, elle me souffle que ma mère souffre et qu'elle va s'éteindre. Mais, il est encore si déterminé, qu'il m'empêche de partir, qu'il me persuade qu'il peut y arriver. Je vois dans ses yeux, qu'il a juste besoin que je lui fasse encore confiance. Et devant son regard, je ne peux m'empêcher de le croire. Et puis, un mois supplémentaire est passé. J'étais rentrée chez moi, dans mon petit appartement londonien, seule. Encore et toujours seule. Quelqu'un frappe à ma porte, et je fronce les sourcils, interrogative. Blue était en Australie pour jusqu'à la rentrée. Et alors, que j'ouvre la porte, je découvre Lowry, le médicomage qui soigne ma mère, un soutiens précieux.  « C’est définitif, elle est guérie, Esfyr, tout est fini !  », m'annonce t-il. L'information mets du temps à se diffuser dans mes neurones. Je le fixe, comme si c'était la première fois que je le voyais. L'instant d'après, chacun s'empare des lèvres de l'autre. Comme si j'avais connu le désert, je m'accroches à ses épaules, et le tire à l'intérieur. Alors que d'habitude, j'aurais freiné des quatre fers, là, je ne trouvais pas la force de stopper ce que nous faisions. J'avais besoin de tout évacué, si je ne pleurais pas autant que ce soit ça. Du plaisir. Bien que je ne collectionne pas les aventures, à cet instant, je me fichais de le revoir ou pas après cette nuit de luxure. C'était un rêve égoïste de vivre simplement. Mais c'était ainsi. Ses bras autour de moi, ses lèvres contre les miennes et sa chaleur contre ma peau. Je ne demandais pas plus.

chapter five

A la rentrée, je revenais plus sereine et retrouvais Blue avec soulagement. Elle avait la tête remplie de souvenirs, et moi, j'étais heureuse de pouvoir dire que ma mère été revenue saine et sauve à la maison. Cependant, la rentrée me réservait encore beaucoup de surprises. Lowry, en tant que professeur de médicomagie et Nolhàn. Vous avez bien lu. Alors que je prenais mon petit déjeuner dans la Grande Salle, je vis une silhouette rejoindre la table des vert et argent. Je restais figée en le reconnaissant. Celui qui m'avait sauvé la vie, et celle de Blue. Il s'assit et son regard croisa le mien. Je déglutis, il me fixa d'un regard intense qui me donna des frissons, quelque chose dérangeant. Je me sentais mal à l'aise, j'avais l'impression que ce n'était plus la même personne. Quelques jours plus tard, j'en avais la confirmation, il avait déjà cinq bagarres à son actif, et j'avais l'impression d'être observé constamment, Blue était persuadée que c'était lui, qui me suivait. Moi, je ne voulais pas le croire. Pourtant, j'avais peur qu'elle ait raison car à chaque fois que je croisais son regard, un sentiment dérangeant s'empare de moi. A suivre ...

méfaits accomplis,

ton pseudo : L.
ton prénom : Laura
ton âge : Vingt ans
ton avis sur le forum : il roxxe
comment as-tu transplané ici ? via bazzart.
ta disponibilité : tous les jours, sauf absences et autres.
ton avatar : felicity jones
ton personnage : inventé
le mot de passe : Les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : amen mon frère

les crédits

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Esfyr L. Merryl ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Gryffondor, chez les braves et téméraires lions ! Ce choix était une évidence car tu es une personne très courageuse et qui se battra jusqu'au bout pour ses idéaux. la preuve avec ta mère . Ainsi, te voici dans la maison rouge et or. Tu dois savoir que la salle commune est [ur=https://windowtothepast.1fr1.net/f78-tour-gryffondor]ici[/url] et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. La fiche est vraiment belle J'adore le personnage en lui-même, qui est doux et en même temps hyper dur. je veux dire par-là qu'Esfyr semble être une jeune fille hyper fragile mais qui ne se laissera pas abattre. C'est un véritable plaisir de te lire :3

Esfyr, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous