moi, le magicien,

prénoms : Jane nom : Devereaux nature du sang: sang-mêlé âge : dix-neuf ans date et lieu de naissance : cinq juin, paris (france) nationalité : franco-anglaise année d'étude : neuvième année niveau scolaire : Elle est très douée en métamorphose, sortilèges et potions mais reste relativement " moyenne " dans toute autre matière parcours scolaire : parcours justice magique votre baguette : bois de prunellier, contient une plume d'hippogriffe, mesure environ vingt-sept centimètres, légèrement incurvée au bout, souple et rigide matières favorites : métamorphose, potions matière détestée : botanique, Jane n'a pas la main verte votre patronus : un paon face à l'épouvantard : elle-même, tirée par des ficelles, manipulée particularité magique : aucune

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : amortentia Un sortilège : sortilège du patronus une chanson : la lettre à élise un instrument de musique : un harmonica un bijou : un bracelet une insulte : face-de-troll une phobie : claustrophobie une couleur : violet une créature magique : un scroutt à pétards un sorcier célèbre : Dumbledore un objet moldu : un piano un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : vanille fraise un endroit : le fond du lac un mot doux : casse toi un conte : peau d'âne

généreux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : été quidditch ou lecture : quidditch patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille argent ou amitié : argent st-mangouste ou ministère de la magie : ministère de la magie cavalier ou fou : cavalier balais ou transplaner : transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chat

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Black a été élu, personne ne peut donc contester sa légitimité. Néanmoins, Jane se demande comment il a pu arriver à être élu, et comment il compte gouverner le monde magique anglais. Sa décision d'envoyer sa sbire Dolohov à Poudlard n'a déjà pas vraiment mis Jane de son côté, au contraire. Bref, elle ne l'aime ni le déteste, ce n'est qu'un homme politique peut-être un peu trop ambitieux et rusé.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Pas difficile de détester cette vieille harpie. Dolohov, c'est physique, Jane la haït. Puis, tous ces décrets là, très peu pour elle. Jane est plutôt quelqu'un qui obéit à elle-même plutôt qu'à des décrets plus débiles les uns que les autres. Dolohov, c'est la répression. Et Jane est contre la répression.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Elle s'en fiche, de lui. Et elle est certaine que c'est bien un élève, et non un véritable fantôme. Peut-être que si elle devenait l'une de ses victimes, elle se sentirait plus concernée. En attendant, elle n'écoute que d'une oreille distraite les ragots autour de cette histoire, et se fiche complètement de savoir qui c'est.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Ça, c'est nettement plus intéressant que cette histoire de Fantôme Chapardeur. Jane est tout particulièrement intriguée par l'histoire du buste pleureur de Nicolas Flamel, et c'est certainement le mystère qu'elle tient vraiment à résoudre, pensant qu'il ne s'agit là que d'une histoire de logique et de jugeotte - or, elle espère qu'elle possède les deux. La pièce introuvable, aussi, l'intrigue fortement. Même si Jane n'est absolument pas liée à la fondatrice de Poufsouffle, elle aimerait résoudre ce mystère. Quant au mythe du Grand Dévoreur, cela laisse Jane légèrement ... effrayée et curieuse. Même si elle jurera à haute voix n'avoir peur de rien. Pour le reste, ça la laisse de marbre. A part le farfadet, qui pourrait la faire sourire pour de vrai (sauf s'il s'amuse à venir l'épier sous la douche).

à l'intérieur de ma pensine

La maison était très étrange, mais Jane avait toujours su que sa mère avait des goûts spéciaux. N'empêche que la silhouette de la maison, sa façade, lui donnaient un certain charme. Un charme très rustique, en tout cas. Situé dans les vieux quartiers de Londres, la demeure était plus haute que large, et ne comptait pas moins de quatre étages. Elle avait été construite dans ce qui avait surement dû être une magnifique pierre blanche dans le temps, mais qui désormais n'était plus que grisâtre et abîmé par des morceaux de lierre et de lichen qui paraissaient tout aussi vieux. La peinture de la porte d'entrée et des volets étaient absolument à refaire, et le minuscule jardin avait grand besoin d'un peu de rafraîchissement. Et puis, un peu d'huile dans le portillon noir en fer forgé ne serait pas du luxe, non plus. L'aspect de la maison faisait penser à Jane qu'elle était coincée entre les deux maisons adjacentes, qui elles, paraissaient encore plus vieilles et décrépites. « Celle de gauche n'est plus habitée, la femme qui y vivait est décédée et ses héritiers ont laissé la maison à l'abandon, vraisemblablement », conta la mère de Jane. La mère et la fille se tenait devant la maison, entourées de leur bagage, après que le taxi les ai déposées. Jane avait envie de dire à sa mère que cette maison était bien trop grande pour deux personnes. Malheureusement, elles n'étaient pas que deux. La mère de Jane venait de divorcer de son père, un moldu français dont le mariage d'amour s'était finalement révélé être un véritable fiasco. Jane était née et avait grandi en France, dans la capitale. Après le divorce, sa mère avait décidé de la rapatrier dans son pays d'origine, l'Angleterre. Il avait suffit d'un voyage de " repérage " (comme avait dit la mère, afin de " trouver une maison, retrouver mes marques pour bien accoster ... ") de deux semaines pour que l'ancienne Madame Devereaux ne retrouve " l'amour ". Jane, qui avait été prié d'attendre sagement en France avec son père pendant le voyage de repérage de sa mère, avait donc dû encaisser le fait de changer de pays, mais également de devoir accepter de vivre avec un inconnu et sa fille. Néanmoins, il y avait là quelques avantages. Sa mère lui avait promis une très grande chambre qu'elle pourrait décorer à sa guise ; Jane était bilingue et n'aurait donc aucun problème avec l'idiome local ; et enfin, le nouvel homme de sa mère était un sorcier, et l'usage de la magie pourrait donc se faire discrètement dans le nouveau lieu d'habitation. Or, le père de Jane, le moldu, n'était absolument pas au courant de l'existence de magie. La mère de Jane comptait lui annoncer le jour où Jane serait appelé à étudier à Beauxbâtons. Mais le fait est que rien ne s'était passé comme prévu. D'ailleurs, Jane ne verrait jamais l'école Beauxbâtons, mais plutôt arpenterait les couloirs du collège britannique Poudlard. D'ailleurs, on était en mai et Jane fêterait bientôt ses onze ans, recevant ainsi par la même occasion la fameuse lettre de Poudlard.

« Eh bien, rentrons. J'imagine que Pitt sera là dans pas longtemps, il est parti chercher sa fille et ils vont venir s'installer », annonça la mère de Jane en poussant le portail qui grinçait affreusement, portant dans une main son sac à main et dans l'autre, sa grosse valise. Jane la suivit docilement, en silence. Elle n'était pas spécialement réjouie à l'idée de rencontrer Pitt et sa fille, dont elle ignorait d'ailleurs le nom. Elle savait simplement qu'elles avaient le même âge. Et qu'ils étaient des sorciers. Le hall était carrément minuscule, et donnait presque immédiatement sur la cuisine, qui prenait en fait tout le rez-de-chaussée avec un petit coin salle à manger. « C'est mignon, non ? Pitt a tout restauré, avec l'aide de quelques amis. Tu aurais vu la tête du plancher, avant ! Et les escaliers grinçaient beaucoup plus que maintenant. Ecoute, tu n'as qu'à visiter, ta chambre est au troisième, je te laisse t'installer, moi je dois encore ranger quelques affaires et commencer le dîner pour ce soir, il est déjà six heures ! », ordonna la mère de Jane. La jeune fille s'exécuta, traînant ses effets personnels derrière elle. Elle arriva au premier étage et découvrit un salon et un bureau ("Pitt aura son propre bureau, il travaille au ministère tu sais ", avait dit sa mère) ; puis elle poursuivit au deuxième étage, où se trouvait une chambre et une salle de bains, puis pareil au troisième et quatrième étage. Jane posa ses affaires dans sa nouvelle chambre, dont les murs avaient été fraîchement repeints en blanc, et le parquet semblait également avoir reçu un petit coup de jeune, malgré qu'il était certain que la pose ne datait pas d'hier. L'unique fenêtre donnait sur la rue, et il y avait là son ancien lit ainsi qu'un bureau en bois et sa chaise, et une armoire assorti au fameux bureau. « Magnifique », ironisa Jane pour elle-même. Elle n'avait jamais été très enthousiaste à l'idée de quitter Paris, et était d'ailleurs plutôt de nature pessimiste et asociale. Elle s'installa néanmoins, et s'allongea sur son lit, avant qu'elle n'entende une sorte de clochette sonnait et sa mère l'appelait en hurlant. Lorsqu'elle fut en bas, sa mère lui sourit : « Ça faisait longtemps que je n'avais pas cuisiné avec ma baguette ! Veux-tu bien mettre le couvert, chérie ? Je suis certaine que Pitt n'est pas loin, il sera heureux de voir que le dîner est déjà prêt ». Jane acquiesça, toujours sans rien dire, et s'exécuta. « Au fait, je ne t'ai pas dit, mais Pitt m'a certainement trouvé un emploi au ministère, au département de la justice magique, comme secrétaire mais ça me convient totalement. Je t'avais expliqué que Pitt siège au magenmagot », disait-elle, guillerette. « C'est bien », se contenta de dire Jane. « Chérie, un peu d'enthousiasme, voyons ! Oh ! J'entends une voiture, cela doit être Pitt ! Oh, je n'ai jamais vu sa fille tu sais, j'espère qu'elle sera aimable, même si je n'en doute pas ! », s'exclamait la mère, toute excitée. Et en effet, Pitt et sa fille passèrent le pas de la porte quelques minutes plus tard. Et Jane sut immédiatement qu'elle ne pourrait supporter ni l'un ni l'autre.

**

Jane avait été forcé de revêtir une robe particulièrement hideuse pour l'occasion. La seule chose qui la consolait, c'était qu'Anita - la fille de Pitt - portait la même. Et les deux jeunes filles, qui se détestaient depuis le premier jour, devaient désormais assister sagement au mariage de leurs deux parents. Jane avait eu beau protester, sa mère semblait éperdument amoureuse. A se demander si ce cher Pitt ne lui versait pas une goutte de philtre d'amour tous les matins dans son café. En tout cas, le mariage avait bien lieu, et la mère de Jane prendrait le nom de Pitt. Jane avait parfois envie de rentrer en France, de vivre avec son père. Malheureusement, Charles Devereaux était un artiste incapable de s'occuper de sa fille. Bref, il ne consentirait jamais à l'accueillir dans son appartement, ne serait-ce par peur qu'elle ne renverse un pot de peinture sur le sol, par exemple. Ça lui aurait plus, pourtant, de vivre avec son artiste de père. Et puis, elle avait toujours cru qu'elle irait à Beauxbâtons, et maintenant qu'on lui disait qu'elle allait finalement aller à Poudlard, ça lui procurait une sensation étrange. Comme si on lui avait tendu la main pour la retirer subitement au moment où elle aurait pu la saisir. C'était ... frustrant. Mais pas plus frustrant que de porter cette affreuse robe jaune canari, légèrement froufrouté vers le bas. Jane se tenait raide comme un piquet, dans un coin du jardin où se tenait la petite fête - jardin appartenant à la famille de Pitt. « Tu n'es pas heureuse ? », lui demanda un garçon à côté d'elle. Jane l'identifia comme étant un cousin d'Anita. Il devait avoir onze ou douze ans, autant dire un bébé pour Jane - elle qui avait quatorze ans ... « Ma mère se marie, pourquoi est-ce que je ne serai pas heureuse ? », répondit-elle avec une pointe de sarcasme. Le garçon sourit. « Peut-être que tu n'aimes pas mon oncle Pitt. Ou Anita. Ou les deux ? », reprit-il sur un ton pédagogue. « Ok, je les aime pas. Et alors ? », s'agaça Jane. « Anita m'a dit que tu n'aimais personne, de toutes façons ». Jane le toisa un moment, histoire de bien analyser la tête de ce petit énervant. Finalement, elle détourna le regard et marcha plus loin, plantant là le garçon, qui tenta bien de la rappeler. Mais elle l'ignora, et poursuivit. « Chérie ! Jane ! », s'époumona une femme au bonheur dégoûtant derrière Jane. La jeune fille se retourna, un grand sourire faux aux lèvres, genre " mais oui maman, je suis heureuse pour toi ". Sa mère, en longue robe de mariée blanche, arrivait en courant presque, débordante d'enthousiasme comme à l'accoutumée. « Tu t'amuses bien, j'espère ? », dit-elle en posant sa main sur l'épaule de sa fille, qui lui répondit du tac-au-tac, comme un automate : « La fête est très réussie, maman ». Et ces quelques mots suffirent à contenter la mariée, qui repartit danser avec son époux, d'humeur guillerette. Oh oui, c'était un mariage très réussi. Jane partit s'asseoir et ne bougea presque plus de la soirée.

