moi, le magicien,

prénoms : Primrose Emily nom : Greengrass nature du sang: pur âge : vingt-deux ansdate et lieu de naissance : 12/07/1957 à Édimbourg nationalité : Écossaise année d'étude : Douzième année niveau scolaire : très bon parcours scolaire : Médicomagie votre baguette : Elle est faite de bois de chêne et contient une aile de lutin de cornouailles. Elle mesure 23 centimètres. Elle est particulièrement souple, droite et a des prédispositions pour les enchantements. matières favorites : Les potions et la métamorphose matière détestée : L'étude des peuples; je trouve cette matière particulièrement agaçante et inutile. Je ne vois vraiment pas l'intérêt à étudier la culture des peuples partout dans le monde surtout si ce sont des moldus. Bien que je sois une élève d'un très bon niveau, je dois avouer que quand il s'agit de cette matière je ne fournis aucun effort. votre patronus : Sourisface à l'épouvantard : Des flammes immenses particularité magique : //

une potion : la potion de ratatinage Un sortilège : aguamenti.une chanson : Bruckner: Symphony No.7 - Celibidache: BPO - I un instrument de musique : Piano un bijou : Collier en perles. une insulte : Sang de bourbe. une phobie : Le feu une couleur : Vert émeraude une créature magique : Dragon un sorcier célèbre : Salazar serpentard un objet moldu : Aucun un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : Vanille un endroit : La forêt interdite un mot doux : Ta gueule. un conte : Les trois frères.

généreux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : Hiver quidditch ou lecture : Lecture patacitrouille ou baguette au réglisse : Baguette au réglisse argent ou amitié : Argent st-mangouste ou ministère de la magie : St-Mangouste cavalier ou fou : Cavalier balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chat

à l'intérieur de ma pensine

« Sang de bourbe. Qu’on te coupe la tête. Non seulement tu es une pourriture mais en plus de cela tu es laide. » Une série de ricanements explosa au moment ou je me tus. Très fière de mon exploit – ma pique, j’affichai un petit sourire au coin des lèvres. Malfada, rouge de colère, ouvrit la bouche pour m’attaquer à son tour mais dut la fermer tout de suite en voyant le professeur de potions. Le cours venait tout juste de commencer, mon cours préféré et la jeune fille n’était pas dupe pour oser s’aventurer dans mon propre terrain de jeu. Première de ma classe, je suis la chouchoute de la plupart des professeurs mais spécialement ceux des Potions et de la Métamorphose. En plus d’être extrêmement intelligente, je suis une grande bosseuse. Je trouve un réel plaisir à étudier, à faire des recherches, à rédiger un devoir et passer des heures à le perfectionner. Oui, à Serpentard aussi, il y a de très bons éléments que croyez-vous ? Ici, on est beaux, populaires, riches mais aussi intelligents contrairement aux autres maisons. D’ailleurs je les trouve sans intérêt, inutiles. On devrait vraiment éliminer toutes les maisons et n’en garder qu’une seule : Serpentard, bien évidemment. Mes parents ont fait partie de cette maison, mon grand-père aussi… Bref, toute ma famille. « Melle Greengrass, auriez-vous l’amabilité de nous faire une petite démonstration de la potion que vous avez préparé la veille ? » La voix ferme et à la fois douce du professeur me sortit de ma rêverie. Le sourire aux lèvres, je me levai doucement de mon siège pour le rejoindre sur l’estrade. Je balayais rapidement du regard les visages des autres élèves sans pour autant m’y attarder. Ils ne représentaient absolument rien pour moi. Ils n’étaient que des jouets, des pions dont je pouvais me servir pour arriver à mes fins. L’amitié ? C’est une bonne blague, une arnaque. C’est tout simplement une invention stupide pour justifier certains échecs. D’ailleurs je suis sûre que c’est une invention de moldus. Tellement bêtes, naïfs, inutiles ; ils ne font que foutre le bordel dans le monde de la magie. Qu’ils vivent comme des idiots dans leur monde parallèle au notre. Sommes-nous obligés à les côtoyer ? A les fréquenter ? De toute façon, j’ai confiance en Orion Black. Je suis sûre qu’il trouvera une solution bien efficace. Cet homme est de loin le meilleur ministre que le monde de la magie n’ait jamais eu. Enfin quelqu’un de fort, de charismatique et qui a du caractère. Très intéressée par la politique, j’ai tout de suite été ravie quand il a été élu comme nouveau ministre. L’ancien – très grincheux, vieillard – ne faisait que dormir et agoniser sur son fauteuil la plus part du temps. C’est surtout de sa faute si les sangs de bourbes ont commencé à se répandre – tels une épidémie – de plus en plus. Comme on dit « le pouvoir arrête le pouvoir ». On a donc besoin de quelqu’un de fort pour arrêter ces moldus qui se croient tout permis, à présent. « Vingt points pour la maison Serpentard, grâce à Mlle Greengrass. » J’adressai un sourire à mon professeur avant de retourner à ma place toute fière de ma potion réalisée à la perfection. A peine avais-je été entourée par une bande de lécheurs de bottes, que la sonnerie retentit. Déçue, vexée, je les abandonnai et quittai la salle pour me diriger vers la salle commune. J’étais extrêmement fatiguée. Je n’avais pas dormir, la veille étant donné que j’avais un devoir d’études de peuples à remettre. Un calvaire. J’ai passé plus de quatre heures à rédiger ce sujet extrêmement débile. Je ne vois toujours pas l’intérêt d’étudier une matière aussi ennuyeuse, inutile et très… moldue, on va dire. Sincèrement. Je ne comprends toujours pas à quoi cela va me servir prochainement de connaitre la culture des autres peuples un peu partout dans le monde. Je suis ici pour étudier la médicomagie pas les coutumes des autres idiots. J’ai tellement hâte d’avoir mon diplôme et pouvoir enfin travailler. J’en ai toujours rêvé. C’est d’ailleurs pour cela que je me force à fournir un effort dans cette matière. Bien que je la déteste à un point inimaginable, je ne peux accepter l’idée d’avoir un T comme note. Mes parents comptent énormément sur moi. Fille unique et faisant partie de l’une des familles les plus réputées dans le monde de la sorcellerie, je me retrouve obligée d’être parfaite. Je n’ai pas le choix. Je dois être une excellente sorcière, une élève modèle, une belle femme bien friquée et intelligente à la fois. Cela ne me déplait pas, heureusement. J’ai toujours été très ambitieuse et prête à faire absolument tout pour arriver à mes fins. Je sais que seul un travail acharné me permettra de réaliser mes rêves. Enfin bref, ne nous égarons pas. Le chemin menant à la salle commune est extrêmement long et ennuyeux d’ailleurs. Je ne vous raconte pas à quel point c’est triste de traverser les