moi, le magicien,

prénoms : oxana katrina nom : karkaroff, une noble famille russe. nature du sang: pur. âge : seize ans. date et lieu de naissance : 01 juin, dans le quartier sorcier de Moscou. nationalité : Russe. année d'étude : sixième année. niveau scolaire : Oxana est une très bonne élève, Durmstrang étant une école sévère, elle a acquis une certaine rigueur en ce qui concerne le travail scolaire. parcours scolaire : actuellement en sixième année, Oxana a choisi comme matière de renforcement les potions, les sortilèges, les DCFM et la botanique. votre baguette : Sa baguette mesure 30,8 centimètres, est en bois d'if, contient un coeur de dragon, est plutôt rigide et incurvée et a des prédispositions pour les sortilèges de défense. matières favorites : Les matières favorites d'Oxana sont les cours de Potions et de Sortilèges, car elle les travaillent depuis son plus jeune âge, avec son père. matière détestée : Oxana déteste les cours de métamorphose. Elle a un peu de mal dans cette matière, et ça la met hors d'elle, car elle a peur de passer pour plus faible devant ses camarades. votre patronus : Un grand et noble corbeau noir. face à l'épouvantard : L'épouvantard d'Oxana est un gigantesque feu qui l'entoure et finit par la brûler. Depuis toute petite, Oxana a toujours eu peur feu, c'est l'unique chose qui l'effraie vraiment et qu'elle n'arrive pas à contrôler. particularité magique : non, aucune, elle est une sorcière tout ce qu'il y a de plus normal.

le test de personnalité du choixpeau,

Ce qui va suivre est nécessaire afin de déterminer la maison dans laquelle vous allez être réparti. Néanmoins, ne visez pas une maison, mais faites vraiment votre personnalité. La maison devrait suivre en fonction de ça et ainsi, vous aurez celle que vous vouliez.
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une potion : Le véritasérum. Un sortilège : l'Impérium. une chanson : rolling in the deep, by adele. un instrument de musique : le violon. une pierre précieuse : l’émeraude. une insulte : sale petit gobelin ! une phobie : les rats, qui lui donnent littéralement envie de vomir. une couleur : l'argenté (et puis le rouge aussi.) une créature magique : un dragon. un sorcier célèbre : Grindelwald. un objet moldu : un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : la myrtille... un endroit : la Tour d'Astronomie. un mot doux : ma belle sirène. un conte : le conte des trois frères, of course.

généreux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : hiver. quidditch ou lecture : lecture. patacitrouille ou baguette au réglisse : patacritouille. argent ou amitié : heu... amitié ? st-mangouste ou ministère de la magie : st-mangouste. cavalier ou fou : cavalier. balais ou transplaner : transplaner. elfe de maison ou liberté : officiellement elfe de maison ; officieusement liberté. astronomie ou arithmancie : astronomie. chat ou chien : chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Nous vous demandons de répondre aux quelques questions suivantes afin de savoir votre avis sur les évènements du forum. Répondez-y avec précision, nous voulons vraiment savoir ce que vous pensez.


Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Depuis son arrivée en Angleterre, Oxana s'est très peu intéressée à la politique. Elle ne veut plus se mêler à toutes ces histoires. Son père bien entendu est un pro-Orion Black, mais Oxana quant à elle n'y attache pas grand intérêt ; bien que lorsque certains élèves en discutent, elle tend l'oreille histoire de savoir ce que vaut cette ascension.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : A Durmstrang, Oxana avait appris la discipline, l'obéissance, certes. Les règles ne l'avaient jamais vraiment dérangée, de toute façon, c'était bien simple : on la laissait tranquille, elle laissait tout le monde tranquille. Mais la vérité, c'est que face aux gens, quand quelque chose ne va pas, Oxana ne se laisse pas faire, quitte à répondre et à être insolente. Après tout, c'est une Karkaroff, et toute sa famille a la réputation de ne pas êtres des faibles qui n'osent pas ouvrir la bouche. Sûr qu'après une douloureuse retenue, elle a compris la leçon et se retient face à la Harpie. Mais au fond, Oxana attend au détour Dolohov, et si un jour elle a l'occasion de lui jouer un mauvais tour, elle le fera. Parce que s'intégrer à Poudlard n'a pas été une chose facile pour elle, alors dès que quelque chose vient troubler sa nouvelle vie, cela met Oxana très en colère.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Oxana n'a pas encore été victime de ce fameux fantôme chapardeur, ce qui ne l'empêche pas de se poser pas mal de question sur qui se cache derrière ce vulgaire déguisement. Au début, cette histoire l'avait bien fait rire, et elle avait même dit qu'elle allait essayer d'en savoir plus afin de démasquer le coupable. Malheureusement, Oxana n’avance pas et n'en sait pas plus sur ce Fantôme Chapardeur que quiconque. Mais par fierté, comme d'habitude, elle essaie de faire croire qu'elle ne sait rien parce qu'elle se fiche de cette vulgaire affaire et que si elle voulait, elle trouverait vite le voleur.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Lorsqu'elle est arrivée à Poudlard, Oxana était très seule. Normal, il lui a fallu un petit temps d'adaptation... Alors quand on a commencé à lui parler des sept mystères de l'école, ça a attiré son attention. Elle s'est un peu renseigné, et c'est un sujet de conversation récurrent chez les élèves ; entre ceux qui y croient, ceux qui pensent que ce ne sont que des balivernes. Oxana elle y croit dur comme fer. A Durmstrang, nombreuses étaient les légendes, et elle aime cette ambiance mystérieuse qui entourent ces mystères. Ca ne lui déplairait d'en percer un une fois...

à l'intérieur de ma pensine

Oxana était assise face à la fenêtre, les genoux pliés en deux. Comme souvent, ses cheveux étaient tressés. Une main sur la vitre froide, elle regardait une dernière fois le quartier sorcier de Moscou. Ce quartier allait lui manquer, Durmstrang allait lui manquer, la Russie allait lui manquer. Mais pour rien au monde Oxana ne l’aurait avoué. Son départ imprévu avait évité à la jeune fille les adieux douloureux avec ses amis. Juste des aurevois, quelque promesses de lettres, le tout dans le calme et la sobriété . Dans quelques minutes, peut-être moins, son père allait venir la chercher. Et une dernière fois, ils traverseraient le corridor central, descendraient les escaliers et passeraient la porte du manoir Karkaroff. Ils le feraient ensemble, côte à côte, comme toujours.
Cette maison n’allait pas trop lui manquer. Oxana avait passé le plus clair de son temps à Durmstrang ces dernières années, aussi elle considérait vraiment l’école comme sa maison. Et maintenant, elle se préparait à aller vivre à Poudlard, avec une autre langue, un autre château, d’autres règles, d’autres élèves et d’autres mentalités surtout. S’y sentirait-elle bien ? Allait-elle arriver à s’intégrer parmi tous ces petits anglais ? Contrairement à ce qu’elle assurait à son père depuis trois jours, Oxana en doutait. Même si elle était vraiment en colère contre lui, elle essayait de le préserver, de ne pas ajouter ses reproches à ceux qu’il s’infligeait déjà. Tout ça à quoi de ces stupides problèmes politiques, magiques même. Il y avait des fois –des rares fois certes, où Oxana aurait préféré être une née-moldue. Malgré tout ce qu’on lui avait toujours enseigné, chez elle ou à Durmstrang, être un sang de bourbe avait parfois quelques avantages. Pas de réputation, pas de rang à tenir, pas de préjugés familiaux. Mais Sergueï Karkaroff avait été banni de la société russe, et sa fille aussi par la même occasion.

Oxana balaya des yeux sa chambre, une toute dernière fois, afin de garder en mémoire chaque détail, aussi insignifiant soit-il : la couleur des murs, des meubles, les lézardes dans le plafond, les rideaux affreux datant du siècle dernier, les lattes du plancher qui grinçaient toujours. Au milieu de sa petite chambre, trônait deux grandes malles dans lesquelles avait été entassé à la vite tout ce qu’Oxana avait pu récupérer avant de quitter Durmstrang en hâte, n’ayant que quelques jours pour quitter la Russie. Elle avait essayé de faire un rapide tri, n’emportant que ce qui lui était cher. Son balai. Quelques vêtements, histoire d’avoir quelque chose à se mettre sur le dos le temps de s’installer à Londres. Des livres, encore des livres, plusieurs demi-douzaines. Des flacons vides piqués à la fin d’un cours au Maitre des Potions de Durmstrang. Sa plume, que deux de ses amis lui avaient offert à son dernier anniversaire. Et ses longs rubans dont elle se servait pour nouer ses cheveux. Sans oublier les photos : Oxana et son père, Oxana et ses amis, Oxana bébé. Mais aucun d’Oxana avec sa mère, vu que son père avait pris soin de détruire toute trace d’elle après son départ, sa disparition, sa fuite. Parce qu’au fond, elle ne savait pas pourquoi sa mère les avait quitté ; son père refusant catégoriquement d’en parler. Sans doute ne pourrait-elle jamais savoir pourquoi elle avait dû grandir sans mère.Certains avaient même osé lui reprocher de ne pas la chercher, de ne rien faire pour la retrouver. Comment osaient-ils insinuer cela ? Personne n’était là le soir, quand seule dans sa chambre elle pleurait. Oxana seule portait ce fardeau, ressentait cette douleur permanente, ce quelque chose qui vous bouffe le cœur continuellement.
« Oxana ? Es-tu prête ? » Serguei Karkaroff passa la tête, l’air soucieux. Sa fille sécha rapidement les quelques larmes qui tâchaient son visage, avant de se relever et d’acquiescer. « Très bien, parton alors, et vite. »

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« Pourquoi réagis-tu comme ça Oxana ? Je ne te reconnais plus. Avant, tu étai plus gaie, plus compréhensive envers tout ce qui arrive depuis ces derniers temps… » « Il est là le mot clé, père. Avant. Avant que tu ne m’oblige à abandonner ma vie. » « Ecoute, je sais que a été dur pour toi de quitter Durmstrang et de t’intégrer ici, mais je pensais qu’à présent tu te plaisais ici. » « Penser, c’est bien beau, père, mais tu n’étais pas là quand je suis arrivée à Poudlard, quand je n’avais personne à qui parler, quand mes ‘’amis’’ ont cessé de répondre à mes lettres. Alors oui, c’est vrai, je me plais ici, mais je croyais aussi que tous nos comptes été réglé. Je t’avais pardonné de nous avoir exilé ici, mais il a fallu qu’après tout ça, tu me ramène ‘’belle maman’’ et l’autre. » « Ne parle pas d’elles comme ça Oxana ! D’une, ta belle-mère est à présent ma femme et Arabella ta demi-sœur, de deux, tu es un eKarkaroff, je te rappelle donc que je t’ai appris à bien te tenir et à être digne. Et de trois, n’as-tu toujours pas compris que Ambres t’aime bien. Tout ce qu’elle veut, c’est t’aider et de devenir une mère pour toi. Elle essaie de bien faire, ne la rejette pas.» « Je sais père, je sais qu’elle veut bien faire, mais… Mais c’est ma mère que je veux, et tu le sais. On n’en a presque jamais discuté tu sais. Tu m’as forcé à m’habituer à ne vivre qu’avec toi et maintenant… » Oxana se tut. De toute manière, cela ne servait à rien de se disputer avec son père. « Ma chérie, je n’ai simplement jamais voulu te donner de faux espoirs… C’était tellement plus simple de la rayer de notre vie. Je savais qu’elle ne reviendrait pas de toute façon. Je n’ai gardé qu’une seule photo d’elle, toujours sur moi, pendant toutes ces années. Je veux te la donner Oxana, elle t’appartient maintenant. » Accompagnant le geste à la parole, il donna à sa fille une vielle photo déchiré dans les coins. Une femme d’une trentaine d’année souriait, les cheveux dans le vent, les yeux pétillants. Elle ressemblait beaucoup à Oxana, ou plutôt c’était Oxana avait les mêmes traits que sa mère. « Merci papa, merci beaucoup. » Elle serra la photographie contre son cœur et alla l’accrocher à de toutes les autres, au dessus de son lit. « Oxana… Une dernière chose. Je sais qu’il faudra du temps pour que tu tisses un lien avec Ambres, mais en attendant, sois polie avec elle je te prie. » Elle hésita une seconde, puis soupira. « Très bien, je vais faire un effort. » « C’est valable pour Arabella aussi. Fais en sorte de te montrer plus aimable s’il te plait. Tu ne fais que la mettre mal à l’aise. » « Je veux bien faire la gentille fille et tout et tout, mais j’ai quinze ans, je suis capable de gérer mes relations et si je n veux pas être agréable avec elle, c’est tant pis. » « Si tu fais le premier pas, si tu essaie de discuter avec elle, je suis sûre que vous vous trouverez pleins de points communs… De son côté, je crois qu’Arabella t’aime bien, tu sais. » « Heu… J’en suis pas persuadée. Accessoirement, c’est à cause de toi, père, que ses parents ont divorcé. Je ne pense pas que c’était dans ses plans de devoir se coltiner un beau-père et sa fille. Alors non, j’suis pas sûre qu’elle soit vraiment heureuse de me croiser tous les jours, ici et à Poudlard. » « Je sais que ça peut sembler étrange venant de moi, mais je crois réellement que grand nombre de personnes peuvent t’aimer sans forcément attendre quelque chose de toi. Les gens ne font pas tout par intérêt. » « C’est pourtant ce que l’on m’apprend depuis que je suis toute petit. Etre ambitieux, fier, la tête haute, ne demander l’aide de personne, ne faire confiance à personne ; parce que nous valons mieux qu’eux et qu’il vaut mieux se méfier de tous que de passer pour un faible aux yeux du monde. C’est pas ça qu’on m’a appris, hein ? » « Si, mais il est peut-être temps d’ouvrir ton cœur et d’avancer. Tu as le droit de changer Oxana. » « Si tu savais comme ça a été dur pour moi, de tisser des liens, d’aller vers les gens. Je crois que j’suis pas douée pour parler. J’prefère être tranquille… C’était tellement plus simple à Durmstrang, je me sentais vraiment dans mon élément. Et depuis deux ans, tout ce que je fais, c’est m’a-dap-ter. »

méfaits accomplis,

ton pseudo : libreligne.
ton prénom : juliette.
ton âge : quinze petits printemps.
ton avis sur le forum : j'aime j'aime j'aime !
comment as-tu transplané ici ? par Bazzart ! :)
ta disponibilité : 5/7, le lundi et le jeudi je ne suis pas trop dispo'. Et je ne serai pas là la dernière semaine de juin, brevet oblige.
ton avatar : saiorse ronan
ton personnage : scénario.
le mot de passe : ok par Remus
une dernière volonté : non, je préfère me taire à jamais.