moi, le magicien,

prénoms : Hermès, et autant dire qu’elle en est fière. S’il y a bien une chose qu’elle respecte et admire chez sa génitrice, c’est son incroyable passion pour l’histoire et la mythologie moldue. Pippa, comme héritière du surnom de sa défunte grand-mère Philippa. Morbide comme attache. nom : Bright-Lawburry, nom composé comme souvenir d’un mariage brisé. nature du sang: Née-moldue, ce qui n’est jamais très bien considéré dans une famille très terre à terre. âge : vingt ans date et lieu de naissance : trente-et-un mars mille neuf cent soixante à Bayonne, en France. nationalité : franco-anglaise. année d'étude : dixième année, sans redoublement – mot ne faisant par parti de son vocabulaire, par ailleurs. niveau scolaire : excellent, elle fait tout ce qui est nécessaire pour, bien que ce soit surtout par envie et plaisir. parcours scolaire : parcours de l’enseignement magique et de la culture, surtout pour la culture d’ailleurs. votre baguette : bois de noisetier, mesurant 25,9 centimètres et contenant un crin de sombral ; elle est souple et rapide, efficace pour les enchantements matières favorites : histoire de la magie et étude des civilisations étrangères. matière détestée : elle n’en déteste aucune, et ne s’en cache pas. votre patronus : un panda, c’est imposant, c’est une bonne masse, mais c’est tout. face à l'épouvantard : l’obscurité non pas dans le noir mais dans le néant brut, qui aspire les sons et les sensations, la laissant dans l’isolement, seule, l’oubli particularité magique : don de voyance.

le test de personnalité du choixpeau,

une potion : potion de mémoire, pour ne jamais rien oublier, du bon comme du mauvais ; et pour en savoir toujours plus sans craindre que ça ne s’efface un sortilège : incendio, à l’image de sa passion pour le feu une chanson : drops of jupiter, de train un instrument de musique : un piano, comme ces mélodies qui la berçaient les nuits de son enfance un bijou : des bracelets, beaucoup de bracelets une insulte : tout le panel très développé des insultes moldues une phobie : l’oubli, l’isolement, devenir un rien, un néant une couleur : inconnue à l’œil humain une créature magique : le vivet doré un sorcier célèbre : Nicolas Flamel un objet moldu : des allumettes ou un briquet un parfum de dragée surprise de Bertie Crochu : vodka caramel à l'orange un endroit : perchée sur la branche d’un grand arbre un mot doux : les mots doux ne sont pas son genre, ses attentions passent dans sa franchise et sont souvent mal interprétées un conte : la petite fille aux allumettes, de Anderson.

généreux ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ égoïste ; sociable ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ solitaire ; loyal ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ infidèle ; téméraire ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ lâche ; travailleur ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ paresseux ; clairvoyant ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ aveugle ;créatif ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ pragmatique ; patient ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ pressé ; fougueux ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ calme ; malin ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ sérieux ; ambitieux ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ j'en foutiste ; colérique ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ contrôlé ; joueur ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ mauvais perdant ; séducteur ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ ○ timide ; bruyant ● ● ● ● ● ○ ○ ○ ○ ○ discret ; orgueilleux ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ à l'écoute ; gourmand ● ● ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ calculateur ; méfiance ● ● ● ● ● ● ● ● ● ○ ○ naïveté

hiver ou été : automne quidditch ou lecture : tout patacitrouille ou baguette au réglisse : baguette au réglisse argent ou amitié : la vie st-mangouste ou ministère de la magie : aucun cavalier ou fou : fou balais ou transplaner : balais elfe de maison ou liberté : liberté astronomie ou arithmancie : les deux chat ou chien : chat.

quelques gouttes de Veritaserum,

Que pensez-vous de l'attentat de Diagon Alley le 17 décembre dernier : Un simple attentat m’aurait très certainement laissé de marbre, ou tout du moins n’aurait pas suscité une vague d’émotion comme pour tout être normalement constitué. Ce sont des choses qui me touchent, qui m’intriguent, mais pour lesquelles je ne prononcerais pas un grand intérêt. Pourtant, l’attentat du Diagon Alley n’a pas fait n’importe quelles victimes. Des nés moldus. Comme moi. Je suis peut-être une sorcière, je reste très attachée aux valeurs humaines. Encore plus à mes origines. Commettre un meurtre fait exempt de toute morale, j’en ai parfaitement conscience même si je me montre désintéressée. Commettre un attentat, sur une population qui diffère sur de malheureux critères … Comme un rapport de force. Totalement inutile et risible. Qu’est-ce qu’ils espèrent après l’effroi et la panique engendrés ? La soumission ? Aucune valeur envers l’espèce humaine.