cachots tout seul. Très populaire et toujours accompagnée par une longue file d’admirateurs, je n’ai jamais aimé la solitude. Pire, je la fuis comme la peste. Je la crains. Je ne peux m’imaginer vivre toute seule, abandonnée. « Te voila enfin. Je te cherchais. » Je ne pris même pas la peine de me retourner. Je savais d’emblée de qui il s’agissait. Je le connaissais par cœur, je pouvais reconnaitre sa voix parmi les autres sans fournir le moindre effort. « Phineas » Murmurai-je, doucement en me retournant. Vêtu de sa robe dorée, les cheveux en bataille, le sourire aux lèvres ; il était toujours aussi beau. Il m’avait affreusement manqué. Bien qu’on soit tous les deux extrêmement proches, il devenait de plus en plus dur de se voir ces derniers jours. Non ce n’était guère à cause de sa maison, voyons. Ce détail ne m’a jamais dérangé. Quand il s’agit de Phineas toutes ces idioties, ces choses banales disparaissaient d’un coup. On se connait depuis longtemps, bien trop longtemps pour prêter attention à ces étiquettes stupides et dégradantes. « Tu n’as pas cours de Potions par hasard ? » Un rire narquois puis un soupir. Je compris. Il venait de sécher ce cours encore une fois. Contrairement à moi, Phineas a horreur des Potions. C’est toujours moi qui l’oblige à y assister. Cette fois, il put s’en échapper. Son niveau d’étude m’inquiétait énormément. Elève faible et ne fournissant aucun effort, il rêve de devenir Auror. Cependant, il faut vraiment avoir d’excellentes notes pour en faire partie. Cela m’agace. Phineas est quelqu’un de très intelligent et a juste besoin d’un coup de pouce pour y arriver. « Phienas… » Il m’interrompit d’un geste et me saisit la main pour me forcer à le suivre. « S’il te plait, Prim, ne commence pas. Je ne suis pas d’humeur. Suis-moi. » Je n’insistai pas, le connaissant. Cela ne servait absolument à rien. Je me laissai guider. Je ne posai la moindre question. Je faisais confiance à Phineas, aveuglément même. Notre relation a toujours été unique, sincère, solide et bien compliquée. Entre amitié et plus, on s’est retrouvé bien perdus à une certaine époque. On ne savait plus comment se comporter surtout après notre baiser : ce sujet tabou dont on refuse de discuter. Pour moi, Phineas est le fruit défendu, la tentation, le désir damné. On est ligotés, coincés, emprisonnés dans l’impasse de l’amitié. On hésite, trébuche. Indécis, on ne sait quelle direction prendre. Lâches, on décida alors de suivre le chemin le plus facile : tout ignorer. Amis, voila ce qu’on était. Ou plutôt ce qu’on se forçait à croire, tous les deux. On était bien trop proches, dépendants pour oser risquer de perdre notre relation. « Et voila. » La voix douce de Phineas me sortit de mes pensées et j’affichai un sourire en me rendant compte qu’on était au lac. Cependant, mon sourire se transforma en une grimace quand mon cerveau recommença à fonctionner « Nom d’une marmite. On va être en retard, Phineas. Tu as oublié le couvre feu ? » Depuis l’arrivée de Dolohov, les choses avaient changé à Hogwarts. On n’avait plus le droit de vagabonder en dehors de nos dortoirs après vingt-et-une heure. On se retrouvait facilement puni pour tout et n’importe quoi. Personnellement, je n’ai jamais été sanctionné ou en retenue et d’ailleurs je ne compte pas l’être. Je suis une élève modèle et il est hors de question que mon dossier scolaire soit sali pour une chose aussi stupide. Phineas, de son côté, s’en fichait royalement. Narquois, arrogant et extrêmement têtu ; il n’a jamais approuvé les méthodes de Dolohov. D’ailleurs, il ne les respecte point. Pour lui, rien n’a changé. Il suit toujours le même rythme, le même mode de vie et enchaîne les retenues sans modération. « Prim, sérieusement ? On s’en fout. Oh et puis c’est bon, je te promets qu’on ne dépassera pas ce stupide couvre feu qui te tient tant à cœur, apparemment. » Fronçant les sourcils, je me laissai tomber sur le sol faisant signe à Phineas de me rejoindre. Il faisait beau et la nuit n’allait pas tarder à tomber. L’hiver. Oui, ma saison favorite. Je n’ai jamais aimé le soleil, la chaleur… cela m’étouffe, me suffoque. Le feu, l’horreur. Ma phobie, tout simplement. Je grimace en me souvenant du dernier cours ou on avait fait face à un épouvantard. Des flammes, voila la forme de mon épouvantard. Pourquoi ? Je l’ignore. C’est tellement flou. A chaque fois que j’essaie de m’en rappeler, je bloque. Mon père évite de m’en parler, ma mère aussi d’ailleurs. C’est peut être un incendie alors que je n’étais qu’un enfant… ça doit être ça. Sûrement. Phineas me vole un baiser sur la joue et j’affiche un sourire avant d’effleurer de mes doigts sa peau blanche. Il frissonne. Je ris. Très tactiles, on a toujours été considérés comme un « couple ». Chose qu’on n’était pas… Malheureusement ? Je préfère ne pas répondre. « J’ai entendu dire que tu te foutais toujours de la gueule de Malfada. Vas-y mollo avec elle Primrose, n’oublie pas que c’était tout de même une de tes meilleures amies. » Je grimace. Je déteste ce sujet. Malfada, Malfada, Malfada. Quelle pauvre créature innocente, quelle victime. Ce n’est pas du tout le cas. C’est un diable – antipathique, en plus. Une menteuse, une arnaqueuse. Elle m’a trahie, m’a mentie. Et Merlin seul sait à quel point je suis rancunière. Je ne pardonne pas, n’oublie pas. Quand on me trompe, on me trahit… c’est terminé, pour toujours. « Elle l’a cherché, Phineas. Arrête de la défendre. » « Je ne la défends pas, Prim. Je dis juste la vérité, tu le sais. » « Changeons de sujet. »
Le temps passa rapidement, comme toujours. Quand on est ensemble, on perd toute notion de temps, d’espace. On se transforme en ces deux gamins, ces deux sorciers de onze ans qui se sont rencontrés le premier jour à Hogwarts. Avec Phineas, je suis MOI. Je suis à l’aise. Il me connait par cœur, il connait ma nature, mon vrai caractère. Il aime mes qualités, mes défauts. Il interprète mes faits et gestes ; devine mes pensées. C’est fusionnel. Vingt-et-une heure. Le bruit assourdissant de la grande horloge nous fit sursauter et je poussai presque un cri de détresse. On est foutu. On venait de dépasser le couvre feu. « Calme-toi Prim, personne ne va s’en rendre compte. » Rouge comme une tomate, je luttai contre l’envie de lui foutre une bonne claque tellement il était calme. Son sang froid m’agaçait, m’énervait. Comment pouvait-il être aussi calme dans une situation de la sorte. Non seulement on venait de désobéir aux règles mais en plus de cela on se trouvait à l’extérieur du château. Non je ne craignais pas de me faire tuer ou attaquer. C’est surtout ma réputation et mon dossier scolaire qui me terrifiaient. « Viens, suis-moi petite sotte. » SBAFF, une grande tape sur la tête de Phineas. « Aie, tu es folle ? » Je lui tirai la langue, le suivant toujours. Il connaissait tous les coins et les chemins menant à l’intérieur du château et je le suivis donc sans un mot. Cela nous prit quinze minutes pour nous rendre aux couloirs menant à nos salles communes. « C’est bon ? Tu veux que je te raccompagne jusqu’à la porte ? » « Non c’est bon, ne t’inquiètes pas. Bonne nuit. » Je lui fis un gros câlin et me dirigeai vers les cachots qui menaient à la salle commune de Serpentard. Il faisait énormément froid et bien que je portai une robe, je frissonnai. Le silence. Ils doivent tous être en train de dormir ou de préparer leurs devoirs pour le lendemain. Chantonnant et jouant avec une mèche rebelle qui se détachait sans cesse de ma frange, je trainais des pieds. J’étais tellement dans ma boule, plongée dans ma rêverie que je ne me rendis même pas compte de la présence de quelqu’un au bout du couloir. Je m’interrompis. Discrète, je fis un pas hésitant en avant essayant de dévisager l’inconnu. Le couloir était sombre et l’autre personne portait une cape qui lui couvrait le visage. « Merde. » Je trébuchai et ce mouvement maladroit déclencha un brouhaha. Une fois le tumulte arrêté, je poussai une série de jurons en me rendant compte que l’inconnu avait pris la fuite. Très curieuse, je m’avançai hâtivement en sa direction. « Lumos ». Un faisceau lumineux jaillit de ma baguette. Des affiches collées sur le mur. Je me figeai en voyant de quoi il s’agissait : des affiches de propagande pour rejoindre les mangemorts. Excitée, ravie, vexée, surprise… je traversai toute sorte d’émotions en une fraction de seconde. J’avais toujours rêvé d’avoir un contact avec ce groupe de mangemorts. En faire partie ? Pourquoi pas, oui. Je partage les mêmes opinions qu’eux et avoir une élève très intelligente et ambitieuse à leurs côtés leur servirait énormément. J’étais cependant déçue, vexée… mais plus précisément, jalouse. Jalouse de cet inconnu qui a eu la chance de les aider, de faire partie de leur plan. Pourquoi lui ? Pourquoi pas moi ? J’étais jalouse du fait qu’il y ait quelqu’un meilleur que moi. Oui « meilleur ». Plus intelligent, plus perspicace ? Ça doit être sûrement pour cela qu’ils l’ont choisi. Enervée, je courrai presque essayant de le rattraper. La curiosité commençait à m’affoler et je mourrai d’envie de découvrir l’identité de cet élève. « Attendez ! » Il ne se retourna pas et commença à courir encore plus rapidement faisant accroitre la distance qui nous séparait. « Mais je suis de votre côté, espèce d’imbécile. » Il commençait à m’agacer et je n’allais pas tarder à lui jeter un sort pour le paralyser, le stupéfixer. Je portais pourtant la robe de Serpentard. Quel idiot. Il aurait pu faire la liaison et comprendre que je suis de son côté, leur côté. J’ai toujours détesté le fait de vivre avec des moldus devenus sorciers. Je suis entourée par eux, partout. Ici même à l’école. Cela m’agace. Je me suis toujours demandée quand est-ce qu’on allait se manifester – nous les vrais sorciers, les vrais héritiers. Quand on est-ce qu’on allait éliminer ces sangs de bourbes qui ne faisaient que détruire notre héritage magique. Faisant partie d’une famille extrêmement ancienne et réputée dans le monde de la magie noire, j’ai souvent assisté aux réunions des anciens ; ou écouté aux portes, plutôt. Enfin bref, je sais qu’ils parlent, qu’ils préparent quelque chose. Ils sont tous énervés, agacés par ces moldus qui se croient égaux à nous alors qu’ils ne le sont pas. Alors qu’ils devraient être des elfes, et encore au moins les elfes sont des créatures magiques. Deux semaines après, le dix-sept décembre, l’attentat de Diagon Alley retentit. Je savais que c’était programmé. J’avais rapidement fait la liaison. Je n’étais pas dupe. Non ce n’était pas du tout un pur hasard ou encore moins une réaction. Cela résultait d’une programmation, de plans bien élaborés depuis plusieurs mois voir années. Les mangemorts. Ce nom devenu de plus en plus difficile à prononcer, ce nom semant la terreur partout surtout aux côtés des sangs de bourbes. Je veux en faire partie, je veux les rejoindre. Je sais que j’en suis capable. Je sais parfaitement que je pourrai leur être utile. Jeune, me direz-vous ? Et alors. Je suis bien plus intelligente que les autres, j’ai un quotient intellectuel plus élevé que la moyenne. Je sais me défendre, réfléchir. Je suis sûre que je trouverai des moyens plus rapides et efficaces que les leurs. Ils ont certes crée une très bonne réputation mais je n’approuve pas leurs méthodes. Je les trouve assez « ordinaires ». Personnellement, je pense qu’ils devraient agir d’une manière plus originale, terrifiante. Ils devraient opter pour des apparitions plus surprenantes et qui pousseraient les gens à parler d’eux, non pire à craindre de prononcer leur nom. Voila ce qu’ils devraient faire. Et je pense, je suis sûre que je pourrai les aider à atteindre ce but. « Ne me poussez pas à vous attaquer, je vous préviens. » Essayant de stabiliser le ton de ma voix vu que je continuai de courir j'ajoutai: « Vous l'aurez voulu » . Je brandis ma baguette et ouvris la bouche pour prononcer mon sort quand je fus plaquée contre un mur. Tout se passa tellement vite. Ma baguette vola dans l’autre sens et je n’eus pas le temps de crier étant donné qu’une main était fermement plaquée contre ma bouche, m’empêchant de respirer. J’essayai de me débattre, me libérer pour voir de qui il s’agissait. Désarmée, j’étais faible et impuissante. Ma baguette se trouvait à plusieurs mètres loin de moi et je ne pouvais donc agir. « mlkjgfjkmkjhgchjkjhh » Marmonnant des mots incompréhensibles, j’essayai de me débattre tout en gagnant du temps pour trouver une solution. Rapidement, je donnai un bon coup de pied entre les jambes de mon agresseur. Ce dernier, poussant un cri, me libéra. Sautant presque sur ma baguette pour la récupérer, je me retournai et la brandissais prête à lancer un sort. « C’EST TOI ? » Tremblant de colère, je baissai lentement ma baguette avant d’ajouter « Mais quel... AAAH. Espèce d’idiot. Qu’est-ce qui t’a pris ? » Se tordant de douleur, il articula difficilement : « Rien. Je voulais juste te faire peur. Mais apparemment, j’ai eu le résultat inverse. Quelle sauvage. » Je soupire. Il m’agace, m’énerve, me dégoûte. Parfois, je me demande ce qu’il fait à Serpentard. Hargneuse, je me retournai rapidement et lâchai un juron en remarquant que l’inconnu avait complètement disparu. « Satisfait ? Bravo, Rosier. Apparemment, tu es nul dans tous les domaines… ou presque. »

méfaits accomplis,

ton pseudo : Mimi
ton prénom : Miriam
ton âge : Dix-neuf ans.
ton avis sur le forum : J'aiiiiiiime. En plus, le nouveau design est tout simplement magnifique.
comment as-tu transplané ici ? Et bien je dois avouer que j'ai transplané ici bien avant mais que malheureusement j'ai eu une panne d'internet subite du coup je n'ai pas eu le temps de terminer ma fiche. Oui HONTE à moi. Mais me revoilà.
ta disponibilité : Mm... plutôt disponible vu que ce sont les vacances ?
ton avatar : Phoebe Tonkin
ton personnage : prédéfini
le mot de passe : Les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : Je meurs de faim, bon sang.

les crédits

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Primerose E. Greengrass ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serpentard, chez les ambitieux et malins serpents ! Ce choix était une évidence car tu es une langue de vipère, ambitieuse et rancunière. Ainsi, te voici dans la maison verte et argent. Tu dois savoir que la salle commune est ici et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. Tu as bien mis en avant ce que tu avais comme informations sur le personnage. Ta fiche est agréable à lire et puis tu as bien mis en avant les différents liens que tu avais déjà. Bref, j'ai bien aimé te lire.

Primerose, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous