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 ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›

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Ehrzeÿna N. Arkadÿevna
Ehrzeÿna N. Arkadÿevna

Serdaigle


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ICI DEPUIS : 09/07/2012

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MessageSujet: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMar 10 Juil - 23:36



Erhzeÿna Nikolaïeva Arkadÿevna

« Humble comme un agneau, diligente comme une abeille, belle comme un oiseau de paradis, fidèle comme une tourterelle. »


moi, le magicien,
prénoms : Erhzeÿna, Nikolaïeva. Si le tout premier relève de l'imagination débordante de Drusilla A., le second en revanche, n'est que le reflet des traditions russes, observant l'ascendance de la jeune demoiselle. nom : Arkadÿevna. Un patronyme hautement respecté en Russie. Il n'est cependant pas à mettre de côté que les Arkadÿev ne sont pas réputés pour être des enfants de cœur, loin de là. Certains mettraient une main à couper qu'ils sont responsables, comme tant d'autres familles influentes, de la disparition de certains membres de la société magique, mais bien rares sont ceux qui s'aventurent sur cette pente glissante. Après tout, qui sait de quoi cette famille est capable ? nature du sang: Son ascendance veut qu'elle fasse partie de la lignée des sang-bleus, des sang-purs… Pour autant, c'est avec désespoir que la famille de Drusilla Volkova dut se rendre à l'évidence qu'un de leur membre avait préféré un sang-mêlé… souillant ainsi une précieuse lignée. Et malgré les siècles passés, nul ne saurait rétablir le bon sang, malgré les mariages arrangeants.. âge : dix-huit ans date et lieu de naissance : 14 février, Arkhangelsk (Russie) nationalité : Russe année d'étude : huitième année. niveau scolaire :Excellent, la jeune femme s'avérant être studieuse. Gageons toutefois que cette année risque de s'avérer plus difficile pour elle, les sortilèges employés ici étant d'une langue bien différente de la sienne propre. parcours scolaire : C'est en toute sincérité la première année d'Erhza au sein de Poudlard. La demoiselle provient en effet de Durmstrang, où elle a fait ses études avec brio. Aujourd'hui, c'est dans le cursus des arts magiques votre baguette : L'une des premières baguettes hybrides de l'histoire des baguettes, taillée dans du bois d'ébène, le cœur de la baguette est en réalité entourée de bois de cyprès. C'est un ventricule de Leviathan qui est en centre de cette étrange composition de 28,7 centimètres. Elle serait semble t'il, prédisposée pour les maléfices.matières favorites : Maléfices et Envoûtements, ainsi que la métamorphose. matière détestée : Histoire de la magie, par le simple fait que son ancien professeur était un gobelin incapable d'être objectif. votre patronus : Un mære, créature de cauchemar et pourtant si mystérieux à l'encontre du regard. face à l'épouvantard : Une ombre bien définie. particularité magique :


le test de personnalité du choixpeau,



une potion : Le poison de Maléfice Un sortilège : Silencio une chanson : My dear Witch.un instrument de musique : le piano un bijou : un diadème une insulte : Harpie desséchée ! une phobie : Le vide une couleur : le rouge noir une créature magique : un vivet doré un sorcier célèbre : Grigori Raspoutine un objet moldu : l'ordinateur un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : piment rouge un endroit : la réserve de la bibliothèque un mot doux : Inclinaison un conte : La petite sirène

généreux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : Hiver quidditch ou lecture : Lecture patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette de réglisse argent ou amitié : ni l'un ni l'autre st-mangouste ou ministère de la magie : Sainte-Mangouste cavalier ou fou : Cavalier balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : Astronomie chat ou chien : chat



quelques gouttes de Veritaserum,



Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Orion Black… A tout vous avouer, ce nom ne me dit pas grand-chose. Bien qu’étant arrivée depuis quelques mois déjà en Angleterre, je n’ai encore guère eu le temps de m’intéresser aux diverses familles de cette contrée. Certes, mon mentor et protecteur m’a dores et déjà présentée à quelques grands de la société anglaise, néanmoins, quand bien même le patronyme me parle vaguement, je n’ai pour l’heure, aucun jugement à porter sur cette personne. De toute évidence, nul ne saurait être pire que Sir Peta Matveïev, notre tsarévitch du moment.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : La vieille dame aux étranges cheveux ? Sincèrement, les élèves ont peur d’elle ? Elle est étrange et semble prise d’une frénésie hystérique, mais très sincèrement, à côté de Joseph Karkavelov, l’intendant de Durmstrang, votre secrétaire de l’éducation est un semblant d’amusement. Certes ses décrets peuvent paraître répressifs, mais sincèrement, à côté de notre institut… ce n’est franchement pas grand chose. Mais cette vieille femme ne me plait pas. Pas plus que son pyjama rose.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Le quoi ? Oh vous parlez de cet étrange élève qui fouine dans les affaires des autres et qui chaparde ce qu’il lui plait ? Je crois qu’il m’a volé un vieux bijou de famille. Qu’il le garde, il n’a aucune valeur, si ce n’est celle du mensonge. Mais sincèrement, j’aimerai mieux qu’il ne recommence pas. De qui il s’agit après ? Je m’en moque très sincèrement.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Ce n’est pas grand-chose comparé à mon ancienne école… Mais ENFIN un peu d’action ! Je commençais à croire que Poudlard était une école ennuyeuse. Néanmoins, j’avoue demeurer un peu sceptique… mais ma curiosité me fait défaut, il me tarde d’en découvrir la véracité.


l.pleasure ©




Dernière édition par Ehrzeÿna N. Arkadÿevna le Jeu 12 Juil - 21:29, édité 9 fois
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Ehrzeÿna N. Arkadÿevna
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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMar 10 Juil - 23:36




