moi, le magicien,

prénoms : Solveig Oksana nom : Armanskij nature du sang: sang-mêlé âge : 19 ans date et lieu de naissance : 1er Novembre à Östersund, Suéde nationalité : Anglo-suedoise année d'étude : Huitième année niveau scolaire : Bon parcours scolaire : Parcours justice magique, sa père crois fermement que c'est pour devenir membre du magenmagot ou merlin sais quoi. Loin de lui l'idée de voir sa fille en auror et pourtant. votre baguette : bois d'épicéas, 29 cm, contient du crin d'Abraxan, droite, très souple et maniable. Extrêmement efficace pour la métamorphose et les DCFM (particulièrement es sort de défense). matières favorites : métamorphose et potion matière détestée : L'histoire de la magie reste la matière la plus ennuyeuse et dépourvue d'intérêt pour la jeune fille. votre patronus : Un dragon. Cela fait sans nul doute référence à son oncle. face à l'épouvantard : Une pieuvre, un calamar, etc En fait, n'importe quelle bestiole pourvue de tentacules lui donne des sueurs froides. particularité magique : Elle se documente et tente de s'entraîner pour devenir une animagi mais n'en est qu'au début de ses tentatives.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : Véritaserum. Elle déteste qu'on lui mente. Un sortilège : Rictusempra. D'ailleurs ça la démange de l'envoyer sur son père. une chanson : Impossible de choisir, elle aime trop la musique pour ne nommer qu'une chanson. un instrument de musique : Le piano. Tellement beau, tellement majestueux. un bijou : Un de ses bijoux que l'on se transmet de génération en génération. un bijou avec une valeur sentimentale. une insulte : Hora. Elle a tendance à jurer en suédois. une phobie :Les animaux avec des tentacules.Quel Horreur ! une couleur : Toutes, et plus encore. une créature magique : Un dragon. Son oncle élève et étudie nombre de créatures magiques plus ou moins dangereux.Mais elle ne trouve rien de plus majestueux et fascinant qu'un dragon un sorcier célèbre : Falco Aesalon. Le premier animagi, pouvoir se transformer en un animal elle trouve ça fascinant et aimerait pouvoir en faire autant. D'ailleurs, elle se documente et essaye dans devenir une, elle-même, mais elle reste lucide sur ses chances de réussir un jour. un objet moldu : Du papier à musique. Elle pourrait passer des heures à griffonner dessus des airs qui lui trottent dans la tête, voire des jours. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : Citron. Acide mais tellement bon. un endroit : La suède. Elle a souvent la mal du pays, comme on dit. un mot doux : Mitt hjärta. Sa mère l'appelait comme ça. un conte : Le conte des trois frères de Beedle le Barde que sa mère lui lisait souvent.

généreux ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : Hiver, cela lui rappel son pays. quidditch ou lecture : Quidditch, bien plus marrant patacitrouille ou baguette au réglisse : Patacitrouille, surtout jamais de réglisse. argent ou amitié : Amitié, l'argent ne fait pas le bonheur et elle en sait quelque chose. st-mangouste ou ministère de la magie : Sainte Mangouste, il apparait que la jeune demoiselle a une fâcheuse tendance à se blesser. cavalier ou fou : Aucune idée, car elle n'a aucune notion d'echec. Elle n'a jamais compris l'intérêt de ce jeu ?! balais ou transplaner : Balai, pour rien au monde elle n'abandonnerai cette sensation de liberté lorsqu'elle vole. elfe de maison ou liberté : Liberté, sans aucun doute astronomie ou arithmancie : Astronomie, Rien ne vaut la beauté d'une nuit étoilée. chat ou chien : Un chien, sans aucun doute.

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Je le méprise surement autant qu'il méprise les nés-moldus. Pour qui se prend-t-il avec ses airs supérieurs et sa mine dédaigneuse.Il se permet d'interférer dans les affaires de poudlard et prône la suprématie des sangs purs, de façon à peine masquer. Non, je ne l'aime pas et je ne pense pas non plus que sa place soit au ministère. Rien de bon ne peut arriver avec une telle personne au pouvoir. Le pire est surement à craindre.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Dire que je ne l'aime pas serait un euphémisme. Une psychorigide tortionnaire et sadique,voila tout. Je n'ai jamais l'autorité, ni les règles. Poudlard a toujours était pour moi, le lieu de liberté par excellence. Ici, je n'avais pas besoin de me contrôler, ou de faire semblant. J'étais libre, et voila qu'elle débarque avec ses décrets et ses sanctions d'un autre âge. Autant la prévenir, elle risque d'avoir du fil à retordre.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : écrire ici en quelques lignes, votre avis sur ce Fantôme Chapardeur qui sévit à l'école en dérobant les sorciers ! Pensez-vous savoir de qui il s'agit ? Avez-vous des idées sur qui se cache derrière ce nom ? Avez-vous déjà été victime de lui.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Intriguant. Même si certains paraissent exagérés et que je n'y croit qu'à moitié, je ne peux empêcher la curiosité de me titiller l'esprit. De plus, mon esprit aventureux me pousse à chercher et à vouloir connaitre la vérité sur ces soi-disant mystères. Je finirai bien par trouver car si je suis très persévérante.

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à l'intérieur de ma pensine

« Je me souviens. Je me souviens d'un temps où les rires et les notes de musiques emplissaient le manoir familial. D'un temps où la chaleur de notre foyer aurait fait fondre les glaces de toutes la Suède. D'un temps où ton visage rayonnait de bonheur et où ton sourire éblouissait mes yeux d'enfants. D'un temps où tu n'avais que faire du protocole et du qu'en dira-t-on. D'un temps où l'impossible devenait possible. D'un temps où la liberté me semblait une chose acquise. J'avais tort. Ce temps est révolu. Il s'est envolé et a tout emporté avec lui, à commencer par elle. Ou peut-être est-ce l'inverse. Peut-être est-ce elle qui l'a emporté avec elle. Oui, c'est cela. Ce jour-là, quand elle est morte, tout a cessé en une fraction de seconde. Ce jour-là, j'ai tout perdu : ma mère, mon innocence, ma joie de vivre, ma liberté mais également toi. Ce jour-là tu es mort avec elle. Ton visage si expressif s'est fermé à jamais, ton regard bienveillant et chaleureux a fait place à une impassibilité glaciale et ta joie de vivre a été chassé par la froideur et l'intransigeance. Quant à moi, ma liberté m'a échappé s'en même que je m'en aperçoive faisant place à une prison dorée. Une prison où la bienséance et autres usages du protocole de la noblesse suédoise font loi. Ne pas faire trop de bruit. Ne pas se faire remarquer. Ne surtout pas faire de vague. Rester polie et convenante. En bref, sois belle et tais-toi. Merlin sait à quel point je peux haïr tout ça. J'ai envie d'hurler, de crier, de sauter dans tous les sens, d'envoyer se faire voir chez les gobelins tous ses aristos coincées et surtout de te faire entendre ma voix. Mais je crains que cela ne soit peine perdue. Cela fait bien trop longtemps que tu ne m'écoutes plus, que tu ne me regardes plus. Cela t'est donc si insupportable de croiser mon regard. Je lui ressemble donc tant que ça. Un jour tu liras ce journal et peut-être que tu comprendras mais ce jour-là, il sera trop tard, papa. »

Je relisais ces mots écris quelques semaines plutôt dans ce fameux journal. Celui-là même qui renfermait toutes les choses que j'aurai aimé dire à mon père mais que je n'ai jamais osé. Surement par peur de le blesser, de le bousculer dans sa douleur. Mais en grandissant, les mots pleins d'espoir et de bienveillance avaient laissé place à d'autres bien plus durs et bien moins compatissant, même si parfois j'y mettais les formes.

Cela faisait maintenant, six ans. Six longues années que ma mère était morte et que l'état « passager » de mon père perdurait. Il se complaisait dans sa douleur. Dur et froid, il ne tolérait plus rien et rentrait parfois dans des rages dévastatrices sans raisons apparentes ou pour des broutilles. Pour moi plus question de rien, si ce n'est de cesser d'exister : ne plus parler, ne plus bouger, disparaitre pour ne surtout pas empirer les choses. On me répète souvent que ce n'est qu'une question de temps avant qu'il ne s'en remette car « tu comprends il a perdu la chose qu'il aimait le plus au monde, il a perdu sa femme ». Si pendant longtemps je fus compréhensive, ce n'était plus le cas. Désormais à ces personnes, je répondais avec ferveur que si lui avait perdu sa femme, moi j'avais perdu sa mère ce jour-là mais également mon père.

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méfaits accomplis,

ton pseudo : Poune
ton prénom : Pauline
ton âge : 20 ans
ton avis sur le forum :
comment as-tu transplané ici ? PRD est ton ami
ta disponibilité : Au minimum deux jours par semaine, probablement plus mais mon emploi du temps change tout le temps donc je ne peux pas être plus précise
ton avatar : La belle Adele, un peu de rondeur et de volupté dans ce monde filiforme.
ton personnage : inventé
le mot de passe : Vous savez ?! Il paraît que les gobelins sont des créatures qui puent des pieds !
une dernière volonté : écrire ici