Que pensez-vous des Mangemorts : Comme toute nouveauté, ils intriguent. J’ai envie de mieux les connaître, de comprendre leurs motivations, leur façon de penser. Les étudier. Voilà, ils ne sont qu’un sujet d’étude. Ils me révulsent pour l’attentat qu’ils ont commis mais ils ne m’effraient pas. Pas encore, du moins. Je pense bien qu’avec la nature de mon sang, il serait judicieux de ne pas tomber sur l’un d’eux. Pas de trop près, en tout cas.

Que pensez-vous de l'arrivée du consort de Dolohov, Minos Selwyn ? : Dans la lignée des personnes horripilantes et exubérantes, après la délurée voici le détraqué. Incroyable. À mes yeux, aucune des actions de ce nouveau venu n’est judicieuse. Par la même, je pense surtout à l’arrivée des Détraqueurs. On n’en avait pas besoin, et je suis certaine que les ennuis vont commencer avec eux. On n’est pas sorti de la mierda. Mangemorts ou non, on a la pire espèce de pseudo armée pour nous « protéger ». En même temps, si je me préoccupe de leurs actions, c’est uniquement lorsqu’elles viennent entraver le bon déroulement de mes libertés.

Que pensez-vous des sept mystères de l'école : Un mystère est fait pour être résolu, que dire de plus ?

à l'intérieur de ma pensine

Bout de papier abîmé et égaré dans un livre.
Ils ne pourront jamais l’accepter. Accepter que je puisse comprendre la situation, leur situation, mieux que quiconque. Qu’ils me rejettent, me considèrent comme la bête noire, ils ne peuvent pas comprendre. Je ne l’ai pas vu, j’étais avec elle. J’ai ressenti ce qui l’a perdu, et ce qui m’a réveillé. Mais ce jour-là, je suis morte moi aussi.

« Qu’est-ce que tu lis ? » Les mots entrent doucement dans son esprit, dans un brouillard chaotique et dérangeant. Ils bourdonnent, irrésistibles, exaspérants, comme des moustiques importuns. Ils viennent la titiller, alors qu’elle n’a que faire d’eux. Ils la poussent vers la réalité, vers la reconnexion, ils la démangent et elle ne supporte pas ça. Les mots se font pressants, deviennent formes. Les lettres prennent leur couleur et le sens des paroles s’immiscent clairement dans les entrailles de son cerveau. Hermès lâcha un soupir imperceptible, elle n’a jamais apprécié qu’on la dérange dans sa lecture, surtout lorsqu’elle jugeait celle-ci importante. Par ailleurs, très peu d’individus étaient en mesure de la sortir véritablement de sa torpeur. Mademoiselle feignait l’indifférence, jugeant que des pages et des pages de caractères écrits en pattes de mouche valaient mieux que les bassesses de la populace. Pourtant, il y avait toujours cette exception. Cette règle désobligeante, ce fait indéniable, comme quoi certains étaient encore capables d’attraper son attention, de la happer dans leurs paroles. Et parmi eux, sa sœur. Forcément. « Hmm. » marmonna l’interpellée. Hermès se contenta de feindre la concentration et dans l’instant, les lignes sur lesquelles voguait son regard étaient réellement plus importantes que le reste. Un bruit sourd à ses côtés lui indiqua que sa cadette s’était laissée tombée sur une chaise. Si Cléophée ne renchérit pas sur le peu d’attention que lui octroya sa frangine, elle ne se laissa pas démonter pour autant. « C’est idiot, mais j’aurais besoin de te prendre un peu d’encre. » C’était bien l’une des dernières remarques à laquelle elle aurait pu s’attendre, et venant d’elle, cela suffit à accrocher l’esprit d’analyse de la blonde. Or, elle ne bougea pas d’un pouce pour autant, se contentant de l’envoyer farfouiller dans de brèves paroles. « Dans mon sac, sers-toi. » En apparence toujours plongée dans sa lecture passionnante, Hermès avait définitivement raccroché et surveillait de son ouïe les actions de sa sœur. Elle le savait, ou tout du moins était certaine de le savoir. Le pourquoi de sa présence, de sa question. Une injure étouffée lui parvint et ne fit qu’approuver son raisonnement. Encore, et comme toujours. Une petite boîte de fer s’échoua avec brusquerie sur son libre posé à plat sur la table. L’illusion était désormais dissoute. Hermès attrapa ses allumettes vivement, l’exaspération bourdonnant entre ses tempes. « Il serait peut-être temps que tu arrêtes. » indiqua-t-elle à sa jeune sœur d’un ton platonique. « Peut-être, en effet, et ce n’est pas pour maintenant ! » Evidemment. Elle ne se leurrait pas quant aux bonnes intentions de Cléophée, mais elle ne parvenait pas à prendre cette attitude de bonne foi. « Tu devrais également parler moins fort, la bibliothèque n’est pas un opéra ouvert pour tes cris. » La brunette la foudroya du regard et désigna d’un léger mouvement de tête l’ensemble de la pièce. « On s’est déjà faites remarquer à partir du moment où j’ai dû hurler ton nom pour que tu réagisses. Ce que tu n’as pas fait, d’ailleurs. » En effet, Hermès restait hermétique à l’altercation par son prénom lorsqu’elle lisait ; une habitude qu’elle avait prise et qui lui offrait bien souvent de la tranquillité. L’espace d’un instant, le temps de quelques secondes, les deux sœurs se dévisagèrent. Personne ne comprenait leur relation, on pensait qu’elles s’aimaient, on prétendait qu’elles se détestaient. Et tous avaient à la fois raison et tort, mais c’était bien plus que cela. Toujours bien plus.

Hermès et Cléophée étaient les seules enfants de la famille. Avant elles, il y avait eu Anaël ; seulement des filles, et toutes aux prénoms français. Sur les trois nées moldues, il s’est avéré que les deux plus jeunes développèrent un penchant pour la sorcellerie. L’entrée en la matière de la première fut fracassante, ou tout au plus meurtrière. C’était ainsi que tous avaient considéré cette malédiction – et non ce don – qu’elle portait en elle. Comme si personne n’avait été sensible à l’état d’hystérie dans lequel Hermès fut retrouvée dans sa pauvre armoire. Une demi-heure avant l’accident fatidique. Elle avait vu, avait vécu, la mort de sa sœur aînée et de son paternel. Entre les larmes, les cris et l’effroi d’une petite apeurée et dévastée, elle avait tenté de faire comprendre à ses parents ce qui allait se passer. Mais Anaël était malade et le seul médecin le plus proche des environs se trouvait à une trentaine de minutes. Hermès eu droit à un cachet pour la calmer – ce qui ne servit strictement à rien d’ailleurs – et Anaël à être conduite chez le médecin par son père. Accident de route, dont l’erreur d’inattention n’était connue que d’une seule. Ils avaient tout perdu, Hermès plus que les autres. Une sœur, un père, l’amour. Si Cléophée gardaient très peu de souvenirs de leur défunte sœur, ce n’était pas le cas pour la voyante. Don du troisième œil. Une horreur. Dans leur malheur, l’isolement s’était refermé sur Hermès encore petite fille. Jusqu’à ce que Cléophée reçoive sa lettre pour la rentrée à Hogwarts, après avoir caché à tout le monde et durant toute son enfance ce dont elle était capable.

Ce fut Hermès qui brisa le silence en relâchant la pression dans ses muscles et adressant un sourire à sa sœur. « Je suis désolée. » Désolée d’être comme ça, peut-être. Désolée d’avoir été la cause de ta souffrance. Désolée que tu t’obstines à me surveiller, comme si j’allais défaillir d’un instant à l’autre. Cléophée lui rendit son esquisse et soupira fébrilement en repassant une main dans ses cheveux pour se recoiffer. « Tu n’as pas à l’être, tu sais. » Accord tacite entre les deux. Une compréhension que personne ne pourrait avoir à leur égard, plus qu’elles ne l’avaient l’une envers l’autre. La cadette se redressa, réajusta ses vêtements, et embrassa sa sœur sur la joue. « Tes histoires se sont arrangées ? » lui demanda Hermès avant qu’elle ne s’éloigne. Cléophée lui jeta un regard qui, de toute évidence, acquiesçait. Or ce ne fut pas d’un oui qu’elle répondit, mais d’un simple « Merci ». Dans le couple fraternel qu’elles composaient, les deux sœurs se ressemblaient sur bien des égards. Seulement, aussi bien que la plus jeune désespérait des penchants flamboyants de l’autre, la plus vieille agissait dans l’ombre sur tous ces problèmes. Si elles s’en sortaient, c’était ensemble. « Tu devrais cesser de lire ce genre de chose à longueur de journée. » lui conseilla Cléophée avec compassion avant de la quitter. Oui, mais non. Hermès ne pourrait jamais cesser d’étudier son don, cette faculté qui l’opprimait, la révulsait, la fascinait et l’effrayait. Parce qu’elle avait brûlé avec elle. Des visions, il y en avait souvent, à toute heure, à tout lieu, et elle faisait en sorte que seule sa famille soit au courant de la raison de ses torpeurs qui l’assaillaient. Qu’on la prenne pour une folle, à défaut d’être dévisagée comme une pyromane ou une sorcière particulière. Hermès referma son bouquin d’une main et ouvrit la paume de l’autre pour déposer la boîte qu’elle tenait toujours fermement. Une boîte d’allumettes, qu’elle avait toujours sur elle. Une boîte de souvenirs, de passion, de dégout. La jeune femme s’était toujours accrochée aux valeurs moldues, à ses origines et ce qui composait ce monde dépourvu de magie. Tous le savaient plus ou moins, mais personne ne connaissait la nature de son sang. C’était un détail qu’elle passait sous silence, même s’il était soupçonné. Car quand bien même elle était attachée à certains aspects des moldus, l’empreinte du vécu dans sa jeunesse était encore imprimée vivement en elle. Cléophée se prenait pour une sorcière dans l’intégralité, chose qu’elle, elle ne pouvait pas faire.

Bout de papier aux bords brûlés, rangé parmi tout un tas d'autres feuilles.
Il y a des décrets, toujours des décrets. Il y a Cléophée. Cléophée qui a reçu une lettre de maman, une lettre que je ne recevrais jamais. Il me faut un piano.

Tu cours loin, puis tu reviens. Tu voudrais crier, mais c’est le silence qui sort de tes entrailles. Il n’y a personne ici, Hermès. Personne pour entendre le martèlement de pas paniqués, personne pour sentir les battements éreintés de ton cœur. Tu es seule, tu l’as toujours été ici. Ton souffle saccadé se mêle à la brise pesante. Tu cours toujours plus loin alors que t’es pas se font lourds, vers l’inconnu, vers l’infini. Tes poumons se déchirent, ton hurlement ce répercute comme écho vers l’horizon. Personne ne te répond, Hermès, personne ne viendra te chercher. Parce que tu es seule, abandonnée de tous. Personne n’est là pour toi, personne ne te connait. Tu n’es rien, rien. Un brasier s’allume devant toi, et tu sautes dans le feu comme s’il était ta vie.

Hermès se massa les tempes dans un geste qui se voulait aussi banal qu’une attitude au petit matin. Un bourdonnement incessant lui rongeait le crâne, la faute aux cauchemars qu’elle faisait quand ses insomnies ne maîtrisaient pas ses nuits. Les prédictions, les mauvais rêves, les nuits sans sommeil. Elle se disait ne pas être seule dans ce cas mais, elle ne se voilait pas la face, elle en ressortait exténuée. Alors elle passait ses nuits à lire, à apprendre, à trouver un moyen de palier l’imperfection de sa faculté. Elle connaissait déjà par cœur les particularités des souffles endormis de ses camarades de chambre, elle connaissait par cœur le chemin pour aller à l’infirmerie. Un chemin qu’elle s’était décidée il y a quelques années de cesser d’emprunter à chacune de ses crises. Car elle ne devait pas faillir. Hermès qui connaissait le nombre pi jusqu’à un nombre indéfini de ses décimales aussi bien que son bouquin de potion ou d’histoire de la magie. Hermès qui était à la fois moldue et sorcière, incapable de se considérer pleinement comme la deuxième. Hermès qui se refusait de faillir devant n’importe qui, peu importaient les conséquences. Dans l’adversité que représentait sa famille, le monde, elle se devait de réussir. Pour reconquérir la première, pour qu’enfin elle puisse lire un sentiment maternel dans les yeux de sa génitrice, cette confiance qu’un parent a pour un enfant, cette singularité qui avait fait défaut ces treize dernières années. Pour avoir la certitude d’avoir une véritable place dans le deuxième, de cesser de fuir, de tout maîtriser.

La demoiselle faisait toujours partie des premiers présents dans la grande salle pour prendre le petit-déjeuner. Assise là à l’écart des autres lèves-tôt, personne ne se hasardait à venir s’assoir à côté d’elle sous peine de recevoir une remarque cinglante dans la figure. Les matins, bien plus que le reste de la journée, étaient les moments qu’elle trouvait les plus difficiles. Ils annonçaient une nouvelle journée, et achevaient une nouvelle nuit de galère. Autour d’elle, les gens évoquaient les nouveaux décrets qui s’amassaient et en faisait râler plus d’un. Si Hermès n’avait aucun souci à se faire quant à la question du bon déroulement de ses études, elle s’agaçait du reste. Les études lui tenaient à cœur, particulièrement parce qu’elle aimait ce qu’elle faisait. Mais elle n’était pas l’étudiante modèle et sage. Elle était celle qui réglait les problèmes de sa jeune sœur, en plus des siens. Celle qui n’hésitait pas à s’aventurer dans les couloirs la nuit, comme bien d’autres. Celle qui semblait autant accessible qu’inatteignable. Hermès était de ceux qui faisaient en sorte de se fondre dans la masse, de disparaître, alors qu’il y avait toujours un raté. Elle était remarquée, pour ses notes ou pour ses agissements de fille désinvolte au caractère inflammable. Dans le bon comme dans le mauvais. Et elle ne cessait de s’éloigner, d’avancer sur un chemin de pierre dans sa carapace de fer. Quand les discussions autour d’elle se tournèrent vers les Mangemorts, Hermès décida qu’il était temps pour elle de quitter les lieux. Par ailleurs, elle voulait passer par la bibliothèque avant le début des cours. Elle salua d’un geste un ami – oui, elle était capable d’en avoir – qui entrait dans la salle alors qu’elle en sortait, et se glissa dans les couloirs encore assez calmes à cette heure. Avec elle, le fantôme d’un souvenir, d’un passé, d’une douleur. Anaël.

méfaits accomplis,

ton pseudo : Ell. (oui, j'aime bien faire court)
ton prénom : Elodie.
ton âge :
ton avis sur le forum : tellement nul que c'en est la raison pour laquelle je me suis inscrite.
comment as-tu transplané ici ? je suis tombée de mon toit, en fait. j'sais pas transplaner.
ta disponibilité : ça dépend pour ? je peux passer souvent, no soucy.
ton avatar : gillian zinser
ton personnage : fabriqué dans une filiale d'ikea, monté sans mode d'emploi. like a best.
le mot de passe : les gobelins sont des créatures qui puent des pieds ?
une dernière volonté :

les crédits

le Choixpeau t'as recensé,

Félicitations Hermès P. Bright-Lawburry ! Le Choixpeau a décidé de t'envoyer à Serdaigle, chez les sages et réfléchis aigles ! Ce choix était une évidence car tu es curieuse, intelligente, évasive. Tu te plonges dans tes recherches, tu veux découvrir la vérité et tu es unique.. Ainsi, te voici dans la maison bleue et bronze. Tu dois savoir que la salle commune est ici et que désormais, tu peux faire plein de choses !

Ce que je peux dire avant tout, c'est que ta fiche est vraiment intéressante. J'ai adoré lire ta fiche, ton personnage est tout simplement superbe avec son don, la manière dont cela influence sa vie et puis comment tout cela l'amène à vouloir s'accrocher à son côté moldu et également la relation avec sa soeur. Bref, super personnage

Hermès, tu es, en plus de devenir un élève officiel, validé sur le forum ! Tu as donc plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer sur le forum. Dans un premier temps, si tu as peur du forum, de ne pas te sentir à l'aise, je te conseil de jeter un coup d'oeil sur la section parrainage et avoir quelqu'un pour s'occuper de ton intégration ! N'hésites pas, c'est gratuit et ça nous fait plaisir en plus. Ensuite, il faut absolument que tu viennes recenser ton avatar ! Sinon, il se fera prendre par un autre, ça serait dommage , non ? Ensuite, pour que ton personnage soit plus intéressant à jouer, tu peux venir regarder les registres du forum. Dedans, tu trouverez les places dans les équipes de Quidditch, mais aussi les clubs du forum où tu peux t'inscrire, les préfets et ainsi de suite, alors n'hésite pas ! Oh et puis, tant qu'on est, tu es dans ta maison, désormais non ? Alors essaies de la faire gagner à la coupe des quatre maisons. Après ça, je pense que tu devrais un registre pour tes liens, mais aussi un répertoire pour tes topics et enfin, un journal personnel pour y écrire tout ce que tu veux, non ? Après tout ça, n'hésite pas à flooder pour t'intégrer et aussi, à passer sur la chat box ! les gens ne mordent pas, ou presque.

N'oublie pas que si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition ! Sur ce, bienvenue officiellement sur le forum et parmi nous