Moi, je suis un sorcier dont l'ascendance est mêlée et je suis élève de 7ème année. Actuellement, j'étudie comme élève de gryffondor et ça me plaît ! Je suis né(e) le 24/12/1963 à Londres et je suis donc anglais. J'ai actuellement 17 ans. Comme sorcier, il faut savoir de moi que ma baguette est faite en bois de houx, qu'elle contient une plume de vivet doré et qu'elle mesure 28.3 centimètres. Particulièrement souple, elle est droite et a des prédispositions pour la défense contre les forces du mal. Mon patronus prend la forme d'un guépard et face à un épouvantard, je vois (au choix). Ma potion favorite est celle d'aiguise-méninges et mon sortilège préféré incarcerem. Je suis un élève bon et on dit de moi que je suis courageux, attentif, tête brulée, sincère, travailleur, mais aussi quelqu'un de vexant, rancunier et jaloux. Mes matières favorites sont la métamorphose et la défense contre les forces du mal et celle que je déteste est matière. Je suis aussi particularité magique. Je suis unique et je l'assume !



Soren est né le 24 décembre 1963, dans la maison de ses parents, en banlieue londonienne. C'est le premier des jumeaux, il a poussé ses premiers cris quatre minutes avant minuit, et trois avant Aaron. Son deuxième prénom est celui de son grand-père maternel (au choix) Il a passé une enfance joyeuse dans leur quartier moldu tranquille ; Soren était un garçon toujours en mouvement, souriant, bavard, agréable, gorgé de vie. Arrivé à Poudlard, il a été envoyé à Gryffondor, où son courage, sa joie de vivre et son humour ont vite trouvé leur place. Son parcours à Poudlard est plutôt libre, mis à part le fait que Soren est un bon élève, qui, derrière ses apparences de trublions, travaille régulièrement et prend du plaisir à cela. Il est sportif, aime se dépenser, et se met parfois trop en avant. Il est aussi loyal, accorde beaucoup d'importance à ses amis, et n'ait pas quelqu'un de solitaire. On peut par contre reprocher à Soren d'être impulsif, rancunier et exubérant. Il est aussi téméraire, il aime enfreindre les règles mais échappe assez bien aux punitions des professeurs, qui aime son côté jovial, bon élève et facile à vivre.

Nous deux, ça commence bien avant le berceau. On est issus de cette même cellule-œuf, qui, au cours d'une de ses nombreuses divisions afin de former un nouveau-né, s'est séparée en deux. On est liés par bien plus que le sang. Ce n'est pas de l'amour, ce que je te porte ; c'est bien plus que cela.
Le cerveau humain oublie. La douleur, l'amour, le temps. Personne ne se rappelle de ses débuts dans la vie, mais chacun a en mémoire un premier souvenir. Tu es mon premier souvenir. Nous avons passé notre enfance ensemble, plus unis que quiconque. Tu m'animais, je t'apaisais. Tu parlais pour deux, je pensais à ta place. Notre complémentarité n'avait pas de fin. Et le présent emporte le passé sur son passage, balaie les vestiges des tours jadis si hautes. Notre entrée à Poudlard nous a éloigné, sans pour autant que nous ne pensions l'un à l'autre. Notre complicité n'était plus si manifeste, comme ternie par l'adolescence. Nos chemins se séparaient, mais restaient proches, les liens fraternels restants vivaces face au destin.
Et quand j'en ai eu besoin, quand Zara s'en est allée, j'ai su que je pouvais compter sur toi. Devant l'adversité, tu as été l'épaule sur qui se reposer, l'ami qui ne juge pas, le protecteur qui veille, fidèle au poste. J'ai pleuré dans tes bras, et jamais tu n'as paru te lasser de ne pas me voir remonter la pente. Quand j'allais si mal, que j'en voulais à tout le monde, à l'Univers entier, tu n'as pas bronché, pas montré de signes de faiblesse. Tes paroles réconfortantes ne se sont jamais taries, même ce jour où mon poing est parti briser les os de ta mâchoire, lors d'un de mes nombreux accès de violence. Tu étais là. Toujours là.
Ta présence me met du baume au cœur, Soren, et tu ne sais pas à quel point je suis heureux, aujourd'hui, de pouvoir me dire que j'ai retrouvé mon double. Mon frère.