moi, le magicien,

prénoms : je m'appelle Regulus Arcturus, et pourtant, la plupart s'acharne à m’appeler Reg, surnom que j'ai en horreur - s'il me venait de devoir signer de ma plume, je me contente de RAB, bien plus sobre et mystérieux ne croyez-vous donc point ? nom : je suis le fils cadet de la grande et noble maison des Black, lignée de sorciers purs et respectés. nature du sang: ne viens-je donc pas de souligner la provenance de mon sang ? le nom Black devrait vous suffire à savoir que je suis plus pur qu'il n'est nécessaire. âge : j'ai actuellement dix-huit ans. date et lieu de naissance : je naquis une froide nuit d'hiver, le quatre décembre mille neuf cent soixante et un, dans la grande capitale britannique qu'est Londres. nationalité : je suis un pur britannique de pure souche évidemment, comme tout le reste de la famille Black. année d'étude : je suis actuellement en huitième année à Serpentard, chez les nobles et fiers verts et argentés, comme la plupart de ma famille. niveau scolaire : je suis malheureusement un élève plus que moyen. parcours scolaire : je suis le parcours pour devenir médicomage. votre baguette : ma baguette est taillée dans du bois de tilleul, symbole de la fidélité familiale, et contient du venin de basilic. mesurant 20.6 cm, elle est souple en main et légèrement incurvée, bonne baguette pour la médicomagie. matières favorites : les sortilèges et enchantements et la médicomagie, bien que je m'intéresse de plus en plus à la magie noire. matière détestée : sans aucun doute, j'affirme que la LV1 insupporte parce que j'estime que c'est la seule qui ne m'apporte pas le moins du monde un enseignement digne d'intérêt pour mes projets. votre patronus : mon patronus est un chat. face à l'épouvantard : la chose qui m'effraie le plus est le cadavre de mon frère - même si j'ai été élevé dans l'optique de considéré sa fuite comme une trahison, je n'ai jamais été capable de lui en vouloir au point de désirer sa mort. mon frère est important, même si je refuserais sans doute toujours de l'admettre et sa perte m'affecterait. particularité magique : je suis un souffleur-de-vie, c'est à dire qu'en un toucher, je suis capable de soigner, sans même remuer les lèvres ou faire tournoyer ma baguette, les pires blessures. toutefois, je préfère que mon don reste secret et ne le divulgue à personne - seule ma famille et Amélia, que j'ai sauvée des bras de la torture, sont conscient de l'ampleur de mon pouvoir.

le test de personnalité du choixpeau,

Ce qui va suivre est nécessaire afin de déterminer la maison dans laquelle vous allez être réparti. Néanmoins, ne visez pas une maison, mais faites vraiment votre personnalité. La maison devrait suivre en fonction de ça et ainsi, vous aurez celle que vous vouliez.


une potion : la potion d'éveil. Un sortilège : petrificus totalus. une chanson : écrire ici un instrument de musique : la douce sonate d'un piano. un bijou : un bijou d'argent serti d'émeraudes. une insulte : sang de bourbe. une phobie : écrire ici une couleur : le vert sapin. une créature magique : un basilic. un sorcier célèbre : écrire ici un objet moldu : bien que les moldus m'insupportent, j'ai toujours été fasciné par un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : la menthe. un endroit : à l'orée de la forêt interdite. un mot doux : écrire ici un conte : le conte des trois frères, de Beedle de Barde.

généreux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver. quidditch ou lecture : quidditch. patacitrouille ou baguette au réglisse : patacitrouille. argent ou amitié : argent. st-mangouste ou ministère de la magie : sainte-mangouste. cavalier ou fou : cavalier. balais ou transplaner : transplaner. elfe de maison ou liberté : elfe. astronomie ou arithmancie : ni l'un ni l'autre. chat ou chien : chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : j'ai toujours aveuglément cru ce que racontais mon père - longtemps, je n'ai été qu'un pion dans son existence, un vulgaire pantin dans son ascension vers le pouvoir. je savais, évidemment, que les Black était une famille hautement connue et tout aussi crainte. toutefois, même en ayant une confiance naïve envers cet être qu'est mon paternel, je n'approuve point son accès au poste de ministre - il se trame quelque chose de mauvais, je le sens dans son regard, et il y a à craindre pour les sorciers d'aujourd'hui et de demain, même si évidemment, je ne fais point partie de ceux-là.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : que ce soit elle ou un autre ne change absolument rien ; je n'ai rien à craindre d'elle. elle n'est qu'un larbin sur l'échiquier de mon père et elle ne tentera rien à l'encontre de son fils prodige qui puisse le contrarier, elle aurait bien trop peur des conséquences que cela pourrait avoir sur sa carrière. de plus je n'ai jamais été un élève particulièrement remarqué ou remarquable : respectueux du règlement, résultats plus que moyens qui ne méritent pas d'y laisser traîner quelconque intérêt, je suis un élève parmi tant d'autre qui ne lui a point tapé dans l'oeil.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : j'aurais pu être tenté de l'ignorer, faire comme si ce n'était qu'une blague ridicule - toutefois, lorsque je me suis aperçu qu'il m'avait dérobé quelque affaire dans mes bagages, j'ai pris conscience de son existence. rancunier, je ne chercherais toutefois pas à mettre la main dessus, étant donné qu'il ne m'a point volé quelconque objet de valeur, je fais simplement le nécessaire pour l'éviter et fais attention à mes arrières et effets personnels, de peur qu'il me chaparde de nouveau - ce maudit fantôme a le don d'irrité mes humeurs.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : j'avouerais volontiers que je me sens partagé entre l'irrésistible envie d'en savoir plus et le doute d'y croire. père m'a toujours éduqué qu'il ne faut point écouter les murmures qui planent dans l'école, fanfaronnant à tout va qu'il existerait quelques secrets non découverts à Poudlard - alors certes, j'aimerais pouvoir dire qu'ils ne m’atteignent pas, cependant certains échos me parviennent malgré moi sur ces fameux mystères, titillant ma curiosité. toutefois, je ne suis pas quelqu'un qui ira fouiner dans l'antique école pour déceler quoi que ce soit d'anormal, j'attends patiemment que quelqu'un le fasse pour moi.

méfaits accomplis,

ton pseudo : hm j'en ai pas mal, mais en général on peut me trouver sur la toile sous le pseudo de zazou ou unspokenLIFE
ton prénom : en vrai c'est sarah, mais je vous autorise à m'appeller "sa majesté princesse sarah"
ton âge : j'ai 17 ans dans deux mois éway *pan*
ton avis sur le forum : il est magnifique, absolument magnifique, les couleurs, le header, les codes, j'ai complètement craqué - pourtant je suis difficile niveau forum et les HP au temps des maraudeurs, j'avais jamais osé tenter l'expérience, c'est une grande première.
comment as-tu transplané ici ? la magnifique pub de PRD - je la trouvait jolie et très bien codée et, étant très curieuse, je n'ai pu m'empêcher de venir y jeter un oeil.
ta disponibilité : quasiment tous les jours haha. on est geek ou on l'est pas trésor (à)
ton avatar : le bandant et sublimissime Josh Hutcherson
ton personnage : pour la première fois de ma laïfe les gens, j'ai pris un pv youhou !
le mot de passe : héhé, je sais pas encore, mais je vais trouver ! *pas taper*
une dernière volonté : baisons dans un coin

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chapter one

black family.

Dpuis toujours, au fin fond de ta mémoire, ou du moins d’aussi loin que tu étais capable de remonter dans tes souvenirs d’antan, tu t’étais inlassablement demandé ce qui te donnait foi en cet homme. Illustre descendant de la grande et noble maison des Black, ton paternel avait toujours eu cette stature imposante qui te forçait, encore aujourd’hui, à laisser transparaitre sur tes traits ce respect poli et pourtant craintif – jamais une seule seconde tu n’avais contredis son autorité, te pliant sous ses ordres, t’effaçant derrière son ombre. Il ne t’était jamais venu à l’esprit de contester, trop peureux de ce qu’il pourrait émaner de ses colères. Orion Black te tenait en laisse et tu n’étais point capable d’en dire mot. Contrairement à Sirius, tu te laissais manipuler, t’octroyant toutefois le digne titre de préféré. « Regulus est un garçon si docile » entendais-tu murmurer ta mère, lors de ces quelques goûters mondains que tu fuyais avec application, exaspéré d’entendre ces bonnes femmes sorcières glousser en sirotant un vulgaire thé aux senteurs étranges et exotiques à ton nez.

Cette fois encore, les nobles amies de ta très chère mere se sont regroupées au sein de votre salon antique. A tes oreilles, le tintement de votre grosse horloge claque avec une lenteur horripilante et un soupir frémit à tes lèvres – le temps s’est une fois de plus suspendu, t’arrachant de lourds souffles d’ennuis que ta maternelle ne se prive point de te reprocher d’un regard appuyé sur ta personne. Sirius est parvenu à s’esquiver – en revanche, tu as été contraint de saluer poliment d’un humble hochement de tête les grandes dames qui se pressent à ton côté, baisant leur main gantée lorsqu’elles l’approchaient de ta bouche. Tu entends encore le ricanement moqueur de ton aîné, te chatouillant le tympan de son insolence. Quelques fois, tu te surprends à vouloir lui ressembler – ton frère est si libre de ses gestes. Certes renié de ton paternel qui, se lançant dans un discours enragé, ne manque point de laisser fuser quelque insulte à son égard, l’injuriant de fils indigne à son sang si pur, tu ne peux t’empêcher de laisser poindre une note amère de jalousie et d’envie. Cela a toujours été ainsi – malgré son désintérêt flagrant à l’encontre de l’honneur familial, tu as toujours été animé de respect envers sa face rebelle et indépendante ; face que ta propre personnalité ne possède nullement, à ton grand damn refoulé.

Au dessus de ta tête, le plancher craque dans une vibration quasi inaudible – les dames poursuivent leur discutions anodines, faisant mine de ne point s’inquiéter de la baraque qui grince faiblement. Humectant tes lèvres, tu te racles la gorge doucement – ta mère te lance un nouveau regard noir que tu ignores. Posant tes paumes contre tes genoux pour aider ton impulsion, tu excuses ton départ de quelques mots aimables, te dresses sur tes appuis en frottant ton pantalon pour le défroisser et t’élances vers la porte aux teintes verdâtres craquelées. Lorsque tu t’éloignes dans le couloir, les chuchotements reprennent bon train – tu poses un talon sur le seuil de l’escalier vieillot, le bois s’effritant sous ton poids qui balance ton ascension progressive.

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chapter two

à l'intérieur de ma pensine

ucey ucey

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chapter three

amélia & regulus.

La foule te bouscule, pressée par la froidure d’un printemps encore absent – le souffle froid mord toujours les chairs, empoignant l’habit de ses ongles glacés pour s’imprégner sur l’épiderme, faisant claquer les dents, trembloter les lèvres. Toutefois, malgré la fraîcheur du temps grisâtre, tout le monde s’est en allé, quittant la tiédeur réconfortante de l’antique château aux mille et un secrets pour braver la bise qui roule sur le terrain, faisant danser l’herbe que tous foulent ; il était, à cette époque de l’année, tout juste impensable de manquer cette date : la fin de la saison de Quidditch se fait désirer avec ardeur et, sur chaque bouche fébrile, on n’entend plus que ces mots fanfaronnés joyeusement. Toi-même, tu trépignes d’impatience à l’idée de te rendre sur le stade, de t’assoir sur tes gradins, colorés aux couleurs de ta maison, et de te mêler à l’ambiance collective de l’évènement. Alors, lorsque tes camarades te hèlent pour que tu te joignes à leur compagnie, tu esquisses une légère moue avant de hocher la tête et de les rejoindre paisiblement. Vous aviez alors marché, col de vos chemises remontés dans le vain espoir de vous protéger de la brise, jusqu’au terrain déjà effervescent. Un bourdonnement sonore s’élève de toute part, agressant ton tympan par sa densité ; tu fronces alors tes sourcils, tentant de te faire au fond bruyant qui t’entoure. Rapidement, vous vous installez près de la rambarde ; votre point de vue est excellent et, quelque soit l’angle de ton regard, tes opales abyssales tombent toujours sur un quelconque coin de la surface de jeu. Patient, tu poses alors ton menton au creux de ta paume, coude négligemment appuyé contre ta cuisse, posant tes prunelles sombres sur les anneaux qui dominent les lieux.