moi, le magicien,

prénoms : Merwyn Machiavel nom : Prewett nature du sang: pur âge : 45 ans date et lieu de naissance : 29/08/1935 à Athlone nationalité : Irlandaise profession : professeur de vol sur balais et sport magique. Oui, pas vol sur hippogriffe, banane. Ce choix était évident pour moi. J'ai été joueur de quidditch plus jeune, puis je suis passé de joueur au poste d'arbitre. A 40 ans, j'ai décidé d'arrêter. Mais l'appel de mon fidèle balais était plus fort que tout. Cependant voler pour mon seul plaisir, ce n'était pas suffisant. je me devais de faire partager ma passion aux p'tits jeunes qui vont bientôt nous remplacer. ancienne maison : Gryffondor statut matrimonial : célibataire votre baguette : bois d'oranger, plume de phénix, 30,7 centimètres, particulièrement souple, elle est incurvée et a des prédispositions pour les potions. matières favorites : vol sur balais et l'étude des balais. Est-il réellement nécessaire de préciser pourquoi ? matière détestée : histoire de la magie. En fait si, j'aimais bien, c'était l'heure de la sieste pour moi. votre patronus : un héron face à l'épouvantard : Je me vois complètement désartibulé, à cause d'une mauvaise concentration lors d'un transplanage qui m'est bel et bien arrivé. Depuis, je préfère marcher. particularité magique : aucune, sauf peut-être l'agilité exceptionnelle sur un balais.

l'interrogatoire des aurors,

une potion : le polynectar Un sortilège : tarantallegra une chanson : il y en a beaucoup trop. London Calling par The Clash, entre autre. un instrument de musique : une guitare sèche. Il m'arrive d'en jouer de temps en temps, même si je ne suis pas un professionnel. Le son de cet instrument m'apaise. un bijou : bien que cela ne soit pas pratique pour voler, je porte quelques chaînes en argent. une insulte : dégage, enflure de troll une phobie : transplaner. La transplanophobie est très problématique pour les sorciers, mais malheureusement, cela existe. une couleur : l'ocre une créature magique : les dragons un sorcier célèbre : Roderick Plumpton : en 1921, cet homme a attrapé le Vif d'Or en trois secondes et demi. Je déconne pas, trois secondes et demi. un objet moldu : je trouve leurs voitures très pratique si vous voulez mon avis un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : noix de coco un endroit : un terrain de quidditch un mot doux : mon cœur un conte : Le Cœur Poilu du Sorcier

généreux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ lâche ; travailleur ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : été quidditch ou lecture : quidditch patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille argent ou amitié : amitié st-mangouste ou ministère de la magie : sainte-mangouste. Il y a trop de magouille au ministère. cavalier ou fou : fou balais ou transplaner : je prendrai mille balais pour éviter de transplaner elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : astronomie chat ou chien : chien

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Ça ne m'enthousiasme pas plus que ça. J'ai grandi dans une famille où l'on accueillait de temps à autre quelques membres de la famille Black. Moi, je les évitait, j'aimais pas l'aura qu'ils dégageaient, et franchement, je ne l'aime toujours pas. Mais de par les dires que j'ai pu entendre, leurs principes de sont pas des plus agréables. Ils sont persuadés que ce qu'ils pensent est la marche à suivre pour tout bon sorcier digne de ce nom. Digne au sens propre, la majorité des sorciers ne le sont pas aux yeux ds Black ...J'attends de voir ce que ça va donner, mais à mon avis, rien de bien réjouissant.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Elle est l'incarnation de ce que pourrait être une catastrophe scolaire. Ces règles sont inutiles et ça n'arrange personne, moi le premier. Elle est tellement vieux-jeu ! Interdire les étudiants de s'embrasser, non mais, où est-ce qu'on va, je vous le demande ? Nul part, c'est tout à fait ça, c'est du grand n'importe quoi. Je ne l'aime pas, et elle le sait très bien. Je n'arrête pas de lui faire remarquer que son rôle dans cette école est un désastre.