à l'intérieur de ma pensine

ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › 793759TENTIMESC'EST UNE NOUVELLE VIE QUI S'OFFRE À TOI « Erzene Arkadÿevna ? Bonjour, ravi de faire enfin ta connaissance. Je suis Farden Boyle, l’ami de ta mère… Il me tardait de te rencontrer enfin. Ta mère t’as mise au courant de comment les choses allaient désormais se dérouler ? Je suis ton tuteur, tout du moins, dans la mesure du possible. Demain, nous nous rendrons au chemin de traverse afin d’effectuer les achats scolaire pour ta rentrée à Poudlard. Nous visiterons Londres par la même occasion… » Trop de paroles, trop d’enthousiasme, néanmoins, j’esquisse un sourire poli. Je suis lasse de mon voyage, n’aspire qu’à me retrouver en un lieu paisible, recluse et solitaire. L’homme bien portant continue de massacrer mon prénom, je ne peux manifestement lui en vouloir, je ne suis guère apte à le reformuler, laisse mes lèvres scellées et suit l’homme qui extériorise son ravissement de me voir enfin en chair et en os. C’en est même à se demander comment mère a put rencontrer un tel homme, elle si calme… voire même, à comment elle en est arrivée à me laisser entre ses mains. Quelques regards furtifs autour de moi, et je découvre une parcelle de Londres. Rien à voir avec Saint-Petersbourg ou encore même Moscou, mais cette ville semble avoir un charme certain. Un coup d’œil pour m’assurer que mes bagages suivent bien, le reste devrait arriver dans la semaine m’a t’on affirmé et confirmé. J’ignore encore si je tiens à tout avoir ici même, le simple fait de deviner ce qui va suivre me donne la nausée des instants passés, l’écho du mensonge dévoilé. Je suis ici pour continuer ma vie et en commencer par la même occasion une autre. Je ne nie pas être effrayée, et déjà, me pince les lèvres. Mr Boyle s’en rends compte, et je ne peux que le rassurer d’un nouveau sourire poli, tandis que je me compose un masque d’émerveillement devant ce que je découvre, de la surprise à d’autres instants, suffisamment de quoi le ravir pour ne pas l’inquiéter d’avantage. Je m’en voudrais de lui gâcher sa journée. Mais voilà que celui-ci reprend rapidement contenance, clame ci et là un débit de phrases dans un anglais bien trop complexe encore à mes oreilles, discoure sur le côtage qu’il possède et dans lequel sa ravissante femme et lui-même vont m’accueillir comme leur propre fille, autorisant mon esprit à émettre un doute. Et si cet homme était mon véritable paternel ? Grande Baba Yaga, quelle ironie ce serait dès lors, lui qui ne peut s’empêcher d’ouvrir la bouche quand je ne le peux. Mon regard se permet alors de détailler de temps à autre son visage. Non, nous n’avons décidément rien en commun, et c’est un réel soulagement qui se dégage de mon esprit. Je ne saurais vivre avec une telle pensée. De toute manière, croyez-le ou non, mais je ne suis pas ici pour trouver celui qui m’a engendré, je n’ai pas l’envie de connaître une nouvelle déception. Je suis une bâtarde, de qui ? C’est bien là ma dernière préoccupation. Au mieux, je ferai certainement sa connaissance sans le savoir dans l’une de ces fameuses réceptions qui vont être données durant les derniers jours de l’été. Au pire ? Je connaitrais enfin l’homme qui n’a pas eu le courage d’assumer son acte. Au fond, rien qui ne pourrait m’empêcher de bien dormir cette nuit. Pour l’heure, je me contente de suivre mon nouveau protecteur, jusqu’à utiliser la poudre de cheminette et enfin poser le regard sur l’immense bâtisse qui sera mon nouveau chez moi. Pas grand chose pour me dépayser en fin de compte. Gageons que madame ma mère n’est pas innocente dans le choix du mentor. Si j’avais pu savoir alors… combien j’avais faux sur toute la ligne.
ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › 873547erzahLE GOÛT AMER DE LA VÉRITÉ C’est avec amertume que mon regard se pose sur le bois de pin… Sur cette boîte qui contient le cadavre froid de mon paternel. Avais-je jamais cru un jour qu’il partirait si vite ? Jamais. Je m’attendais à le voir présent lorsque je fêterai mes dix-neuf ans, lorsque je déciderai de me marier… Dans un tas d’autres circonstances et évènements, Nikolaï Arkadÿev était encore en vie et veillait sur moi comme il l’avait toujours fait. À mes côtés, ma mère se fait silencieuse, quelques larmes coulent sur son visage fragilisé par la maladie mais encore serein malgré quelques complications. Je risque un regard en biais sur la personne de mon frère, calme, visage fermé, fidèle à lui-même. Pas plus que d’autres, il n’est ému par la disparition soudaine de notre père, et je ne l’en suis pas moins. Nous avons apprit bien tôt à ne pas montrer nos émotions, à dissimuler nos sentiments, de manière à ce qu’aucun ennemi ne sache jamais à quoi s’en tenir à notre encontre. L’envie de me laisser au chagrin pourtant devient pesant, lourd. Ma seule envie est de voir l’homme étendu se relever, rire promptement avant de clamer devant la majorité de ses ennemis réunis « Eh non bande de loups, je ne suis pas mort. Pour votre plus grand déplaisir j’ose espérer. » Toutefois, la boîte demeure désespérément close, rendant l’atmosphère plus austère encore. Je hais les enterrements. Le temps s’écoule, trop lentement, je n’aspire plus qu’à sortir d’ici, à me glisser dans mes draps et espérer me réveiller d’un long cauchemar. Derrière moi, chacun se lève, mon demi-frère me tend son bras, et durant un instant, je le regarde sans trop comprendre. Ce serait bien la première fois qu’il ose un geste simple et sans amertume à mon encontre. Inutile de le froisser aujourd’hui, je laisse mon être glisser contre le sien, et suit le cortège qui se forme, lissant du bout des doigts ma robe noire. Il est temps de se séparer pour toujours de la figure de notre famille, et cette simple pensée suffit à m’extirper un frisson allant jusqu’à me glacer le sang. Demitri semble déjà s’en rendre compte, à me serrer plus contre lui. D’autant plus étrange, que je pose cette attitude sur la fatalité de la journée. Je n’ai pas la tête à me triturer les pensées pour comprendre les agissements étranges de mon aîné. Une cérémonie qui s’achève enfin, après des heures qui me paraissent désespérément longues, et nous voilà enfin de nouveau au domaine… D’ordinaire, tout me semble merveilleux en cette maison, aujourd’hui pourtant, malgré mon inlassable émerveillement pour les lieux, tout le me semble fade, sans intérêt. Je n’ai pas même l’envie de m’installer au piano pour jouer une quelconque litanie, pas plus que de me mettre devant le chevalet pour libérer mes pensées. Seul un bain pour me délivrer de cette étrange saleté morbide me donne envie, seul le fait de me perdre dans les dérives de mon esprit me captive d’ores et déjà. Je veux me perdre dans la mélancolie, l’aimer à en perdre la raison. L’espace d’un instant, j’ai rêvé de cela, me suis permise de croire en une tranquillité volée aux funestes instants… Était-ce sans compter le souper d’adieu, le repas réunissant les plus proches et les plus grands partenaires de feu notre père ? Oh douloureuse affliction s’emparant d’ores et déjà de mon âme, de mon être, m’inspirant un exquis visage de poupée fragile, glissant à mes lèvres la politesse tandis que je suivais nos invités dans la grande salle à manger, me préparant d’ores et déjà aux longs discours qui suivraient et auquel mon statut tout autant que mon handicap ne me permettraient de participer. Que Raspoutine me vienne en aide. Je meurs d’ennui, impatiente de me retirer, un coup d’œil à ma tendre et fragile mère, un assentiment, et me voilà déjà levée, glissant sous une révérence digne des plus grandes, que l’éthique nous sommes de présenter aux hôtes et supérieurs, des éclats de déception, les dernières doléances, les espérances d’une future rencontre plus enjouée. J’esquisse des sourires, hoche de la tête puis esquive les derniers éclats de voix pour me diriger vers mes appartements, délaisse mes chaussures à l’entrée de la chambrée, aspire à me défaire de cette robe. Seule une ombre m’en empêche, me laissant pantoise devant la silhouette de mon aîné à l’encadrement de la porte, le regard que je ne connais pas et qui ne m’indique rien de bon me concernant. Serai-je de nouveau victime de son humeur maussade ? « Tu étais parfaite aujourd’hui Ehrza. Tu l’es toujours. » Un haussement d’épaules, tandis que déjà je lui fais dos, me dirigeant vers ma coiffeuse dans l’unique but de me débarrasser de tout mon travail d’orfèvre. Ne suis-je à peine assise que ses doigts se glissent sur mes épaules, dérivent jusqu’à la nuque pour jouer avec le fermoir de mon collier, le laisse faire pour m’occuper de ces boucles d’oreilles commençant à peser lourd à mon être. C’est pourtant un frisson qui s’étire le long de ma colonne, alors que les mains de mon frère semblent d’ores et déjà s’activer sur la fermeture arrière de ma robe, m’obligeant à tourner le visage sur ce dernier, ne cherchant pas même à dissimuler la surprise qui s’est teinte dans mon regard. Je dis tout, et n’esquisse pourtant un mot. « Je crois que j’ai rêvé de cet instant chaque nuit depuis quelques années… Ehrza… Ta perfection, ton regard, chacune de tes courbes sous mes paumes… » Mon frère m’effraie, je n’ai pourtant l’audace de le repousser, ne fait qu’esquiver, glissant déjà hors de portée de celui qui partage mon sang. « Père n’étant plus là… Je peux enfin exaucer mon souhait le plus cher. Sois mienne Ehrza, ce soir, toutes les autres nuits, chaque inst… Quoi ? Ne fais pas cette tête, je t’en prie, nous n’avons pas la moindre goutte de sang en commun, d’inceste il n’y aura pas. » Fou, cet homme est fou, désespéré, sa voix implore consentement, et pourtant, son regard se fait violent, le refus ne semble guère être autorisé. Piégée, dans cette chambre, contre ce mur, tandis que mon être se fait déjà prisonnier du sien, j’implore du regard, je ne crois pas un mot de ce qu’il me raconte, repousse ses assauts, détourne la tête quand ses lèvres se posent sur les miennes, tente d’arrêter ses mains qui déjà s’aventure sous ma robe, glisse le long d’un endroit auquel il ne saurait avoir accès. « Arrête Ehrza, je te le dis, rien ne nous empêche !! Tu ne comprends pas ??!! Ta mère t’as menti, tout autant que père, tu n’es pas sa fille, tu n’es que la bâtarde d’un de ces abrutis d’anglais. Cesse de te débattre, laisse toi aller, on est fait l’un pour l’autre et tu le sais… Tu frémis de désir, ne fais pas semblant de résiste… » Et ne peux retenir mes larmes, tandis que je subis ses révélations, tandis que déjà, son être cherche à s’insinuer dans le mien, trop proche pour le repousser plus encore. Je suis sauvée pourtant, par une voix si douce et mélodieuse à mes oreilles que je n’ai plus que le désir de lui dédier un autel. Le devoir appelle l’étranger dans ma chambre, et c’est avec exaspération qu’il quitte les lieux, me laissant éplorée. J’ai tout perdu, bien plus que je ne pourrais l’espérer. Je me sens sale, et plus effrayée que jamais. Comment pouvais-je dès lors savoir que mon plus grand ennemi, ma plus grande peur, s’avérait être en réalité mon frère ?
ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › 426745durmUNE BELLE OPPORTUNITÉ DÉPRÉCIÉE Contrairement aux autres étudiants de l’institut, jamais je n’ai jamais considéré Durmstrang comme une seconde maison, bien loin de là. Il règne en cet endroit une ambiance des plus austères, un sentiment de puissance oppressant… L’étudiant y est catalogué dès les premiers pas franchis sur les dalles de l’école. Êtes-vous enfants de moldus ou sang-mêlé que vous vous retrouverez automatiquement dans la classe des serviteurs. Au mieux pourront-ils être grand intendant ou valet. Née-femme, votre place se retrouve automatiquement chez les dames, pour peu que la nature de votre sang convienne au rang qu’il est convenu. Messieurs, nobles, vous serez automatiquement envoyés chez les maitres. Il arrive toutefois que le miroir d’Heimdall fasse un choix qui vous déplaise, mais ce n’est là que pour votre bien, il vous en assure. Dès lors, dès votre rang trouvé, vous voilà cataloguée jusqu’à la fin de votre vie, au mieux, de votre scolarité. Je n’avais nulle appréhension en pénétrant dans la salle de la répartition, mon rang, mon sang mêlé bien des siècles auparavant, ne présentait aucun risque que je sois envoyée ailleurs que chez les Dames. Là se trouvait ma place, comme tant d’autres jeune filles de mon âge et de ma condition. Rien n’aurait put troubler cette destinée. Tout du moins, je le pensais réellement, car ne fus-je devant le miroir que ce dernier se brouilla en deux parcelles de blason, celui-là même qui m’était destiné, et bien pire encore. Je ne pouvais tomber mal après tout, et ne pouvait déjà qu’entrevoir le destin funeste qui m’était réservé : risée du beau monde, risée de ma famille… Car au côté de la Dame, se voulait le Maitre, un rang qui ne m’était guère accessible de par mon sexe. Le miroir perdait-il la raison ? Je sens le glas qui sonne, la respiration qui se coupe. Karkaroff lui-même n’ose entrevoir la réponse. L’on s’agite et m’emmène loin du miroir maudit. Mon sort en est jeté, je ne peux protester, mon handicap ne me le permet guère de toute manière. S’en suit la directrice des Dames, des Maitres, me voilà enfermée avec le corps professoral dans la salle que je n’avais pas même remarquée. « C’est inconcevable ! Une élève ne peut appartenir à deux institutions ! Pis encore ! Une femme ne PEUT se rendre chez les maitres ! C’est hors de question ! La réputation de l’école est en jeu ! » Pire que tout, c’était se mettre chacun à dos, mon handicap était déjà sujet à controverse dans les rangs, n’avais-je pas déjà eu à faire aux moqueurs malgré le nom de ma famille ? « Calmez-vous Igor, le miroir en a décidé ainsi… » Un silence, alors que le directeur des Maîtres se décide enfin à prendre la parole, allant presque jusqu’à prendre mon parti me semble t’il… « Oubliez-vous tous deux qu’il y à déjà eu des antécédents ? Trois me semble t’il au cours des huit derniers siècles. Cela n’est pas une tare après tout… Mais votre scolarité, jeune fille, sera bousculée à chaque année, par des matières qui vous seront ajoutées. De surcroit, votre mutisme oblige à des cours particuliers. Il vous incombe le choix pourtant… Soit vous rejoignez les dames et votre emploi du temps sera le même que les étudiantes qui s’y trouve… Ou rejoignez les Maîtres et les cours de ces dames seront ajoutés à vos occupations scolaires. » On me laissait le choix. La facilité, ou prouver ma détermination à me faire une place dans l’école. La bienséance contre la risée. « Comprenez de même que vous êtes unique en votre genre, c’est un privilège et non pas une tare. » J’acquiesçais enfin à ce qu’il m’était dit, faisant part de ma réponse, que l’on ne tarderait plus à annoncer officiellement. De l’estrade, je pouvais voir le regard furieux de mon aîné, et ne put que deviner ses pensées : j’allais lui faire honte tant qu’il ne comprendrait pas. Se posa bien des problèmes finalement, malgré mon statut unique, malgré l’annonce officielle de la réelle signification de la répartition qui avait eu lieu. Une femme dans les rangs d’homme ? Où allais-je dormir, dans les dortoirs des maitres ou dans celui des dames ? Comment allais-je suivre tous les cours ? Comment mettre en place les diverses coutumes qui incombaient les maitres et les dames ? Quel uniforme allais-je devoir porter ? Il fut finalement décidé que de par mon sexe, je dormirais chez les dames, mangerai avec les hommes, porterait une robe de Dame plus courte et aux couleurs des maîtres… Et j’eus le plaisir de faire connaissance avec le retourneur de temps, tout cela sous la surveillance d’une intendante de l’école. Baba yaga ait pitié de moi ! J’avais la moitié de l’école à dos, les dames me méprisaient, les maitres m’ignoraient, n’avais-je pour soutient que le corps professoral, m’instruisant de sorte que je ne perde jamais le nord. Il me fallut m’imposer, me montrer plus rusée que les demoiselles, plus ardente que les messieurs… Meilleure qu’eux tous, sans jamais atteindre cette perfection que je désirais atteindre. Assistais aux cours de bienséance des Dames, aux combats des messieurs. Devenir folle de rage, pleurer d’amertume, apprendre à tout dissimuler, demeurer fière, tête haute, jusqu’à finalement obtenir le respect de chacun grâce à la maturité, en faisant mes preuves, en dédaignant les principes, en en adoptant d’autres, en me glissant dans la peau d’un immuable serpent avide de survie. J’étais, je suis, je serai.
ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › 535683lovemetenderONCE UPON A TIME Durant un instant, infime, aussi léger que la caresse d’un papillon, Drusilla se perdit dans la contemplation de l’enfant qu’elle avait mise au monde trois ans plus tôt. D’elle, elle tenait particulièrement, son portrait craché de lorsqu’elle était elle-même enfant… Et pourtant, elle pouvait retrouver sans peine les quelques traits encore légers de l’homme qui en était le père. Le géniteur tout du moins, car il s’avérait indubitable que Sir Nikolaï Arkadÿev était sans conteste le père idéal pour la jeune demoiselle à la voix absente, allant jusqu’à la gâter un peu trop. Une nostalgie gagnée, aux souvenirs des instants capricieux volés aux destins des deux anciens amants. Tant d’hommes sur terre, et il avait fallut qu’elle jette son dévolu sur le seul homme qui ne lui était nullement accessible, et ne le serait jamais. Anglais, marié et déjà père de deux enfants. L’amour n’a pas de maitre, n’a pas de limites dit-on… Mais l’avait-elle seulement aimé ? Elle commençait sincèrement à en douter. Une histoire charnelle rien de plus, avec une conséquence qui aurait put être néfaste si elle-même ne s’était pas retrouvée imbriquée dans une histoire de mariage arrangé, malgré le statut de son sang lointainement souillé. Elle avait eu de la chance, à n’en pas douter, et l’histoire aurait put mal tourner si tout n’avait pas eu lieu dans un ordre parfait. Rosier était reparti chez lui, sans savoir qu’il avait mit enceinte sa maitresse de l’instant, elle, s’était mariée rapidement avec l’héritier Arkadÿev… la grossesse était tombée à pic en fin de compte. Une vérité qu’elle continuait de cacher encore maintenant. Nikolaï n’avait pas besoin de connaître ce détail. Elle lui avait donné une héritière, pas une fils, il en avait déjà un. Il ne demandait qu’une seconde épouse, rien de plus. Les choses avaient fait que l’histoire actuelle se déroulait merveilleusement bien… Ils étaient heureux semblait-il, elle ne faisait rien pour gâcher ce sentiment. Vint esquisser un sourire dès lors que sa fille lui apporta une fleur cueillie au gré du hasard, désertant bien vite les bras maternels pour rejoindre le père, brisant l’instant mère-fille. Assurément non, à le voir si heureux avec cette enfant, Drusilla ne pouvait décemment pas révéler la vérité sur la conception de l’enfant. Seul le bonheur de sa fille importait, mais plus le temps passait, plus elle commençait à aimer son mari. Rosier n’était plus rien, et pour le mieux, jamais ne viendrait chercher sa fille, malgré la connaissance de son existence…







méfaits accomplis,

ton pseudo : L.Pleasure
ton prénom : tipheuuuh
ton âge : toujours le même :p
ton avis sur le forum : Je l'aime tellement pas… BOUARK
comment as-tu transplané ici ? Un gobelin m'en a indiqué le chemin.
ta disponibilité : quand je le peux :p
ton avatar : Rosie Huntington-Whiteley
ton personnage : inventé
le mot de passe : validé par Laeti
une dernière volonté : oui, que Poudlard me revienne :D


l.pleasure ©




Dernière édition par Ehrzeÿna N. Arkadÿevna le Jeu 12 Juil - 21:27, édité 20 fois
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Remus J. Lupin
Remus J. Lupin

Préfets


PRENOM/PSEUDO : LAETITIA AKA .DAUNTLESS
CREDITS : MOGO & .DAUNTLESS
PARCHEMINS : 1416
ÂGE : 32
LOCALISATION : REGARDE LA CARTE DU MARAUDEUR ET TU AURAS TA RÉPONSE.
ICI DEPUIS : 21/05/2012

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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMar 10 Juil - 23:38

Ma Ehrza potté eyes coquin 1
Re-bienvenue Tiphe et bonne chance pour ta fiche chou
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Invité




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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMer 11 Juil - 8:01

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you
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Béatrice Riordan
Béatrice Riordan

Serdaigle


PRENOM/PSEUDO : blue bird.
CREDITS : foolish pleasure (avatar).
PARCHEMINS : 72
LOCALISATION : là où demeure les songes aux alentours d'un chemin silencieux et solitaire.
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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMer 11 Juil - 9:00

Re Bienvenue I love you
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Ludovic Verpey
Ludovic Verpey

Poufsouffle


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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMer 11 Juil - 21:26

Re Bienvenue heart 2
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Evan Rosier
Evan Rosier

Serpentard


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PARCHEMINS : 337
LOCALISATION : Près de toi
ICI DEPUIS : 29/05/2012

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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyMer 11 Juil - 22:08

Ma soeurrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr encore bienvenue et bonne chance pour ta fiche que j'adore déjà trop au passage vive les rosiers (même batardes) potté eyes
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Remus J. Lupin
Remus J. Lupin

Préfets


PRENOM/PSEUDO : LAETITIA AKA .DAUNTLESS
CREDITS : MOGO & .DAUNTLESS
PARCHEMINS : 1416
ÂGE : 32
LOCALISATION : REGARDE LA CARTE DU MARAUDEUR ET TU AURAS TA RÉPONSE.
ICI DEPUIS : 21/05/2012

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MessageSujet: Re: ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… ›   ERHZEŸNA ❅ ‹ Le poison virulent sinuant aux tréfonds de tes veines… › EmptyJeu 12 Juil - 21:41



Serdaigle !



le Choixpeau t'as recensé,
Félicitations Ehrzeÿna ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serdaigle, chez les ambitieux et travailleurs corbeaux ! Ce choix était une évidence car tu es une élève très douée, calme et discrète. Ainsi, te voici dans la maison bleue et argent. Tu dois savoir que la salle commune est ici et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. Une fiche vraiment splendide potté eyes Je ne vais pas développer puisque je t'ai déjà dit tout le bien que j'en pensais mais... wow quoi dead Je suis amoureuse de ta plume potté eyes

Ehrzeÿna, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous heart 2



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