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 La faim (Sybille)

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Sylphus Glaucus
Sylphus Glaucus

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MessageSujet: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyDim 24 Juin - 21:12

Sylphus se réveilla en pleine nuit dans ses appartements avec une faim de loup. L'estomac de l'antipathique homme cheval se mit a grogner, et le centaure rala comme un cochon, déja que Sylphus avait vraiment très mauvais caractère. Il décida donc de s'octroyer une petite virée en cuisine. Si Sylphus méprisait les sorciers, qu'il traitait copieusement de vermicrasse, verminasse, veracrasses, barbare au bout de bois, sauvages et autres petites gentillesses de ce genre comme bouse d'hypoggrifes, avec le regard hautain en cadeau, il avait au contraire énormément d'estime pour les pauvres elfes de maisons qui se tapait tout le boulot du chateau, parce que ces pauvres barbares a baguette n'étais mème pas fichu de s'avoir s'allumé un feu avec des allumettes moldues. Et ça se prétendais supérieur aux autres ? Laissez-le rire, sans magie, ils ne sont RIEN mais RIEN de chez RIEN ! Les centaures, eux, c'étais les meilleurs, les sorciers, ces erreurs de la nature qui n'aurais jamais du existé, qui été nés pour pourrir la vie des ètres féeriques avec leurs decréts débiles, les privant de liberté par la mème ocassion, les mages devrait lécher les sabots des centaures, et a genoux en prime. Le centaure antipathique se prit une nouvelle fois a imaginé les magiciens du Ministère a genoux devant lui en train de lui demandé pardon pour la mort de ses parents. Si ses géniteurs n'avait pas subi un sort aussi cruel que l'exécution par erreur, peut ètre que l'enseignant n'aurais pas pris cette voie du mépris, et que cette blessure, cette souffrance au tréfond de son coeur, ce sentiment de solitude n'aurais jamais existé.

Sylphus allat frappé a la cuisine et demanda poliment aux elfes qu'ils lui servent une charlotte au chocolat avec un morceau de dinde. Il plaignais vraiment ces créatures, soumise a ces saletés de sorciers qui se croyais tout permis, alors que sans leurs pouvoirs, ils n'étais rien que des tas de bouse d'hypoggrifes.

En parlant de magicien, alors que le professeur de Divination s'attaquais a son morceau de viande, la porte de la cuisine s'entrouvrit et Sybille y pénétra. Il lui jeta un regard méprisant et un rictus hautain apparut sur son visage. Il gonfla une nouvelle fois son torse, savourant le sentiment de supériorité vis a vis des sorciers.

-Je te souhaite le bonjour, petite véracrasse .

Oh oui que c'étais bon ce sentiment d'ètre fort et puissant par rapport a ces imbéciles a chapeau pointus incapables et ignares en prime, il ne voulais mème pas les vouvoyer, sauf Dubledore envers lesquel il avait un minimum de respect. Heureusement qu'il savait tout de mème se contenir pendant les cours, sinon ça fais depuis un bail qu'on l'aurais renvoyé. Disons que malgré le fais qu'il soit anti-sorcier, il expliquais très bien les cours, mème si c'étais a des gamins qui détestait la divination. Les jeunes magiciens sont tellement débiles, aussi crétins que les adultes, qu'ils arrivent mème pas a comprendre des trucs on ne peut plus simples comme la position des étoiles et son importance dans le secret de ce noble art qu'est la Divination. Les sorciers le dégoutait. Lui donnait envie de gerber. Qu'ils soient nés moldus, sang pur ou mélé, il n'en avait vraiment rien a secoué. Le centaure continua d'un ton méprisant:

-Je savais que les véracrasses été nés pour pourrir la vie des ètres magiques, mais au point de me coller jusqu'a la cuisine tu fais fort, la barbare a baguette.
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Sibylle G. Hipworth
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyVen 29 Juin - 19:17

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La faimft Sylphius et Sibylle

Sibylle venait une fois de plus de cauchemarder. Elle ne supportait plus de faire autant de cauchemars. Elle ne pouvait plus de voir le visage de sa mère dès qu'elle fermait les yeux. Elle n'en pouvait plus de savoir que c'était la dernière image qu'elle avait de sa mère. Elles s'étaient quittées sur de la colère, sur une dispute... à présent, la mère de Sibylle était morte des suites d'une maladie magique très contagieuse. Pendant plus d'un an, le professeur n'eut pas de contact physique avec sa tendre mère et le soir de sa mort, elle avait déclenché une dispute. Sibylle en était certaine, c'était par sa faute que sa mère avait succombé dans la nuit. Et même si les médicomages lui en avaient dit le contraire, sa conscience lui disait bien qu'elle en était responsable.

Et voilà ce qu'il se passait lorsque la jeune femme oubliait de prendre sa poussière de rêve avant de s'endormir... elle revivait cet ultime moment avec sa mère. Sibylle la suppliait de ne pas se mettre en colère, que cela serait dangereux pour sa vie. Mais les réponses qui sortaient des lèvres de la jeune femme étaient les mêmes qu'elle avait sorti à sa mère se soir là. Et sa mère prononçait les même propos que le soir de sa mort. Sibylle le savait, ces mots avaient été gravés dans sa mémoire. Une fois réveillé, Sibylle était incapable de se rendormir sans avoir au moins débuté une phase de digestion. Elle décida donc de partir manger.

Vêtu de sa nuisette en soie blanche, elle se leva de son lit et sorti de sa chambre en ayant attrapé au préalable une robe de chambre noire en grosse laine. Elle traversa les couloirs de Poudlard pour finir par arriver dans les cuisines du château. Sibylle avait toujours été impressionnée par l'activité des elfes de maison. Elle les salua et se stoppa lorsqu'elle entendit une voie qui lui était familière Sylphus, le centaure/professeur. Elle tourna alors son regard vers le centaure mais ne lui répondit pas, encore sous le choc de son cauchemar et se dirigea vers le garde manger.

Bien qu'elle avait une très grande curiosité pour le centaure et qu'elle adorait le rendre fou, lui, totalement asociale, elle n'en avait pas envie se soir là. Elle attrapa du pain de mie, du jambon, de la salade, de la mayonnaise, des cornichons et des oignons. Mais le centaure, qui pour une fois avait une chance de s'en trouver tranquille, renchéri sur ces paroles. La jeune femme posa alors son regard sur le centaure lui faisant un sourire exagéré. Elle réalisa son sandwich dont elle tenait la recette de sa mère, prit un verre de jus de citrouille puis alla s'asseoir face au centaure.

«Dis moi. Tu es grand pour un centaure ? non parce que ton arrière train ressemble plus à celui d'un poney plutôt qu'à celui d'un cheval.»

Provoquante ? c'était peu dire, elle l'avait décidé de l'être en se soir de mauvaise humeur. Sibylle avait toujours eu le souvenir d'être aimable avec lui. Collante certes mais aimable. Le centaure quant à lui, avait toujours eu le don d'être mauvais avec les sorciers. Le professeur ne connaissait pas la vie du centaure et donc la raison de sa haine des sorciers mais sa curiosité était beaucoup plus forte. Elle qui était anatomiste, elle se devait d'en apprendre sur cet être mi humain mi cheval... ou poney. Et encore, elle aurait pu utiliser le terme de Shetland.
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Sylphus Glaucus
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyVen 29 Juin - 19:53

Le centaure été en train de boire un jus de citrouille quand les paroles de la barbare a baguette fusa dans la pièce:

«Dis moi. Tu es grand pour un centaure ? non parce que ton arrière train ressemble plus à celui d'un poney plutôt qu'à celui d'un cheval.»

Les mots qu'il ne fallais pas dire, surtout devant un centaure asocial avec les magiciens. Sylphus éprouvais l'envie de la giflée et de lui faire voir que l'ètre supérieur dans cette cuisine c'étais lui ! Le professeur de divination se leva et s'approcha d'un air menaçant de la demoiselle:

-Toi ! Oui toi l'inférieure a ma noble personne, répète ce que tu vient de dire ?

L'asocial gonfla ses muscles puissants pour lui faire peur, et l'impressionée aussi pour lui faire voir qu'il été plus imposant qu'elle et que, surtout, il ne rigolais pas le moins du monde. Depuis la mort de ses parents il n'avais plus ri, engendrant ce qu'il été aujourd'hui, Sylphus n'avais plus jamais dévoilé son rire et avait l'impression de ne plus jamais retrouvé le sourire, ou alors c'étais un sourire méchant. Il n'en avais plus aucune envie. Pas sans eux. Les liens familiaux entre centaures sont souvent très forts. Il avait juste perdu sa joie d'avant, totalement enfermé sous le vernis de cette méchanceté.

-Comment ose tu m'insulté petite ? Je ne suis pas un mignon petit poney que tu peut promené a ta guise, sale sorcière.

Sylphus s'approchais dangereusement de sa collègue, le centaure associal s'arreta a quelques centimètres tandis que son regard se plongea dans le sien.

-Misérable petite véracrasse. Tu est pire qu'une satanée sangsue qui ne me lachera jamais.

Sylphus la toisa méprisament puis tourna le dos d'un air altier et digne avant de regagner sa place et de continuer son repas, buvant lentement le jus de citrouille. Il jetait de temps en temps des yeux dédaigneux a sa congénères d'anatomie.

Petite humaine stupide qu'elle été !

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Sibylle G. Hipworth
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyDim 1 Juil - 16:32

La faim (Sybille) Ryan_r10La faim (Sybille) Billie25
La faimft Sylphius et Sibylle

La jeune femme observa attentivement le centaure face à elle se lever et s'approcher, trop brusquement d'elle. Elle essaya de tenir et de ne pas se reculer en arrière face à lui. Elle n'irait pas jusqu'à dire qu'elle avait peur... non, elle dirait plutôt qu'elle était intimidé par l'idée de recevoir un sabot dans la tête. Car de façon surprenante, elle l'en savait parfaitement capable.

Et dans un autre sens, Sibylle n'avait envie que d'une seule chose, rigoler. Le centaure semblait se prendre pour plus qu'il n'était. La sorcière n'avait jamais été du genre à penser qu'ils étaient supérieurs ou inférieurs aux autres. Non, elle avait toujours considéré que chaque être vivant avait le droit à la même place dans la société et au même respect.... et par extension au même provocation.

Lorsqu'elle entendait le centaure parler, elle avait l'impression d'être face à ces familles de sangs-purs qui se croyaient bien supérieur aux nés-moldus et cela lui donnait envie de vomir. Néanmoins, elle décida qu'il n'était pas nécessaire de répondre au centaure, du moins, pas temps qu'il n'était pas un peu plus loin d'elle. Ce dernier pensera probablement, qu'il avait réussi à lui clouer le bec, mais non, jamais Sibylle ne se taira. Ignorant la bête, la jeune femme mordit une grande boucher dans son sandwich. Après un long soupire, elle reposa son regard sur le centaure.

«Tu sais, tu parles d'insulte mais qui de nous deux à commencer par insulter l'autre ?»

Sibylle n'avait pas l'intention de laisser passer cela. Elle l'avait provoqué, elle devait bien l'avouer mais toutes ces fois où elle s'était montrée aimable et simplement curieuse, le centaure s'était montré insultant.

«Non parce que prenons l'exemple de là. Si tu n'avais pas parler et commencé à m'agresser, je n'aurais probablement pas remarqué ta présence. Mais tu m'as provoqué en m'insultant comme cadeau de bienvenue dans cette cuisine. Alors oui, je m'intéresse à toi car tu es un être vivant particulier, une totale curiosité pour moi. Mais je me suis toujours gardée de ne pas t'insulter. Se soir, tu t'es cru le centre du monde. Arrête de penser cela.»

Oui, Sibylle avait maladroitement voulu le remettre à sa place. Bien sur, comme beaucoup de domaine, elle s'était montrée gauche et vexante, mais elle assumait cette part de brutalité chez elle.
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyDim 1 Juil - 19:25

Sylphus fit semblant de ne pas l'écouté. Il arreterais de pensé cela quand les sorciers disparaitront de la surface de la planète pour leur fiche la paix, a eux les créatures et que tout redevienne comme avant. Qu'ils puissent faire des métiers sans avoir ces imbéciles sur le dos qui avait droit de vie ou de mort sur eux tel des dieux.

-Je te retourne le compliment. Ce n'est pas plutot toi qui te croit le centre du monde la bipède ? Nous les centaures c'est normal, nous sommes les meilleurs et les plus forts de cet univers. Ce n'est pas moi qui me prend pour l'épée de Damoclès que je sache. D'ailleurs de quel droit vous avez la permission de nous tuer gratuitement vous les sorciers ? Qui nous condamné a vivre dans les forets ? Qui a réduit les elfes de maisons en esclavage ? Qui a massacré les géants qui n'avait rien demandé ? C'est vous les magiciens. Alors qui c'est qui se prend pour des dieux ici hein ? Avant votre arrivée nous étions cent fois heureux, vous nous avez pourri la vie et vous continuez de la pourrir, vous ne savez que faire du mal et faire souffrir. Je n'appartient a personne mis a part a l'école et personne n'a droit de vie ou de mort sur ma noble existence, je fais ce que je veut de ma vie et vos lois n'y changeront rien. Si je veut ètre professeur je le suis, si je veut ètre herboriste c'est pareil. Et vous, les barbares a baguettes avec vos decrets stupides vous n'y changerais rien. Cracha t'il, haineux.

La haine montait dans son corps quand il se rappelais la mort de ses parents, exécutés froidement par des membres du Ministère par erreur en plus. Sylphus révais de vengeance sur un Ministère qu'il craignais et haissait en mème temps. Le mal été fais et rien ne lui ramènerais jamais ses parents qu'il ne reverrais plus jamais a cause des sorciers. L'homme cheval essayait de se contenir difficilement pour évité de lui balancé un coup de sabot sur la tète qui signifierais son renvoi. Car, au plus profond de son coeur blessé et détruit qui souffrais, il aimais cette école, avant l'arrivée de la Dolomachin ça avait été sa maison mème si il n'avais pas osé l'avouer, par fierté encore. Ca l'étais toujours mais il fallais se débarrassé de cette femme. Un éclair rapide de souffrance et de solitude passa dans ses yeux. Mais il reprit rapidement son air méprisant. Oui ces barbares l'avait fais souffrir en le rendant très tot orphelin et en le privant de ses géniteurs.

-Moi au moins j'ai pas besoin d'un vulgaire bout de bois ridicule pour faire des tours. Sans votre magie, vous n'ètes rien que ces moldus que vous méprisez.

Un ricanement de dédain sorti de ses lèvres avec un rictus méchant comme il savais si bien le faire avant de replongé dans son jus de citrouille. Les elfes de maisons s'activaient autour d'eux a nettoyer la vaiselle, balayer etc. Sylphus avait pitié d'eux. Vraiment pitié d'eux.


Dernière édition par Sylphus Glaucus le Jeu 19 Juil - 18:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyJeu 19 Juil - 17:02

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Sibylle écouta le centaure et elle laissa un rire nerveux s’échapper. Elle n’était pas d’humeur et ce centaure commençait à lui taper sur les nerfs. Elle était certes curieuse pour son anatomie mais elle ne supportait plus le comportement de ce centaure. Il se disait intelligent et noble et pourtant, il faisait des généralisations. Jamais elle n'avait vu une personne aussi prétentieuse que lui. Son opinion changeait radicalement sur le poney. Elle qui avait de la pitié pour la solitude de cet être commençait à se dire qu’il méritait cette solitude.

«Alors je vais déjà te mettre les points sur les i, ponita. Je suis issue d’une famille moldue. Tu me juges sans me connaître. Je ne suis pas du genre à utiliser ma baguette à tout va. Je ne suis pas du genre à profiter des elfes de maison. D’ailleurs, m’as-tu vue faire appel à eux quand je suis venue ? non, ok ! et si je n’avais pas de magie, je m’en porterais pas plus mal.»

Sibylle se redressa et laissa tomber son sandwich dans l’assiette. Elle avait une moue de dégout en regardant le centaure et ce dernier lui avait coupé l’appétit.

«Franchement, je devrais t’enregistrer. Tu te crois supérieur aux autres ? la bonne blague. Tu n’es pas supérieur. Tous les êtres vivants sont égaux. Tu mets l’erreur fanatique des sorciers d’il y a 100 ans sur les sorciers d’aujourd’hui, et en particulier sur moi ce soir. Tu ne sais pas ce que j’ai vécu, tu ne me connais pas et pourtant tu te permets de me juger. Connais-tu seulement la définition de la noblesse ? J’en doute, car tu es loin de l’être. Tu es juste un vieux canasson amer incapable de faire la part des choses. A une époque, j’avais de l’admiration pour les centaures et de la curiosité mais grâce à toi, je me suis rendue compte qu’ils étaient des abrutis. Comme toi, je fais des généralités à présent. A con, con et demi.»

Sibylle se leva alors et prit son assiette pour la vider dans une poubelle, elle se dirigea ensuite vers un éveiller et commença à nettoyer manuellement son assiette malgré les plaintes d’un elfe de maison la suppliant de le faire pour elle. Elle ne supportait pas de se sentir juger pour des actions qu’elle n’avait pas fait. Elle n’avait jamais dit qu’elle était d’accord contre la persécution des êtres magiques. Non, jamais mais lorsqu’elle se retrouvait face à des êtres comme cela, elle devenait séduite par cette persécution. Elle nettoyait énergiquement. Sa colère qui était bien présente lui offrait un trop plein d’énergie et elle avait besoin de se dépenser. A défaut de pouvoir faire autre chose à présent, elle martyrisait la pauvre petite assiette qui pour sur serait bien nettoyée. La jeune femme sentait des mouvements derrière elle. De toute évidence le centaure bougeait mais elle n’en avait rien à faire. Sibylle n’avait pas peur de lui et elle était prête à lui prouver. Si il avait besoin de le remettre à sa place, elle s’en chargerait sans la moindre hésitation, si il avait envie de se faire une ennemie plutôt qu’une alliée dans l’école, il n’y avait pas de problème pour Sibylle.



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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyJeu 19 Juil - 19:49

Il y avait le Sylphus enfant, joyeux naif et doux qui croyais que son clan et ses parents serait toujours a ses cotés pour le protéger. Aujourd'hui il y avait l'amer et le détestable centaure solitaire. Et le centaure pensait que le Sylphus d'avant été mort avec le décès immonde de ses parents. Mort a jamais. Tout les ètres sont égaux ? non mais laissez le rire ! Comment ça se faisais alors qu'un centaure regardait avec béatitude deux sorciers d'une grande beauté au dessus d'eux.

-Stupide et idiote sorcière immonde, les ètres ne sont pas tous égaux dans le monde. Demande aux statues du Ministère, elle te le dira certainement. Ou bien a mes parents.. ah mais c'est vrai qu'ils ont eue la tète tranchée par des gens de ton engeance devant mes yeux d'enfant pour un crime qu'ils n'ont pas commis donc c'est pas possible. J'ai au passage tout bonnement adoré le manque d'humanisme avec lequel on les a éxécutés. Je ne pardonne pas. Chez nous la famille est une chose importante, encore plus que chez vous. Si vous connaissez ce mot la, je ne crois pas. Fit t'il en se demandant si depuis les véracrasses du Ministère avait réalisé l'erreur qu'ils avait commis en tuant ses parents qui n'avait rien fais et qui n'avais mème pas pu s'expliquer en prime. Ils avait donc du se résigner a mourir.

Elle venait de le traité de canasson la sale sorcière de malheur? Les poings du centaure se crispèrent de haine et de dégout. Malheureusement il ne pouvais pas la frappé ni la giflé sous pretexte qu'elle été sa collègue et puis bon il voulais pas perdre sa place de professeur de Divination. Si il n'étais pas retenu par son poste, sur qu'il l'aurais frappée depuis déja belle lurette pour une telle insulte envers sa magnifique personne. Cette sale sorcière ignorais ce qu'il pouvais ressentir, qu'a partir de la mort de ses parents il avait grandi sans leur amour. Certes il avait muri dans un clan de centaure, mais l'affection de parents manquais quand mème.

-Sale humaine comment ose tu ? petite sangsue collante et puante ! Tueuse de centaures !

Il dut encore une fois se levé et approcha méchament de la sorcière, la regardant avec tout le mépris dont il été capable, bombant son torse pour lui faire peur et l'effrayée.

-Un conseil, je ne veut plus jamais te revoir devant mes yeux sorcière, rien que t'observer me donne envie de vomir. Et de plus notre race est la plus magnifique du monde magique. C'est toi l'idiote ici. Tu n'a pas les faveurs de ma noble personne, et la prochaine fois que tu me pose des questions sur mon anatomie et la forme de mes os, ça risque de très mal aller. Sangsue.

Il l'attrapa par le col de son pyjama mais ne fit rien de plus, plantant ses yeux haineux dans ceux de la professeur. Des yeux ou on pouvais lire le mépris et l'arrogance, mais aussi au fond une lueur qui pouvais prouvé que le Sylphus d'avant n'été pas aussi mort qu'il pouvait le pensé, et que son coeur été toujours présent sous ce caractère qui s'étais peu a peu collé a son ame avec le temps. Pour preuve il arrivais a apprécier sans le reconnaitre et l'avouer certains sorciers.

Peut ètre restais t'il un espoir pour que tout change. Il ne fallais jamais dire fontaine après tout et il ne fallais jamais penser que rien ne pouvais évoluer.
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyMer 25 Juil - 13:16

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Sibylle laissa faire le centaure. Elle savait que certaines personnes étaient imbu d'elle même mais elle ne savait pas qu'il était possible d'atteindre un tel narcissisme. Sibylle ne pouvait pas dire le contraire, elle avait légèrement peur de la force du centaure et particulièrement lorsqu'il lui attrapa le col de sa robe de chambre. Mais elle n'eut pas le temps d'y penser car elle était particulièrement colère. Il avait osé lui dire qu'elle n'avait pas le sens de la famille, elle qui ne se remettait pas de la mort de sa mère. Il avait osé la qualifier de tueuse, elle qui était persuadée que la dispute qu'elle avait eu avec sa mère le soir de sa mort avait causé sa perte.

De colère, Sibylle attrapa l'assiette qui comportait son repas et la brisa sur la tête du centaure. Ce dernier fut légèrement déboussolé, suffisamment pour qu'il la lâche. Elle se recula alors et sorti sa baguette, la pointe vers le centaure. Sibylle se trouvait à plusieurs mètres de lui. Elle ne voulait plus qu'il la touche.

«Non mais tu t'entends. Tu crois être le seul à avoir perdu ta famille ?!? Tu n'es qu'un égoïste!! Tu te dis intelligent, mais tu n'es qu'un idiot. Ma famille est l'une des choses les plus importantes à mes yeux et je l'ai perdu. Alors je t'interdis de me parler de mon sens de ma famille. TU NE ME CONNAIS PAS» cria-t'elle comme une hystérique. « Tu me qualifies du tueuse alors que je n'ai jamais fait de mal à la moindre personne, au moindre être magique, au moindre animal. Tu juges, tu juges et tu fais des généralités c'est tout ce que tu sais faire. Les sorciers ne sont pas tous les mêmes. Chaque individu est unique et doit être traité comme tel !!!»

Sibylle avait la voix tremblante. Elle était en colère. Ces pupilles étaient dilatées et elle ne quittait pas le centaure des yeux. L'accusant de tueuse, le centaure avait fait resurgir sa principale haine contre elle même.

«Notre race est la plus magnifique du monde magique. Puff. Tu parles de tolérance avec ce genre de propos. Mais juste un truc, c'est que ta race si magnifique et pure qu'elle soit. Tu restes pour moitié un homme ! pour moitié un sorcier, pour moitié tout ce que tu détestes!... tu vois, je suis quelqu'un de particulièrement tolérant. Oui, franchement. Je ne suis pas du genre à prôner la suprématie de la race ou même du sang. Je suis même le genre à encourager la liberté des elfes de maisons. Mais ta colère, ta haine te rend aveugle de tout geste de sympathie. Si tu hais tant les sorciers, que fais tu dans cette école ? Tu es censés éduquer les sorciers de demain. Si tu as un tel comportement envers eux... il n'est pas difficile de comprendre pourquoi ils approuvent la politique de rejet des centaures. Tu créés ton propre mal.»

Sur ces mots, Sibylle se sentant craquer, quitta la cuisine. Elle courut vers sa chambre où elle se serait définitivement en sécurité. Elle n'avait pas écouté les répliques du centaure. Elle n'avait envie que d'une seule chose, pleurer. Cet hybride avait réveillé en elle la culpabilité qu'elle cherchait tellement à refouler en elle. Elle allait passer une nuit blanche et demain se porterait probablement malade.

PS: je te laisse le clore si tu le souhaites ^^
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MessageSujet: Re: La faim (Sybille)   La faim (Sybille) EmptyMer 25 Juil - 23:47

C'est la que Sylphus réalisa, dans son coeur, qu'il était aller beaucoup trop loin. Les mots ont parfois plus d'impact que les gestes. Au fond, tout au fond, le Sylphus d'avant, doux, commençait a ressurgir légèrement sur le méchant centaure solitaire et aigri. Il suffit de paroles et de realiser qu'on pouvais aller trop loin. Surtout qu'elle aussi avait perdue sa famille. Ca lui faisais réaliser qu'il n'étais pas tout seul.

La demoiselle parti en courant dans sa chambre, et Sylphus, pour une fois, la suivie. La réaction et les mots de la professeur eurent un certain déclic dans son esprit, un truc qui fit que doucement, il entrouvrit la porte de la chambre de sa collègue. Qu'il s'approcha d'elle. Et qu'il prononça ces mots.

-Mes parents ont eue la tète tranchées devant moi. On les a attachés a un arbres, on a levé la hache, j'étais très petit. Ils ont été éxécutés pour un crime qu'ils n'avait pas commis. Je me dois de me venger, de les venger et de le faire payer aux sorciers. J'ai beaucoup de haine, de colère, que je dois évacuer. Je suis désolé.. mais ils doivent payer ce qu'ils nous font chaque jours. C'est tout. Tu sais ce que ça fais de voir ton père et ta mère se faire tuer par un sale verminasse de sorcier qui ne ressent aucune émotion a enlever une vie qu'il considère inférieure a lui ? Pour vous, on est rien d'autres que des sales bètes qui hénissent ! C'est tout. On est meme pas capable de ressentir. C'est vous qui avait fais ce que je suis devenu aujourd'hui. Après tout je ne suis qu'une bète qui ne sait que hénnir, grogner et tirer sur tout ce qui bouge. Termina t'il finalement d'un ton aigri en tournant le dos, la laissant mariné dans ces paroles, son trot s'éloignant de la demoiselle sans la regarder.

Sylphus voulais effectivement se venger, peut ètre que utilisé la pensine de Dumbledore pourrait l'aider, la pensine des souvenirs. Mais Sylphus été rebuté a l'idée de toucher quelque chose qui avait un rapport avec la magie, et quand il se forçais, il allait se laver au plus vite dans un lavabo. Très rebuté mème si ça devait l'aider a ne plus souffrir, a ne plus se promené avec la douleur perpetuelle au coeur qui le faisait devenir de plus en plus méchant et acariatre. C'étais la souffrance en lui qui provoquais cet abominable comportement, qui avait enfoui le gentil Sylphus dans une partie de son coeur, scellé et enfermer a double tour !

Tout comme la sorcière de Kirikou, qui été méchante parce qu'elle avait une épine au pied, lui il été acariatre parce qu'il avait une horrible épine dans son coeur qui prenait la forme du décès de ses parents et de l'affection qu'il avait eue pour eux.

Sylphus alla se coucher dans ses appartements lui aussi, couché sur une couche de paille, il essayait de fermer les yeux, mais ce que lui avait dit Sybille tournicotais dans sa tète comme un disque de musique bloqué sur repeat.

«Notre race est la plus magnifique du monde magique. Puff. Tu parles de tolérance avec ce genre de propos. Mais juste un truc, c'est que ta race si magnifique et pure qu'elle soit. Tu restes pour moitié un homme ! pour moitié un sorcier, pour moitié tout ce que tu détestes!... tu vois, je suis quelqu'un de particulièrement tolérant. Oui, franchement. Je ne suis pas du genre à prôner la suprématie de la race ou même du sang. Je suis même le genre à encourager la liberté des elfes de maisons. Mais ta colère, ta haine te rend aveugle de tout geste de sympathie. Si tu hais tant les sorciers, que fais tu dans cette école ? Tu es censés éduquer les sorciers de demain. Si tu as un tel comportement envers eux... il n'est pas difficile de comprendre pourquoi ils approuvent la politique de rejet des centaures. Tu créés ton propre mal.»

Sur ces derniets mots, le centaure finit par s'endormir profondément vers quatre heure du matin, les pattes repliés sous son ventre équin. Etais ce normal que ces paroles avait trouvé en lui un certain écho ?
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La faim (Sybille)

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