moi, le magicien,

prénoms : Mordred. Ça vous rappelle quelque chose ? Ouai... Merlin, Arthur et toute sa clique. A croire que c'est une mode dans la famille puisque mon oncle se nomme Lancelot. nom : Fenwick, hérité de mon défunt et idiot de père. nature du sang: sang-mêlé. Mes parents étaient tous deux sorciers. âge : 23 piges et je voudrais tant que ça reste ainsi pour l'éternité. Vieillir, c'est devenir responsable, c'est travaillé six jours par semaine, c'est mal. date et lieu de naissance : le 13 septembre 1967 à l'hôpital de Saint-Pétersbourg, en Russie. nationalité : britannique depuis plusieurs années. J'étais russe avant que je n'aille habiter chez mon oncle, Lancelot. année d'étude : deuxième cycle et redoublement de la septième année. Saleté d'Aspic. niveau scolaire : moyen. Voire mauvais avant mes études supérieures. L'école, c'est pas mon truc. parcours scolaire : parcours des Sports Magiques (Quidditch). votre baguette : érable, 18 centimètres, un nerf de dragon, incurvé, souple et prédisposition dans les charmes de lévitation. matières favorites : Les Créatures Magiques et la Divination pour tous les délires qu'on a pu avoir (tant sur les profs que sur les monstres informes et sadiques qu'on voit en cours). matière détestée : la Métamorphose. Je n'en vois aucun intérêt. Les choses sont comme elles sont et je ne comprends pas pourquoi on devrait être capable de les transformer. Et puis, j'avoue que c'est une matière très difficile et je ne compte plus les fois où je me suis arraché les cheveux avant d'obtenir un résultat passable. votre patronus : un huski, mais je n'en ai vu que la tête, étant incapable de produire un patronus complet. face à l'épouvantard : moi-même en train de mourir dans une expérience ténébreuse de mon père. particularité magique : aucun, il manquerait plus que ça pour pourrir à souhait ma vie.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : potion d'enflure qui fait grossir celui qui la boit. Hilarant. Un sortilège : Wingardium Leviosa. une chanson : Weird Sister - Do the Hyppogriff. un instrument de musique : une guitare classique. un bijou : un bracelet en cuir. une insulte : fuck you man. une phobie : la magie noire. une couleur : le vert. une créature magique : un scrout à pétard. un sorcier célèbre : Gellert Grindelwald. un objet moldu : une capote. un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : poivre. un endroit : le terrain de Quidditch de poudlard. un mot doux : t'es un choux à la crème. un conte : le Sorcier et la Marmite sauteuse.

généreux ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ sérieux ; ambitieux ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ contrôlé: joueur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ naïveté

hiver ou été : été. quidditch ou lecture : Quidditch. patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette de réglisse. argent ou amitié : amitié. st-mangouste ou ministère de la magie : Sainte-Mangouste. cavalier ou fou : fou. balais ou transplaner : balais. elfe de maison ou liberté : elfe de maison. astronomie ou arithmancie : astronomie. chat ou chien : chien.

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'investiture au pouvoir de Orion Black : Qui dit Black, dit Magie Noire. Et sincèrement, du peu que j'ai vu de cette science, cela ne me réconforte pas du tout. J'ai peur de ce gars au regard d'acier qui se proclame Ministre. Il ne m'inspire clairement pas confiance et je suis sûr qu'il prépare un coup caché avec ses idées de sang-pur. Je m'éloigne le plus possible de ce qui a trait avec lui. J'aime mon quotidien, ma paresse, ma fainéantise et j ne veut pas que tout ça soit chamboulé. Alors, autant rester à l'arrière des sujets qui fâchent.

Que pensez-vous de l'arrivée à l'école de Cordélia Dolohov : Je crache sur Dolohov et ses décrets. Voilà ce que j'en pense. Depuis qu'elle est arrivée, Poudlard n'est plus la même école. Avant, on pouvait s'amuser comme des fous. A présent, les lois ont été durcies. Et, dès qu'on touche à ma petite liberté, je mords. Pour l'instant, je n'ai pas eu le plaisir de heurter sa petite personne, mais si je la rencontre dans une situation peu prometteuse, je n'hésiterai pas à la noyer de répliques cinglante et cyniques.

Que pensez-vous du Fantôme Chapardeur : Je n'ai aucune idée de qui il peut s'agir. En vérité, je ne m'en préoccupe pas trop. Après tout, il ne m'a rien dérobé, à moi. Du moment qu'il ne touche à aucune de mes affaires, je ne vais me plaindre. Je suis plutôt amusé et sacrément curieux. Et s'il me venait de le surprendre en flagrant délit, je crois que je ne penserai pas une seconde à le livrer à Dolohov.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Depuis mon arrivée à Poudlard, j'ai entendu des rumeurs sur ces sept mystères et j'ai été directement intrigué par les différentes légendes. C'est pas mon truc de m'arracher les cheveux pour quelque chose, mais cette quête m'intéresse beaucoup et je suis décidé à les trouver! Quand on a rien à faire et que quelque chose nous stimule le cerveau, pourquoi stopper net ses envies ? Alors, j'ai cherché... et je cherche encore aujourd'hui les mystère.

Death around me (Saint-Petersburg, Russia).

Coucou,

c'est fou comme les jours passent vite. Un mois s'est écoulé depuis que j'ai fêté mes douze ans et je n'ai pas écris un mot depuis. Les récents événements y sont pour quelque chose. Tu n'as encore aucune idée de ce que j'ai vécu ces quelques jours. Mais, ne t'inquiète pas, je vais y remédier très bientôt. En tout cas, je ne t'avais pas oublié, crois-moi sur parole. Je t'ai sorti de mon tiroir plusieurs fois, mais devant tes pages d'un blanc immaculé, l'envie et l'inspiration se sont envolées à l'horizon, me laissant seul face à mes souvenirs. Je pense que tu es capable de comprendre cela. Toi aussi, tu as du vivre des temps difficiles, non ? Je ne sais pas... par exemple, attendre une éternité avant qu'un gamin te prenne à la librairie et ne t'adopte. Ça a du être chiant. Je n'aurais pas pu rester immobile si longtemps, à ta place. Mais le principal, c'est que tout s'arrange. Finalement, on retrouve le repos et la paix. C'est pourquoi je peux à nouveau écrire au fil de tes pages. Je n'ai pas oublié. Au contraire. Les scènes me reviennent en tête et, la nuit, je les vis une seconde fois. Je me réveille, tout tremblant. Une sueur froide me brûle la peau et j'ai l'impression de descendre aux enfers. Au bout de cinq minutes, je me rends compte que ce n'est qu'un cauchemar et je m'enfonce dans les entrailles de mon oreiller, un soupir fuyant mes lèvres. Et puis j'essaye de penser à autre chose, je fais des conneries. Parce que je veux vivre normalement, sans que la mort ne m'attende à chaque coin de rues. Parce que je veux être, et non paraitre. Tu comprends ? Peut-être que non, car je ne t'ai pas tout raconté.
Tu est bien sûr au courant que ma mère est morte il y a un an. Je me souviens encore te l'avoir annoncer. La page où reposent ces écrits ne témoigne pas de ma tristesse. Je n'ai versé aucune larme. Je me suis endurci au fur-et-à mesure de sa lente et longue agonie. J'ai vu ses yeux expirer et se dénuer de toute lueur. J'ai vu son sourire s'éteindre dans une grimace mortelle. Elle est morte à petits feux, sans que personne ne puisse la tirer des ténèbres. Moi, je n'étais qu'un gamin. L'infirmière se disait incapable de la moindre cure. Mon père pleurait dans un recoin et s'arrachait les cheveux. Je sais qu'il souffrait énormément, mais je lui en veux terriblement. Il aurait du être aux côtés de ma mère lorsqu'elle a quitté notre monde pour en fouler un autre. Il aurait du tenir tête, comme je le fais. Il aurait du garder son sang-froid et ne pas sombrer dans une folie démesurée. Car fou, il l'était. Ça aussi, tu le sais. Je t'ai parlé de son bureau empli de gros ouvrages et de plantes bizarres. Il s'y enfermait jour et nuit et n'y sortait que pour piquer une carotte du réfrigérateur. Son corps a muté. Des cernes se sont creusés petit à petit, ses muscles ont fondu et sa peau s'est flétrie sous ses os. Il ressemblait à un mort vivant. Seule sa voix restait distincte. Tous les jours, j'entendais ses cris de joie et puis ses lamentations rageuses. Ces recherches n'aboutissaient à rien. Mais il continuait. « Je peux la faire revenir. Ce doit être bien écrit quelque part... il doit bien y avoir un recours. Elle peut revenir... oui. Elle peut. » Je ne comprenais pas. Pourtant, un jour, c'est devenu une évidence : mon père voulait ressusciter ma mère. Je ne sais plus si j'ai pété de rire ou si j'ai éclaté en sanglot. Dans tous les cas, j'étais révolté. C'est à partir de ce moment que j'ai détesté mon père. Je l'exécrais et je n'hésitais pas à l'insulter de « Pauv'con! » Oh! Je n'ai aucun remords. Il l'a bien mérité. Il m'a fait chier du début jusqu'à la fin, le vieux. Il m'a laissé errer dans ce monde jusqu'à ce qu'il crève. Je paris qu'il ne s'est même pas rendu compte de sa folie grandiloquente lorsque le sort s'est retourné contre lui. J'étais là. J'ai tout vu. J'ai eu la peur de ma vie. J'en ai pissé dans mon froc à vrai dire. La lumière, l'explosion, puis les ténèbres, la voix glaciale et sadique, les hallucinations et enfin le souffle de la Mort. Le sortilège incanté par mon père relevait de la Magie Noire. Quel con.
On l'a enterré. J'ai failli cracher sur sa tombe dans un rire nerveux, mais la famille était présente. On m'aurait interné dans un hôpital ou un truc du genre. Je suis des séances de psychiatrie, bien sûr. Mon oncle y a veillé. Il veille sur tout. C'est fou comme il diffère de mon père. Et, juste pour cela, je l'aime bien. Je vais aller vivre chez lui, à Londres. Et je t'emporte avec moi. Je t'ai confessé beaucoup trop pour te quitter.

Allez, à la prochaine.

A new home (Londres, England).

Hello,

again, i'm late. I'm so sorry. If you feel to fall apart that's not in my intentions, believe me. Merde, j'en perds mon russe... Tu m'en vois désolé, mais il y a une explication. Voilà deux mois que je suis en Angleterre. Du coup, j'ai du apprendre l'anglais et c'est pas du tout une partie de plaisir. Enfin, tu me connais, n'est-ce pas ? J'ai jamais été doué en langue, ni en grammaire et ni en vocabulaire. Je ne vois pas pourquoi ça changerait du jour au lendemain. C'est donc une véritable torture. Et en plus de devoir faire des efforts, mon oncle me met la pression. Il faut dire que j'entre à Poudlard dans pas moins de deux semaines. Mon anglais doit être parfait si je veux bien m'intégrer. Le problème, c'est que je ne maîtrise pas encore la langue. Je fais des fautes dans toutes mes phrases, mon accent est horrible et je n'ai aucune motivation. Pour couronner le tout, je vais avoir un an de retard par rapport aux autres élèves. Car, en Russie, les cours sont différents de ceux d'ici. Lancelot, mon oncle, a voulu que je bouquine les livres scolaires que je me suis procuré. A croire qu'il n'a pas compris mon dégoût pour les études... il persiste, il y croit toujours. Moi, ça me met en rogne de devoir travailler. A douze ans, j'estime que j'ai eu assez d'emmerde pour qu'on m'en rajoute avec l'école. Et puis, j'aime ne rien foutre. Parfois, lorsque que le regard inquisiteur de mon tonton s'éloigne de ma petite personne, je m'éclipse et je vais trainer dans Londres. Je contemple, j'analyse, je m'amuse. Je me tape une discussion avec des mendiants ou des musiciens de la rue et, en retour, j'ai le droit à une clope ou à une gorgée de whisky. Ils sont plus sympas qu'ils n'en paraissent. C'est vrai qu'à première, je ne leur confierai pas mon porte-monnaie, mais si on apprend à les connaitre, ils s'avèrent être de loyaux compagnons. Bref, à part les leçons que j'ai à rattraper, tout coule. Ma nouvelle vie à Londres me plait assez.

Ciao!

You make my eyes burn (Hogwarts).

Salut,

c'est la rentrée et j'en ai déjà marre. Pourquoi a-t-il fallu que je me plante aux ASPICS ? J'ai rien foutu, c'est clair, mais je ne m'attendais pas à des notes si catastrophiques. Enfin, moi, je m'en contrefous hein. Mais mon oncle non. Il est très à cheval sur le travail à fournir dans la vie. Malheureusement pour lui, je ne suis de nature très conciliante avec l'apprentissage pure et dure. On s'est souvent engueulé à propos de ce sujet, du fait que je me les branle en cours. Je plains les voisins, d'ailleurs, car mon oncle et moi élevons facilement et rapidement la voix. Thanks god, nos disputes ne dépassent pas trois minutes. En général, je ferme violemment la porte de ma chambre pour décompresser et je reviens m'excuser l'heure suivante. C'est ainsi, je ne peux pas en vouloir à Lancelot. Il m'héberge, me nourrit et m'a instruit. Il est le contraire de mon père. Alors, dès que je me fâche contre lui, je regrette aussitôt mes paroles. Et c'est peut-être le seul à avoir cet effet sur moi. Lorsqu'il m'a engueulé pour mon redoublement, j'ai baissé la tête et j'ai répondu comme un con que j'allais faire le nécessaire pour les avoir cette deuxième année. « T'as bien intérêt... » Je fais la moue parce que j'ai compris qu'il me considérait sur le moment pour un moins que rien. Ce que je suis, mais je n'aime pas l'entendre de sa bouche. Donc cette année, je suis chaud. D'un côté, les miracles n'existent pas, donc je ne m'attends pas à faire des progrès immenses dans toutes les matières. De l'autre côté, la pression qu'exerce Lancelot est suffisante pour que je bosse un temps soit peu.
Me revoilà donc à Poudlard. Redoubler la septième année, c'est la galère. Ça signifie que je vais me retaper les mêmes profs que je fréquente depuis sept ans! Et je vais devoir assister aux même cours et refaire les mêmes sorts. J'ai aussi retrouvé mes bouffons d'amis (oui c'est ainsi que je les appelle parce que je n'aime pas m'attacher à eux de façon sérieuse), mes amours (ET emmerdes) et mes chers et tendres ennemis. En vérité, je devrais plutôt dire : MON ennemi ultime. Tu sais... le p'tit Gamin. Je t'en ai sûrement parlé, depuis le temps que je le connais. Lui et moi, c'est simplement la guerre. Ouai, on se crache des répliques cinglantes à la gueule, on se crie dessus, on s'arrache les yeux et on se crêpe les cheveux. C'est inexplicable. Dès que je vois sa petite tête d'ange, quelque chose me pousse à la détruire. Peut-être suis-je jaloux de lui. Peut-être que j'essaye d'enfouir d'autres sentiments sous la violence. Je ne sais pas et je continue de l'asticoter, de le faire souffrir. C'est mon pêcher mignon. Ce que j'aime le plus, c'est quand il me répond, quand il s'énerve et qu'il pète les plombs. Le gars si sûr de lui n'existe plus alors. Et je m’enivre de posséder ce pouvoir, le pouvoir de l'atteindre. Parfois, j'ai des frissons rien qu'en pensant qu'il m'appartient à moi seul.
Mais je dois y aller. Les préfets nous appellent dans la Salle Commune. L'heure est aux réprimandes et je te jure que je ne suis pas un éventuel suspect.

До встречи.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Lou ou Ezé.
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ton âge : 18 piges.
ton avis sur le forum : J'lui fais l'amour
comment as-tu transplané ici ? le côté obscure de la force et ma faiblesse
ta disponibilité : tu parle à une geek
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une dernière volonté : j'vous n'aime