Sylphus été dans sa salle de divination, comme tout les jours après avoir fini son cours. Les gamins venait de sortir de la salle. Sylphus essayait d'oublier son aigreur vis a vis des sorciers lorsque il donnais classe, mais il s'agissait d'une chose très difficile pour lui, surtout qu'il montrais clairement ce qu'il pensais hors les cours. Etre renvoyé de l'école c'étais pas vraiment son but, mème si le centaure haissais les sorciers pour une raison bien personelle a vrai dire. Ce sont ces monstres qui l'avait rendu orphelin gratuitement et par erreur. Et lui se pensait supérieur a eux. A vrai dire il leur été largement supérieur.

Alors que Syl' été plongé dans une correction de copie, grinchonnant a qui mieux mieux, une magnifique chouette harfang au plumage neigeux tapa au carreau avec son bec. Le centaure cacha aisément sa surprise en ouvrant la fenètre et décrochant le petit mot sur la patte du majestueux rapace nocturne. Pensant tout d'abord qu'il s'agissait d'un mot du Ministère, il voulut la jetée a la poubelle mais ses doigts déliait bien malgré lui le mot accroché a la patte.

Sylphus le déplia donc et put y lire:

Code:

Mon fils,

Voila des années que tu est parti de Belgique pour aller en Angleterre, je t'en prie Benjamin, rentre a la maison, tu nous manque. S'il te plait répond a ce message, ton père et moi en seront très heureux.

Ta mère qui t'aime.

Oula il y avait une grosse erreur. Tout d'abord il ne s'appelais pas Benjamin mais Sylphus et il n'avais plus de mère ni de père, c'étais les sorciers qui lui avait retiré par une erreur judiciaire. Si c'étais une blague d'un de ces minables a chapeau pointue, elle n'étais pas drole du tout. Sylphus ronchonna, les mains crispés de colère sur le petit parchemin. Erreur ou blague, cette lettre allait finir a la poubelle, la mère n'avais qu'a mieux écrire l'adresse sur l'enveloppe. Et après on s'amusais a dire que les centaures été crétins..

"Sales verminasses et vermicrasses de sorciers, ils ne savent mème pas écrire correctement une adresse sur une missive, déja qu'ils ne savent mème pas se cuire un oeuf a la coque sans l'aide d'un elfe de maison..."

Le centaure tendit la main pour laché la lettre dans la poubelle puis décida tout de fois au dernier moment après réflexion de gardé la missive, on ne sait jamais ce qui pouvais arriver, cette lettre ravivais en lui des souvenirs douloureux et vifs. Lui en train de caliné sa mère et de jouer avec son père, leur éxécution et la tète de sa mère roulant vers sa cachette, ou il été tout tremblant de peur, sans comprendre car trop petit que son papa et sa maman ne reviendrais jamais, il ne l'avais capté qu'en grandissant. C'est la mort de ces parents qui avait fais son caractère d'aujourd'hui. C'étais leur mort qui avait tracé son destin, et on ne pouvais pas échapper a son destin.

Il rangea la lettre dans un coin et se remit a se reconcentré sur ces fameuses copies, dans un endroit ou le parchemin ne se froisserais pas avec l'humidité.