Quel est votre souvenir le plus douloureux : Ce n'est pas compliqué : mon transplanage raté. Je venais d'avoir mon permis, à 18 ans. Ouais, je l'ai eu avec un an de retard, je ne l'ai pas eu du premier coup. On pouvait déjà deviner que ça allait mal finir cette histoire ... Et pourtant, je l'ai eu ce permis. Quelques mois plus tard, on partait en vacance avec toute la famille. Avec trois membres de la famille qui transplanaient, mes parents et moi, et trois qui n'avaient pas encore la majorité pour passer le permis de transplanage, c'était le parfait équilibre : on pouvait prendre chacun une personne avec nous pour transplaner. C'était plutôt une sacrée longue distance, on devait transplaner d'Irlande en France. Ne vous moquez pas, pour moi c'est énorme. Je m'étais donc concentré sur notre destination, ma sœur était accrochée à moi. J'avais fermé les yeux, et une fois les yeux ouvert, j'étais toujours dans le salon de notre maison. Rectification : ma tête, mes pieds et mon bras droit était dans le salon. Le reste avait réussi à s'expatrier en France avec ma sœur, qui fort heureusement, n'avait pas subi de désartibulation. Ça fait encore rire mes frères lors des repas de famille, quant à moi, ça m'a traumatisé à vie.

à l'intérieur de ma pensine

rp guidé : fiasco à la banque


Merwyn détestait aller à la banque. Rien ne pouvait concurrencer quelque chose d’aussi ennuyeux, sauf peut-être les cours d’histoire de la magie. Mine de rien, lorsque l’on a besoin d’argent, il faut bien aller le chercher. Merwyn se leva assez tôt ce matin-là « pour éviter de faire la queue » avait-il pensé tout à son honneur. Les yeux encore à demi-clos, il fit sa toilette et se prépara ensuite un bon petit déjeuner. D’aussi longtemps qu’il se souvenait, il n’en n’avait jamais raté un. En tant qu’ancien sportif, il se devait d’avoir une nourriture saine à table et prendre soin de son corps. Ça, c’était ce qu’on lisait sur le papier. En effet, Merwyn était un gourmand, certes raisonnable, mais qui aimait se faire plaisir. Ainsi, une bonne journée se devait de commencer par un bon petit déjeuner.
Il n’était pas encore huit heures quand il décida de quitter son domicile pour partir à la banque. Quand je vous disais qu’il était tôt … Vêtu d’une épaisse veste, de ses lunettes et son chapeau, il prit soin de fermer la porte derrière lui et commença sa marche. Merwyn ne transplanait pas. Il ne transplanait plus depuis ses dix-huit ans, depuis qu’il a subi une forte désartibulation qui l’a marqué brutalement. Ses membres s’en souviennent encore. Et puis une bonne marche, c’était excellent pour la santé. Si vous le faites tous les jours. C’est grâce à un des nombreux passages secrets présent dans le village qu’il put accéder à Pré-au-Lard, et donc se diriger vers la banque Gringotts. Malgré l’heure matinale, la rue principale était bondée : les magasins venaient pour la plupart tout juste d’ouvrir, cela était visible par les stands que les marchands installaient tout juste. Merwyn était un habitué du coin, si bien qu’en chemin, quelques salutations étaient échangées. La plupart des gens appréciaient Merwyn Prewett. Il était effectivement un homme très sociable et agréable. Ses plus proches amis diront de lui qu’on passe systématiquement du bon temps lorsqu’il est à la même table que vous. D’autres diront de lui que c’est un homme immature pour quelqu’un de quarante-cinq ans. Merwyn a eu une longue carrière de joueur de quidditch, c’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle on le reconnait de temps à autres dans la rue, et c’est toujours avec un immense plaisir qu’il s’adresse à des passionnés de quidditch, et même des non passionnés d’ailleurs. C’est même encore plus amusant pour lui : faire convertir un terrifié du balai en un expert. Honnêtement, ça n’est pas souvent arrivé, généralement, lorsque les gens ont peur de voler, ça ne les quitte pas du jour au lendemain.

Merwyn était arrivé devant le grand portail de la banque. Lorsqu’il l’ouvrit, il ne fut en vérité qu’à demi surpris : le monde n’était pas si conséquent. C’était même tout à fait raisonnable. Machinalement, il retira son chapeau et passa sa main dans ses cheveux en poussant un long soupir, puis se plaça derrière une femme âgée pour faire la queue. L’agitation régnait autour de lui. Les gobelins étaient imperturbables. Il sortit sa clé en attendant en essayant de penser à autre chose dans l’espérance que le temps d’attente passe plus vite. Merwyn n’était pas du genre rêveur cependant, du moins plus maintenant. Pas plus ambitieux que ça, étant plus jeune il avait eu bien sûr des objectifs, en fait, un seul : être joueur de quidditch. Son rêve était devenu réalité et il en a profité. Il jouit aujourd’hui d’un tout autre bonheur : il est retourné à Poudlard pour enseigner le vol aux élèves, et autant dire qu’il aime ça. Il a vite aperçu qu’il y avait deux catégories d’élèves : ceux qui aimaient voler, et ceux qui était terrifiés. Parmi ceux qui étaient terrifiés, on retrouvait encore deux sous-parties : ceux qui progressaient, et ceux qui ne voulaient tout simplement pas décoller. Autant dire qu’avec ces derniers, la situation était plutôt compliquée. Mais Merwyn ne perdait jamais son sang-froid. D’ailleurs, il était toujours très cool avec ses élèves, même ceux qui ne supportaient pas le vol sur balais. Après tout, c’était leur choix, même si cela faisait un petit pincement au cœur du Prewett. Oui, c’était un grand sensible. Il aimait bien ses élèves, aimant même se lier d’amitié avec certains, tout en gardant une relation respectueuse d’élèves/professeurs. Certains collègues ne voyaient pas cela comme une stratégie d’études, mais pour l’instant, tout marchait à merveille.

« SUIVANT ! »

Merwyn se détacha de sa rêverie et se dirigea vers le guichet de libre. Intuitivement, il donna directement la clé de son coffre avec les informations habituelles. « Bonjour, Prewett, coffre 307, voici ma clé. » Merwyn remarqua que le gobelin en face de lui avait jeté un regard furtif à son collègue gobelin de droite. Ne prenant pas cela comme un signe de danger imminent, Merwyn continua à fixer le gobelin, en attendant qu’on lui donne accès à son coffre. Il avait besoin d’une petite centaine de gallions. En fait, il envisageait sérieusement de s’acheter une voiture moldu pour éviter de marcher pendant des heures pour se rendre quelque part. Il y avait bien les moyens de transports magiques comme la poudre de cheminette ou le magicobus par exemple. Mais une belle voiture, Prewett trouvait cet objet sacrément beau. « Pouvez-vous me donnez votre baguette ? » Merwyn s’étonna d’entendre cette question. « Pourquoi ? » Le gobelin lui jeta un regard des plus vicieux et provocateur. « Pouvez-vous, s’il vous plaît, me donnez votre baguette ? » Merwyn remarqua que les gobelins autour d’eux avaient cessé toute activité pour les regarder. Trouvant cela des plus inhabituelles, il céda et donna sa baguette au gobelin. « Très bien, juste par curiosité, pour quelle raison avez-vous besoin de ma baguette ? » C’était comme s’il venait de poser la question à un mur : aucune réponse. Merwyn ne put s’empêcher de laisser s’échapper un « Ne me répondez pas surtout » avec un ton légèrement exaspéré. Soudainement, le sorcier se rendit compte que l’ambiance s’agitait au sein de la banque. Certains gobelins semblaient sortir de nulle part et courraient vers des directions bien précises. De nombreux regards étaient échangés entre eux. Merwyn avait remarqué que le gobelin qui avait sa baguette regardait un point fixe derrière son épaule. Lorsque Merwyn se retourna, il vit un gobelin courir vers une porte dissimulé derrière lui. Commençant à trouver ce désordre inquiétant, il décida de réitérer une tentative de question : « Dîtes, qu’est c’qui se passe au juste dans cette ban … » PAF ! Un bruit retentissant venait de résonner dans le hall de la banque. Un groupe de sorciers venaient de transplaner. Merwyn s’était brusquement retourné vers eux et les reconnu comme étant des aurors. Ces fameux aurors se dirigeaient vers lui, vite, trop vite. Avant de comprendre quoique ce soit, Merwyn se vit entouré de cinq baguettes magiques. Le plus massif d’entre eux rugit : « Monsieur Wood, par ordre du ministère de la magie, vous êtes en état d'arrestation pour détournement des fonds de Gringotts. Veuillez venir avec nous sans résister ! » « De quoi ?! » Le pauvre Merwyn ne comprenait rien de rien. L'accusait-on de détournement des fonds de Gringotts ? Tout ce qu’il avait compris en tout cas, c’était qu’on l’avait appelé monsieur Wood. « Veuillez nous suivre au ministère où vous serez jugez pour vos crimes. » Ok, on avait atteint un stade critique. « Non mais vous faîtes une énorme erreur … vous m’avez appelé Wood ? Je ne m’appelle pas Wood, mon nom est Prewett … » « Veuillez garder le silence ! Vous n’êtes plus autorisez à parler jusqu’à ce que nous soyons arrivés au ministère. » « Non mais laissez-moi au moins vous expliquez, je m’appelle Merwyn Machiavel Prewett, je suis professeur à … » « SILENCIO ! » La seule femme auror du groupe l’avait réduit au silence grâce à un sortilège. C’était la meilleure de l’année. Impossible pour lui de pouvoir d’expliquer dorénavant. La banque était en ébullition. Tous les sorciers et sorcières alentours chuchotaient entre eux « C’est Wood, il a volé un gros butin à la banque » ; « Mais si, ça fait au moins une semaine qu’ils sont à sa recherche » ; « J’espère qu’il pourrira à Azkaban, satané voleur » En entendant ces murmures haineux parvenir à ses oreilles, son cerveau se mit à retourner des tonnes d’informations jusqu’à ce que le nom de Wood refasse surface. Merwyn avait effectivement déjà croisé ce nom en lisant la Gazette du Sorcier, sans vraiment y accorder une grande importance. Ce fameux Wood était bel et bien accusé de détournement de fond, Merwyn se souvint de la photo d’un coffre vide de Gringotts et des gobelins affolés à son entrée. Mais pourquoi, pourquoi nom d’un strangulot empaillé, pourquoi l’avait-on confondu avec ce Wood ? Réduit au silence, il suivit les aurors jusqu’au centre du hall lorsque l’un d’eux prononça les mots fatidiques : « Préparez-vous à transplaner au sein du ministère » Transplaner ?! Merwyn Prewett, transplaner ! C’était comme demander à un enfant de combattre un troll, on faisait face ici à sa plus grosse phobie. Sans plus attendre, il s’agrippa à l’auror le plus proche de lui et ferma les yeux, terrifié. Il sentit soudain son estomac faire un bond majestueux jusqu’au fond de sa gorge puis revenir à sa place.

« Monsieur Wood, lâchez mon bras immédiatement. » dit une voix grinçante. Merwyn ouvrit un œil, puis deux. Ils étaient en ce qui semblait être, un tribunal. Par la barbe de Merlin, directement au tribunal ! Merwyn sentit une légère poussée d’angoisse l’envahir petit à petit. La sorcière qui l’avait réduit au silence inversa le sort alors que Merwyn se détacha du sorcier massif qui le regardait avec des yeux de tueurs. « Désolé, je n’aime vraiment pas transplaner… » « Silence Wood ! » Merwyn tourna brusquement la tête pour faire face à la source de cette voix particulièrement forte. C’était le juge, surélevé sur sa chaise … de juge. « Monsieur Wood, vous êtes accusé de détournement de fonds dans la banque Gingotts, fonds qui s’élève à cinq millions de gallions » Un murmure d’affolement s’éleva dans la salle. Merwyn réalisait à peine ce qu’il se passait. C’était le monde à l’envers. « Qu’avez-vous à dire pour votre défense. » On le laissait parler pour la première fois depuis ces dix dernières minutes de dingue. « Merci de bien vouloir me laisser parler dit-il d’une voix très calme en posant un regard lourd sur les aurors qu’il l’avait emmené sans l’avoir laissé parler. Ma défense est d’une simplicité évidente : je ne suis pas monsieur Wood » Un murmure cette fois plus intense s’éleva dans la salle d’audience. Ils semblaient tous outré par les propos de Merwyn. Le juge avait un air dépité : « Monsieur Wood, votre petit jeu ne marchent pas avec nous. Nous savons que vous avez pris l’apparence d’un honnête citoyen à l’aide d’un polynectar. Potion dont les effets devraient prendre fin … maintenant ! » Merwyn ne comprenait rien de rien. Les cours d’arithmancie semblaient plus compréhensibles face à ce foutoir monumental. Le jury avait les yeux fixé sur Merwyn. Manifestement, ils attendaient tous qu’ils se transforment en ce monsieur Wood. Merwyn les regardait tous un par un avec un air désabusé. Heureusement, l’une de ses principales qualités était la patiente. Il ne s’énervait pratiquement jamais, préférant attendre et observer … cela pouvait être une preuve de maturité, bien qu'il le soit suffisamment maintenant, mais dans son cas, c’était juste pour le plaisir de voir les autres avoir la honte de leur vie. Oui, c’était extrêmement malsain. Certains membres du jury regardèrent le juge qui semblait soudainement déconcerté. Cependant, il parla avec vivacité « Dans quelques minutes, nous verrons qu’il s’agit que monsieur Wood … Ce n’est qu’une question de temps. En attendant, nous allons vous soumettre à plusieurs questions pour savoir où vous avez cachés l’argent détourné » « Je vous en prie, faîtes. » Merwyn commença seulement à trouver cette situation ennuyeuse. Il s’assit au banc des accusés lorsqu’il entendit à son plus grand plaisir quelques murmures interrogateurs « Vous êtes sûr qu’il s’agit de Wood ? » ; « Il a l’air dépravé pour un voleur » ; « C’est bizarre, son visage m’est familier » « SILENCE ! » hurla le juge enfoncé dans sa chaise « Cet homme n’est pas Wood ! » Merwyn tourna brusquement la tête pour trouver l’auteur de cette affirmation. C’était un membre du jury, un peu plus âgé que Prewett, de grands yeux expressif et des cheveux très clair. « Cet homme est Merwyn Prewett, ancien membre de l’équipe de quidditch des Chauve-Souris
de Ballycastle. » Merwyn redressa subitement sur sa chaise et joignait ses deux mains en direction de son sauveur en murmurant « Merci » Une quadragénaire prit ensuite la parole « Monsieur Prewett ? Le professeur de vol de l’école Poudlard ? Vous avez ma fille comme élève, elle ne dit que du bien de vous ! » Enfin, la vérité se rétablissait petit à petit. Il allait être innocenté et allait pouvoir rentrer chez lui. C’était sans compter la détermination du juge persuadé de la fausse identité de notre homme. Il se leva de sa chaise, aussi rouge qu’une tomate et hurla à l’assemblée « SILENCE ! Êtes-vous donc tous aveugles ? Ceci est un déguisement ! La vérité éclatera au grand jour ... MAINTENANT ! » Tous les regards étaient à nouveau rivé sur Merwyn, affalé sur sa chaise, trouvant cette situation de plus en plus ridicule. Encore au début il était inquiet de la situation, maintenant, il en avait tout simplement assez. Il se leva, bien que la baguette du juge était pointé vers lui, et pris doucement la parole « Monsieur le juge, mesdames et messieurs les jurés, cette situation est un énorme malentendu. Je ne suis pas ce monsieur Wood, tout ceci est une énorme méprise. Cependant, grâce à vous, j’ai une belle histoire à raconter aux collègues quand je serai de retour à Poudlard pour enseigner, car effectivement, je suis professeur. Donnez-moi du véritaserum et vous verrez que je dis la vérité. » « C’est effectivement ce que nous allons faire. » Merwyn pris un air limite choqué. Etait-il si suspect que ça ? Certains membres du jury laissaient s’échapper un « c’est scandaleux ! » Manifestement, le juge voulait absolument envoyer une âme en plus à Azkaban. Se rendant à l’évidence, Merwyn se leva de sa chaise, prêt à boire la potion qu’un auror s’apprêtait à lui tendre lorsque tout d’un coup, la porte du tribunal s’ouvrit dans un fracas monstrueux. Une femme aux long cheveux roux traversa la salle, essoufflée « On l’a attrapé ! Wood, il est là, sous la surveillance de nos meilleurs aurors, on l’a ! » La salle se remplit d’un brouhaha innommable. Le juge réclama le silence puis à l’aide sa baguette, pointa Merwyn Prewett. « Si vous avez attrapez Wood, alors qui est cet homme en face de moi ? » La sorcière rousse se retourna brusquement pour apercevoir Merwyn. D’un air désabusé mais franchement heureux, il salua la jeune femme d’un signe de la main. La sorcière lui rendit son salut « Euh … je ne sais pas monsieur le juge. En tout cas, nous l’avons, il peut venir immédiatement. » Le juge regarda la jeune femme d’un air mauvais « Eh bien … faîtes ! » La sorcière s’en alla aussi vite qu’elle était venue et rentra de nouveau avec une ribambelle d’aurors avec en leur centre, un individu frêle mais jeune, ayant pourtant une calvitie bien prononcée.

Merwyn se délecta de la fin du jugement. L’homme en question était effectivement le véritable Wood. Il y eu une pause d’environs dix minutes déclarer par le juge. Merwyn se fit accompagner par le même groupe d’aurors qui se fondit en excuse une fois qu’ils étaient à part. Pas tous en vérité, seulement la femme qui lui avait jeté le sort silencio, les autres ont contenté d’acquiescer. Peu importait pour Prewett, toute cette histoire lui avait retourné le cerveau et l’estomac. Cela voulait dire qu’il avait mal au crâne et qu’il avait faim. Avant de repartir il eut une dernière question. « Dîtes, est-ce que je peux prendre le risque de retirer un peu d’argent de mon coffre sans craindre de me faire enfermer à Azkaban ? » Les aurors l’avaient soudainement regardé comme si Merwyn avait demandé l’autorisation de faire exploser une bombe nucléaire. Aucun humour ces aurors. Tout d'un coup, le juge hystérique fit son apparition. Il semblait beaucoup plus rayonnant et moins fou surtout. « Monsieur Prewett ! Nous sommes désolés de ce désagrément. Soyez sûr que vous allez être grassement dédommagé pour le dérangement. En attendant, nos aurors vont vous raccompagner à la banque et vous pourrez retirer tout l’argent que vous voulez. Voici votre clé que les gobelins nous ont donnée. Bonne journée monsieur Prewett. Oh, et vive les Chauves-Souris ! » Merwyn n’avait pas entendu la fin de sa phrase. Son cerveau s’était arrêté à « nos aurors vont vous raccompagner » Accompagner comment, je vous le donne en mille ? Par transplanage bien sûr. Parce que marcher, c’est trop fatiguant manifestement. Sans prendre le temps de rétorquer, Merwyn sentit une main agripper fortement son épaule. En moins d’une seconde, ils étaient de retour à la banque et Merwyn n’avait pas du tout aimé le fait qu’il avait gardé les yeux ouvert lors de ce transplanage. Il regarda le sorcier massif qui l’avait « déposé ». Il disparut après un rapide « Au revoir monsieur Prewett » Merwyn regarda autour de lui. Tout paraissait normal. Il rajusta ses lunettes et reposa son chapeau sur la tête qu’il avait gardé à la main pendant ses dernières minutes complètement folles. Un guichet était totalement libre devant lui. Il commença à marcher en sa direction quand il se fit doubler par une mère accompagnée de ses deux enfants. Elle le regarda d’un air accusateur et lui dit « Faîtes la queue comme tout le monde » Merwyn tournoya légèrement la tête quand il vit l’immense queue derrière lui. Le sorcier poussa un long soupir d’exaspération « Je déteste aller à la banque ».

méfaits accomplis,

ton pseudo : marty
ton prénom : kuala lumpur. Ouais, c'est la capitale de la Malaisie, j'm'en fous /SBAFF/
ton âge : 21 ans
ton avis sur le forum : c'est d'la bombe baby.
comment as-tu transplané ici ? je ne transplane pas, je marche avec mon pote bazzart
ta disponibilité : souvent. Encore plus lorsque mon dernier partiel sera passé x)
ton avatar : Johnny Depp
ton personnage : inventé - scénario - prédéfini
le mot de passe : les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté : je vous hais, j'étais partie pour réviser ce soir, puis j'ai craqué (j'avais déjà repéré le fofo, mais je me suis dit "attends au moins d'avoir terminé ton dernier partiel", bah non, j'ai craqué, vous êtes vilains *o*) Bon c'est faux, je vous aime, même si on se connait pas, osef x)

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Merwyn M. Prewett ! Tu es désormais validé et tu es surtout un sorcier adulte ! Hé oui ! tu ne possèdes pas les contraintes de l'école, alors c'est partit ! Transplanes où tu veux, partout dans Londres, ailleurs même !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. J'ai beaucoup aimé la façon dont tu t'es approprié le personnage, ton rp est vraiment très bon, très comique, je l'ai adoré ! .

Merwyn M. Prewett, tu es, en plus de devenir un sorcier officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu pourras recenser ta profession et bien plus ! Oh et puis, tant qu'on est, tu étais à l'école non ? dans une maison? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous