moi, le magicien,

prénoms : Gamin. Mes parents étaient bourrés quand il ont été officialiser mon prénom. nom : Beaumort. Plus sinistre que ça, tu meurs. nature du sang: sang de bourbe, fils d'un cracmol et d'une née moldue. âge : vingt-et-un balais date et lieu de naissance : 01 avril 1961 à Biburynationalité : Anglais année d'étude : Troisième année du second cycle (donc, 'Dixième année') niveau scolaire : Bon parcours scolaire :J'ai choisi le parcours médicomagie non pas pour devenir médecin, mais potionniste votre baguette : Bois d'Aubépine, 27,3 centimètres avec une plume de phoenix, extrêmement rigide et très légèrement incurvée matières favorites :potions, sortilèges et enchantements matière détestée :Il n'y a pas vraiment de matières que je "déteste", mais mon intérêt est beaucoup moins éveillé pour la métamorphose. votre patronus : Scorpion face à l'épouvantard : Le néant. Plus aucun bruit, odeur...Juste un épais manteau noir, l'enveloppant dans un cocon glacial. Pris au piège dans une cage invisible, étouffant lentement comme si une main enserrait sa gorge.particularité magique : aucune

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : Felix Felicis Un sortilège : Sectumsempra une chanson : Shaka Ponk - I'm Picky un instrument de musique : harmonica un bijou : une croix autour du cou une insulte :fils de vaincuune phobie : l'eau une couleur : le noir une créature magique : sirène un sorcier célèbre : Merlin un objet moldu : Une moto un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : chantilly un endroit : le cimetière un mot doux : T'es bonne. On baise? un conte : Alice au pays des merveilles.

généreux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ pragmatique ; patient ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver quidditch ou lecture : les deux patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille argent ou amitié : argent st-mangouste ou ministère de la magie : ministère de la magie cavalier ou fou : fou balais ou transplaner : balai elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie :>astronomie chat ou chien : chat

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier : Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'effet de surprise était là. On se croirait dans un film d'action (création moldue pour les ignares sorciers). Il ne manquerait plus que la musique de la liste de Schindler et nous n'aurions plus qu'à aller nous jeter droit dans le précipice. Certes, c'est un évènement facilement qualifié de "tragique", mais dans le monde moldu, il n'est pas rare de voir un attentat faire la une des journaux.

Que pensez-vous des Mangemorts : Je suis partagé entre la fascination et la peur. La première me vient de mon goût prononcé pour la morbide, le glauque, le noir absolu. La seconde me vient de ma nature, la présumée impureté de mon sang. Aisément qualifié de sang-de-bourbe, je suis le jouet préféré de ces sinistres créatures. Ils forment un goût subtil qui attise mon avidité. C'est spontané. J'ai bien du mal à freiner mes pulsions sadiques.

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Minos Selwyn ? : En ce bas monde, il existe un nombre incalculables de créatures qui n'éveillent que l'indifférence chez moi. A vrai dire, je n'ai jamais été très porté sur l'obéissance et l'éducation. Je suis né pour tourmenter mon monde. Après tout, je suis un "mangeur de rêves". Là où je passe, la terre trépasse ah ah ! *sors* Bref, tout ça ne m'emmerde pas plus que d'habitude. J'ai mes méthodes pour entraver ces quelques nouveautés...

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : J'ai toujours été un grand enfant, et j'y crois dur comme fer. Ma curiosité s'enflamme face à ces mystères. A la "Indiana Jones", j'aime jouer les fins aventuriers, mêlant danger et folle poursuite pour former un subtil cocktail de folie.

à l'intérieur de ma pensine

Ils ondulaient comme les replis des draps qui séchaient mollement dans le jardin, comme les vagues engloutissant tout sur leur passage. Les méandres de l'oubli (...) C'était un tourbillon d'émotions, invitant les maux à l'abstinence, et l'inspiration à la création. Ses doigts affriolaient sur les touches magistrales, trop imposantes pour sa frêle composition. Face à tant de prestance, il paraissait minuscule, presque ridicule. Une langue humide passa souplement sur ses lèvres, gorgeant de salive ses plaies encroûtées de petite peau morte. L'épais manteau noir qui dilapidait ses pupilles jadis claires trahissait une santé valétudinaire. L'opium. Une consommation excessive d'opium qu'il jumelait avec d'autres crasses illégales. Ses papilles nasales battaient comme les ailes d'un papillon, évacuant l'air infect qui le rendait malade comme un chien. Il pouvait presque sentir son cœur tambouriner à travers la pulpe de ses doigts. Ces derniers finissaient un ballet endiablé sur les touches de l'orgue, devant lequel il s'était réfugié, comme tous les jours, à dix-sept heures tapantes. Les vibrations se propageaient à travers les périphéries de l'église, faisant trembler d'émoi sa sainteté. Il aboutit sur une dernière note, grave et prolongée, les paupières closes, la respiration sifflante. Et là, le regard fixé sur le tourmenté, vulgairement pendu sur sa croix, il se sentait immensément bien. Une étrange impression de vide le submergea, le noyant dans un bain trouble et vaporeux. Assis sur le banc qui accompagnait l'orgue, Gamin balaya l'intérieur du monument avec une conviction sans fondements. Quelques flammes dansaient faiblement sur les tiges de quelques bougies, seule présence d'une quelconque source de vie, avec sa médiocre existence, en ces lieux saints. Tous les dimanches, la famille Beaumort venait s'absoudre de tous ses péchés. Gamin, lui, venait tous les jours de la semaine, tous sans exception. Il trouvait en l'existence du divin quelque chose d'incroyablement rassurant. Il ne venait pas uniquement à l'église pour se faire pardonner d'avoir volé toutes les hosties, mais pour y retrouver le réconfort qu'elle lui occasionnait. Il s'étala de tout son long sur un des bancs et fixa longuement le plafond voûté, les échos musicaux résonnant encore à travers l'enceinte protégée. « Cette manie de t'endormir ici en deviendrait presque amusante » La voix rocailleuse du pasteur l'arracha des limbes de son subconscient. Papillonnant faiblement des paupières, il découvrit la silhouette anorexique de son aîné qui semblait dissimuler un sourire hilare sous son épaisse barbe poivre et sel. « Vas donc sonner les cloches » L'enfant s'exécuta, rejoignant ses belles amantes pour les faire frémir comme des pucelles.

Dans le village de Bibury, dans les Cotswolds, tout le monde se connait. S'il y a bien une chose sur laquelle tout le monde est d'accord, c'est que Gamin, c'est un petit gars paumé. Certes paumé, mais étrangement apprécié. Ce n'est ni un mauvais garçon, ni un éphèbe solitaire, il est un peu des deux. Instable, lunatique, caractériel, piquant, vulgaire, mais si on gratte un peu, on découvre un garçon honnête, d'une générosité troublante. Gamin, c'est le mec dont on ne peut se détacher. C'est une tumeur qui se loge entre vos deux hémisphères, un parasite non nuisible. Ses parents étaient très appréciés au sein du village, ils s'aimaient d'un amour indéfectible. Toute belle chose a une fin, et Gamin l'a très bien compris en voyant disparaître l'âme de sa mère, rongée par un cancer généralisé. La dernière chose que lui avait offert sa mère était un sourire rassurant, le même sourire qu'elle dévoilait quand Gamin avait fait un cauchemar. Ses dogmes n'étaient pas toujours parallèles à ceux de certains habitants de Bibury, mais elle restait une femme aimée, et en l'espace d'une journée, tout le village fut en deuil. Alors que son père, inconsolable, restait cloîtré dans sa chambre, le pasteur ne cessait de lui répéter que sa mère avait rejoint les « anges », et que de « là-haut », elle le regardait. Alors, chaque matin et chaque soir, Gamin se rendait à la chapelle pour faire une prière, avec un regard aimant vers le ciel. Inconstant, changeant, énigmatique, décalé, ses pensées les plus profondes restaient un vrai mystère pour la populace campagnarde de Bibury. Néanmoins, toutes les maisons de Bibury étaient sa maison, toutes les mères de ses camarades étaient comme une mère pour lui, remplaçant habilement la défunte disparue. Il était un peu « le petit poulain » de tout le monde, surprotégé malgré son imperfection flagrante. Combien de fois ne s'était-il pas réveillé dans les bras de Martha, enveloppé comme un précieux paquet, ou ceux de la vieille Lisbeth? Ses nuits agitées ne l'aidaient pas à trouver le sommeil, victime d'insomnies et d'asthme, _ alors, pour apaiser ses nuits, il s'invitait de lui même chez quelques mères douées de tendresse, et s'endormait comme un bébé dans leurs bras protecteurs.

« Le dernier arrivé est une grosse patate » 1,2,3...GO! Le petit groupe de freluquets s'était élancé comme un troupeau de bêtes sauvages à travers la forêt, la respiration saccadée, le cœur palpitant. Gamin ne courait pas, il volait. Il était le plus petit du groupe, mais cette caractéristique n'était en rien un handicap pour lui. Tout le monde le savait à Bibury, _ Gamin était la réincarnation d'un oiseau. Acrobate, souple, agile, léger, il se déplaçait avec la prestance d'un aigle. Il ne marchait pas dans les ruelles, il bondissait de toit en toit. Il n'utilisait pas les ponts, il bondissait. C'est un oiseau, un signe, un guépard. Et d'un battement d'ailes, il emportait ses compagnons dans son envol. C'est un enfant ivre de liberté. Sa constitution fragile contrastait avec son extravagance étourdissante. Il formait avec quelques gamins du villages « les enfants perdus », en quête de savoir et de vérité, d'aventure et de surprises. Queue-de-loup, croc-de-vipère, œil-de-lièvre, etc; _ Gamin avait été affublé d'un surnom particulier «patte-de-singe ». Déguisés d'une plume colorée sur le bout de leur tignasse, logée à la commissure de leur lobe temporal, ils criaient à s'en arracher les poumons, dévalaient les collines; leurs glapissements envahissaient l'air chaud. L'éclat du jour sur les plaines de blé, le ventre collé au sol, au milieu des arbres, les yeux fixés sur le village en contrebas, les louveteau échafaudent de nouveaux projets, l'esprit gorgé d'ambition et d'ivresse. Étendu sur un lit de fleurs aux fragrances exotiques, Gamin rêvait, comme il le faisait toujours et si bien. Il rêvait qu'il était nu, marchant d'un pas serein à travers les venelles animées de Bibury, les habitants le saluant aimablement comme si sa nudité n'avait rien d'anormal. La caresse du vent contre sa peau blafarde, la morsure du froid matinal et les timides éclaircies le rendaient euphorique. Une odeur de salé vint lui titiller le bout du nez, et lorsqu'il baissa son regard, ses pieds étaient enfoncés dans le sable mouillé, et l'eau de mer lui léchait les chevilles. L'océan s'étalait à perte de vue devant lui, il s'évadait vers l'écume, le regard projeté à l'horizon. Petit à petit, il s'enfonçait un peu plus dans l'eau, avançant sans but.

(...)

« Hey mais c'est le p'tit sang-de-bourbe! Alors Gamin, paraît que tu t'es encore fait remarquer? Ta vie n'est pas assez misérable comme ça, faut que tu la gâches un peu plus chaque jour? » Le concerné s'arracha de sa contemplation pour tomber sur la vision mièvre que lui octroyait le visage de Volkov, un petit crottin qui aimait acclamer haut et fort la pureté et la noblesse de son sang. « Eh bah quoi, t'as perdu ta langue? T'as envie de retourner chez ton cracmol de père? ! Te gêne surtout pas, ça fera de la merde en moins dans l'école » Gamin n'entendait rien, non, il ne voyait que les lèvres distordues de son vis-à-vis qui gigotaient dans tous les sens, comme des élastiques. Il n'écoutait que ce qui l'intéressait, et les paroles de Volkov n'évoquaient en lui qu'un profond lac d'indifférence. « C'est marrant, t'as la tête du gars qui croit que j'en ai quelque chose à foutre de ce que tu dis » Insolent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, le jeune Beaumort ne manqua pas d'offrir son plus beau sourire, une bouche pleine et gourmande, gorgée de sarcasme et de mépris. Volkov le menaça du bout de sa baguette magique, le regard flamboyant de colère. « Tu ferais mieux de me parler sur un autre ton, Beaumort, je ne tiens pas à être l'investigateur de ton dernier soupir, même si l'envie est ...très tentante » Et après un dernier regard purement et simplement dédaigneux, il s'éclipsa au détour d'un couloir, suivi de près par sa meute d'agneaux noirs, tel une envolée de corbeaux. Gamin embrassa soigneusement la petite croix qui pendait autour de son cou, un sourire fou accroché à la commissure de ses lèvres, les pupilles dilatées de satisfaction.

« Me touche pas sale lopette! » jura bruyamment un beau gosse dont il ignorait parfois l'existence. Gamin n'appréciait pas Destan, mais il aimait particulièrement la courbe de ses fesses. Il n'avait pas manqué de lui mettre la main aux fesses, le regard mielleux. Ça l'amusait d'outrager quelques hétérosexuels. Parfois, il arrivait même à en faire virer quelques-uns de « l'autre bord ». Gamin, c'était la « petite pute » de Poudlard, la petite « lopette » de service. Il avait couché avec la moitié des élèves de l'école, peut-être même des professeurs...Tout du moins, c'est ce que prétendaient les rumeurs. Les rumeurs, les rumeurs...elles galopaient avec entrain à travers les couloirs et escaliers de l'enceinte magique, attisant la curiosité de chaque louveteau. Vrai? Pas vrai? Qu'importe, tant que ça éveillait un tant soit peu l'intérêt de quelqu'un, c'était propice à être répandu. Gamin était la principale source de ces rumeurs. Alors tout ce qui se disait à son sujet, il n'en avait que faire.

Assis sur une des tombes du cimetière, à côté du village qui bordait Poudlard, le jeunot jouait un air d'harmonica. Un épais manteau de neige recouvrait toute la région, et malgré le froid, il ne s'était vêtu que d'un jeans et d'un tee-shirt. « Continue » lui ordonna une petite voix féminine. Lorsqu'il pivota sur lui-même, il tomba sur deux prunelles d'un bleu azur troublant. Elle ne devait avoir que treize ans, et malgré sa réticence à l'égard des ordres, il poursuivit ses notes musicales. La petite rouquine vint s'asseoir à ses côtés, avant de s'endormir sur son épaule. Gamin ouvrit les yeux, et se réveilla. Ce n'était qu'un rêve. Un rêve étrange. Il se gratta l'arrière de la tête et s'arracha de ses draps pour aller piquer une tête sous le robinet. « P'tain Gamin, tu pourrais au moins mettre un caleçon! » se plaignit Stiles, son voisin de lit. Chaque matin, il était le triste témoin de la nudité de son camarade de chambre, adepte du nudisme. Il n'éprouvait aucune gêne à l'idée de se promener nu dans le dortoir. A vrai dire, il était même très à son aise. « Fais pas ta farouche Stiles! Admire plutôt mon superbe postérieur » Il secoua vivement ses fesses et se donna une petite claque avant de filer dans le salle-de-bain, se ramassant au passage un coussin menaçant. Quinze minutes plus tard, il revint simplement vêtu d'une petite serviette au niveau de la taille, l'eau dégoulinant abondamment de ses cheveux plaqués sur son crâne. Un sourire machiavélique borda ses lèvres de biche, synonyme de mauvais présage, et sans crier gare, il se jeta sur le lit de Jacob et se lova contre ses draps, éjectant son propriétaire d'un coup de paluches. « Gamiiiiiiiiiiin! Dégage de là! Tu vas encore mouiller mes draps bordel de m**** ! » S'en suivit une longue bataille d'oreillers, réveillant au passage tout le dortoir.

« T'as fait le devoir de botanique pour demain? » Gamin roula des yeux et retourna dans la lecture de son roman du moment, 'vingt mille lieues sous les mers', dont il dévorait les pages avec une gourmandise non feinte. « Alleeeeez j'te filerai quelques pièces d'or! » L'intérêt du jeune Beaumort s'éveilla en sursaut. Le sourcil droit arqué, il plissa les lèvres, invitant son compagnon à poursuivre le « marchandage ». Bientôt, il échangea ses notes parfaites contre une bourse remplie d'or, une lueur de satisfaction brillant dans la profondeur de ses orbes malicieuses.

méfaits accomplis,

ton pseudo : MEXICALI ROSE
ton prénom : Chloé
ton âge : 20 ans (bientôt 21 )
ton avis sur le forum : c'est moche
comment as-tu transplané ici ? par bazzart
ta disponibilité : 3/7
ton avatar : lucho jacob
ton personnage : inventé
le mot de passe : les gobelins sont des créatures qui puent des pieds?
une dernière volonté : j'vous baise

les crédits

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Gamin Beaumort ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serdaigle, chez les sages et réfléchis aigles ! Ce choix était une évidence car tu es Tu es intelligent et sais t'en servir pour tes propres besoins. Tu n'est comme personne, étrange à ta manière. Tout en étant secret sur ta personne.. Ainsi, te voici dans la maison bleu et argent. Tu dois savoir que la salle commune est ici et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. Tu écris trop bien gaminou, c'est horrible. J'adore ta fiche et ton style et puis Gamin est un personnage plus que parfait dans son genre unique.

Gamin, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous