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Evan Rosier
Evan Rosier

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MessageSujet: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyVen 6 Juil - 13:42


La nuit était tombée depuis bien longtemps et pourtant tu ne te trouvais pas dans ta salle commune, cela n’avait rien d’exceptionnel, ce n’était pas la première fois et ça ne serait sans doute pas la dernière ou tu t’en allais en douce de ta chambre pour partir à la découverte de l’école. Au fond, tu la connaissais déjà par cœur, si tu faisais un tel voyage, c’était simplement pour le gout d’interdit que cela pouvait bien t’apporter et puis le calme qui en résultait. Oh oui, rien n’était plus apaisant pour toi qu’une pièce vide de monde. Oui, même l’endroit endormit qu’était ta chambre était trop bruyant pour ta petite personne, tu n’arrivais pas y rester très longtemps, surtout entouré d’autant d’ennemis. Oui, tu n’as jamais été du genre très apprécié et rien ne pourra changer cela, c’est ton destin. Maintenant ou plus tard, on te verra toujours comme ce garçon bizarre que personne ne comprendra jamais. Ton image était collée à ta peau et jamais tu ne pourrais t’en défaire, tu pourrais essayer mais rien ne fonctionnera jamais. Quittant cette chambre, tu t’engageas vers l’extérieur de ta salle commune tandis qu’un frisson te parcourait l’échine. L’interdit n’était pour toi que du bon, un plaisir sans aucune conséquence dans lequel tu te jetais dès que l’envie t’en prenait. Tu n’avais pas peur de te faire chopper où de souffrir des heures avec la Dolhov. Tu n’en avais que faire, rien ne valait ta liberté, c’était la seule et unique chose qui te serait toujours tienne. Tu y tenais comme à la prunelle de tes yeux. Avançant doucement vers ton lieu de prédilection, tu entendis quelques personnes parler. Moue mécontente sur le visage, tu comprenais que jamais tu ne pourrais t’y rendre. Oui, une personne avait honteusement décidé de te voler ton intimité. Au fond, tu pouvais très bien monter jusque-là, te montrer et les faire dégarnir. Le souci serait que tu prendrais alors toute chance de passer une bonne soirée. Aucun doute qu’une telle chose, bien que plaisante, changerait tous tes plans et n’était donc nullement à l’ordre du jour. Tu te cherchais donc, un autre endroit où tu pourrais gambader librement et penser sans avoir une horde de vautour à tes côtés. Tes pas t’avaient dirigé vers la tour d’astronomie. La raison ? Il n’y en avait pas vraiment, tu n’avais jamais été l’homme qui regardait les étoiles. Tu n’y voyais nullement l’avenir. Pour toi,, c’était des conneries, personnes ne pouvait posséder ce pouvoir, tu en étais persuadé et rien ne pourrait te faire changer d’avis. Toutefois, à défaut de ton agréable lieu habituel, tu pensais avoir la tranquillité. Même cela ne t’était pas acquis, t’approchant un peu plus, tu vis, couchée, regardant le ciel, une demoiselle que tu connaissais assez. Presque immédiatement une douleur se fit sentir en dessous de ton pantalon. Oui, ton corps se souvenait encore comment elle t’avait planté un très mauvais coup à un endroit pourtant très précieux de ton anatomie. Elle ne t’avait toujours pas vu et cela était ta plus grande échappatoire, ton meilleur moyen de lui faire mal. Oui, tu la sentais effrayée à ton égard et cela suffirait à rendre la situation plus qu’agréable pour toi. Finalement, tu ne serais peut-être pas seul mais au moins la compagnie ne serait pas totalement désagréable. Avançant sur la pointe des pieds, tu t’étais approché d’elle jusqu’à arriver juste au-dessus de sa petite tête. « Est-ce que je t’ai manqué Blossom ? » Sourire sadique sur tes traits, tu étais prêt à lui faire comprendre qu’on ne t’embêtait pas sans en payer le prix. Qui plus est, elle connaissait l’un de tes petits secrets et tu devais l’effrayer jusqu’à ce qu’elle soit incapable d’en parler à quiconque. Oui, c’était ton plan et tu allais l’exécuter, ici et maintenant à l’abri du monde. Personne ne viendrait la sauver et cela te réjouissais d’avance.
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P. Blossom Magee
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptySam 7 Juil - 16:55

Que peut-on faire, lorsque notre marionnette commence à s’agiter sans l’aide de nos propres doigts ? Rien, visiblement. Produit défectueux, on la jette vulgairement aux ordures, et on en dégotte une autre. Se séparer de Marvel ne serait vraisemblablement pas compliqué. Néanmoins, la remplacer devrait prendre plus de temps. Il faut trouver une autre fille. Rousse, ce serait bien. Une fille capable de se taire, et de passer à l’acte. A la différence de Marvel, il en faudrait une sans scrupule. La difficulté, ce serait de trouver cette fille en question. Ce nouvel objet. Dieu sait que les filles acceptant de faire ce genre de choses avec d’autres filles ne sont pas nombreuses à Poudlard. Hélas.
Agacée. Contrariée. Blossom file. Elle se retrouve dans la tour d’astronomie. La raison ? L’envie de fumer. Peut-être la seule chose foutue de la remettre en place, lorsqu’elle est sur les nerfs. Et puis, l’envie de prendre l’air. Blossom étouffe, à l’intérieur. Vraiment.

L’air frais la fait frissonner un instant. Le calme et le silence règnent. Parfait. Allongée sur le sol froid, mine de rien, elle se calme. Elle regarde le ciel. Comment peut-on faire un cours en regardant le ciel ? Vraiment. Une matière foutrement stupide et inutile. Comme toutes les autres ici, remarquez. Et puis, on lui gâche la vue. Un visage s’immisce dans son champ de vision. Sourcil froncés, Blossom reconnait finalement l’intrus. L’odieux intrus. Evan Rosier. Oh que non. Il ne lui a pas manqué. Jamais. Comment un personnage de la sorte peut-il manquer à quelqu’un ? Il est vrai que Blossom n’est pas des plus raisonnées et peut paraître facilement « détraquée » mais tout de même. Evan adopte un sourire. Ce sourire vicieux, ou sadique, propre à lui-même. Un sourire écœurant, finalement, tout comme son propriétaire. Exactement comme les idées qu’il doit avoir derrière la tête aussi. Blossom crache la fumée de sa sèche effrontément, prend le temps d’examiner ses traits. Le fait qu’elle soit allongée et lui debout lui donne un air imposant. Malgré la haine ou la crainte qu’il peut lui inspirer, il n’en reste pas moins un personnage intéressant. L’un des rares à susciter l’intérêt de Blossom, en tout cas. Il est vrai que dans un premier temps, la jeune femme a osé croire qu’ils étaient similaires, tous les deux. Elle avait tort. Bien évidemment. S’ils semblent tous les deux penser et agir différemment que la normale , ils ne fonctionnent encore pas de la même manière. C’est pour ça, qu’elle s’est intéressée à lui. Au départ. Non pas pour l’homme (si on peut le qualifier d’homme) mais pour son mécanisme. « Va te faire foutre, Rosier. » Ton calme, détaché. « Non, vraiment, casse-toi. » Cette fois-si, le ton est plus froid. Plus autoritaire. Il ne faut pas croire. Blossom sait pertinemment que c’est peine perdue : Evan ne partira pas, encore moins sous sa demande. S’il est venu ici et lui adresse la parole, ce n’est sans doute pas pour rien. Un projet, une idée derrière le crâne. Sans doute rien qui vaille pour Blossom. Depuis leur dernier face-à-face, Blossom met un point d’honneur à l’éviter. La dernière fois, il s’en est pris à elle. Elle s’est défendue. Comme elle a pu. Et n’a absolument aucune envie de renouveler l’expérience. Voyez, avant Evan, une seule personne avait levé la main sur elle. L’un de ses beaux-pères. Il n’a pas duré longtemps, celui-ci, puisqu’étonnamment, sa mère s’est finalement comportée comme une « bonne » mère ce jour-là et l’a viré illico. En tout cas, Blossom reste mal à l’aise, lorsqu’elle se retrouve avec lui. D’autant plus cette nuit, puisqu’ils sont seuls. C’est sans doute pour ça qu’elle reste sur ses gardes et ne quitte pas le serpentard des yeux. Anticiper ses réactions est sans doute impossible. Il est trop imprévisible. Une raison supplémentaire pour le craindre. S’en méfier reste sans doute la seule chose qu’elle puisse faire. Plus que quelques petites minutes à tenir, de toute façon. Une fois sa clope entièrement consumée, elle partira. Fuira. D’ailleurs, elle prend de l’avance et se lève. Voyez, le peu de temps qu’il lui reste à passer avec Evan, elle préfère d’autant plus être debout plutôt qu’à terre. A croire qu’elle se sentirait plus en sécurité comme ceci.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyLun 9 Juil - 7:45


Si l’on t’avait dit lorsque tu monterais ces marches que tu te trouverais face à elle, tu ne l’aurais jamais cru. Non, tu venais ici pour avoir le silence et c’est d’ailleurs ce que tu espérais recevoir. Malheureusement, on ne désirait nullement te donner ce dont tu avais envie. Pire, on était même en train d’en faire exactement l’inverse à ce moment précis. Oui, tandis que tu désirais simplement passer quelques heures seuls dans cette tour d’astronomie, tu n’étais nullement seul. Pire, on avait placé sur ta route l’une des pires personnes qui pouvait existé. On avait décidé de te rendre totalement fou en t’amenant dans la même pièce que cette pauvre Blossom. Tu avais entendu son nom une ou deux fois mais ce qui te marquait le plus chez elle c’était la manière dont elle t’avait traitée. Ton corps se souvenait encore du coup qu’elle avait osé te donner. Oui, tu avais toujours prétexté que tu te vengerais un jour et ce jour semblait arriver. En effet, tu l’avais, seule devant toi, sans défense. La pauvre demoiselle fumait, à même le sol tandis que toi, tu étais debout, imposant, tu dominais la situation et aucun doute que cela te plaisait. Puissant, tout ce que tu appréciais surtout quand quelqu’un t’avait traité de la sorte. La pauvre demoiselle n’avait aucune idée de ce qui était en train de se passer. AI lieu de passer quelques heures à penser à ta détestable personne, tu allais te concentrer sur elle et cela ne serait nullement bon pour la pauvre demoiselle qui en souffrait certainement. Tu allais faire d’elle ton jouet du moment parce qu’elle avait osé commettre l’irréparable et cela elle le comprendrait directement. Oui, elle ne t’avait pas encore vu mais tu ne lui laissais en aucun cas le temps de t’apercevoir. Tu te mis à parler comme si tu avais tous les droits comme si sa présence dans cette pièce te donnait l’autorisation de faire tout ce que tu désirais. Pour bien l’emmerder, tu t’étais mis jusqu’au-dessus d’elle afin de l’empêcher de voir les étoiles. « Va te faire foutre, Rosier. » Cela te fit sourire de cette manière totalement détachée et machiavélique qui te caractérisait totalement. Oui, tu lui montrais que ses mots n’avaient aucune influence sur toi et que tu n’en avais que faire. Tu n’étais même pas choqué de l’entendre parler de la sorte, d’une certaine manière tu y étais même préparé. Les gens n’étaient jamais des anges avec toi et surtout pas la donzelle. Elle était un serpent mais tu saurais comme la traiter pour qu’elle ne te fasse aucun mal. Oui, de vous deux, ça ne serait pas toi le perdant aujourd’hui. Tu gagnerais, tu en étais certain. La regardant droit dans les yeux, tu te mis à parler. « Certainement mais simplement avec toi chérie. » Tu te moquais d’elle et cela était si bon, tu rigolais, de ce que tu étais en train de faire. Elle te détestait mais tu allais lui prouver que de vous deux, tu serais le plus intelligent. Non, plus jamais elle ne t’aurait. « Non, vraiment, casse-toi. » Tu tournas ta tête à gauche et à droit, plusieurs fois de suite afin de lui faire comprendre que tu ne dirais nullement oui à sa requête. Elle pouvait faire ce qu’elle désirait jamais au grand jamais tu ne la laisserais partir. Elle était ton amusement de la soirée et cela valait tout l’or du monde. Pourtant, la demoiselle, y mettait du sien, son ton, son attitude, tout cela aurait dû te faire partir mais cela n’aurait pas été drôle et elle le savait bien. Tu pouvais le lire dans son tendre regard. « Te laisser ? Cela ne fait définitivement pas partie de mon plan. » Tu continuais de la regarder tout en te demandant quelle serait sa prochaine réaction. Oui, tu avais très envie de la voir. Tout à coup, tu la vit se lever et tu n’appréciais nullement cela. Oui, tu détestais l’avoir à ton hauteur, simplement parce que tu avais peur de la perdre. Non, elle ne pouvait pas s’en aller maintenant, c’était bien trop tôt, tu ne le permettrais pas et elle allait très vite le comprendre. D’un geste vif, tu attrapas délicatement sa cigarette et la laissas s’écraser au sol avant de l’éteindre avec ta chaussure. « Tu veux déjà me quitter Blossom ? Que c’est dommage, j’ai bien envie que tu restes. » Sans qu’elle n’ait le temps de bouger, tu lui prends un poignet et puis l’autre tout en la faisant reculer jusqu’au mur le plus proche. Tu la lâchas enfin même si ton cœur faisait barrage à toute sortie. Elle était ta prisonnière. Délicatement tu fis descendre sa robe de sorcière qui tomba calmement sur le sol. Tu t’approchas ensuite de sa délicate oreille. « Je crois que l’on peut s’amuser un peu. Tu ne crois pas ? » Tu lui souriais tandis que ton visage se trouvait extrêmement proche du sien. L’affaiblir avant de lui rendre la monnaie de sa pièce, tout simplement toi. Pour l’amener à être plus encline l’une de tes mains se posa doucement sur sa jambe droite. Tu étais tout sourire, égale à toi-même.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyMer 11 Juil - 20:55

Le même foutu sourire en réponse. Bien entendu, il n’en a strictement rien à faire. Blossom ne peut pas lui en vouloir, après tout, elle-même peine à s’intéresser à quelque chose dans ce monde-là. Hors, elle est parvenue à s’intéresser à lui. Ce qui est d’autant plus agaçant. Contrainte de laisser tomber, de passer à autre chose. De laisser couler entre ses doigts l’une des rares personnes intrigantes de Poudlard. Peu importe. Elle n’étudiera pas son cas. Elle ne s’y risquera pas. Comprenez-là : Si Blossom est ici, ce n’est pas pour vivre ça. Pas pour souffrir d’une quelconque façon. L’inverse, oui. Les souffrances sont dans la réalité. Pas dans sa bulle. Pas dans ce monde-là. Evan confirme ce que Blossom sait déjà : il ne compte pas la laisser. Bien entendu. Et puis, elle parvient même à le comprendre. Il veut quelque chose. Une vengeance. Un châtiment. Punir Blossom pour son acte, la dernière fois. Elle agirait de la même façon que lui, si elle serait en position de force. Hors, là, elle ne l’est clairement pas. Evan tire les ficèles. Pour une fois, Blossom est dans le rôle de la pauvre conne, servant de marionnette. Drôle de situation.
Quand bien même, elle se lève. Mauvais pressentiment. Connerie comme ça. Promptement, beaucoup trop promptement même, sa sèche se retrouve à terre, écrasée sous la chaussure d’Evan. Il ose. C’est stupide, profondément stupide, mais ses cigarettes sont sans doute l’une des choses les plus précieuses à ses yeux. Non pas qu’elle en prenne particulièrement soin – ce serait plutôt l’inverse- mais lui prendre une cigarette et l’écraser est l’une des meilleures façons pour l’énerver. D’ailleurs, des jurons sortent déjà de ses lèvres vermeilles. Evan ouvre la bouche, encore une fois. Trop de paroles. Il dit encore une fois ce qu’elle sait déjà. Voyez, Blossom n’a ni le temps de répliquer, ni le temps de faire un geste de plus, qu’il fond sur elle et lui attrape les deux poignets. Ferme. Brutal. Il n’est en aucun cas délicat. Ce n’est pas étonnant, après tout ; il n’a aucun intérêt à être doux. Il sert ses poignets. Il fait bien. Blossom n’a aucune chance de s’en défaire. Et pourtant, elle bouge. Se débat. Elle aimerait pouvoir le frapper, de toutes ses forces. Et elle crache des mots. Uniquement des jurons. Elle en hurlerait presque. Non pas pour que quelqu’un l’entende. Mais pour faire ressortir la haine qu’elle peut ressentir, à ce moment précis. Etre impuissante et ne rien contrôler. Elle a horreur de ça. Néanmoins, elle arrête de se débattre. Plutôt rapidement en fait. C’est peine perdue : ça ne suffit pas à calmer ses nerfs, alors à quoi bon s’entêter ? Ça en devient douloureux, ses poignets, aussi. Il la relâche. Ah, oui. Elle est contre le mur. Elle a bien senti ses épaules s’écraser contre la paroi. Encore une fois, aucune chance de fuir. Ne serait-ce qu’essayer, ce serait une action profondément stupide. La robe de sorcier glisse le long de son corps. Lentement. Blossom en frissonne. Il murmure quelque chose, à son oreille. Ils peuvent s’amuser un peu. C’est ce qu’il prétend. Sa main se pose même sur sa jambe à elle. Faible, et sans doute folle. Disons que c’est ce que Blossom doit être. Leur dernière rencontre n’a pas été suffisante. Visiblement. A en croire les réactions de son propre corps, elle serait apte à s’amuser. Avec lui. Et elle en crèverait d’envie aussi. Pour aimer coucher avec un être qu’on n’apprécie absolument pas, il faut certainement être tordu. Malsain. Masochisme. Elle doit sans doute l’être. Dans tous les cas, Blossom préfère jeter la faute sur Marvel. Oui, c’est elle est dans cet état, c’est de sa faute, à elle. Pour l’avoir lâché, en pleine action. C’est tellement plus facile d’accuser autrui.
Et puis, hors de question d’être la simple conne qui se laisse faire. D’être l’impuissante. Ses mains se posent alors sur lui, font tomber sa robe de sorcier. Elles glissent sous sa chemise, enlevant tous boutons se trouvant sur leur passage et découvrent pour la seconde fois son torse. Son visage à elle n’a pas bougé d’un millimètre, toujours aussi proche du sien. Un certain sourire se dessine peu à peu. Pas un sourire empli de joie. Il n’exprime pas non plus une quelconque satisfaction. Un sourire amusé. Mauvais. Le genre de sourire qu’elle ne s’autorise pas à adopter, ici, à Poudlard. Il lui rappelle trop la réalité, vous comprenez. Dans sa réalité à elle, les rares fois où elle s’autorise à sourire, ce sont ses traits-là qui apparaissent sur son visage. Rien de bon, en général. Evan est une aberration, ici. Il n’a pas sa place. Pas dans ce monde-là. Il est bien trop fourbe, dangereux et sombre. Il lui rappelle Londres. La vraie vie. Il n’est pas bon. La distinction entre la réalité, à Londres, et « l’autre monde » à Poudlard devient trop faible, à cause de lui. Il pousse Blossom à réagir comme elle le ferait, à Londres. Mais, c’est trop tard, n’est-ce pas ? Blossom est déjà foutue, plaquée contre ce mur. Quitte à danser avec un démon, autant le faire jusqu’au bout. Ainsi, ses lèvres s’écrasent sur celles d’Evan. Brutalement. S’il n’a mis aucune délicatesse lorsqu’il l’a plaquée contre ce mur, elle n’en met aucune non plus pour ce baiser. Et la haine, mais aussi l’avidité qu’elle peut éprouver se font ressentir. Ses mains, qui étaient alors sur son torse, montent peu à peu, passent de ses épaules à sa nuque. Elles agrippent ses cheveux aussi, parfois. Son corps se détache un peu du mur pour être plus proche, si cela est possible, d’Evan. Entreprenante, ses doigts glissent finalement, effleurent la peau du Serpentard le long de son torse. Lentement. Lascivement. Jusqu’à trouver obstacle. Pantalon. Les hommes ne sont pas compliqués. La plupart ont les mêmes besoins, les mêmes envies. Le bout des doigts de Blossom passent cette frontière. Mais ne vont pas plus loin. Parce que coucher avec lui, encore une fois, reviendrait à lui donner ce qu’il veut. A lui faire plaisir. Hors de question. Etre la simple conne qui se laisse faire sans broncher ? Non. Une humiliation qu’elle refuse. Même si coucher avec lui, là, maintenant, elle en crèverait d’envie. Peu importe. Son talon s’écrase sur le pied d’Evan. Rapidement. Et son genou, lui, il s’écrase dans l’entre-jambe du Serpentard. Pour la seconde fois. Coup plus fort, plus sec que la dernière fois. Avec un peu de chance, il ne s’y attendait pas. Mais, vous voyez, Blossom n’a aucune confiance en lui. Et elle reste persuadée qu’il n’était pas là simplement pour « tirer un coup ». Elle profite de l’instant, forcément, pour repousser Evan. Dieu merci, il n’a pas songé une seule fois à verouiller la porte. Alor, Blossom, elle taille. Elle laisse sa robe de sorcier –comprenez que ce serait risqué de perdre du temps avec ça- et trace, vite, la trouille au ventre qu’il ne parvienne à la rattraper. Elle quitte la tour, traverse les premiers couloirs, sans franchement réfléchir à l’endroit où elle va.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyJeu 12 Juil - 16:20


Jouer avec elle, voilà tout ce que tu désirais faire. Oui, en faire ton jouet et te venger de l’horrible chose qu’elle avait bien pu te faire. Oui, ton corps se souvenait encore de la douleur que tu avais ressentît tandis qu’elle avait tapé sur une certaine partie de ton anatomie. Débout devant elle, tu lui faisais comprendre que tu ne la laisserais partir pour rien au monde et cela ne changerait pas. Ta marionnette avait décidé de se lever et tu n’aimais nullement cela. Non, tu la préférais assise, en position de faiblesse. Là au moins, tu étais sûre qu’elle n’allait pas filer. Maintenant, tu n’en savais rien et cela ne te plaisait pas vraiment. Alors, tu t’étais précipité sur elle pour t’assurer qu’elle ne tente pas un acte de la sorte. Oui, tu ne voulais pas perdre ton jouet surtout qu’il venait seulement d’apparaitre. Oui, tu étais ainsi, le mal incarné et à ce moment si, tu étais également rempli d’une certaine vengeance. Cette dernière te brulait les lèvres et tu n’allais pas laisser les choses se dérouler autrement que ce que tu espérais. Serrant ses poignets, tu ne lui laissais aucune chance de s’en sortir. Tu avais envie de lire un peu de peur dans ses yeux, de la voir se débattre, d’avoir un challenge et tu savais qu’avec elle, cela serait certainement le cas. La demoiselle était en train de se débattre, elle te criait dessus et toi tu souriais, machiavélique à souhait. Oh oui, tu aimais ce qu’elle te faisait ressentir. A cet instant et sans qu’elle n’en soit consciente elle renforçait ton envie de jouer avec ce si beau présent. Puis, peu à peu, elle comprend qu’elle n’aura aucune chance et elle se laisse faire. Oh, tu aurais aimé plus de résistance mais l’amusement cela quand même là. Pour la remercier de sa gentillesse, tu la plaquais contre le mur le plus proche. Pas de délicatesse mais pas non plus de grand mal. Ce n’était pas ce que tu désirais. La blesser ne servirait qu’à abimer ton jouet, rien de très sympathique. Etant sûr de pouvoir la garder sous ton contrôle, tu lui lâchas les poignets tout en ne pouvant t’empêcher de la regarder. Oui, une part de toi avait très envie de jouer avec cette charmante demoiselle et tu n’allais pas attendre trop longtemps. Tout en la regardant, tu te laissais aller à quelques gestes amicaux. De tes délicates mains, tu laissais sa robe de sorcier tomber sur le sol, de façon lascive afin de laisser la demoiselle éprouver un flot de sensations. Tes mots, tes gestes, tout était fait pour lui faire comprendre que votre amusement pouvait prendre une jolie tournure. Ton dernier geste fut de placé l’une de tes mains sur sa jambe. C’était une invitation pour aller plus loin, pour rendre cette salle beaucoup plus animée même au plus profond de la nuit. Au lieu de mots, tu eus droit à des gestes équivoques. Ta robe de sorcier rejoint bien vite la sienne sur le sol sans que cela ne te gènes. Pour lui montrer que tu appréciais ce geste, tu caressais doucement sa jambe tout en laissant un sourire séducteur prendre place sur tes traits. Les mots n’existaient plus, il n’y avait que les caresses qu’elle te donnait. Ses mains sous ta chemise te faisaient légèrement frissonner tandis qu’elle déboutonnait cette dernière au même moment. Tu la laissais faire, observant de quoi elle était capable avant de répliquer à ton tour. Tu la vis sourire avant de plonger sur toi. Son baiser n’était pas de ceux que l’on trouvait mignon mais cela ne t’importait pas. Tu n’étais pas douceur mais force et pouvoir. La brutalité de son action te plaisait, ne faisait que renforcer ton envie de continuer ce petit jeu. Pour lui montrer le plaisir que te procurais cet échangé, tu l’attiras plus près de toi et continuais se baiser tandis que ces mains étaient maintenant sur ta chevelure. Tu ne voulais pas rompre ce contact, tu en appréciais chacun de ses instants car c’était pur, de la sauvagerie et cela te rendait vivant. Son corps se rapprochait du tien et comme par automatisme, tu la rapprochais encore davantage de toi en attrapant sauvagement sa taille. Oui, tu ne voulais plus d’espace entrevous. Ton corps frémis tandis que tu sentais ses mains délicates tout contre ta peau, descendre lentement jusqu’à ton pantalon. Qu’allait-elle faire ? Cela était une question à laquelle tu ne savais répondre. Bien vite, tu eus ta réponse tandis que le bout de ses doigts allait en dessous de ton pantalon. Tu la laissais faire attendant sa prochaine action. Celle-ci ne tarda pas mais fut bien différente de tout ce que tu pouvais imaginer. Un talon-haut s’écrasa sur ton pied et tu n’eus pas le temps de crier qu’un genou percuta ton entre jambe. Tu tombas au sol tout en te tordant de douleur. « SALOPE. » Tu ne pouvais pas rester là, en maudissant ton sort. Tu devais agir sans tarder. Malgré la douleur qui t’assaillait, tu pris rapidement ta baguette dans ta robe avant de te lancer à sa poursuite. Tu étais énervé et elle allait vite comprendre qu’on ne devait pas agir comme cela, pas avec toi. Oui, tu allais le lui faire payer et il ne te faudrait pas longtemps. Tu allais le plus rapidement possible et il ne te fallut pas trop longtemps pour la rattraper. Dès que tu la vis, tu lanças un sort afin de l’immobiliser. Incapable de bouger et de parler, tu l’avais sonnée et tu n’avais plus qu’à récupérer le colis. La prenant dans tes bras tu la regardais et si tu t’étais écouté, tu l’aurais tué sur-le-champ pour ce qu’elle avait bien osé te faire mais tu avais autre chose en tête. La remmenant dans la tour d’astronomie, tu verrouillas cette fois-ci la porte afin de t’assurer que ton précieux colis ne s’en aille plus. Oui, elle n’allais pas partir de sitôt, tu ne t’étais pas du tout amuser assez pour que ça soit le cas, surtout après ce qu’elle avait osé te faire. Tu annulas ton sort afin que la demoiselle soit maintenant consciente de tout ce qu’elle allait subir. « Réveille-toi Blossom, la partie ne faut que commencer. » Tu continuais de lui sourire tout en la voyant doucement ouvrir ses prunelles. Sur ton visage se dessinait le plus horrible de tous les sourires. Tandis que tu attrapais son menton pour lever sa tête vers toi et lui dire, à quelques centimètres de son visage comment les choses allaient se passer. « Tu as voulu joué mais tu as perdu et maintenant tu es ici, avec moi, sans baguette. Tandis que moi, j’ai la baguette, j’ai le pouvoir. Et tout va se passer selon mes plans. » Tu marquas une pause tout en souriant avant de s’approcher de son oreille. « Tu vas devoir être une petite fille très sage, du moins, si tu tiens à vivre. » Tu l’embrassas ensuite en pleine bouche avant de laisser son visage retomber au sol. « La porte est fermée à clé. Si tu cries je te réduis au silence. Si tu essayes de me faire mal à nouveau, je détruirais ta petite carcasse et on ne retrouvera de ta personne qu’un tas de cendre. » Tu ramassas sa robe de sorcière pour vérifier qu’elle n’avait pas sa baguette avant de la mettre à côté toi sur le banc où tu avais assis ton délicats postérieur. « Et si nous commencions les festivités ? » Tu marquas une petite pause tout en la regardant, petit créature fragile, totalement en ton contrôle. « Et si tu commençais par enlever ta chemise blanche… tout, tout doucement et de façon agréable à regarder. » Voyant qu’elle paraissait assez effrayée tu ajoutais d’une voie bien trop gentille. « Ne t’inquiètes pas, je ne te ferais aucun mal sauf si tu me désobéis. » Tu continuais de l’observer de haut en bas, attendant qu’elle se lève et face ce que tu attendais d’elle. Oh oui, tu allais bien t’amuser.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyVen 13 Juil - 13:16

Voir Evan répondre de cette façon à son baiser est, dans un sens, rassurant. Il en a envie autant qu’elle, au moins. Il ne se moque pas d’elle là-dessus. Elle n’est pas la seule imbécile à être dans cet état-là, vous voyez. Mais, il prévoit autre chose. Forcément. Alors, Blossom part, vite, après ces coups. Courir, vite, sans se retourner. Jusqu’à un énième couloir. Blossom s’estime sauve, maintenant. Et puis, elle doute vraiment qu’Evan compte la suivre. Il se vengera, certainement. Blossom n’aura sans doute aucune chance lors de leur prochaine rencontre. Strictement aucune. Mais elle ne s’imagine pas une seule seconde qu’il s’est lancé à sa poursuite. Bien trop conne, finalement. Tellement conne qu’elle s’est arrêtée, essoufflée. Tellement conne que lorsqu’elle a entendu des pas derrière elle, elle ne s’est pas enfuit. Elle s’est retournée, bêtement. Et n’a pas eu le temps de faire autre chose. Après ? Rien. Elle est tombée, semble-il. Ses yeux se sont fermés, sans qu’elle ne puisse lutter. Et puis, un flou. Un vide, dans sa tête. Après, la même foutue salle. Et lui, bien évidemment, lorsqu’elle ouvre à nouveau les yeux. Pauvre conne prise au piège. Poupée blonde. Marionnette. Pantin. Elle n’aurait jamais cru être devenir un simple jouet entre les mains de quiconque. Encore moins ici, à Poudlard. A croire qu’on lui fait payer, cette nuit-même, son comportement. Elle considère que tout le monde – A Poudlard- est à sa disposition. Des distractions, des jouets. Sinon, à quoi bon s’attarder ici si ce n’est pas le cas ? Alors quoi ? On lui renvoie par la figure son mauvais comportement ? Une connerie de Karma ? Aussi brutalement que ça ? Visiblement. Dans le cas contraire, comment ces petits sorciers de pacotilles peuvent-ils l’emporter sur elle ? Ce serait incroyable. Eux qui ne connaissent pourtant rien. Que ce soit de la vie ou du monde, le véritable monde. Eux qui semblent si ridicules, à brandir un malheureux bout de bois pour tout et n’importe quoi. Ce serait humiliant. Et impensable. Evan est un sorcier. Il est aussi ridicule qu’eux, la preuve : il s’en sert, de son bâtonnet, pour effrayer Blossom. Bien entendu, elle n’a pas sa baguette, elle. Blossom ne l’a jamais. Sauf en cours, quelques fois. L’idée même de faire des choses avec un malheureux bâton lui semble tellement stupide. Mais, elle ne peut nier qu’actuellement, oui, Evan a le pouvoir entre eux deux. Mais certainement pas à cause de son bâton. Si elle ne parle pas, son regard exprime ce qu’elle ressent. Elle bout. De colère. Il ose l’embrasser. Enflure. Il l’informe que la porte est verrouillée. Blossom est incapable de l’ouvrir. Elle s’intéresse si peu à la magie qu’elle ne connait pas le sort, celui qu’on apprend pourtant en première année. Et elle n’a pas sa baguette non plus.
Il lance sa première proposition. Ou son premier ordre. L’enfoiré.
L’insulter de tous les noms. Lui dire d’aller se faire foutre, encore une fois. Ou se ruer sur lui, pour retrouver son corps. Ses lèvres. Ses caresses. Ou se précipiter sur lui, mais pour le blesser. Lui faire mal. Le tuer. Si seulement elle en avait la capacité. Ou se prendre au jeu. Enlever cette chemise, bouton par bouton. Sans le quitter des yeux. Lui donner envie. Plus envie. Et puis, apprécier, ensuite l’instant. Ou crier. Péter les plombs, perdre le contrôle. Lui dire qu’il n’a qu’à la tuer, puisqu’elle ne ferait rien qui ne lui fasse plaisir. Trop de fierté pour ça. Lui dire qu’elle s’en fiche. Que rien n’a d’importance, dans sa vie. Ce qui ne serait pas totalement faux, après tout. Elle souffre dans son refuge. Dans son vrai monde aussi. Elle n’a plus d’endroit où se planquer. Autant crever. Elle sera en paix. En théorie. Tant de réactions possibles. Tant de réponses. Trop d’idées dans son cerveau. Ça se bouscule. Et ça se brouille. Trop indécise. Instable. Lunatique. Trop d’envies. Trop de tout. Clope. Une clope, c’est ce qui lui faut. Elle sera plus calme. Quand ça déconne, même ici, une cigarette fait l’affaire. Dans le cas contraire, l’alcool fonctionne. A tous les coups. Une sèche, donc. Elle jette un regard en biais au serpentard. Oh, il attend ? Qu’il patiente. Elle extirpe son remède. Cigarettes moldues. Lucky Strike. Un briquet qui ne fonctionne qu’au bout du quatrième essai. Et puis, une libération, au fil des tafes. Elle en ferme les yeux. Oublie cinq secondes, cinq minuscules secondes, l’homme en face d’elle, et la situation dans laquelle elle se trouve. Elle ouvre les yeux. Tout va bien. C’est ce qu’elle se dit. Elle tente de calmer la trouille, la haine et l’envie qu’elle peut ressentir. « Félicitation, Evan. » Défaite assumée. Calmement. Sa fierté en prend un coup. Quoi qu’elle se vengera plus tard. Un autre soir. Blossom bouge un peu, s’assoit en tailleur. Elle ne le quitte pas des yeux. Il ne lui retira pas sa clope, pas cette fois. Il n’a pas le droit. Et puis, elle le verra arriver sur elle, si jamais. Quitte à le cramer avec le bout de la sèche, après tout. « Néanmoins, je dois bien avouer ne pas te comprendre. Je peine à te croire, mon ange, lorsque tu me dis que tu ne me feras aucun mal. » Comprenez-là, elle a devant elle Evan Rosier. Qui désire se venger. Comment voulez-vous qu’elle ait un minimum confiance en lui ? Déjà qu’elle n’accorde pas sa confiance aux autres ? Impossible. Elle doute trop. Evan ne peut pas avoir seulement ça derrière la tête. « Tant que j’y pense : tes cicatrices. Lames de rasoir ? » Et voilà. Pique lancée. Provocation ouverte. Forcément, le sujet qui fait mal, vu sa réaction, l’autre fois. Il n’empêche qu’elle n’avait pas eu de réponse, la dernière fois. Elle n’en espère pas en avoir une maintenant. Mais qu’un sorcier puisse utiliser des moyens moldus pour ce genre de chose ? Bizarre. Peut-être même que ces abrutis ne connaissent pas les « rasoirs ». Il le fait peut-être avec un sort. Une connerie comme ça. Blossom ne réclame en aucun cas une réponse. Mais une réaction. La même réaction que la dernière fois. Ce serait plus facile. Qu’il le ressorte, son bout de bâton. Ou qu’il vienne. Qu’il se venge. Véritablement. Immobile, Blossom attend, patiente, cigarette entre les dents et sourire sournois aux lèvres. Sortilèges, coups peu importe. Elle attend. Qu’il le fasse maintenant. Qu’il marche dans son jeu, merde ! C'est prévu comme ça. S’il compte lui faire mal, peu importe, mais que ce soit maintenant. Le fait de ne pas savoir ce qu’il a derrière la tête l’effraie trop, alors, elle le provoque. Pour le rendre prévisible. Finalement, le provoquer, c’est bien la seule façon qu’elle a de le contrôler un peu. Et de ne pas être le simple jouet.


oui, c'est nul, c'est caca, et c'est l'unique fois ou tu seras en priorité sur ma liste de rps. 67
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Evan Rosier
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyJeu 19 Juil - 8:12


Tu ne pouvais la laisser partir. Le jeu ne faisait que commencer et depuis qu’elle avait, à nouveau, enfoncer son genoux dans tes parties, tu ne pouvais encore moins lui permettre de s’en aller. Tu lui avais lancé un sort avant de la ramener ici. Elle serait tienne, ta poupée, celle dont tu pourrais faire tout ce dont tu avais envie. Oui, c’était ta manière, ben personnelle, de lui montrer qu’elle ne te pouvait pas se comporter ainsi sans en payer les conséquences. Ce que tu avais en tête te réjouissait déjà mais tout d’abord, tu devais la remettre sur pied. Un petit sort et cela était fait. La belle ouvrait les yeux pour te montrer combien elle devait sans aucun doute te détester à ce moment précis. Oui, tu n’étais pas une bonne personne, tu ne voulais pas l’être alors, tu agissais de cette manière. Tu étais l’homme sans peur et menacer quelqu’un était pour toi quelque chose de totalement courant. Oui, tu avais besoin d’avoir le pouvoir de le sentir dans tes veines, cela te faisait vivre et c’était bien l’unique chose. Qu’elle crie, qu’elle soit de mauvaises humeur, qu’elle te déteste, cela ne faisait que renforcer ta volonté de l’amener à n’être qu’une marionnette. Tu voulais avoir le contrôle sur elle plus que sur n’importe qui d’autre. Tu voyais dans ses yeux une flamme insatiable qui te donnait encore plus envie d’arriver à ce résultat. Tu voulais qu’elle t’obéisse mais tu savais en même temps que ce petit jeu ne ferait que te rendre plus content. Oui, tu allais l’avoir mais elle ne savait pas encore à quel point elle était foutue. Pris dans ton élan, tu ne te privas pas te lui donner un petit baiser. Ce n’était qu’un avant-gout de ce que tu avais prévu pour elle, un moyen pour toi de la ramener à la réalité de la situation. Tu en profitais même pour lui annoncer que la porte était maintenant close. Oui, tu n’étais pas fou, tu n’allais pas la laisser s’enfuir une seconde fois. Non elle n’avait aucune porte de sortie et plus vite elle le comprendrait plus vite elle serait une gentille petite soldate. Tout en t’éloignant d’elle tu lui demandas un petit quelque chose. Au fond, ce n’était pas une demande mais un ordre, soit elle ouvrait délicatement sa chemise, soit elle allait souffrir. Oui, tu pouvais lui faire beaucoup de mal et rien ne t’en empêcherait. Cependant, tu étais d’humeur plus libertine, alors, tu n’attaquerais que si elle n’obéissait pas. Tu faisais un immense effort même si elle ne le remarquerait certainement pas. Ta demande était lancée, tu n’avais plus maintenant qu’à attendre qu’elle choisisse. Sa décision était étrange, sans un mot, elle s’était emparée de quelque chose. Une cigarette, pas de celle que tu fumais, sans doute une marque moddue que tu ne connais nullement. Tu la voyais allumer, avec quelques difficultés, l’objet de ses envies. Tu n’avais toujours rien fait observant ce qu’elle était en train de faire. Les yeux fermés, elle se laissait allée tout en fumant. Tu la regardais, ne sachant pas si tu devais lui faire du mal ou attendre qu’elle te réponde. Alors, tu patientais, quelques instants, une éternité selon toi. Tes yeux menaçant se plongeaient dans les siens tandis qu’elle ouvrait à nouveau les yeux. « Félicitation, Evan. » Tu étais interdit, interloqué. Pourquoi te remerciait-elle ? Tu n’en savais rien et tu ne voulais pas le découvrir. Dans ta tête, il n’y avait rien dont elle pouvait te féliciter. Oui, vous ne parliez pas la même langue, cela était plus que certain. Tu réfléchissais et tu ne voyais pas vraiment ce que tu avais fait de bien. Cela t’intriguait mais tu ne posais aucune question. Ce n’était pas dans tes habitudes et puis, tu avais bien autre chose à faire aujourd’hui que d’agir de la sorte. Non, tu voulais avoir ton petit présent et tu commençais peu à peu à patienter tandis que la demoiselle s’assied en tailleur sur la table « Néanmoins, je dois bien avouer ne pas te comprendre. Je peine à te croire, mon ange, lorsque tu me dis que tu ne me feras aucun mal. » Tes yeux devenaient des soucoupes de colère tandis que ton visage se transformait en une moue qui ne laissait aucun doute sur ce que tu ressentais à cet instant précis. Tu étais en colère, tu rageais face à ce qu’elle venait de dire. Tout commençait par l’expression mon ange, tu n’étais pas son ange, tu n’étais celui de personne et plus vite elle le comprendrait mieux elle se porterait. Oui, tu n’aimais nullement le temps qu’elle employait ni même la façon dont elle se comportait avec toi et tu allais bien le lui faire comprendre. « Tu pourrais avoir quelques arguments qui m’amènerait à me montrer clément envers toi. » Tu la regardais de haut en bas lui faisant comprendre que tu étais belle et bien en train de parler de son petit corps. Elle était jolie ou du moins agréable à regarder et tu ne pouvais en aucun cas le nier même si tu ne l’affirmais pas de façon directe. « Par contre, appelle-moi encore une seul fois ton ange et je te montrerais le monstre que je peux être. » Tu étais totalement sérieux et ton ton comme ton attitude le lui faisait comprendre sans le moindre problème. « Tant que j’y pense : tes cicatrices. Lames de rasoir ? » Elle avait dépassé la limité, elle avait atteint tout ce qui t’étais supportable et tu ne pouvais pas le supporter. Ton regard, ton corps, tu ne voulais qu’une seule et unique la détruire, lui faire subir le sort qu’elle méritait. Oh oui, tu allais la faire souffrir comme jamais personne n’avait souffert et elle le méritait totalement. Comment une telle créature pouvait-elle existé ? Tu n’en savais rien mais tu allais découvrir que tu étais doué pour certaines choses. D’une vitesse normale tu avançais doucement vers elle, un pas puis l’autre sans faire attention à ses réactions, à ce qu’elle pouvait faire. Tu n’avais même pas pris ta baguette, tu avais bien autre chose en tête. Etant maintenant tout près d’elle, tu ne perdis pas une seule seconde. Sans lui laisser le temps de réagir, tu attrapas sa cigarette sans que cette dernière ne finisse pour autant au sol. Non, tu en prenais une longue bouffée dont tu envoyas la fumée directement dans la figure de la demoiselle. Sans vraiment lui laisser le temps de réagir, tu l’attrapas pas le bras et la fit descendre de son pied d’estale. Elle était au sol et tu avais un sourire machiavélique sur le visage. Sans lui laisser le temps de bouger, tu te plaças au-dessus d’une telle manière qu’aucun coup de genoux de pouvait t’atteindre. Tu tenais de l’une de tes mains ses bras afin de ne pas recevoir de coup mal placé. Tu t’approchais tendrement de son oreille avant de parler. « Avant, je ne voulais pas te faire de mal mais maintenant cela à changer. » Tu avais prononcé chaque mot comme une promesse de mort et tu n’allais pas t’arrêter en si beau chemin. Tenant toujours sa cigarette, tu la continuais au-dessus d’elle, lui laissant admirer ce que tu faisais de ce qui lui appartenait même si ces dernières n’étaient pas aussi bonnes que leur version sorcière. Oui, plus le temps passait, moins elle te plaisait et tu n’avais qu’à t’en débarrasser. D’une idée soudaine naquit une vengeance. Avec ta main libre tu amenas la cigarette sur la pauvre demoiselle, sur son bras plus précisément, l’arrêtant par le contact entre la fumée brulante et sa peau. Tu souriais de la douleur qu’elle devait ressentir à cet instant et tu n’allais pas t’arrêter en si bon chemin. T’approchant de son délicat visage, tu l’embrassas, lui prouvant qu’elle était tienne, que tu la marquais, qu’elle ne pouvait t’échapper, pas après tout ce qu’elle avait osé te dire. Te relevant d’un seul coup, tu l’obligeas à se relever en m’attrapant pas le bras, appuyant là où tu venais de la blesser. Sans lui laisser une seconde de répits tu la poussas jusqu’à la table la plus proche et tout en la poussant le plus près possible pour presque l’obliger à se coucher sur cette dernière. De ta poche arrière droite, tu sortis une petite pochette contenant une lame de rasoir, l’une des nombreuses choses que tu utilisais pour faire tes marques. D’un geste vif et brusque tu approchas l’objet de sa gorge, si près qu’un seul minime mouvement de sa part la tuerait. « Si tu abordes encore une seules fois ce sujet ou que tu refuses de m’obéir, je serais obligée de te montrer combien ce petit objet peut-être utile contre ta gorge. » Tu n’avais pas bougé l’objet mais ta position avait changée, tu déposas un baiser dans son cou avant d’ajouter de façon assez malsaine. « Ce serait dommage de te retrouver toute tachée de sang. » Tu rangeas ensuite l’objet dans son étui et dans ta poche avant de te jeter sur elle. Ta bouche entra en contact avec la sienne pour la sceller d’une façon brutale et sauvage. Ta main agrippait ses cheveux et éloigna par ce contact ta tête de la sienne. « Que choisis-tu Blossom ? Le plaisir ou la souffrance. » Tu continuais de l’observer de haut en bas sachant que dans un cas comme dans l’autre tu ne risquais pas de t’ennuyer..
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyJeu 19 Juil - 21:24

A bien regarder, Evan est faible. Si faible. Esclave ses émotions. Incapable de se contrôler une seule seconde. La preuve est-là, regardez son expression se changer peu à peu, lorsque Blossom parle. Et encore, elle n’a pas mis le coup de grâce. Elle se contente seulement de lui faire part de ses soupçons –raisonnés- mais il s’enflamme. Si vite. « mon ange » n’est pas adapté. C’est vrai. Evan se rapproche plutôt du démon que de l’ange. Mais, on ne peut pas lui en vouloir après tout, ça lui va si bien. En réponse à sa menace, un ricanement. Un simple ricanement. Pas effrayé pour un sous. De toute façon, elle est déjà fichue. Et puis, la phrase. La fameuse phrase. Provocation. Celle sensée le faire réagir. Encore plus. Evan parviendra-t-il à se contrôler ? Sûrement pas. Et Blossom n’espère pas qu’il y parvienne. Il s’avance. Blossom ne bouge pas. Immobile, à l’attendre. Prête. Evan marche dans son jeu. Maintenant qu’il est proche d’elle, il lui prend sa cigarette. Pour la seconde fois. L’enfoiré. Elle ne s’attendait pas à ça. Il prend le temps de la fumer, devant elle. De la griller Sa clope. Et pire, il lui renvoie la fumée en plein visage. Ce qu’il attend pour passer à l’acte ? Aucune idée. Et s’il ne fait rien, au final ? Non. Pitié. S’il compte se venger, que ce soit maintenant. Et pas dans une demi-heure, deux jours ou six semaines. Et puis, en à peine deux secondes, Blossom se retrouve au sol, lui au-dessus d’elle. Coincée. Foutue. Un peu plus qu’avant. Les choses se précisent, après tout. Il parle. Affirme qu’il ne comptait pas lui faire de mal, avant cela. Blossom ricane, n’y croyant pas une seule seconde. Il continue de fumer, impunément. Sa clope à elle. « Qu’est-ce que t’attends bordel ! » Un sifflement. Haineux. Anxieux. Elle le cherche, à ce qu’il se venge, à ce qu’il la fasse souffrir. Sans aucun doute. Elle sera l’unique fautive. Néanmoins, elle n’est pas rassurée pour autant. Elle a beau lui cracher n’importe quel mot à la figure, elle ne sera sans doute jamais rassurée dans une telle situation, avec un tel individu. Et puis, ça y est. Le début. La punition. Sentence. Vengeance. Torture. Comme vous voulez. Sa propre cigarette sur son bras, sa peau. Evan est fou. Evan est mauvais. Evan est dangereux. Pire qu’elle, tellement pire qu’elle, en tous points. « Putain d’enfoiré ! » qu’elle crie. Douleur, sur son bras. Blossom n’a pas l’habitude de souffrir physiquement. Et elle est même surprise à chaque fois que cette rare occasion apparait, de constater à quel point c’est douloureux. Elle sous-estime toujours. Moralement, c’est une chose. Elle l’accepte facilement, même. Mais physiquement. C’est différent. Plus douloureux. Plus humiliant. Elle insulte. Elle est choquée d’avoir mal, à ce point-là, pour une malheureuse brûlure de cigarette. C’est qu’Evan maintient le bout brûlant sur sa peau. Blossom tente de se défaire de son emprise. De partir. Elle se débat. Donne des coups, au hasard. L’enfoiré ne la lâche pas et maintient la cigarette. Pire encore. Il l’embrasse. Plus humiliant. Plus rabaissant. Enragée. Furieuse. Et ce même foutu sentiment d’impuissance qui la bouffe. Comme une petite voix, dans sa tête, qui lui dirait « tu as vu, tu ne peux rien faire, t’es à lui, sous son contrôle. » Evan est un enfoiré. Un être affreux, abjecte, qui ne mérite ni respect, ni attention. Il arrête. Le baiser, la brûlure. Mais, bien évidemment, ce n’est pas terminé. Il la traîne, l’attrape. L’allonge sur une table. Blossom là-dedans n’est plus grand-chose, vous voyez. Un objet qu’on change de place. Une marionnette. Game over hun. Alors quoi ? Il ne lui reste plus qu’à lui dire « fais de moi ce que tu veux » c’est ça ? Blossom a envie d’hurler. Pas de peur. De haine. De colère. Mais elle ne fait rien. Elle ne peut pas, encore une fois. Une lame de rasoir, sur sa gorge. Immobile. Figée. Abasourdie. Son cœur bat vite. Trop vite. Trop fort. Il parle. Blossom n’écoute qu’à moitié. Elle a mal, a encore l’impression que la cigarette est collée sur son bras, son cœur bat trop fort, et la lame de rasoir est trop proche de sa gorge. Ses lèvres sur son cou. Chaleur, dans son corps, encore une fois. Insupportable. Insurmontable. Il parle, encore. Ce serait dommage qu’elle se retrouve tâchée de sang. Il l’embrasse. Encore. Brutalement. Sauvagement. Blossom y répond, avec une rage non dissimulée. Elle abandonne. Ou non. Elle n’en sait rien. Elle ne sait plus. Evan l’éloigne, en la tenant par ses cheveux. Moyen violent. Bestial. Comme Evan, finalement. Il lui laisse le choix. Sans doute pour la dernière fois. Plaisir. Souffrance. Les mots se bousculent. L’un est étroitement lié avec l’autre. Spécialement avec Evan. « Tu m’as brûlée avec ma clope. » qu’elle souffle. Choquée. Surprise. Par la douleur. Par le geste. « Putain, tu m’as brûlée. Enfoiré. » Elle répète. Ses yeux se posent sur lui. Il faut qu’il fasse un choix ? Ah oui. Elle bouge. Un peu. Colle ses lèvres contre celles d’Evan. Plutôt crever que de formuler « plaisir, j’en crève d’envie. » vous voyez.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptySam 21 Juil - 10:41


La cigarette, lui faire payer la façon de te parler, tout avait un sens pour toi. Oui, tout allait, se dirigeait vers une seule et même chose : la vengeance. Oui, tu étais là, face à elle, face à cette désagréable créature qui t’avait fait beaucoup de mal. Oh oui, par deux fois elle avait essayé de te priver de tes bijoux de famille mais jamais elle n’avait réussi. Maintenant, c’était topin qui avait le pouvoir et tu allais tout faire pour que la situation ne change nullement Oui, la peur était pour toi le meilleur moyen de garder le contrôle sur une situation et à cet instant, tu avais le contrôle parfait sur tout ce qui était en train de se passer. Tout d’abord, la porte était fermée à clé et la donzelle ne pouvait pas s’en aller. Ensuite, tu avais pris grand soin de lui montrer que face à toi elle ne faisait pas le poids et tu pensais que cela avait marché jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche. Oh oui, chaque mot qui était sorti de cette dernière n’avait que comme effet de te mettre encore davantage en colère. Oui, après qu’elle ait parlé, tu ne fus plus que rage et envie vengeresse. Quelques instant et tu mettais ton plan à exécution. Tu avais commencé par t’approcher d’elle et lui prendre sa cigarette. Oui, la demoiselle avait l’air de l’apprécier plus que tout autre chose. Alors, tu avais décidé de lui priver de ce qu’elle avait de plus cher et cela semblait être cette cigarette sur laquelle elle tirait si souvent. T’en étant emparé, tu te mettais à la fumée tandis que tu observais ce qu’elle faisait. Elle te regardait, elle cherchait quelque chose mais tu ne savais quoi. Sans attendre, tu la fis tomber au sol te mettant sur elle, oui tu voulais la dominer d’une manière ou d’une autre pour qu’elle comprenne que rien ni personne ne pouvait te faire mal sans en payer le prix. « Qu’est-ce que t’attends bordel ! » Tu ne comprenais pas ce qui te prenait, ce besoin qu’elle semblait avoir de souffrir. Oui, il fallait être totalement malade pour attendre à ce point la douleur. Si tu n’étais pas totalement sous l’emprise de la colère, jamais tu ne te serais attaqué à elle, tu ne serais pas rentré dans ce jeu mais là, c’était trop tard. Son bras, sa cigarette, deux éléments distincts qui se fondirent en un seul. Tu enfonçais, sans le moindre ménagement sa propre cigarette sur son bras et une odeur de brulé envahissait la pièce. Oh oui, tu sourirais et tu n’allais pas t’arrêter tout de suite. « Putain d’enfoiré ! » Elle criait de douleur et tu te mis à rire. Cela te faisait un bien fou de sentir toute cette puissance de savoir qu’elle était tienne. Oh oui, tu en appréciais chaque moment et rien ne changerait cela. Tu entendais chacun de ces cris comme le plus délicat des champs et tu aimais l’humiliation que tu étais en train de lui faire subir. Puis, tu enfonças le clou par un baiser, oui, elle était tienne et tu la prendrais de tous les moyens possibles et inimaginables. La cigarette te laissait, tu changeais de lieu, d’envie, tu l’amenais sur cette table pour l’admirer de toute sa splendeur. Tu lui fis mal, tu t’en moquais, tout ce qui comptait c’était de lui faire comprendre que tes marques n’étaient pas un sujet dont on ne te parlait jamais. Alors oui, tu avais collé la lame sur son cou pour le lui faire comprendre mais bien vite, tu avais laissé place à d’anciennes habitudes tout aussi charmantes. Une fois la lame rangée, tu l’avais embrassée avec toute la sauvagerie et la bestialité dont tu pouvais faire preuve. Tu tirais même sur ses cheveux pour la dégager de ton emprise. Oui, tous les moyens étaient bons avec elle, surtout ceux qui étaient loin d’être tendres. Tu te plantas ensuite devant elle, attendant une réaction de sa part, un moyen de savoir ce qu’elle allait choisir de faire… « Tu m’as brûlée avec ma clope. » Tu avais l’impression qu’elle se parlait plus à elle-même qu’à toi et tu ne répondis rien. Tu te contentais de l’observer, de voir la surprise dans ces yeux, de te délecter de la douleur que tu y trouvais encore. Oh oui, Blossom devenait chaque minute un jouet encore plus passionnant que tu ne laisserais pas filé de sitôt… . « Putain, tu m’as brûlée. Enfoiré. » Tu te mis à rire tout en la voyant posé ses yeux sur toi. Tu l’observais de haut en bas lâchant par moment un petit sourire. « C’est toi qui l’a demandé Blossom. Tu en crevais d’envie… » Tu lâchas cela dans un seul souffle tandis que tes yeux se posaient encore et encore sur sa délicate personne. Qu’allait-elle faire ? Tu n’en savais rien mais tu mourrais d’envie de le découvrir. Un pas vers toi, elle bougeait et tu te demandais ce qu’elle allait faire. Te frapper ? Chercher à s’enfuir ? Tu étais prêt quel que soit l’éventualité mais tu ne t’attendais nullement çà cette qui te tomba dessus. Ses lèvres vinrent se coller aux tiennent et ta bouche s’emparait de la sienne, tu la dévorais tandis que tes mains lui encerclaient la taille Ce ne fut qu’à bout de souffle que tu décidas enfin de la lâcher tout en l’observant de haut en bas. Blossom était sublime tu ne pouvais le nier mais tu voulais faire les choses d’une belle et délicate manière. Enfin, tu voulais surtout t’amuser mais tout d’abord tu avais besoin de vider toute rage de ton être. La tenant tout contre toi, tu recommenças à l’embrasser tandis que l’une de ses mains avait trouvé sa place sur la fesses droite de la demoiselle. Tout sourire tu la poussas alors tout en gardant un sourire totalement satisfait sur le visage. « Et si tu ouvrais enfin ce chemisier qu’on puisse passer aux choses sérieuses. » Ton ton était bestial et charmeur, tu attendais avec impatience les suites des évènements. Oh oui, tu voulais profiter d’elle…. De tout ce qu’elle pourrait t’offrir.
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Cordelia Dolohov
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PROFESSION : Secrétaire de l'éducation déléguée par Orion Black, ministre de la magie.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyDim 22 Juil - 13:10


☞ hello sweetheart pv blossi Tumblr_m7inxd8VID1ra9eyxo4_r1_250 Les Mangemorts. Il était devenu le problème numéro 1 de Cordelia Dolohov. Elle qui voulait instaurer un régime plus dastrique dans l'école et faire connaître la voix du ministère, cet homme qu'elle admirait tant, Orion Black, mais ce groupe d’arriérés risquait de mettre à mal les idées que la sorcière se gardait bien de dire. Oh oui, elle pensait devenir la prochaine directrice des lieux en dégageant dans l'humiliation, Dumbledore qui avait fait son temps pour enfin avoir la place qu'elle méritait dans la société, elle qu'on avait tant rejeté. Les Mangemorts n'avaient pas le droit d'empêcher la réussite de Cordelia et elle avait mit tous les moyens en oeuvre possible pour les empêcher de nuire. Ainsi, elle avait contacté un ami de longue date, exilé à Durmstrang, Minos Selwyn et elle avait même réussi à faire venir les gardiens d'Azkabam ici pour profiter l'enceinte de l'école. Les barrières étaient renforcées et les lieux, en sécurité ! Personne ne pouvait rien faire, personne ! Absolument personne. La femme d'une beauté à couper le souffle se répétait ceci en grimpant le long escalier de la tour d'Astronomie. Oh non, la petite escapade de Roser, elle ne l'avait pas manqué et elle l'avait suivi en silence à travers les couloirs. Elle jubilait à l'avance à l'idée de le prendre sur le fait. Le couvre-feu était on ne peut plus dépasser et une magnifique punition allait s'imposer. Sadique ? Elle l'était et elle aimait ceci. Les enfants, elle rêvait de les étrangler et cette vermine allait souffrir. L'idée qu'il soit le fruit d'un inceste la rendait furieuse ! Les Rosier étaient pourtant bien considérés. Une honte planait sur cette famille et elle aurait aimé l'écraser avec les talons qu'elle portait. En effet, Dolohov n'était pas en pyjama. Ne trouvant pas le sommeil, elle avait allongé son tour de garde et c'est ainsi qu'elle avait pu surprendre Rosier entrain de se glisser hors de sa salle commune. Le serpent. Ainsi, la ravissante beauté de la nature portait une robe de sorcière très à la mode (durant les années 1800..) bleu marine avec des gants en soie noirs longs et sa baguette à la main. Récemment, elle s'était même faite une teinture pour éclaircir son teint et le roux lui allait à ravie (poil de carotte, si vous voulez savoir.) Les marches se terminaient enfin et qu'elle était sa surprise quand elle tomba également sur... Blossom. Cordelia les toisa de haut, coupant la discussion avec un petit rictus satisfait. Bien, deux pour le prix d'un, mais elle devait reconnaître qu'elle appréciait Blossom. Sa cible était clairement désignée. L'inceste. Rosier. Le fruit du démon. D'un geste rapide, elle les empêcha de bouger avec un sort. Si on lui reconnait un très mauvais goût pour la mode sorcière, on ne pouvait nier qu'elle savait maîtriser la baguette et qu'elle était plus que redoutable à ce niveau. ❝ Que vois-je ? Deux vipères hors du nid ? Intéressant. Je soustraite immédiatement 20 points à votre maison et vous allez prendre place, votre punition commence dès maintenant et vous n'allez pas l'oublier... ❞ dit-elle d'un ton pratiquement jovial. Cruelle, plutôt. ❝ Les escapades nocturnes... Vous allez en tâter Rosier. Quand à vous, mademoiselle Magee, expliquez moi donc la raison de votre venue ici ? ❞ allait-elle laisser une chance à la jeune sorcière de s'expliquer ? Oui. Blossom allait peut-être s'en tirer à meilleur compte que Evan, mais ça, ce n'était pas garantie.

Intervention PNJ : vous ne pouvez le contrer, vous devez le prendre en compte, vous vous êtes fais attraper, mes agneaux ! Pas de chance et n'essayez pas de fuir, ça serait pire.

- 20 pts à la maison Serpentard.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyVen 27 Juil - 18:04

Capitulation. A quoi bon se battre, résister ? Elle a perdu. Il a gagné. Elle aimerait bien lui prouver le contraire, mais elle en est tout bonnement incapable. C’est trop tard. Il est plus fort. En meilleure position qu’elle. Il affirme qu’elle lui a demandé ça. Qu’il la crame. Qu’elle en crevait d’envie. La brûlure sur son bras se fait encore ressentir. Elle en crevait d’envie, vraiment ? Elle l’a provoqué, c’est sûr. Dans un sens. On peut dire qu’il a raison.
Ses lèvres sur les siennes. Pour lui faire savoir son choix. Ses mains sur sa taille. Son corps collé au sien. Et son baiser. Blossom glisse ses doigts. Un peu partout. Son visage. Ses cheveux. Sa nuque. Ses bras. Son torse. Elle veut redécouvrir son corps. Entièrement. Le sentir contre elle, avec elle. Encore une fois. Plus de doute ni d’hésitation. Plus l’envie de résister, de batailler pour préserver le peu de fierté qu’il lui reste. C’est bien trop tard pour cela. Ses lèvres suffisent à la convaincre. Elle commence à manquer d’air. Evan aussi, de toute évidence, puisqu’il la relâche. Dommage. Elle serait bien restée collée à ses lèvres bien plus longtemps, quitte à en crever. Le chemisier. Le fameux chemisier. Elle obéit. Bien trop chaud pour supporter plus longtemps un bout de tissu sur sa peau moite. Elle le déboutonne. Prestement. Donner envie à Evan ne l’intéresse plus. Il a déjà envie d’elle. Et elle aussi, a envie de lui. Impatiente. Seulement ça. Pas le temps ni l’envie de s’attarder. Le sentir, tout de suite. Finalement, il peut s’estimer heureux. Elle cède. Faible. Et en crève d’envie. Son corps le quémande. Hurle de désir.
Et puis ? Rien. Ses jambes refusent d’avancer. Elle essaye, pourtant, pour regagner ses lèvres et son corps chaud. Mais non. Rien à faire. Jambes bloquées. Corps bloqué, même. Paralysé. Lueur de panique, dans ses yeux. Son corps ne répond plus, ça l’effraie, parce qu’elle ne peut rien faire contre. L’incompréhension totale. Frustrée. Tellement. Elle lève les yeux, sur Evan. L’enfoiré. C’est lui. C’est forcément lui. Il lui a fait quelque chose. Jeter un sort. Encore. Elle n’aurait jamais dû se laisser prendre à ce jeu-là. Elle s’en doutait, qu’il ferait quelque chose. Lui faire confiance, même pour un si court instant, est profondément stupide. Et puis, c’est seulement là qu’elle voit Dolohov arriver. Un rire s’échappe. Un rire nerveux. L’ironie de la situation. Maintenant qu’elle le désire, Evan, qu’elle le désire vraiment, elle ne peut pas. Dolohov aurait pu arriver plus tôt. Mais non. Soit. Blossom rit. Tout s’explique. Pour une fois, Evan n’y est pour rien. La voix de Dolohov s’élève. Fière d’avoir coincée des élèves hors de leur dortoir. Des points sautent. Peu importe. Blossom n’a jamais compris pourquoi ces points ont un quelconque intérêt. Ils n’en ont pas pour elle. Elle se moque éperdument des autres. De sa maison. Alors des points en échange d’une bonne conduite ? Elle n’est pas une chienne à qui l’on offre des morceaux de sucres pour un bon comportement. Elle parle d’une punition. Ses punitions, à elle. Une douleur de plus à subir. Inutile de dire que l’envie n’est pas là. Néanmoins, elle demande des explications. A Blossom, seulement. A voir si c’est une bonne chose. « Et bien, je voulais me rendre dans mon dortoir depuis bien longtemps. Mais Evan n’était pas de cet avis là et ne m’a nullement laissé le choix. » Au fond, elle ne fait que dire vrai. Elle est partie. Il l’a poursuivie. Lui a jetée un sort. Et l’a ramenée ici comme un vulgaire objet. Au pire, le fait que la porte était verrouillée peut jouer en sa faveur, dans un certain sens. Sa brûlure sur son bras aussi.

et je cours me cacher, haha.
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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyLun 30 Juil - 23:10


L’embrasser, prendre possession de ses lèvres, avoir le pouvoir, voilà tout ce qui comptait maintenant pour toi. Tu voulais la faire tienne, l’amener à devenir, l’instant d’une heure ta chose, ton désir, l’extension de tes envies nombreuses et multiples. Un baiser et bien plus que cela. Ta langue s’enroulait autour de la sienne et tu ne voulais pas arrêter. Tu voulais l’amener à bout, lui faire comprendre que contre toi elle n’avait aucune chance que bientôt elle serait totalement tienne. Violence et fougue étaient les maitres mots de votre échange, pas de tendresse, pas d’amour, cela n’a jamais eu lieu d’être entrevous. Non, vous ne vous aimiez pas et jamais cela ne serait le cas. Vous n’étiez que deux êtres désirant ardemment l’autre pour son corps, pour ce qu’il était mais pas avec l’envie de le faire sien à jamais. Une nuit et tout s’arrêterait. Oh peut-être que vous recommenceriez une fois ou deux mais cela serait toujours le même, une question de qui dominera qui. Un moment de pur plaisir sans aucune conséquence future. Oui, tu profitais pleinement du moment présent, tu oublias tout même les règles les plus importante qu’étaient la respiration. Oui, tu ne pensas qu’après quelques minutes à reprendre ton souffle. Cela était devenu totalement obsolète pour toi Ce fut lorsque tu la lâchas que tu arrivas enfin à reprendre de l’air mais tu avais envie de recommencer encore et encore tout en prenant de plus en plus de plaisir. Une demande, la même que plus tôt. Tu voulais la voir enlever ce chemisier et elle t’obéit. Tes yeux n’en perdaient pas une miette tandis que tu voulais en voir plus encore et encore. Bientôt, il va retrouver le sol et tu n’as qu’une seule et unique envie, lui sauter dessus, toucher tendrement sa peau nue et te sentir au paradis. Tu allais te jeter sur elle, tu devais maintenant te retrouver sur sa délicate personne mais rien. Tu étais bloquée et tu ne comprenais nullement ce qui était en train de se passer. Tu ne pouvais plus bouger et tout cela était totalement étrange. Tu voulais comprendre mais tu n’y arrivais malheureusement point. ❝ Que vois-je ? Deux vipères hors du nid ? Intéressant. Je soustraite immédiatement 20 points à votre maison et vous allez prendre place, votre punition commence dès maintenant et vous n'allez pas l'oublier... ❞ Cette voix, tu la reconnaitrais entre milles, elle ne pouvait appartenir qu’au monstre qui avait pris ses quartiers dans l’école. Dolohov, à cet instant, tu voulais la tuer, la détruire, la découper en tous petits morceaux et même faire de son cœur de la charpie. Oh oui, ton humeur n’était pas à la joie. Elle t’avait piégé et en prime te privait de ton plaisir de la soirée. Tu savais que cela lui ferait extrêmement plaisir. Tu l’avais surprise plus d’une fois en train de te regarder comme une bête curieuse, comme si tu étais un monstre. Oh oui, elle devait te haïr pour ce que tu étais, il n’y avait aucun doute la dessus. Toujours pris au piégé de ce démon, seul ta bouche pouvait fonctionner et tu n’allais pas t’empêcher de l’utiliser. Elle pouvait t’être fortement utile. « Enlevez-en quarante, au cas où vous ne seriez pas au courant je ne défends pas l’honneur de ma maison… » Prenant une petite pause, tu plaças ton regard dans le sien lui montrant de la sorte qu’elle ne t’effrayait pas, qu’elle n’aurait jamais le contrôle sur ta personne. Un jour où l’autre tu te vengerais, c’était certain. « Je suis sûr que vous ne l’oublierez pas non plus… » Tu n’avais pas peur d’elle et tu ne l’aurais jamais, elle était une odieuse créature et cela ne changerait jamais. ❝ Les escapades nocturnes... Vous allez en tâter Rosier. Quand à vous, mademoiselle Magee, expliquez moi donc la raison de votre venue ici ? ❞ Tu souriais parce qu’elle ne te faisait pas peur, parce que jamais tu ne laisserais faire par cette femme et qu’elle n’aurait jamais aucun contrôle sur ta petite personne. Elle ne savait pas à qui elle avait à faire et rien ne pourrait changer cela. Par contre, là où tu étais légèrement inquiet c’était dans l’attitude de Blossom. Oh oui, elle pouvait craquer, elle était effrayer et cela ne serait nullement bon pour toi mais ton destin était scellé. A te faire avoir, tu préférais aller au bout de ta pensée. « Oh vous savez Madame, si c’est en votre compagnie cela ne peut être qu’un enchantement. » Tu étais une fleur avec des épines, capable du pire et cela, elle allait bien vite s’en rendre compte. Oh oui Dolohov allait devenir ton ennemie et tu allais la réduire à néant, peut-être pas aujourd’hui mais dans un jour prochain sans aucune doute. « Et bien, je voulais me rendre dans mon dortoir depuis bien longtemps. Mais Evan n’était pas de cet avis là et ne m’a nullement laissé le choix. » Tu lui lanças un regard noir, elle avait osée, elle s’était permise d’agir de la sorte. Si tu avais pu bouger, tu l’aurais sans aucun doute tué pour avoir osé mentir à ce point. Elle était tout aussi consente que toi et tu n’allais pas te taire. Les conséquences, tu t’en moquais la seule chose qui avais un but pour toi c’était d’arriver à tes fins et cela personne ne pourrait l’empêcher. « Je puis vous assurer qu’elle aillait m’ouvrir ses cuisses sans être pour le moins du monde obligée. » Tu n’étais pas un violeur, tu ne le serais jamais et que Blossom puisse l’envisager te donnait envie de prouver le contraire et pour se faire, ton langage pouvait se relever bien loin d’être agréable. Cela n’était pas le plus important, tu n’en avais rien à faire. Tu étais Evan Rosier, un monstre, un être unique, étrange. Tu avais tes propres limites et cela personne ne pourrait le changer. «Et le petit amusement, il démarre quand ? » Souffrir n’était pas quelque chose que tu faisais par plaisir du moins si cela incluait que quelqu’un te fasse souffrir mais là, c’était différent. Tu allais mesurer le sadisme de ta plus grande adversaire et après, tu jugerais de la manière la plus appropriée d’y répondre. De tes épines, tu allais la blessée…
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Cordelia Dolohov
Cordelia Dolohov

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MessageSujet: Re: ☞ hello sweetheart pv blossi   ☞ hello sweetheart pv blossi EmptyMer 1 Aoû - 19:53


☞ hello sweetheart pv blossi Tumblr_m7inxd8VID1ra9eyxo4_r1_250Evan Rosier et Blossom Magee hors de leur dortoir, alors qu’ils étaient censés dormir à point fermée à cette heure avancée de la nuit. Finalement, Cordelia Dolohov avait bien fait de prolonger son tour de garde : si elle avait été dormir plus tôt, elle aurait raté une nouvelle occasion de s’amuser avec ses jolies plumes ; elle aurait raté l’occasion de punir elle-même l’aîné de Rosier – ce garçon qu’elle méprisait à cause de l’histoire de sa naissance, une erreur de la nature. Quoi qu’il en soit, elle était arrivée à temps : quelques minutes de retard et elle aurait été aveugle à cause du spectacle qui se serait offert à elle – alors comme ça, les élèves ne respectaient pas ses décrets ? Elle allait devoir se montrer encore plus sévère qu’elle ne l’était déjà, une idée qui la réjouissait. Un coup de baguette et les deux élèves étaient figés, mais ce ne fut que lorsque Cordelia prit la parole qu’ils semblèrent se rendre compte de sa présence. Elle leur retira quelques points, demanda des explications à Magee. Rosier est pourtant le premier à répondre et il le fait avec provocation. Il veut jouer au plus malin ; c’est bien dommage pour lui, il n’a aucune chance contre la secrétaire de l’éducation. Cordelia n’avait qu’une hâte : emmener le jeune homme en retenue afin qu’il voie qu’elle ne rigole pas, afin de lui faire payer le simple fait d’être né alors qu’il n’aurait jamais dû venir au monde. Les explications de Blossom, puis celles d’Evan – ils étaient en désaccord ; les mots de l’un contredisant ceux de l’autre. C’était la voix de la demoiselle contre celle du jeune homme. Au fond, les dés étaient déjà jetés. Magee pouvait s’estimer heureuse : l'insolence de Rosier allait sans doute conduire Cordelia à se montrer un peu plus clémente en ce qui concernait son cas. ❝ À moins que vous n’ayez quelques problèmes au niveau de votre audition Rosier, il me semble avoir dit que ce petit « amusement » comme vous dites commence dès à présent.❞ Un coup de baguette pour permettre à Blossom bouger à nouveau. Le second élève, lui, était toujours immobile. ❝ Rhabillez-vous, mademoiselle Magee. Puisque votre ami semble si impatient de débuter sa retenue, nous allons nous y atteler tout de suite. ❞ Cordelia quitta alors la demoiselle des yeux pour tourner ceux-ci vers sa vraie victime ; cela faisait déjà deux mois qu'elle était dans cette école et enfin, elle avait eu l'occasion de le piéger, de s'occuper de ce misérable sorcier. Il s'était enfoncé là-dedans seul, son arrogance l'avait perdu tout en permettant à sa camarade d'échapper au même sort que lui - oui, bien sûr, ils seront deux à finir dans son bureau ce soir-là mais ce n'était là qu'une infime part de ce que la secrétaire de l'éducation réservait à Rosier. Un sourire mauvais s'installait sur son visage alors qu'elle s'adressait à lui : ❝ Vous répondez à un adulte, vous agressez votre camarade. Une seule retenue en ma compagnie ne vous sera pas suffisante : vous viendrez me voir dans mon bureau chaque soir de cette semaine, après votre repas. Je m'assurerais que vous ne recommenceriez pas. ❞ Un nouveau coup de baguette qui redonna l'usage de son corps à Rosier, cette fois. Le dresser. Voilà la tâche qui incombait à Cordelia Dolohov. Dresser cette abomination de la nature.
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