**

« Pourquoi " justice magique " ? », interrogea Kate, une fille du dortoir de Jane. Cette dernière haussa les épaules, sans rien dire. « Je croyais que tu voulais travailler dans l'art, ou inventer des nouveaux sorts, des trucs du style. Pas siéger au magenmagot comme le père d'Anita, que tu détestes je te rappelle », poursuivit la fille. Jane se demanda en son for intérieur pourquoi Kate s'évertuait toujours à démêler l'indémêlable. Le choix avait été compliqué, oui. Jane s'était sentie tirailler entre plusieurs voies qui pouvaient lui convenir. Jamais elle ne s'était imaginée dans la justice, elle qui était pourtant si injuste avec tout le monde. Mais voilà, le choix avait été fait. Tout ce que Jane voulait, c'était poursuivre la métamorphose. Elle avait un réel don pour ça, et travaillait depuis quelques temps sur l'animagie. Elle avait de l'ambition, aussi. Elle n'avait pas envie d'être comme sa mère, simple secrétaire d'un mari trop gentil pour être sincère - au goût de Jane. « Je ne finirai pas au magenmagot, Kate. Crois moi », finit-elle par répondre. Elle aurait pu ajouter " plutôt mourir ", mais elle s'en était gardée. Inutile d'en rajouter. Kate hocha la tête, et reprit en se roulant sur le lit de sa camarade, qui la regardait d'un air absent : « Tu m'rassures, alors ». Ça sonnait comme un mensonge, mais Jane ne répondit rien. Elle avait toujours l'air de se détacher des choses - peut-être un peu trop, d'ailleurs. Elle paraissait se foutre de tout, mais en apparence seulement. Au fond, elle n'était que le fruit d'une mère trop joviale et d'un père trop lunatique.

méfaits accomplis,

ton pseudo : desfois aura, mais bon j'suis plus une SPF (sans pseudo fixe)
ton prénom : .
ton âge : presque dix-huit, tiens
ton avis sur le forum : moche, inutile, trop méga-archi-nul.
comment as-tu transplané ici ? via un portoloin placé sur bazzart
ta disponibilité : 7j/7, 24h/24. nan j'rigoooooole. Mais souvent, quand même.
ton avatar : abbey lee kershaw
ton personnage : inventé
le mot de passe : validé par Laeti.
une dernière volonté : hp, c'est le bien

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Jane Devereaux ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serpentard, chez les ambitieux et malins serpents ! Ce choix était une évidence car tu es une jeune fille maligne et ambitieuse, à tendance plutôt solitaire. Ainsi, te voici dans la verte et argent. Tu dois savoir que la salle commune est ici et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. L'histoire du personnage m'a énormément plus, de même que sa personnalité J'ai beaucoup aimé ta fiche et ton style est juste à tomber

Jane, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous